Cloé, une jeune femme d’une vingtaine d’années, a toujours été fascinée, par son oncle Gilles, il lui arrive même d’en rêver la nuit, chaque moment partagé avec lui devient une occasion pour fantasmer.
Alors qu’ils sont réunis pour un barbecue, Cloé ne peut s’empêcher de l’observer avec attention. Gilles, c’est son regard qui la trouble. Elle ressent quelque chose de plus que de l’affection platonique.
Elle profite que sa de sa tante Juliette est en cuisine pour préparer les entrées, elle décide qu’il est temps de franchir le pas. Elle s’approche de lui, son cœur battre à tout rompre. C’est maintenant ou jamais et elle dit avec une voix tremblante :
-Tonton, tu sais que j’ai toujours eu une certaine admiration pour toi ?
Il lui sourit, est répond :
– Bien sûr, Cloé. Je suis flatté !
Elle prend une profonde inspiration et en bégayant ajoute :
-Mais ce n’est pas seulement de l’admiration. J’éprouve quelque chose de plus fort !
Gilles s’arrête, il fronce les sourcils. Cloé continue, sa voix maintenant est plus audacieuse, elle dit :
-J’ai envie de vivre une aventure avec toi, pas en tant qu’oncle et nièce, mais en tant que deux adultes consentants !
Elle s’approche un peu plus près de lui, il sent son souffle chaud sur sa joue, elle lui dit :
-Je rêve de moments où nous pourrions partager bien plus de choses. Je veux savoir ce que tu en penses !
Gilles, surpris, ne recule pas. Au contraire, il la fixe avec une intensité qui la fait frémir et répond :
Cloé… c’est… troublant. Je ne m’y attendais pas, cela ressemble à une proposition, je me trompe ?
Elle réplique :
-Je sais que c’est osé, mais j’ai envie de toi !
L’oncle reste sans voix. Cloé profite de cet instant pour lui prendre doucement la main. Elle devient encore plus audacieuse :
-Je veux sentir tes bras autour de moi, me frotter contre toi; partager mes désirs avec toi !
Le tonton, bien qu’encore interloqué, semble se laisser emporter :
-Cloé… c’est un chemin dangereux et compliquée, et il y à ta tante !
Elle répond pleine de défi :
-La vie est trop courte, pour vivre dans la peur, soyons des adultes responsables et audacieux !
À cet instant, elle voit un éclair dans ses yeux. Elle sait qu’elle a touché quelque chose en lui. Leurs regards se croisent, Cloé sait qu’elle a pris un risque énorme, mais elle est prête à faire face aux conséquences.
Gilles prend une profonde inspiration, un sourire se dessine sur ses lèvres :
– D’accord, Cloé, mais Laisse-moi le temps d’y réfléchir, mais j’avoue, que tu dois être un bon coup, doublée d’une petite salope !
Cloé sent une vague de joie l’envahir. Cloé a été courageuse en exprimant ses desirs à son oncle.
Les jours se passent, l’oncle réfléchit toujours. les sous entendus que les deux échangent, mettent la puce à l’oreille, de tante Juliette, qui a toujours eu une intuition aiguisée, et quelque chose dans le comportement de Cloé la trouble.
Un après-midi, alors que Cloé est partie se promener avec Gilles, Juliette, s’installe dans le jardin, un livre à la main, mais son esprit est ailleurs. Elle se souvient des rires et des éclats de voix qui résonnaient, elle se rend compte qu’elle n’a jamais vu sa nièce aussi joyeuse.
Un mélange d’inquiétude et de curiosité pousse Juliette à attendre le retour de Cloé. Lorsqu’elles se retrouvent enfin, Juliette remarque immédiatement l’éclat dans les yeux de sa nièce, mais aussi ceux de son mari. Cloé essaie de masquer son excitation, mais Juliette est trop perspicace pour ne pas le remarquer, elle demande :
-Cloé, J’ai l’impression qu’il se passe quelque chose entre toi et ton oncle Gilles. »
Cloé, surprise, tente de détourner le sujet :
-Non, pas du tout. C’est juste un moment comme les autres. »
Juliette fronce les sourcils, elle se laisse pas duper, et réplique :
– Écoute, ma chérie. Je suis ta tante, et je tiens à toi. Mais parfois, il faut être honnête !
Cloé, craint la réaction de sa tante, elle baisse les yeux. Juliette, voyant son trouble, décide de la pousser doucement. Cloé, réalise qu’elle ne peut plus cacher ses émotions, finit par se confier à sa tante :
-j’aime tonton !
Juliette, vient de recevoir un coup de poignard par l’aveu de sa nièce, mais reste calme. Juliette, lui prend doucement la main et dit:
-Sois consciente des conséquences !
Un soir, après un dîner en famille, Juliette se retrouve seule avec Cloé dans le jardin.
-Cloé, je sais que tes sentiments pour Gilles, et je ne peux pas m’empêcher de penser à tout ce que cela implique. Mais as-tu déjà envisagé l’idée que nous pourrions tous trois avoir une relation ?
Cloé, surprise, tourne son regard vers sa tante, abasourdit, répond.
-Quoi, Tu veux dire… toi aussi ?
Cette idée fait battre son cœur plus fort. C’est à la fois excitant et déroutante. La tante répond avec un sourire malicieux :
-Oui, J’ai toujours eu un certain attirance pour les relations non conventionnelles. Et je pense qu’il y a un truc à explorer entre nous trois !
Cloé, bien qu’hésitante, sent monter en elle l’excitation, elle répond :
– Mais est-ce que tonton serait d’accord ?
Juliette hausse les épaules, son regard brille d’une lueur espiègle :
-Je suis prête à en discuter avec lui, et cela nous rapprocherait encore davantage !
Cloé réfléchit un instant. L’idée d’un trio l’enthousiasme et l’effraie à la fois. Mais Juliette s’approche, pose une main rassurante sur l’épaule dénudée de sa nièce. Cloé sent l’adrénaline montée à l’idée de cette aventure potentielle. La main douce de sa tante qui lui caresse l’épaule, et la presse doucement, la fait frémir. La tante dit :
-Je vais en parler à Gilles et voir comment il réagit. Mais je pense que c’est une opportunité incroyable pour nous trois !
Juliette avant de quitter sa nièce, elle lui donne un baiser appuyé sur les lèvres. Une pulsion incontrôlable envahit Cloé, elle prend sa tante par le cou et lui écrase les lèvres avec les siennes. Le baiser est fougueux, les langues se nouent, le baiser dure longtemps.
Le lendemain, Juliette prend son courage à deux mains et aborde son mari. Elle lui parle de la conversation qu’elle a eu avec Cloé et l’amour qu’elle porte pour lui. Juliette ajoute :
-J’ai convaincue Cloé pour une relation à trois !
Gilles, bien que surpris, ne ferme pas la porte à cette possibilité, cela l’excite même, comme un faut cul, répond :
-Ouh là, là, mais c’est un traquenard. Je dois réfléchir à cela, c’est une chose, que je n’avais jamais envisagé !
Alors que la relation, entre Cloé, Gilles et Juliette évolue d’une manière autre que platonique, une tension s’installe. Les caresses se font plus audacieuses, les regards plus profonds. Juliette, avec son audace naturelle, sent que le moment est venu d’aller plus loin. Le soir, après le dîner, ils se retrouvent tous les trois dans le salon, Juliette plus impatiente que Cloé, ressent un besoin de passer à l’action. Elle échange des regards complices avec Cloé, qui lui rend un sourire aussi complice. Avant de se tourner vers Gilles, elle dit :
Je veux que tu te sentes bien, mon chéri. Nous sommes ici pour faire une chose merveilleuse, et faire valoir ce que nous ressentons !
À cet instant, Cloé, poussée par une vague d’audace, se joint à elle. Juliette laisse glisser ses mains sur le cou de Gilles, ses doigts jouent doucement dans ses cheveux. Cloé, inspirée par la confiance de sa tante, commence à masser doucement les épaules de Gilles.
« Cela te plaît ?
Gilles répond :
-Oui… il faut être de bois pour résister !
Cloé, prend une grande inspiration et se penche un peu plus près et dit avec sa voix douce :
-Nous allons connaitre des moments mémorables !
Elle s’accroche à son cou et l’embrasse sauvagement, Gilles surprit par cet assaut, ce raidit, puis lentement enlace sa nièce. Juliette passe derrière Cloé, passe ses mains sous sa jupe et lui caresse les hanches. Ses doigts agiles accrochent la culotte, et lentement la fait descendre. Tout en embrassant son oncle, Cloé se tortille pour faciliter la descente de la culotte, qui ne tarde pas à être sur le sol. D’un geste rapide, Juliette fait glisser le zip de la jupe et avec douceur, l’entraine elle aussi sur le sol.
Gilles et sa nièce, se dévorent la bouche, les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s’accoupler, un échange copieux de salive se fait. La tante regarde la croupe de sa nièce, qui s’agite doucement. Bien qu’elle ne soit pas lesbienne, elle salive grandement, et dans un élan incontrôlable, commence à caresser les lobes bien rondelets. Elle enfonce ses doigts dans les chairs tendres, malaxe, pétrit, jusqu’à plus soif. Ses longs doigts fins s’insèrent avec douceur dans le large sillon, qui sépare les fesses. Frôlent la petite fleur ridée, qui se met à frémir.
La verge de Gilles enfle dans son pantalon. Les femmes ne peuvent ignorer l’énorme bosse que l’homme excité, ne peut cacher. Cloé accrochée au cou de son oncle, saisit d’une main le manche emprisonné dans son carcan de tissu, et commence un doux branlage. Sa tante s’enhardit, elle retire ses vêtements, et enlace sa nièce. Elle frotte son bassin contre ses fesses, en se plaquant fortement contre elle comme une pieuvre à son rocher. La chatte de Juliette, soumise aux frottements constants, commence à suinter. Son clito, lui aussi soumit aux frottements, enfle considérablement. La tante pousse de petits gémissements qui fait réagir son mari.
Il demande à sa nièce de le lâcher, puis se lève, retire ses vêtements, et exhibe sa verge dressée comme un mat de cocagne en souriant. Cloé yeux écarquillés, fixe le membre, qui est agité de soubresauts, quelques gouttes visqueuses tombent sur le sol. Gilles se laisse tomber sur le canapé, Cloé sans se poser de question, se penche et saisit la verge vivante qu’elle sent battre dans sa main. Avec douceur, elle imprime un doux branlage, qui fait geindre son oncle. Juliette en feu s’accroche aux hanches de sa nièce et reprend le frottement.
Elle tire fortement sur les hanches, et s’agite de plus en plus vite, ses gémissements ressemblent à ceux d’une bête malade. Sa chatte qui suinte abondamment, mouille les fesses de Cloé, qui s’acharne sur la verge de son oncle. Ses coups de poignet redoutables, sont très efficaces. Le tonton geint bruyamment, en s’agrippant au canapé. Soudain, Gilles se cabre et envoie dans les airs un flot important de sperme, qui retombe sur son ventre et sur les doigts de sa nièce. Elle presse fortement la hampe, pour la vidée de toute la semence qu’elle contient. Soudain un autre gémissement bruyant se fait entendre, Juliette vient de jouir à son tour, elle halète, en restant accrochée à sa nièce.
Cloé un peu frustrée, tout en tenant la verge gluante, se sa main libre étale le sperme sur le ventre de son oncle, et brusquement, lui décalotte le gland. Elle donne des coups de langue bien ajustées sur le gland large et épais, avant de la gober. Les succions qu’elle pratique sur le chapeau de chair, sont si violents que le tonton gémit en serrant les dents. La bouche de la jeunette dévore le gland comme un affamée. La tante est surprise par l’ardeur que met sa nièce à l’ouvrage, ravale sa salive, elle ne peut s’empêcher de se caresser la vulve, qui suinte toujours. Elle se martyrise le clito avec violence, grimace, et jouit une seconde fois, en poussant un long râle rauque.
Cloé tète le gland avec acharnement, sa persévérance paie, elle reçoit comme récompense, une puissante giclée de sperme dans la bouche. Elle se redresse et avale par petite gorgées l’onctueuse crème si généreusement offerte.
Ajouter un commentaire