Aujourd’hui, j’ai 25 ans. Pour fêter ça, j’ai organisé une soirée dans mon loft parisien, mais la vraie célébration a commencé quand les dernières personnes sont parties.
Il ne restait plus que moi, et ce type, Marc, rencontré à peine quelques heures plus tôt. La tension entre nous avait été palpable toute la soirée, mais là, c’était juste nous, dans cette atmosphère saturée de possibilités.
“Tu veux vraiment aller jusqu’au bout de tes fantasmes ?” il a demandé, sa voix un mélange de défi et de promesse.
J’ai hoché la tête, mon cœur battant comme un tambour de guerre. J’avais envie de me libérer, de me livrer à quelque chose de brut, de vrai.
Il m’a poussée contre le mur, ses mains explorant mon corps avec une urgence qui me coupait le souffle. “Dis ce que tu veux,” il a murmuré contre mon oreille, sa langue suivant la courbe de mon cou.
“J’veux tout,” j’ai soufflé, les mots sortant comme un aveu. J’avais envie de sentir, de goûter, de tout expérimenter sans retenue.
Il m’a prise là, contre ce mur, nos vêtements tombant au sol comme des feuilles mortes. Sa main s’est glissée entre mes cuisses, me faisant gémir, me préparant pour ce qui allait suivre.
“Je vais te baiser comme jamais,” il a promis, et j’ai senti cette promesse se matérialiser quand il m’a pénétrée, dur et profond. La douleur initiale s’est transformée en un plaisir intense, chaque coup de reins effaçant toutes les barrières que j’avais érigées.
Mais ce n’était que le début. Il m’a menée vers ma chambre, où il avait préparé des jouets, des cordes, des choses que je n’avais jamais osé imaginer.
“Tu vas te soumettre à moi,” il a dit, et j’ai accepté, laissant mes poignets être attachés, mon corps devenir un terrain de jeu pour ses désirs et les miens.
Il m’a explorée avec ses doigts, sa langue, des objets que je n’aurais jamais cru accueillir. J’ai crié, j’ai supplié, j’ai joui plusieurs fois, chaque orgasme plus intense que le précédent, chaque sensation me poussant à des limites que je ne connaissais pas.
“Je veux te voir me dominer,” j’ai dit, ma voix rauque, presque méconnaissable. Il m’a retournée, m’a fait monter sur lui, me laissant le contrôle, mais aussi la profondeur de sa pénétration. Je l’ai chevauché avec une frénésie qui m’a fait oublier tout le reste, sauf le moment présent.
Cette nuit, j’ai découvert des parts de moi-même que je n’aurais jamais admises en plein jour. J’ai été dominée, j’ai dominé, j’ai exploré le BDSM, la soumission, des plaisirs que je n’aurais jamais osé nommer avant.
À 25 ans, j’ai transformé ma fête d’anniversaire en un voyage dans les profondeurs de mes désirs sexuels, une confession de tout ce que je suis, de tout ce que je veux être. Et je ne regrette rien.
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