Peste ou choléra ? Humiliation publique ou douleur ? J’ai pris le second choix, espérant que la souffrance s’estompera durant l’acte. Il commence à rentrer, je gémis… Ca me pique, ça me brûle. Il lance un paquet de mouchoir sur la paillasse en disant, toujours de façon méprisante « Mords là dedans, je ne veux pas t’entendre ». Je le fais, je pleure.
La douleur ne s’est pas du tout estompée durant tout l’acte, elle en est même devenue insupportable. Les minutes me paraissaient des heures. Je n’en pouvais plus… Et… Enfin… Le sentir éjaculer dans mes entrailles fut une délivrance, signalant la fin de mon calvaire, en partie. C’était un peu avant que la sonnerie retentie pour indiquer la fin de la pause.
J’étais Ko, épuisée. Les autres sont rentrés, me découvrant cette fois tremblotante, le visage couvert de larmes. Je n’avais pas changé de position depuis qu’il était sorti de moi, je sentais son sperme couler de cul, brulant l’orifice et souillant mes cuisses. Je suis restée nue un moment, penchée sur ma paillasse.
L’un des élèves, passant à côté de moi, me demanda discrètement « Ca va Pauline ? ». Je lui fis non de la tête. J’avais mal, très mal. Le moindre mouvement amplifiait encore la douleur. Je ne pouvais plus m’assoir. Je ne sais déjà pas comment j’ai fait pour remettre ma blouse, mais c’était bien après que le prof reprenne le cours.
C’était l’heure de partir, j’étais un peu plus libre de mes mouvements, la douleur se calmant. Mais, je suis restée debout tout le long. Le temps que je bouge, que je récupère mes affaires, j’étais déjà toute seule dans les labos. J’arrive péniblement au couloir, marchant jambes écartées… en canard… Ca aurait bien fait rire le prof s’il m’avait vue. Paul et d’autres étaient là à m’attendre. Ce premier me dit

- Je suis venu en voiture ce matin, je te ramène chez toi. Mais, tu ne peux pas sortir comme ça, faut t’habiller.
- Je ne vais pas y arriver.
- on va t’aider.
on me tient pour que je ne tombe pas. on retire ma blouse, Paul récupère mon débardeur et me le passe, puis mon pull. Je lève une jambe pour passer mon pantalon et certains sont dégoutés en voyant le sperme séché. Et une fille fait « Putain, t’as du sang sur la cuisse », et le silence. Ils me regardent tous étonnés et apeurés. Je crois qu’ils commencent seulement à comprendre la force de la douleur.
Une fois entièrement vêtue, on m’a encore soutenue pour aller jusqu’à la voiture. J’ai tenté de trouver une position pour avoir le moins mal possible assise sur le fauteuil, même si elle n’était pas du tout confortable. Paul me dit
- on va passer à la pharmacie pour te trouver quelque chose… Je n’ai pas compris ce qu’il s’est passé. Tu les as trop excité ou quoi ?
- … Taral a reconnu le maillot de bain.
- Merde ! T’as dit quoi ?
- Rien. Mais j’ai bien compris la punition.
- Tu vas faire quoi ?
- Ce qu’ils me demandent, bien sagement. Je n’ai aucune envie qu’ils me fassent mal comme ça les prochaines fois.
- ok… Je comprends… Certains de la classe n’ont pas apprécié ce qu’ils t’ont fait… Ils ne feront rien contre les profs, mais t’es pas toute seule en tout cas… Tu as un peu de soutien…
- … C’est déjà beaucoup.
oui, il ne se rendait pas compte à quel point ça pouvait compter pour moi. Je me sentais déjà moi seule. Ca ne changerait peut-être rien à ma situation, mais ça m’aiderait à tenir pour les moments difficiles, comme celui d’aujourd’hui. Et je me demandais déjà ce que j’allais subir le lendemain. Je priais intérieurement qu’on laisse en paix mon anus… Pour un moment en tout cas, le temps qu’il se répare.
Paul s’est arrêté à la pharmacie, comme prévu. Je l’ai attendue dans la voiture. Il revient quelques minutes après et me donne le sachet. Alors qu’il redémarre, la main sur la boite de vitesse, je vais pour lui caresser la main, il la retire juste avant, je n’ai pas insisté.
Mon père n’a rien remarqué le soir. Lorsqu’il est rentré, je dormais déjà, totalement épuisée par ma journée. La crème cicatrisante que Paul avait pris à la pharmacie me fit du bien, atténuait la douleur. Je marchais presque normalement le lendemain. Mais, le prof d’anglais me donna un coussin avec un trou au centre en me disant « Je pense que vous avez besoin de ça ». L’air moqueur, amusé, il me fait comprendre qu’il me laisse tranquille pour le moment, mais ça ne durera pas. Pour le prof d’espagnole, c’est la même chose.
Le jeudi, j’ai toujours une gène. Je suis allée au lycée en tenue normale, mais mon sac rempli de mes achats du lundi pour éviter que mon père ne voit quoi que se soit. J’ai trouvé des chaussures à talon haut dans le peu d’affaires que ma mère avait laissé. Ca a évité que je demande à nouveau la carte bleue de mon père.
Je me suis changée dans la classe pour éviter de devoir traverser le couloir bourré de lycéens. Je n’imaginais pas me promener dans les couloirs du lycée quasiment nue… Certains de mes camarades m’ont regardée faire, sans rien dire, n’ayant pas l’air amusé non plus… Je n’avais pas l’impression que c’était aussi provoquant lundi. on voit vraiment tout. Je ne suis pas non plus dans le même état d’esprit, l’excitation monte difficilement cette fois.
Le prof de math, à peine arrivé dans la classe, me demande de venir à son bureau. A son regard, je sais qu’il est satisfait de la tenue. Ses yeux parcours mon corps, détailles mon peignoir transparent ne cachant rien de mon soutien-gorge ouvert, de mon string ouvert, du porte-jarretelles et des bas résilles. Il me tend un tas de feuille et dit tout haut « Pauline, distribuez les copies corrigées de l’interro de lundi. Je tiens à vous dire à tous que ce n’est pas du tout satisfaisant. Vous avez fortement intérêt à travailler durant les vacances. Pour ceux qui ont oublié, le bac blanc démarre dès la rentrée ».
Je passe ainsi d’une table à une autre. J’espère qu’il s’muse bien à m’exhiber devant tout le monde de la sorte, parce que moi, je m’en fous, même si je ne trouve pas ça agréable. Je finis la distribution, donne la dernière copie que j’avais, il demande

- C’est bon ? Vous avez fini ?
- Non, il manque la mienne.
- Vraiment ? Attendez… Effectivement, elle s’était glissée dans un cahier. Je suis désolé, elle n’est pas encore corrigée. Je vous promets de le faire aujourd’hui. Attendez-moi ici après votre cours de cet après-midi, je viendrai vous la donner.
- … D’accord, monsieur.
Je priais intérieurement qu’il laissera mon anus tranquille, n’ayant aucun doute sur le fait qu’il allait en profiter pour me baiser.
J’ai gardé mon manteau pour manger à la cantine, seul rempart pour cacher ma tenue à tout le lycée, et isolée dans un coin, comme d’habitude. La résille de mes bas étaient tout de même visible, mais assez peu la remarqua. Et, il y eut le cours de philosophie. Le prof ne s’intéresse pas plus à moi que d’habitude. Je doute sur le fait que lui aussi va me prendre. En tout cas, il ne montre aucun signe.
Le cours se finit, il me rappelle de rester à ma place en attendant l’autre prof. Il s’absente quelques minutes et ils reviennent ensemble. Les deux, sans rien dire, ferment la porte à clé. J’ai le cœur qui bat fort, je sais que ça va commencer. Le prof de philo dit à l’autre
- Elle a un bon potentiel. Elle a su lier nos deux goûts.
- oui, je trouve aussi qu’elle s’est bien débrouillée. Va falloir qu’elle travaille le maquillage tout de même.
- S’est évident. Mais, elle débute tout juste. Pauline, enlève donc ce peignoir et monte sur une table pour nous faire un petit show.
J’obéis sans rien dire. Je me mets à danser lascivement. J’ai l’impression que je me sentirai plus à l’aise et moins provocante totalement nue. Ce que je porte est vraiment très osé. J’essaie de me mettre dans l’ambiance, je veux être excitée, ça sera plus facile pour la suite.
Je danse, me caresse les seins, les fesses, le ventre. J’imagine des situations, l’excitation monte doucement, j’ai vraiment peur de me faire sodomiser. Je les regarde en les aguichants, je m’accroupis doucement, sentant que ça tire sur mon anus, ne voulant pas faire de geste brusque pour ne pas rouvrir les liaisons. Je me masturbe devant eux. Depuis le début, ils me filment avec leur téléphone. Je sais que ça leur donne substance pour me faire chanter au besoin. Je ne peux dire non, je suis dans un cercle vicieux.
Je sens un doigt se poser sur mon cul, je me contracte d’un coup. Le prof de math me dit
- Ne t’inquiète pas, on va le laisser tranquille pour le moment. Profite de tes vacances pour le reposer. Il servira bien plus à la rentrée. Es-tu rassurée ?
- Heu… oui, monsieur.
- Ta copie méritait un petit 8. Mais, je pense que vu tes efforts d’aujourd’hui, je vais te mettre un 12. N’est-ce pas gentil ?
- oui monsieur, merci, c’est très gentil.
- Et si tu es toi aussi très gentille, je te mettrai peut-être plus.
- … Je suis prête pour vous.
Et ils m’ont prise, les deux en même temps. L’un dans la bouche, l’autre dans la chatte. Ils changeaient de trou, aimaient me voir lécher leur sale bite pleine de cyprine. Je ne sais pas combien de position j’ai pris, un coup allongée sur le dos, un autre à quatre pattes, moi au-dessus de l’un suçant l’autre…
Et je me retrouve à genoux devant les deux queues. Je les branle, la bouche ouverte, attendant leur sperme. J’en ai envie, j’en ai cruellement envie. Bien que réticente au départ, cette partie de baise m’a fortement stimulée. Mon excitation est montée en flèche.
Et ils arrivent enfin, éjaculant presque en même temps sur moi. J’avale le sperme qui atteint ma bouche, le reste souillant mon visage et mes cheveux.
Ils ont réussit à me faire jouir une fois, j’en ai encore envie. Ils ont fini de se déverser sur moi, je m’allonge et me masturbe. Ca les amuse, ils apprécient aussi beaucoup. Ils me filment à nouveau, sous tous les angles.
L’orgasme arrive, mes muscles se contractent, je gémis sans contrôler mon volume sonore, je me cambre. Et tout se relâche. Je reste un peu allongée à reprendre mon souffle. Le prof de math en profite pour me dire
- Je te mets un 16… En fait, c’est la note que tu aurais eu si tu n’étais pas la petite salope que tu es.
- … Je n’ai pas compris.
- Je t’explique la règle. Je te donne à la base une note basse. Et si tu donnes bien de toi, je te redonne ta vraie note… Mais, celle-là, tu ne la connaitras jamais avant. Je suis étonné qu’Emilie ne te l’ait pas expliquée… Tu l’as connais, non ?… Bon, dépêche-toi de prendre tes affaires, je ferme la salle dans 1 minute. Et sorts vite de l’établissement, les élèves n’ont pas à y être à cette heure.
- oui, monsieur, je me dépêche.
- Et pas besoin d’être habillée en pute demain. Mais, ne vas pas dans l’excès inverse.
Le temps que je me relève et que j’aille à mes affaires, les profs sont sortis, prêts à fermer la porte à clé. Je n’ai pas envie de savoir s’ils sont capables de me séquestrer là pour la nuit. Ca serait bien possible. Je prends juste mes affaires et cours hors de la classe.
Je suis tout de même perturbée par cette référence à Emilie. J’espère que ça ne me portera pas plus préjudice que ce que j’ai déjà subi.
Ils ne me laissent pas aller aux toilettes, rien que pour me nettoyer le visage, ils veulent que je sorte tout de suite de l’établissement. Je traverse donc les couloirs presque entièrement nue, sentant le sperme me couler sur le visage. Il n’y a personne de toute façon… Sauf le surveillant général qui est à la sortie. Je m’arrête dès que je le vois.
Il s’avance vers moi en prenant un air supérieur. Il ne dit rien, mais je sens la tension monter. Il tire sur mes affaires que je maintiens plaquées contre mon corps. Je cède et laisse tout tomber sur le sol. Il me demande fermement
- Qui t’as fait ça ?
- … Personne.
- Tu t’es foutue du sperme sur le visage toute seule ? Te fous pas de moi. Qui ?
- … Je ne le dirai pas. Faites ce que vous voulez, mais je ne dirai rien.
- C’est bien de ne pas dénoncer. Mais, j’ai ma petite idée sur la question… Se sont de sacrés enfoirés tout de même. Ils ne m’ont même pas proposé de participer. Mais, je peux rattraper le coup, n’est-ce pas ?
Je n’ai plus trop envie. Ma masturbation a bien calmé mon excitation. Je ne suis pas enchantée de me faire prendre une nouvelle fois. Il voit mon hésitation, me pince un téton. Je lance un petit cri de surprise et de douleur, et en maintenant bien mon bout de chair entre ses doigts, il me dit
- Je ne pense pas que ton professeur principal serait content d’apprendre ton refus. Qu’en penses-tu ?
- … Je ne pense pas non plus.
- Alors ? Quelle est ta décision ?
Il la comprend lorsque je commence à ouvrir son pantalon. Il me plaque alors le visage contre le mur et se met derrière moi. Il est brutal, je sens que je vais avoir mal. Et lorsqu’il se met à s’agiter derrière moi, je réalise qu’il est en moi. Je le sens à peine. Il s’excite comme un fou sans me faire le moindre effet. C’est tant mieux, c’est bien moins pénible à supporter.
Et il me dit « Moi aussi, je vais t’arroser le visage ». Il sort de moi, je me retourne et me mets à genoux. Je comprends mieux ce manque de sensation, une bite fine et courte… Il a souvent dû se faire charrier. Il se branle, et éjacule une quantité vraiment impressionnante de foutre. Je suis surprise, j’en ai une bonne partie du visage couverte.
Il ne me libère pas tout de suite cependant. Il sort son téléphone, lui aussi va me filmer. « Allez, fais moi un petit show. Tu vas marcher le long du couloir jusqu’aux portes des toilettes et tu reviens. Fais bien ta star ». Je commence, il m’arrête tout de suite en précisant que je dois mieux onduler du cul que ça. Alors, je me cambre, fais sortir mes fesses, gonfle ma poitrine, et avance en exagérant ma démarche. Je dois m’exhiber de toute façon, et vu ce qui m’est déjà arrivée, je ne suis plus à ça prêt. Il veut que je me comporte en allumeuse, alors je le fais.
J’avance jusqu’aux toilettes. Je me retourne et repars dans l’autre sens. Son sperme me coule sur le visage, glisse le long de mon menton, souille ma gorge et continue à descendre. J’avance tout de même comme si de rien n’était. Je l’allume en fixant bien l’objectif, je passe mes mains dans mes cheveux, faisant remonter ma poitrine, je lèche langoureusement mes lèvres, récupérant au passage le sperme dessus.
Ca lui a bien plus, il veut absolument me montrer la vidéo. Je n’en ai pas plus envie que ça, et j’ai honte en découvrant à quel point je fais salope. J’ai l’impression d’être une actrice de porno, et c’est-ce qui lui plait.
Les deux profs passent et s’amusent en disant « ben alors, tu es toujours là ? Besoin de faire des heures d’étude ? ». Et le surveillant qui leur fait
- Pas cool de ne pas m’avoir invité.
- Tu auras bien d’autres occasions, ne t’inquiète pas.
- J’espère bien.
- Et je vois que tu t’amuses très bien sans nous. Allez, bonne soirée.
Ils partent, le surveillant me demande de refaire la même chose, mais en marchant à quatre pattes cette fois. Timidement, je lui dis
- Je crois qu’il commence à se faire tard, et si je ne suis pas à la maison…
- … oui, tu as raison. Il faut pas éveiller les soupçons. Mais, avant de partir, tu vas une nouvelle fois me vider les couilles. Allez, à genoux et suce, salope !
Je m’exécute. Il me prend la tête et s’enfonce entièrement dans ma bouche. Il a peut-être une petite bite, mais elle va presque jusqu’à ma gorge. J’ai eu un instant envie de vomir. Je me suis retenue, j’ai dégluti et il s’est mit à baiser ma bouche comme si j’étais un objet. J’ai serré les lèvres pour faire plus de pression sur sa queue, pour plus de sensations et qu’il se vide plus rapidement. Je n’ai pas eu l’impression que c’était efficace.
Après plusieurs minutes, je lui ai demandé de me laisser faire. J’ai malaxé ses bourses, masturbé de l’autre main, et joué de la langue sur son gland. C’était l’occasion pour lui de filmer à nouveau. Il dit au passage « Celle là, c’est pour moi perso ». Sous-entendant qu’il allait partager les autres ? Quelle bande de gros salauds tout de même.
Enfin, il éjacule, son sperme remplit ma bouche, il pousse un râle en disant « Ha oui, salope, c’est bon. Avale bien, ne laisse pas une goûte ». Et quasiment tout de suite après, il me jette dehors en disant qu’il verrouille les portes.
Je me retrouve ainsi quasiment nue dans la cours, il fait nuit, il n’y a personne, et un petit vent piquant me glace la peau. J’enfile directement mon manteau, je regarde l’heure, j’ai loupé le dernier bus. Une petite heure à marcher à pied, sous ce froid, avec cette tenue et dans cet état ? Je ne le sens pas du tout. Mais, je me vois encore moins appeler mon père pour venir me chercher. Il me poserait bien trop de questions.
Je n’ai pas eu besoin de rentrer à pied, Paul m’attendait. Il a eu peur que je ne puisse pas marcher, au cas où je me fasse sodomiser. Il voulait savoir ce qu’il s’était passé, je lui ai raconté. J’avais peur qu’il me demande « Et, t’as aimé ? », mais je crois qu’il ne voulait pas m’entendre mentir. Mais au lieu de ça, il me demande
- T’as quelque chose de prévu pour le nouvel an ?
- Je pensais me mater une connerie à la télé.
- Ca semble bien comme programme… Sinon, avec des potes de l’école, on se fait une petite fiesta. Il y aura mes copains et copines de la classe.
- Ha… Je ne suis pas certaine qu’ils apprécieront ma présence.
- Si, au contraire. C’est eux qui m’ont proposé. Ta popularité a bien grimpé cette semaine.
- Ha… Ben ok alors… C’est là, ma maison. Merde, la voiture de mon père, il est rentré. Arrête toi là que je me rhabille.
J’enlève précipitamment mon manteau, met par-dessus ce que je porte déjà mon pantalon et mon pull. Je range les chaussures à talon, et enfile mes boots. Je regarde Paul, j’aimerai l’embrasser, mais ma bouche n’est pas propre. Je lui dis
- Bon, à demain alors.
- oui, demain… Pauline, je t’aime bien, vraiment. Mais, ta façon de me regarder m’indique que tu ressens plus pour moi. Je suis désolé, mais ce n’est pas réciproque.
- Hein ? Quoi ? Tu as du rêver, je ne suis pas du tout amoureuse de toi. Moi aussi je t’aime bien, c’est tout.
Je sors de la voiture, j’ai envie de pleurer. Putain de douche froide. Mais, je tente de contrôler mes sentiments et rentre à la maison. Mon père était sur son ordinateur. Il se lève lorsque je passe la porte, j’essaie d’éviter qu’il ne s’approche de trop prêt, qu’il ne remarque quoi que se soit.
- Tu rentres seulement maintenant ? J’étais super inquiet. Je t’ai laissé des messages sur ton téléphone.
- J’ai oublié de le rallumer en sortant de l’école.
Il me fixe étrangement. Je me demande ce que j’ai oublié. J’avais enlevé le sperme de mon visage avec des mouchoirs en papier. Il s’approche un peu plus, je recule. Ses yeux sont sur mes cheveux, pas mon visage. Je passe une main, sent une substance gluante sur mes doigts… Merde, je n’ai pas pensé à nettoyer là. Je dis, stressée, sachant que je venais de me faire prendre « Je vais me prendre une douche… Je… on mange quoi ? ». Je n’attends pas de réponse, je passe à côté de lui pour atteindre au plus vite la salle de bain.
Mais, je m’arrête en voyant l’image sur l’écran de l’ordinateur de mon père. Je suis étonnée de ce qu’il regarde…
- Tu devais être super inquiet, à te mater des photos pornos.
- Non, c’est pas ça… Autant que tu le saches de toute façon. C’est ta mère.
- Hein ? Quoi ?
- Il y a une synchronisation… Dès qu’on prend une photo avec nos téléphones, elles sont récupérées sur l’ordinateur automatiquement… Et cette photo provient de son téléphone.
- Tu veux dire qu’elle s’est prise en photo entrain de se faire brouter la chatte par un mec ? Elle l’a fait exprès pour que tu la vois ?
- Je ne sais pas. Elle a peut-être oublié la synchro.
- … Merde alors… Ca va ?
- ouais… Bof.
- Mais, je suis là moi.
Il me fait un sourire pas convaincue et me dit « vas prendre ta douche ». Je lui rends son sourire, pas convaincue non plus et pars dans la salle de bain.
Après cette longue douche, je me regarde nue dans le miroir. Est-ce que je ressemble vraiment à ce que j’ai vu de moi sur cette vidéo ? Est-ce que je ressemble vraiment à ça lorsque je me caresse devant d’autres ? Je me caresse la poitrine, je passe la main entre mes cuisses, je fais monter mon excitation. Je commence à gémir doucement avec le plaisir qui monte, mon minou s’humidifie. J’ai la bouche entre ouverte, les yeux à moitiés clos, je me trouve belle et sexy, pas du tout vulgaire.
Et la porte s’ouvre d’un coup, ça me coupe dans mon élan, je passe mes bras autour de ma poitrine. Mon père me regarde surpris et aussitôt baisse les yeux.
- Putain, papa, qu’est-ce que tu fous ?
- Pardon, je pensais que tu étais dans ta chambre. Je venais chercher le linge sale…
Je le vois regarder parterre, passer d’un vêtement à un autre… Le string, le soutien-gorge, le porte-jarretelles, les bas… Il relève la tête et me regarde avec des yeux inquiets. Je ne sais pas quoi dire et sorts bêtement
- Ce n’est pas ce que tu penses…
- Non, ne dis rien. Cette journée est assez difficile pour moi… Je découvre que ta mère m’a déjà remplacé… Je découvre que tu as une vraie vie sexuelle… Je découvre que tu deviens une vraie femme… Il me faut un peu de temps pour digérer tout ça.
- Papa… Je suis désolée…
- Ne dis rien, vraiment… Tu as mis ça pour le lycée ou juste pour ton copain… Ne réponds pas, je crois que je préfère ne pas savoir… Sinon, tes grands-parents et ta tante viennent pour Noël.
- Adrien aussi ?
- oui, ta tante, son mari et Adrien. Le repas est prêt dans cinq minutes, ne tarde pas trop.
Adrien, mon cousin… Nous nous entendions super bien petit. Mais, à l’adolescence, il est devenu un vrai sale con… Et lui me traite de sale pétasse à chaque fois… Quoi qu’il en soit, ça ne me fait pas plaisir de le voir.
Mon père ramasse mes sous-vêtements en disant « Bon, j’imagine que ça se lave en délicat ». Il me regarde une dernière fois avant de sortir. Je me sentais mal pour lui. Il ne mérite vraiment pas tout ce qu’il lui arrive.
Nous avons mangé en évitant de parler de ces choses… Nous n’avons quasiment pas dit un mot en fait. Je suis allée me couchée presque aussitôt après. Ma journée m’avait tuée. Et je me suis réveillée en pleine nuit à cause d’une envie de faire pipi. Je regarde l’heure, presque une heure du matin. Je me lève doucement pour ne pas réveiller mon père, je ferme doucement la porte des toilettes. Lorsque je sors, je me rends compte qu’il y a encore de la lumière dans le salon.
Je m’approche sans faire de bruit. De là où je suis, je ne vois qu’un bout de la table basse et y découvre plusieurs bouteilles de bière vides. Mon père s’est certainement bourré la gueule. J’avance plus rapidement pour vérifier dans quel état il est et lui dire d’aller se coucher. Je m’arrête d’un coup en découvrant qu’il est entrain de se masturber en matant un porno sur son ordinateur.
Je recule un peu pour qu’il ne me voit pas, mais de là où je suis, je vois sa main monter et descendre sur son sexe tendu. J’ai eu envie de me donner une claque lorsque j’ai eu cette pensée « sa verge est trop belle ». J’ai envie de me donner un coup de pied au cul pour retourner dans ma chambre, mais je n’arrive pas à bouger. Je le regarde, je me sens excitée comme pas possible.
Je continue à observer cette main monter et descendre, ça m’hypnotise. J’ai déjà vu des mecs se branler, mais ça ne m’a jamais fait autant d’effets. Sa main accélère, il gémit tout doucement, et je le vois attraper un sopalin à côté qu’il place devant son gland. Il est entrain d’éjaculer, je suis frustrée de ne pas voir les jets de sperme sortir d’un coup. Mais, je dois déjà partir, il a fini.
Je recule doucement, il éteint son ordinateur. J’accélère, me retrouve dans le couloir des chambres et retourne dans mon lit à pas de loup. Je n’en peux plus, je suis trop excitée. Je suis folle, j’ai laissé la porte totalement ouverte, et je me suis mise nue sur mon lit. J’ai envie qu’il me surprenne à son tour. Je ne cherche pas à être discrète, je laisse mes gémissements sortir.
Je l’entends marcher, s’approcher, mon orgasme arrive, ma voix devient plus aigüe. Je regarde en direction de la porte, je la vois bouger, et je me mets à jouir, criant mon plaisir. Mais, il n’est pas entré, n’est pas venu voir, il l’a jute fermée, me laissant seule avec moi-même.
Je reprends mes esprits, j’ai honte. Putain, c’est mon père !
Dernier jour avant les vacances. C’est le temps du midi, ils sont venus me chercher après la cantine. Je suis dans la salle des profs. Je suis entourée par le prof de chimie-physique, le prof de math, le prof d’anglais, et le prof d’histoire géo. S’est invité aussi le surveillant général. Je suis intimidée, stressée, ils sont entrain de juger si ma tenue est assez sexy ou non.
A la vue des commentaires de chacun, ça ne leur convient pas. Mais là, je m’inquiète pour la note de l’exposé que j’ai fait avec Paul. J’ai peur qu’elle soit mauvaise à cause de moi. C’est n’est pas juste pour Paul.
J’ai mis un legging moulant et que des hauts courts pour laisser mes fesses visibles. Mais, ce qui ne va pas, c’est qu’on voit la marque du string. Ils auraient préféré sans rien dessous. J’ai également mis un pull échancré, laissant visible un débardeur léger et moulant mettant en valeur ma poitrine rehaussée par un soutien-gorge push-up. Ca ne leur convient pas non plus.
Ils tournent autour de moi à m’observer. J’ai une pression énorme. Et on me demande de retirer le pull. Je le fais, ils m’observent à nouveau. Maintenant, c’est le débardeur qui doit partir, suivi presque aussitôt par le soutien-gorge. Je dois remettre le débardeur, puis l’enlever à nouveau et mettre le pull directement sur mon corps. Ils semblent apprécier ainsi. Le décolleté et ma poitrine nue dessous leur plaisent.
Le prof d’anglais attrape une paire de ciseaux en disant « Bon, on ne va pas tergiverser pendant des heures pour le bas, on sait ce qu’il ne va pas ». Il fait sortir mon string et coupe sur les côtés. J’enlève ce qui en reste. Il finira à la poubelle. Le prof d’histoire géo touche mon legging en disant « le tissu est vraiment trop épais, c’est dommage ». Mais, un autre excuse mon choix par rapport à la météo du moment.
Le prof d’anglais tire le tissu au niveau de mon entre-jambes et j’entends un nouveau coup de ciseaux. Je sens un doigt rentrer par le trou créé, toucher mon minou et dire aux autres « Elle ne va avoir froid par là, elle est bien chaude et trempée ». C’est vrai que j’étais excitée. Mais, il n’avait pas besoin de faire ça pour le vérifier, vu comme mes tétons pointaient.
Ils me demandent de m’allonger sur une table et d’écarter mes cuisses pour voir ce que rend ce trou. A chaque fois que je m’exhibe, j’ai honte, je me sens humiliée et en même temps, ça accentue mon excitation. Et j’ai l’impression que se phénomène s’amplifie… Ils sont nombreux aussi.
- Ce n’est pas suffisant. Pauline, à toi de jouer.
- De quoi ? Je dois faire quoi ?
- Ben, l’agrandir.
Je les hais, je leur en veux de m’obliger à me rendre actrice de cette exhibition. Et en même temps, j’en ai envie. Je passe mes mains entre mes cuisses, mes doigts trouvent le trou, l’écartent, le tissu craque. Je vois dans leurs yeux lubriques tout le plaisir qu’ils ont à me regarder faire.
Je continue à tirer, à déchirer mon legging, je n’ose arrêter. Je leur demande « Dites-moi lorsque c’est bon ». Mais, j’ai pour réponse « A toi de juger ». Je ne sais pas, je n’ai aucune idée de la taille du trou maintenant. Alors, je continue encore. De ma position, je commence à voir mes lèvres intimes. Et je me mets à penser à Paul et à l’exposé. Je pense que la note va dépendre de mon côté salope. Je tire plus fort, le trou devient une fente qui montre tout mon minou, mon pubis et remonte jusqu’à l’élastique au niveau de la taille. Je me retourne, et fait de même pour libérer mes fesses.
Je me redresse, me mets à quatre pattes en me cambrant et leur demande, ne reconnaissant presque pas ma voix, la trouvant tellement provocante :
- Ca va comme ça ?
- Ca semble convenable… Nous avons un petit cadeau pour toi, un peu avant l’heure par rapport à Noël, mais, tu le mérites.
Je m’assois sur le bord de la table alors que le prof de math m’apporte une boite. Je l’ouvre et y découvre un gode en forme de verge. Je suis stupéfaite. Je ne me suis jamais enfoncé autre chose que mes doigts ou un vrai sexe dans mon minou.
- Ca te fait plaisir ?
- oui. Merci beaucoup.
- Et bien, prouve-le, essaye-le.
Je m’allonge à nouveau en le prenant. Ils sortent tous leur téléphone, je sais ce qu’ils vont en faire. Je pénètre doucement le gode dans mon vagin. Il entre, il n’y a pas besoin de lubrifiant supplémentaire. Je commence à le faire bouger, à jouer avec. C’est plutôt agréable, très même. Mes gémissements doivent leur prouver que le cadeau est apprécié.
on me caresse les cheveux, j’ouvre les yeux et découvre une verge bien dure. C’est celle du prof d’histoire géo. Je change un peu de position afin de la prendre et la sucer tout en continuant ma masturbation.
J’ai joui avec une bite dans la bouche. Ce n’était pas la fin, chacun a voulu que ma bouche les satisfasse. Alors, j’ai sucé, encore et encore, continuant ma masturbation et m’offrant deux orgasmes supplémentaires durant tout ce moment.
Chacun eut sa préférence, libérant sa semence au choix dans ma bouche pour me voir avaler, sur mon visage, mes habits, mon minou. Ils sont tous passé, je reste allongée essoufflée, tenant le gode en moi sans le bouger et jouant avec mon périnée. Je me sens dans un état second, droguée de sexe.
Stanriff
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