Lorena, jeune femme coincée Chapitre 1

Lorena, 25 ans, est la belle-fille de Pierre. Ce petit bout de femme menue, bien que jolie et pleine de charme, est souvent perçue comme très coincée. Elle évite le plus possible le regarde de son beau-père, dès qu’elle le croise, elle rougit. Elle préfère passer ses soirées à lire ou à regarder des films plutôt que de converser avec d’autres. Cette timidité la protège, mais elle l’isole aussi. On ne lui connait pas de petit ami.

Sophie, la maman de Lorena, a une certaine inquiétude. Elle comprend que Lorena a besoin d’un coup de pouce pour s’ouvrir et se libérer de son tresse et de sa timidité. En tant que mère, elle décide alors de prendre les choses en main.

Un soir, après le diner, Sophie invite Pierre à discuter sérieusement avec Lorena. Il est assit dans le salon, un verre à la main, elle lui explique la situation. Lui très souvent absent pour son travail, apprend le problème qu’a Lorena, et décide de l’aider.

Les premiers instants sont un peu délicats. Il parle longuement à sa belle-fille, qui n’ose croiser son regard. Au cours de la soirée, Lorena se dévoile, elle ose s’exprimer, elle avoue que sa timidité est telle, qu’elle n’a même pas de petit ami, qu’elle n’ose même pas en approcher un homme, et qu’elle n’a jamais fait l’amour. Sa maman écarquille les yeux, abasourdit par la révélation de sa fille reste sans voix. Pierre secoue la tête négativement, il la sent très tendue. Il se lève et se place derrière elle, il pose ses mains sur ses épaules et les masse doucement. Lorena se raidit. Pierre dit en regardant sa femme :

-Mon Dieu elle est tendue comme un arc !

Il se penche à l’oreille de sa belle fille, et lui dit :

-Ce qu’il te faut c’est un bon massage, pour enlever tout ce tresse qui te bloque !

Sophie prend la parole à son tour :

-Oui ma chérie, laisse faire Pierre, il sait de quoi il parle, mets toi en pette tenue et étends toi sur la petite table du salon !

Bien qu’on sachant que c’est pour son bien, elle fait une moue affreuse. Mais sous le conseil de sa maman, elle s’exécute timidement, en évitant de croiser le regarde de son beau-père. Pierre admire ce petit bout de femme menue, il imagine de petits seins bien ferment sous le soutien-gorge, ses jambes bien galbée, et ses rondeurs fessières le font saliver.

Lorena s’allonge sur le ventre sa tête posée sur ses avant bras. Dès que Pierre pose ses mains sur son corps moite, elle se raidit. Pierre commence à lui masser les épaules avec douceur. Ses mains, au contact de sa peau, la font frémir, exerçant une pression délicate pour libérer les tensions accumulées. Ses doigts agiles pianotent sur sa colonne vertébrale. Ses mains habillent glissent sur les hanches de Lorena, en longeant ses cotes, le bout de ses doigts frôlent involontairement, ou pas, les seins.

Lorena ferme les yeux, en laissant échapper un soupir. Le massage devient plus audacieux, Pierre passe ses mains sur le bas de ses reins, le caresse un long moment.
Il descend sur les lobes fessiers, les masse à travers de la culotte, en enfonçant ses doigts dans les chairs tendres. A chaque mouvement, Lorena ressent une vague de de chaleur. Pierre, observe un petit sourire sur les lèvres de Lorena. Cela encourage Pierre qui se permet d’approfondir le massage, ses mains s’attardant sur les zones de tension. Il réalise que Lorena se laisse aller. Il glisse se mains sous le la culotte et malaxe les demi-sphères charnues. Lorena se cambre, en poussant plusieurs soupir. la coquine éprouve un certain plaisir, sa respiration s’accélère, cela l’excite au point, qu’elle en mouille sa culotte.

Sophie écarquille les yeux, elle remarque que le pantalon de son mari se déforme au niveau de son bas-ventre. Le bougre a une bonne érection. les pouces du beau-père, glissent dans le large sillon, frôle l’anus. Lorena se cabre. Pierre, n’ose aller plus loin. Il retire ses mains et reprend le massage du dos de Lorena.

Pierre lui demande de se mettre sur le dos. En ravalant sa salive Lorena obtempère. Elle serre les cuisses, une tache humide et visible sur sa culotte. Pierre fait celui qui ne voit rien, il pose ses mains sur l’estomac de Lorena et le frotte doucement. Elle ferme les yeux pour ne pas croiser le regarde de son beau-père. ses mains contournent les seins délicatement, ses doigts les pressent. Effectivement les petits seins sont très fermes, Pierre prend plaisir à les presser. Le souffle de sa belle-fille devient plus rapide. Au travers du tissu, ses doigts tournent atour des mamelons. Les bougres taquinés, ne tardent pas à prendre du volume. Pierre remarque la tache humide s’étend sur la culotte. Toujours protégés par le soutien-gorge, Pierre saisit entre ses doigts les petits mats de chair. Il les roule, les pince, en épiant la réaction de sa belle-fille.

Lorena se pince les lèvres une grimace déforme son visage d’ange. Sa maman semble ravit, sa fille semble accepter les caresses de son beau-père. Cela prouve qu’elle se décoince. pendant qu’une main s’active sur un mamelon, l’autre caresse le ventre plat de Lorena. Elle s’approche dangereusement de l’entrejambe. Pierre prend conscience de ce qu’il fait, il réagit immédiatement, il retire ses mains et dit :

-Voila c’est terminée, tu dois être plus détendue maintenant !

Sans répondre, Lorena se dirige à grand pas vers la salle de bain. Sophie regard son mari et en lui saisissant la verge au travers du pantalon dit :

-Eh bien mon salaud, tu as pris du plaisir à masser ma fille hein !

Pierre en ravalant sa salive, il réplique :

-Oh la vache, elle m’a fait bander comme un cheval, tu en as la preuve en main ma chérie !

Sophie sourit et dit :

-Tu es prêts d’aller jusqu’ou avec Lorena pour la décoincer ?

Pierre répond :

-Pour être franc, je t’avoue que je me la ferai bien ta fille, bien qu’elle ne soit pas bien grande, elle a un corps de rêve !

Sophie en pressant fortement la verge de son mari réplique, si c’est pour son bien, je ne vois pas d’inconvénients, mais je te conseille de ne pas la brusquer !

Après quelques temps, Lorena refait son apparition, le regard pétillant, elle est déjà prête pour la nuit, elle porte une nuisette très courte que cache un peignoir de bain. Au fil de la soirée, Lorena se sent de plus en plus à l’aise avec son beau-père. Elle commence à partager des anecdotes personnelles avec lui, en se dévoilant davantage. Pierre lui fait réaliser, qu’il est possible d’être soi-même sans crainte d’être jugée par autrui.

Les trois prennent place devant la télévision. Instinctivement Lorena se blottit contre son beau-père et se met à ronronner comme une chatte. Sophie fait de même de son côté. Pierre est fière, il sent contre ses cuisses la chaleur qu’émanent les deux femmes. Il se concentre sur la chaleur de Lorena. Du peignoir entre ouvert, il voit les cuisses que la nuisette trop courte ne peut cacher.

Une émotion commence à déformer son pantalon. Sophie la remarque, doucement, elle avance sa mon vers la bosse, et la pose dessus, elle la presse de nombreuses fois puis commence un doux branlage au travers du pantalon. Pierre agite doucement son bassin, ce mouvement fait réagir sa belle-fille, qui tourne la tête, elle voit sa maman caresser l’entrejambe de Pierre. Un frisson lui parcourt le corps, inconsciemment, elle avance timidement sa main, et la pose sur celle de sa maman, qui automatiquement retire la sienne. Doucement, Lorena fait le même mouvement que faisait sa maman. Le manche devient de plus en plus dure et gros.

Pierre sait, que la relation entre beau-père et belle-fille, ne peut-être que platonique et que respect l’un pour l’autre. Mais la tension est telle qu’il ne peut plus se contrôler.

Pierre respire plus rapidement, il le prend doucement la main de sa belle-fille et la pose sur sa cuisse, habilement, il ouvre sa braguette et extirpe de son carcan de tissu sa verge tendue. Il reprend délicatement la main de Lorena, et la pose sur le manche fortement veiné.
Lorena le palpe, le presse, comme pour en connaitre la texture. Elle jeune novice qui n’a vu que des verges et des accouplements que sur le net, elle sent la chaleur que dégage le membre vivant, elle sent aussi le sang battre dans la hampe épaisse. Elle la serre entre ses doigts tremblants.

Sophie pose sa main sur celle de sa fille et avant de la lâcher, lui imprime un rythme. Maintenant, Lorena agite seule le manche de chair. Elle admire le gland, qu’elle découvre à chaque descente de son poignet. Pierre en geignant doucement, pose sa main sur la sienne et lui donne un rythme plus soutenu. Lorena s’applique du mieux qu’elle peut, puis cesse de branler l’engin gonflé au maximum. Elle le décalotte à fond, et comme elle l’a vu faire dans des films, elle donne des coups de langue sur le gland en lapant les perles que le méat rejette. Sa langue en fait plusieurs fois le tour, avant de le gober. Pierre se cabre, il regarde sa femme qui écarquille les yeux. Sophie n’en revient pas que sa fille extrêmement coincée, puisse sucer une verge, et tout cela sans contrainte.

Sa bouche fait geindre le beau-père qui, lui triture les cheveux, en disant :

-Oh comme tu es bonne Lorena !

Soudain en poussant un grognement, Pierre se raidit et envoie une puissante giclée de sperme dans la bouche de la suceuse, qui le repousse brusquement. Elle grimace, se pince les lèvres, en regardant sa maman, qui reste coite devant le spectacle. Doucement et par petites gorgées, Lorena avale la semence. Elle sent glisser dans sa gorge l’onctueuse crème. Pierre se redresse bascule sa belle-fille sur le canapé, lui ouvre le peignoir, et lui retrousse la nuisette. Il constate que la culotte de Lorena est humide. Avec des gestes habiles et non brusques, commence à faire descendre doucement la culotte sur les jambes bien galbées de la jeunette.

Automatiquement, au top de l’excitation, Lorena se contorsionne pour aider à la descente du tissu. Une fois la culotte retirée, Pierre la porte à son nez et la hume fortement en souriant. Il la passe sous le nez de sa femme, qui la sent à son tour, et qui dit :

-Ma chérie sent l’amour, soit prudent avec elle Pierre !

Lentement il lui ouvre les jambes, et admire la fente humide, aux fines lèvres bien dessinées. Il avance sa main, la caresse de base en haut, taquine un instant la protubérance de chair, qui rapidement se met à prendre du volume. Il la prendre entre son pouce et son index et doucement l’agite. Lorena commence à geindre, elle ferme les yeux. Seul les flashs de la télévision illuminent les acteurs. Sophie est aux premières loges, elle voit la main de son mari s’agiter de plus en plus vite, elle salive mais reste spectatrice.

Lorena geint, agite doucement son bassin. La pression monte d’un cran, elle qui n’a connue que ses doigts sur son intimité, là c’est son beau-père qui s’occupe sérieusement de son clitoris. Elle s’agrippe au canapé en gémissant de plus en plus fort. Elle se cabre et explose. Elle hurle de jouissance en répétant :

-Oh mon Dieu, mon Dieu, comme c’est merveilleux, encore Pierre, encore !

Sophie sourit, elle est aux anges, elle sait maintenant que sa fille peut devenir une femme pleine et entière. Pierre avance sa tête entre les cuisses de sa belle-fille et lui lèche la vulve avec gourmandise. Il récupère le jus que la chatte rejette, enfonce sa langue dans le puits débordant de cyprine, et le fouille à en faire gémir Lorena. Elle grogne comme un animal, se cambre au maximum. Mais dès que son amant lui aspire le clito, elle pousse un gémissement terrible. Les aspirations sont puissantes, et répétées. Cambrée comme un pont en pleine tempête Lorena explose. Une jouissance monstrueuse la fait hurler. Elle retombe lourdement sur le canapé en haletant. Elle vient d’étrenner son premier cunnilingus.