Dans un somptueux château, perché sur une colline verdoyante, Éléonore mène une existence qui, à première vue, semble idéale. Son allure aristocratique et sa beauté ravissante attirent tous les regards, mais derrière les dorures de sa vie, se cache un vide déchirant. Mariée à Armand, un homme de haute lignée, elle se retrouve enfermée dans une union qui manque cruellement de passion et d’émotion. Armand, bien que respecté, est affligé par une impuissance qui le condamne à une existence d’abstinence, laissant Éléonore dans un état de frustration affligeante.
Chaque soir, lors des réceptions, Éléonore ressent un malaise de plus en plus fort. Les valses deviennent des rituels monotones. Son cœur aspire à plus que des danses et des échanges superficiels ; elle rêve de passion, de désirs ardents. le soir dans son lit, elle s’adonne à des masturbations violentes pour obtenir de nombreuses jouissances.
La chaleur du sexe, est remplacée par des conversations froides, Éléonore commence à ressentir le manque de sexe.
Les mois passent, Éléonore commence à sortir au-delà des murs du château. C’est lors d’un salon, qu’elle croise le regard de Victor, un jeune, au charisme irrésistible, la fascine. Victor est tout ce qu’Armand n’est pas, provocateur, animé d’une passion pour la vie. Éléonore se sent attirée par lui comme un papillon vers la lumière, consciente du danger qu’elle encourt, elle est irrésistiblement séduite.
Au fil de leurs échanges, ils parlent de tout. Éléonore se sent vivante pour la première fois depuis des lustres, elle réalise à qu’elle est attirée par Victor. Ils se rencontrent plusieurs fois. Elle finit par l’inviter au château.
Une nuit, alors que le jardin du château est éclairé par la lune, et que la fête bat son plein, ils se retrouvent à l’écart, cachés derrière un buisson. Victor, d’un regard ardent, s’approche d’Éléonore, et en une fraction de seconde, leurs lèvres se rencontrent dans une étreinte fougueuse. C’est une explosion de sensations, Éléonore, abandonne toute retenue.
Les mains habiles de Victor, glissent sur son dos et prennent le risque de caresser sa croupe bien rebondit. Eléonore respire plus rapidement, son cœur s’emballe. les doigts glissent sur le tissu, en s’insérant dans le large sillon qui sépare les lobes charnus. Eléonore trésaille, de nombreux frisons parcours son corps. Les langues se cherchent, se nouent, le baiser est fougueux. Mais lorsque qu’un doigt audacieux, appuie son œillet, que seul le Tissu protège. Eléonore se cabre, le coquin, appuie plusieurs fois sur le muscle rectal. Eléonore serre son amant dans ses bras, cela fait des mois et des mois que personne ne s’est occupé de son corps brulant.
Les deux corps tombent sur l’herbe, Eléonore réussit à basculer sur Victor, elle se vautre dessus, en agitant son bassin sur celui de son amant. La tension se fait ressentir, Victor ne peut cacher son émotion, une érection monstrueuse appuie sur le ventre d’Eléonore. la coquine en manque de sexe depuis un certain temps, ondule du bassin comme une danseuse orientale. Emprisonné dans son carcan de tissu, le manche de chair gonflé, glisse péniblement sur son ventre. Soudain, en marmonnant, Eléonore se redresse et ouvre rageusement la braguette de Victor, et extirpe du pantalon la verge monstrueuse, qu’elle saisit à pleine main.
Dans les grosses veines apparentes, qui parcourent la hampe épaisse, elle sent le sang battre. En serrant les dents, et en cramponnant fermement le membre, elle commence à l’agiter. Victor grimace, la masturbation est féroce. Eléonore, regarde avec attention le gland qu’elle décalotte à chaque descente de son poignet. le chapeau de chair semble redoutable, Eléonore ravale sa salive, et accélère le branlage. Victor geint en marmonnant :
-Je vais jouir, je vais jouir !
Eléonore, donne encore plus de rythme, soudain Victor se cabre, et comme un geyser, plusieurs jets de sperme sont expulsés de sa verge. Ils retombent sur la main de la branleuse et sur son pantalon.
Dans un état d’excitation extrême, Eléonore, retrousse sa robe, retire sa culotte. Elle enjambe Victor, et saisit le membre gluant. Elle le dirige vers sa fente détrempée, et lentement descend son corps. Le gland visqueux, appuie sur les grandes lèvres, les ouvres et s’engage dans la gaine brulante. Eléonore se laisse tomber de tout son poids, elle pousse un gémissement, l’empalement est total.
Victor s’accroche à ses hanches. Elle commence à faire l’ascenseur avec son corps, s’agite sur le mat puissant, en geignant de plaisir. Enfin elle comble le manque de sexe qui lui tiraillait les entrailles depuis des lustres. La coquine ondule du bassin, tout en faisant des montées et des descentes sur la verge gorgée de sang. à chaque descente, Victor en profite pour donner un grand coup de reins.
Eléonore, sous les coups de reins puissants, geint comme une bête blessée. Soudain, elle accélère les ondulations de son corps, grogne comme un fauve. Elle se cambre et explose, en poussant un hurlement, qu’elle étouffe en se mordant la main. Sa jouissance est prodigieuse. Victor se raidit et envoie dans le corps de son amante sa semence épaisse. Les corps enfin se séparent. Avec sa culotte, Eléonore nettoie le pantalon de son amant et ses doigts souillés par le liquide visqueux. le couple rejoint les autres en se rajustant comme il peut.
Les rendez-vous deviennent plus fréquents. Éléonore découvre le frisson de l’interdit, et chaque rencontre avec Victor est un secret. Ils se rencontrent dans des lieux isolés, profitent de chaque instant volé à la monotonie de son mariage. Leurs caresses sont furtives, mais enflammées, chaque baiser échangé est chargé de passion. Leurs étreints sont violentes et jouissives, Eléonore, en veut plus à chaque fois. Victor veut lui fait découvrir un monde, où le plaisir et l’extase prennent le pas sur la raison. Pour cela, il lui prépare une surprise.
Lors d’une de leurs escapades, ils se dirigent vers un petit chalet aménagé au fond du parc, un couple s’y trouve déjà. Éléonore, surprise, a le cœur qui bat. Victor présente ses amis, Charlène et Edmond un couple de la haute comme on dit. Eléonore, se rend compte qu’elle n’est pas seulement une femme délaissée, mais une créature de désirs, prête à explorer d’autres plaisirs sexuels. Les deux femmes s’observent un long moment, puis, échangent des sourires complices. Qui éveillent en Eléonore des sensations qu’elle n’avait jamais connues..
Pour mettre un peu d’ambiance et pour détendre l’atmosphère, on ouvre une bouteille de champagne. Le quatuor trinque et fait plus ample connaissance. Edmond et un industriel très riche, Charlène sa femme est une aristo, qui s’adonne aux plaisirs pluriels. Après avoir vidé la bouteille, Les femmes, encouragées par les hommes, commencent à s’effeuiller comme des stripteaseuses. Les hommes les imitent, mais avec moins de délicatesse.
Eléonore est immédiatement accaparée par Charlène, qui ne lui cache pas qu’elle lui plait, et que chaque baiser est une promesse d’aller encore pus loin.
Chaque frôlement de peau enflamme ses sens, chaque soupir résonne comme une mélodie envoûtante. Éléonore, se laisse aller à des plaisirs qu’elle avait longtemps réprimés. Les deux s’abandonnent l’une à l’autre, goûtant à la douceur du plaisir lesbien.
Linsee
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