Pierre se redresse, retire le peignoir et la nuisette de sa belle-fille. La saisit dans ses bras et l’allonge sur la petite table du salon. Il admire le corps nu en salivant. Lorena a les yeux qui pétillent comme du champagne. Avec douceur, il palpe les seins qui sont s’origine bien fermes, joue avec les mamelons qui s’épaississent de plus en plus. Il les étire, les presse et les roule longuement entre ses doigts, en arrachant à sa belle-fille des gémissements. Il pose ses lèvres sur les bouts dressés, les suçote avant de les aspirer fortement. Lorena se cabre, serre les dents, en grimaçant.
Pierre suce à tour de rôle les mamelons, qui ne cessent d’épaissir. Sophie regarde émerveillée sa fille, subir les succions puissantes qui la font rugir. Bien qu’elle ne participe pas, sa chatte en feu rejette sa cyprine, elle serre les cuisses pour tenter, atténuer l’écoulement qui est incontrôlable. Lorena s’agite en geignant, la bouche vorace de son beau-père la fait couiner de bonheur. Elle délaisse les lobes gonflés, et descend sur le corps fébrile en embrassant et léchant chaque parcelle de peau.
Lorena pâme, jamais une bouche ne c’est posée sur son corps. L’intensité des petits baisers, sur sa peau moite la font frissonner. La langue agile de son beau-père, lui fouille un instant le nombril. Lorena se tend comme un arc, sa vulve ne cesse de suinter. Pierre bande comme un cerf en rut. Il se redresse abandonne quelques instant sa belle-fille, et retire ses vêtements, il offre aux lèvres charnues de sa femme son gland donne à sucer. Sophie, s’acharne dessus pour la faire durcir davantage. Enfin elle libère le mât, et va reprendre sa place de voyeuse.
Pierre prend place entre les cuisses de Lorena, et avance doucement sa verge vers le temple inviolé. Il frotte un instant son gland contre les grandes lèvres et particulièrement sur le clitoris. Lorena gémit faiblement, Pierre appuie son gland contre les grandes lèvres et pousse doucement. Les lèvres s’écrasent, s’ouvrent et laissent le passage à l’intrus, qui s’engage lentement dans la gaine en la dilatant. Lorena grimace, serre les dents, souffle fortement.
Lentement, la verge de son beau-père pénètre son intimité. Elle s’enfonce irrémédiablement dans son ventre en la faisant geindre. Elle s’accroche à son beau-père comme un rapace sur sa proie. Une résistance se fait ressentir. Pierre cesse de pousser, il recule de quelques centimètre et donne un coup de reins violent. Lorena se cambre fortement elle ressent, une brulure intense, lui traverse le ventre, son hymen c’est déchiré , la voila femme. Ses yeux s’emplissent de larmes. Pierre continue de progresser dans le ventre de sa belle-fille. Enfin ses couilles velues viennent en contacte de la vulve. Là, le bougre entreprend un va-et-vient très lent, mais rapidement il prend de la vitesse. C’est en grimaçant que Lorena subit les assauts. Peu à peu la douleur diminue et fait place au plaisir.
Les râles de la soumise deviennent des râles de plaisirs, elle agite son bassin et ose même de donner des coups de reins pour être empalée totalement. La verge puissante voyage dans sa gaine garnit de muqueuses sensibles, en la faisant gémir de plaisir. Les coups de reins de Pierre, deviennent de plus en plus violents. A chaque enfoncement de son pieu dans le ventre de Lorena, le corps menue celle-ci glisse sur la table, il doit souvent la tirer en arrière, pour reprendre ses assauts. Elle s’agrippe à lui en geignant fortement, elle se cabre et dans un hurlement terrible, qu’elle ne peut contenir, elle explose de jouissance. Sont corps se met à trembler, de nombreux spasmes lui secouent le ventre.
Pierre donne des coups de boutoir terrible, c’est comme s’il voulez traverse le corps fragile de sa belle-fille. A chacun de ses coups de reins, il pousse un han de bucheron. Enfin en se raidissant, il remplit de son sperme le ventre de Lorena, qui ressent pour la première fois du sperme chaud couler en elle. Pierre donne encore quelques estocades avant de se retirer. Sophie s’approche et regarde un liquide blanchâtre mémé à du sang s’échapper de la vulve de sa fille. Souriante elle dit :
-Te voila une vraie femme ma chérie, alors comment que te sens-tu maintenant après avoir été déflorée, par ton beau-papa !
En cherchant sa respiration, Lorena répond :
-Je me demande pourquoi que je ne l’ai, pas fait avant, c’est si merveilleux, merci Pierre de m’avoir fais découvrir l’acte sexuel !
Pierre en souriant répond :
-Mais je suis à ta disposition pour d’autres plaisirs, Lorena, il suffit de juste le demander !
Pierre est toujours en érection, il saisit sa queue et se branle énergiquement. Il ne tarde pas à envoyer sur le corps de sa belle-fille sa semence épaisse. Machinalement, Lorena l’étale avec sa main sur son corps en faisant de petits cercles. Elle se lèche un à un les doigts, avant de disparaitre dans la salle de bain. Sophie, se excitée comme jamais, se jette sur la verge gluante et la suce comme une affamée. Elle aspire en même temps qu’elle presse la hampe pour recueillir toute la semence qu’elle cache. Elle branle en même temps qu’elle suce, sa patience est vite récompensée, elle reçoit un bonne giclée de sperme dans la bouche, qu’elle avale sans sourciller. Après une bonne douche, il est temps de se coucher. Pierre et Sophie font l’amour comme des bêtes. Lorena de sa chambre les entend geindre et hurler de plaisir.
Elle ne peut s’empêcher de se caresser, elle se fait violence, son clito subit, sa rage de jouir. De sa main libre, elle se taquine l’anus, et dans l’excitation s’enfonce un doigt sans la gaine étroite. Elle la ramone sauvagement jusqu’à l’orgasme qui fut très violent. Elle s’endort apaisée. Le lendemain, elle descend l’escalier en souriant, elle semble très détendue. Elle embrasse sa maman et son beau-père, elle porte encore sa nuisette. Le fin tissu transparent, cache mal sa vulve cernée par une fine toison. Ses mamelons agressifs appuient sur le tissu comme pour le percer. Après le petit déjeuner, le trio se rend au salon. Sophie sourit à sa fille, elle est heureuse de la voir souriante, depuis sa défloraison, elle n’est plus la même.
Les trois complices discutent son tabou. Lorena dévoile son envie de tester la sodomie et avoue s’avoir doitée l’anus, jusqu’à l’orgasme. Sa maman écoute son dire un mot. Pierre la regarde en souriant et dit :
-C’est une pratique assez répandue, ta maman et moi l’utilisons très souvent, j’ai remarqué, que la sodomie la fait jouir plus fort !
Lorena écarquille les yeux et dit :
Pierre je veux la tenter cette fameuse sodomie, maman, il peut me prendre le cul ton homme ?
Sophie sans se formaliser répond :
-Si c’est pour te faire connaitre d’autres jouissances, et que tu sois enfin une femme comblée ma chérie, je ne vois pas d’inconvénient !
Mais qu’est qui prend à Lorena, elle commence en onduler du bassin, se déhancher comme une danseuse orientale. Pierre regarde avec intérêt, les hanches balancées en cadence.
Elle tourne le dos au deux voyeurs, agite sa croute et lentement se penche en avant. Le voile qui couvrait ses fesses remonte sur ses reins et laisse admirer ses rondeurs fessières. cette danse improvisée, ne laisse pas indifférent son beau-père, qui bande terriblement.
Puis en se cambrant fortement, elle écarte avec des mains ses demi-sphères bien dodues, et dit avec un sourire narquois :
-N’est-il pas beau mon petit œillet, qui ne demande qu’à être visité, par une bonne queue !
Sophie ne reconnait plus sa fille, ses gesticulations et ses paroles, la surprennent, elle se demande qu’elle mouche la piquée.
Pierre, lui, regarde le petit anneau ridé. Il s’avance et passe ses doigts dans le large sillon culier. Les visiteurs passent plusieurs fois sur le muscle rectal en faisant geindre doucement la provocatrice.
Il appuie doucement sur l’anus comme pour en vérifier la souplesse. Une pression plus importante fait disparaitre la première phalange du doigt dans le rectum de Lorena, qui se cabre en poussant un petit gémissement. Une seconde poussée le doigt s’enfonce entièrement dans la gaine étroite.
Un petit ramonage s’impose. Lorena geint en regardant sa maman sans cesse. Une violente jouissance anale la fait cabrer. Le beau-père retire son doigt de l’orifice étroit et plaque sa bouche sur l’anus, qui ne cesse d’être secoué par de soubresauts terribles. La langue lèche l’anneau, tente de le pénétrer vainement. Il le salive bien, crache dessus plusieurs fois. Pierre retire son pantalon et présente à la petite entrée son gland bien décalotté, qu’il a prit soin de saliver abondamment. Il s’accroche au hanches demandeuse et pousse, l’anus résiste un court instant puis cède.
Le gland s’engage dans la gaine étroite en faisant grimacer Lorena, une douleur affreuse déforme son visage. Sa bouche est grande ouverte, ses yeux presque exorbités. lentement mais surement la verge progresse dans le conduit qui se dilate au fur et à mesure que la verge progresse. Sophie, regarde yeux écarquillés la bite de son mari, s’enfoncer dans le cul Lorena. Il fois bien en place, Pierre reste un moment sans faire de mouvement. Sa belle-fille souffle comme un dragon, en grimaçant toujours. Enfin le beau-père enculeur comme le va-et-vient qui prend rapidement de la vitesse.
Lorena commence à geindre, au fur et à mesure que les minutes passent, la douleur s’estampe. les râles, et les gémissements de la soumise, sont de plus en plus bruyants. La verge de son beau-père qui lui racle les parois sensibles de la gaine anale, lui arrache des gémissements. Bien que dilatée fortement, Lorena agite sa croupe en grognant :
-Oui, oui, mon Dieu je vais jouir !
Une explosion terrible de jouissance la fait hurler. Pierre semble s’acharner, ses coups sont redoutables et dévastateurs. A chaque coup qu’il donne il pousse un :
-Tiens, tiens, oh putain ce que tu es bonne !
Il lui remplit le cul de semence avant de se retirer. Sophie et trempée de mouille, le spectacle la émoustillé.
Depuis ce jour, Lorena à rencontrer un homme et cela se passe merveilleusement bien.
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