Préface :
Je me présente, je m’appelle Annie j’ai 36 ans marié à Éric 57 ans, nous avons 3 enfants un garçon et deux filles. Vous ne me connaissez pas car je me lance dans la rédaction d’histoires coquines dont mon mari et moi nous sommes friands. J’ai fait la connaissance du site XFR que ma meilleure amie Muriel m’a conseillé de lire et pourquoi pas y participer activement. Muriel et toute sa famille participent activement à la rédaction d’histoires coquines, et elle m’a demandée un jour de participer à une série qui nous est arrivée à la sortie de nos études au lycée ou Muriel, Justine (une autre amie) et moi-même avais participé (voir Les vacances de Muriel).
Voilà, mon histoire qui remonte à cinq années en arrière, j’avais 31 ans et mon mari 52 ans et comme je l’écrivais dans la préface nous sommes devenues de friands lecteurs d’histoires coquines mais malheureusement Éric est hospitalisé et s’est fait opérer d’une hernie discale. Quelques complications postopératoires ont fait qu’il le garde un peu plus longtemps que prévu, mais je viens d’apprendre que sa sortie d’hôpital est prévue dans 3 jours.
Et donc depuis une dizaine de jours, je lis seule les histoires coquines, surtout les histoires écrites par Marie-Claude la maman de ma meilleure amie Muriel ou celles écrites pas les membres de sa famille, et je me donne du plaisir solitaire en me masturbant en attendant que mon cher et tendre rentre à la maison. Je ne l’ai jamais trompé. Nous sommes très amoureux et pour l’instant je n’en éprouve pas le désir. Mais allez savoir, peut-être que dans quelques années, ce sera moi qui vous raconterais des aventures extraconjugales…
Au fait, je ne me suis pas décrit, 31 ans, je suis grande, châtain les cheveux mi-longs bouclés, les yeux noisette et un corps voluptueux style des beautés italiennes avec des hanches larges.
Mercredi dernier, comme tous les jours depuis qu’il est hospitalisé, j’ai filé à l’hôpital. Je me suis faite toute belle pour mon homme afin de lui mettre du baume au cœur. Une jolie jupe fluide qui épouses mes courbes harmonieuses, un chemisier très près du corps en satin avec quelques boutons défaits pour laisser apparaître la naissance de mes seins, une petite veste en jeans cintrée, mes cuissardes dont je ne me séparerais pour rien au monde quand viennent le froid et un long manteau noir sur le tout, car chez nous il gèle à pierre fendre ! Malgré le froid, j’avais une idée très coquine en tête, ne pas mettre de culotte. Je ne suis pourtant pas une adepte de la pratique du sans-culotte et la dernière fois que j’étais sans culotte c’était lors des vacances de Muriel. Il m’arrivait de ne pas en porter à la maison lorsque je ne sortais pas…
Mes yeux tirés à l’eye-liner bien noir et juste un gloss sur les lèvres.
Fin prête, j’arrive à l’hôpital tout excité de mes manigances. Je l’embrasse et je m’assois en face de lui sur le fauteuil de repos. On discute comme d’habitude et puis je décroise les jambes et remonte ma jupe pour laisser apparaître un peu de mon intimité. Ça vous rappelle peut-être quelque chose ? (Sharon Stone dans basic instinct) et Wé je me prenais pour Sharon Stone.
Il s’arrête net de parler, me regarde et me dit :

« Mais… tu n’as pas mis de culotte ! »
« Ah ben mince alors, j’ai oublié ! » lui dis-je taquine.
« Ah… ah bon ! »
Je le sens un peu décontenancé et ça m’excite.
« Mais non, je n’ai pas oublié, c’est exprès… tu comprends que cela fait plus qu’une semaine que l’on n’a pas pu faire l’amour ? »
« Oh oui je sais mon cœur, mais on ne peut pas faire l’amour ici, même si déjà j’ai Popol au garde à vous. Les infirmières pourraient nous surprendre ! Tu me frustres là, coquine ».
« J’ai pensé à une astuce. Viens mon chéri ».
Je l’aide à se lever délicatement du lit et l’entraîne dans la salle de bains en l’embrassant.
« On peut fermer à clé et elles te laisseront tranquille si tu es aux toilettes ».

Alors je rabats le couvercle des toilettes et je m’assois dessus les jambes écartées. Je positionne mon mari entre mes cuisses, debout devant moi et je fais glisser le bas de son pyjama à ses pieds.
« Humm en effet je vois que l’opération ne t’empêche pas de bander ! J’aime quand tu me désires comme ça ».
Je prends sa verge entre mes mains et je commence à le branler tout doucement. Ma bouche aspire en même temps son gland gonflé et ma langue joue avec son frein.
« Humm ma chérie mais qu’est-ce que tu me fais ! Tu n’es pas croyable ! Mais mon Dieu que c’est bon! ».
Il essaie de bouger le bassin pour accompagner ma bouche mais il ne peut pas faire de mouvement brusque à cause de la douleur. Alors il me caresse les cheveux et guide le rythme de ma bouche avec ses mains.
Sa belle queue entre et sort de ma bouche qui fait des allers-retours de plus en plus rapides. Il déboutonne un peu plus mon chemisier et fait jaillir mes seins de mon soutien-gorge. Mes mamelons sont durs de plaisir et je me sens mouiller abondamment. Il pétrit mes seins de plus en plus forts. Il y a plus d’une semaine que nous n’avons pas fait l’amour et je le sens déjà presque prêt à éjaculer. Moi-même abstinente de mon homme par obligation, je sais qu’il ne va pas falloir grand-chose pour jouir.
Alors je me lève et je le fais s’asseoir à son tour tout doucement sur les toilettes. Je lui tourne le dos et je m’assois légèrement penchée sur le lavabo en appui sur mes avants bras pour qu’il n’ait pas trop à supporter mon poids vu son opération. Sa main guide avec empressement sa verge dans ma chatte assoiffée et il me pénètre profondément. Je mouille vraiment beaucoup et sa queue glisse sans problème dans ma fente trempée. Je soulève et rabats mon petit cul avec délice sur sa queue raide et bien dure tandis qu’il s’agrippe à mes seins tendus. Une dizaine de jours que nous n’avons pas fait l’amour ! Mon petit minou était en manque mais je vois bien que lui aussi. Il prend mes fesses entre ses mains et il guide le mouvement de mon cul de plus en plus vite. Je suis à deux doigts de jouir. J’ai un peu mal aux cuisses d’être en appui uniquement sur mes jambes fléchies et sur mes bras. Mais c’est trop bon de sentir son sexe chaud et gonflé qui emplit complètement mon intimité.
En deux minutes j’ai joui doucement, dans un gémissement retenu pour ne pas être entendu et mon mari a déchargé son trop-plein de semence quelques instants après.
Humm Dieu que c’était bon ! Rien que d’y repenser, je suis à nouveau tout humide.
Cinq minutes après être ressortie de la salle de bains, une infirmière entrait dans la chambre. Ouf même pas pris sur le vif ! Mais très jolie la petite infirmière ! Il va falloir que je veille… LOL
Fin !
Annie
Félicitations à Annie pour ta première histoire ici
Sinon le récit est fantastique j’ai éjaculé et je demande une chose c’est que tu crées des nouvelles histoires car t’es une très bonne rédactrice aussi