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Histoire de sexe longue : Pauline – Année de terminale Partie 4

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Le cours de chimie de l’après midi ne fut que théorique. Pas besoin de me mettre nue sous une blouse, je suis restée habillée tel quel, mon pull, mon legging déchiré, recouverte de sperme. Toujours dans mon état second, ne réalisant pas où j’étais ou ce que je faisais, presque comme dans un demi-sommeil, et enivrée par l’odeur de sperme qui émanait de mon corps, je me suis masturbée en plein court, alertant tout le monde par mes gémissements.

J’ai pris ma douche, j’ai caché mes vêtements avant que mon père ne rentre. Je ne sais pas si je vais jeter le legging ou non. J’imagine que je vais certainement devoir le remettre un jour. Et mon père est arrivé. Nous avons mangé en ne se parlant quasiment pas. Je me sens mal à l’aise face à lui. Je ne veux pas qu’il sache ce que je suis entrain de devenir. Puis, je suis allée passer ma première soirée de vacances dans la chambre. Je n’ai pas eu envie de regarder un film en tête à tête avec mon père.

Allongée sur mon lit, je pense déjà à ce nouvel an avec Paul. C’est certainement la meilleure occasion pour qu’on se rapproche encore un peu plus. Je sais qu’il n’a pas de sentiments pour moi, mais peut-être que ça peut changer. Et je suis coupée dans mes pensées par un SMS, venant de lui. Je suis déjà toute excitée à le lire.

  • Pour te prévenir, certains échangent des photos de toi.
  • Des photos comment ?
  • Toi à l’école… Désolé, je peux pas empêcher.
  • ok. Tu en as ?
  • oui.
  • Tu m’envoies ?
  • ok. Je te fais une compile

J’étais curieuse de savoir. A quoi je ressemble ? Qu’ont-ils vu de moi ? Dans les minutes qui suivent, je reçois une quinzaine de MMS contenant chacun une photo. Ca va de ma première exhibition, lorsque j’enlève mes bas en classe, minou apparent, jusqu’à cet après-midi, lorsque je me suis masturbée.

Ca me fait bizarre de les voir… C’est tellement surréaliste. J’ai l’impression que c’est une autre. Je ne me reconnais à peine. C’est bien mon visage, mon corps, mais cet air dans mes yeux… Je ne donne pas l’impression d’être triste, ni forcée… C’est comme si j’aimais ça, comme si je ne voulais que ça. C’est à ça que je ressemble lorsque je suis trop excitée ?

Histoire de sexe longue : Pauline - Année de terminale Partie 4
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Je pensais qu’il n’y aurait pas de clichés de la piscine. Tous les portables devaient rester dans les vestiaires. Mais, c’est justement là où j’ai été photographiée. Se sont des filles qui l’ont fait. Ca m’étonne, mais j’aurai certainement agi comme elles à leur place. Non, j’aurai été bien plus méchante. Mais, je ne suis déjà plus comme avant.

J’enregistre toutes ces images sur mon téléphone, et les fait défiler en boucle. Je me dégoûte un peu, mais trouve ça excitant en même temps. Je n’en reviens toujours pas d’avoir osé me montrer ainsi, je ne réalisais pas vraiment, je minimisais… Mais, je réfléchis déjà à quelle tenue je vais portée à la rentrée.

« Pauline, viens voir s’il te plait ! ». Mon père m’appelle, il a l’air fâché. Je sors de ma chambre, je vais dans le salon, et montrant du doigt son ordinateur, il me dit « Tu m’expliques ? ». Je deviens blanche en découvrant sur l’écran la photo de moi entrain de me masturber cet après-midi. on y voit bien plus de détails que sur mon téléphone… Mon sein qui ressort du pull, mes lèvres humides, les tâches de spermes sur mes vêtements et mon visage.

J’ai les jambes qui flageoles, les larmes qui se mettent à couler et je lui demande

  • T’as eu ça où ?… Mon téléphone est synchronisé aussi ?… T’as vu les autres ?
  • Alors ? Raconte-moi !

Il s’approche, je tente de fuir dans ma chambre avec l’intention de ne plus jamais en sortir, mais il m’attrape par le bras. Je me débats, il ne me lâche pas. Je perds mes forces et tombe à genoux en pleure. Il se baisse, me prend dans ses bras et me dit « Quoi que tu fasses, tu resteras ma fille. Je m’inquiète, c’est tout ». Je me sers fort contre lui, continue à pleurer la tête plaquée contre son torse.

Ca aurait été l’occasion de tout lui raconter. Peut-être que ça aurait changé des choses, mais les mots ne viennent pas, je ne sais pas par où commencer. Et, je ne suis pas certaine d’avoir envie que ça s’arrête. Alors, je lui sors

  • Je ne peux rien te dire.
  • ok… Je ne peux pas te forcer… Je veux juste être certain qu’on ne t’oblige pas à faire des choses que tu n’aimes pas.
  • Non… Ca va pour ça. Je te dégoûte, n’est-ce pas ?
  • Non, pas du tout. Mais fais attention aux conséquences. Je ne voudrais pas que ça te porte préjudice… Pense à la suite, à tes études. Ne gâche pas tout à cause d’un problème d’hormones.
  • … Je veux bien qu’on se regarde un film finalement.

on a mit un film de zombis. Je me suis allongée sur le canapé, j’ai posé ma tête sur les cuisses de mon père. Il passait ses doigts dans mes cheveux. J’aime lorsqu’il me fait ça. Ca me détend, ça me calme. Je m’assoupis doucement, je m’endors rapidement.

Je me suis réveillée dans mon lit, il est presque deux heures du matin. Je me lève, mais pas pour aller aux toilettes. Il y a de la lumière dans le salon, j’avance doucement et prudemment. J’espère découvrir mon père en pleine masturbation, comme la vieille. J’ai envie de voir sa verge, belle et dure. Je ne suis pas déçue. Il mate encore un porno sur son ordinateur.

De vilaines pensées me traversent l‘esprit. Est-ce que mes photos lui ont fait de l’effet ? Est-ce que j’arriverai à le faire bander, même si je suis sa fille ? Je me fabrique des films, j’ai de plus en plus chaud, de plus en plus envie. Je n’attends pas qu’il éjacule pour retourner dans ma chambre. Je ne peux plus me retenir.

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Comme la vieille, je laisse la porte ouverte, je me mets nue sur mon lit et commence à me toucher. J’imagine qu’il rentre dans ma chambre, qu’il me surprend entrain de me caresser. Il resterait à regarder, je l’inviterai à me rejoindre… Je n’ai pas le temps de rêver à une suite, je me mets déjà à jouir.

Je suis réveillée depuis longtemps, mais je reste dans mon lit. Je me pose tellement de questions. J’aimerai pouvoir voyager dans le temps pour savoir comment ça va évoluer à l’école. Et puis, est-ce que mon père pardonnera à ma mère qu’elle l’est trompé ? Ca fait une semaine qu’elle est partie se changer les idées. Elle ne devrait pas tarder à revenir pour fêter Noël tous ensemble.

Mon père frappe à la porte

  • Pauline, t’es réveillée ?
  • oui.
  • Ta mère au téléphone.

Ca tombe bien justement. Je saute de mon lit et vais ouvrir la porte précipitamment. Mon père me regarde surpris que je me montre nue devant lui. Je n’ai pas calculé, je suis tout aussi gênée. Je mets un bras devant ma poitrine et prend le téléphone en lui disant « merci ». Je m’allonge sur le lit

  • Allo ? Maman ? Ca va ?
  • oui, bonjour ma chérie. Tu aurais vraiment dû venir avec moi, je m’amuse bien ici. Et toi, ça va ?
  • oui, je…
  • Bon, ça me rassure. J’étais tout de même un peu inquiète. Avec ton père, on ne sait jamais. Mais, t’es grande et débrouillarde, alors, je ne me fait pas de soucis… J’aurai un petit service à te demander, si ça ne te dérange pas.
  • Heu, ben oui, demande.
  • Pourrais-tu demander à ton père qu’il transfère un peu d’argent sur le compte commun, car je suis un peu à sec là.
  • Mais, tu ne m’avais pas dit que tu avais de l’argent de côté ?
  • Ben oui, mais sur Paris, tout est cher. on ne va pas très loin avec 2 000 euros.
  • Quoi ? Tu as claqué 2 000 euros en une semaine ? Et en plus t’es logée et nourrit ?
  • Dis donc, tu ne vas pas faire la morale non plus ! C’est moi l’adulte !

A bon ? Ca ne semble pas être le cas à ce moment. Ca dépasse tout ce que je pensais. Mais, elle a fait quoi de cet argent ? Elle me déçoit tellement. Je comprends qu’elle en ait eu marre de vivre ici, mais son comportement là, au téléphone, n’ayant même pas voulu écouter ce que j’avais à lui dire… Je suis contente de ne pas être partie avec elle.

  • Bon alors ? Tu va m’aider ou pas ?
  • … Tu viens pour Noël ?
  • Certainement pas si je n’ai pas de quoi acheter un billet de train. Par contre, si tu veux me faire un cadeau, j’ai vu un très joli petit sac à…
  • Tu reviens quand ?
  • Je ne sais pas… La vie avec ton père est tellement invivable. Il crie tout le temps, parle toujours mal. Ca me fait du bien d’être loin de lui. Je ne sais pas comment tu arrives encore à le supporter.
  • Bon courage pour tes problèmes d’argent. Et appelle quand tu…
  • ok, j’ai compris. Tu t’es liguée avec ce connard. Tel père, telle fille ! Salut !

Elle a raccroché. Je suis totalement énervée et hurle « Mais c’est une vraie sale conne ! ». Et mon père, caché derrière la porte, me demande « Je peux entrer ? ». Je suis toujours nue, assise sur mon lit, recroquevillée sur moi-même et lui dit de venir.

Il me regarde avec un petit sourire qui me réconforte, et tout doucement me demande

  • Ca va ?
  • Comment t’as pu épouser une fille comme elle ?
  • Avec le temps, on se rend compte de certaine chose. Mais j’ai fait un truc formidable avec elle.
  • Quoi ?
  • Toi.

Je me lève presque d’un bon et vais l’enlacer. Je sens sa surprise, et me dit « Je te trouve très câline en ce moment ». Il me fait un bisou sur la tête, et me serre à son tour. Il n’y avait aucune intension sexuelle dans mon geste. Mais, sentir ma poitrine contre sa chemise, sentir ses mains chaudes sur la peau de mon dos, je sens monter en moi des envies.

Ses mains remontent sur mes épaules, et commençant à s’écarter, il me demande « Tu veux quoi pour le petit-déjeuner ? ». Je lui réponds « comme d’habitude ». Sait-il ce que je prends ? C’est ma mère qui le préparait le week-end avant que je me lève, lui était toujours ailleurs à ce moment là. Le temps que je passe aux toilettes et que j’enfile un tee-shirt, je viens voir… C’est un sans faute absolu. Je suis agréablement surprise, et me rends compte que ma mère m’a mentie sur certaines choses.

Mon père est entrain de boire un jus d’orange à côté de moi. Et je lui demande « Depuis le départ de maman, t’es pas trop en manque sexuel ? ». Il recrache ce qu’il a dans la bouche, je pense l’avoir bien surpris.

  • Pourquoi cette question ?… Qu’elle soit là ou non, ça ne change rien à ce niveau là de toute façon.
  • Ha ? Ca fait longtemps que vous ne le faites plus ?
  • Ca ne te regarde pas.
  • … Tu es déjà allé voir ailleurs ?
  • Ca non plus, ça ne te regarde pas. Mais, non, je n’ai jamais couché avec une autre femme.
  • Et elle ?
  • Je n’en sais rien, et je m’en fiche. Tu ne veux pas parler d’autre chose ? En quoi la sexualité de tes parents t’intéresse ?
  • Ben, comme ça, pour savoir… Je me demandais de qui je tenais pour aimer autant ça.
  • Là, c’est moi qui préfère ne pas savoir… Mais, pas de ta mère en tout cas, c’est sûr. Déjà qu’elle n’a jamais trouvé de plaisir à se toucher…
  • Qui te dit que je le fais ?

Il me regarde, en faisant une drôle de tête qui veut clairement dire « Ne me raconte pas de connerie ». Ca me fait rire. Et il reprend

  • Au cas où tu ne le saurais pas, même la porte de ta chambre fermée, je t’entends bien… Bon, parlons d’autre chose. Tu as une envie particulière de cadeau pour Noël ?
  • Des sex toys.

Il a compris que c’est une blague et ça le fait bien rire. En fait, je n’ai aucune idée de cadeau. C’est bien la première année où ça m’arrive. Avant, je savais toujours ce que je voulais… Des fringues, un nouveau téléphone… J’ai l’impression de déjà tout avoir.

Je me glisse doucement dans son lit pour ne pas le réveiller. Mais, il a dû sentir ma présence. Et d’une voix empreinte de sommeille, il me demande

  • Pauline ? Qu’est-ce que tu fais ?
  • Je n’ai pas envie de dormir toute seule.
  • Mmmmhhh ? ok… Bonne nuit, ma belle.
  • Bonne nuit.

Il s’était couché avant moi, je regardais des débilités à la télé. Je n’avais pas envie d’aller dormir. Et puis, à plus de trois heures du matin, j’ai décidé de tout éteindre. Mais, c’était avec mon père que je voulais dormir.

J’attends qu’il se rendort. Rapidement, son souffle devient plus soutenu. Il se met même à ronfler. Ca doit le déranger lui-même car il bouge et se met sur le côté. Je le regarde dormir, voyant sa nuque, le haut de son dos nu. C’est vrai qu’il ne dort jamais habillé. Je crois ne l’avoir jamais vu de ma vie dormir avec quelque chose sur lui.

Peut-être a-t’il un caleçon ? … Non, il n’en a pas. Je viens de vérifier avec ma main. Et je me souviens le nombre de fois où ma mère l’incendiait parce qu’il se baladait à poil. Et lui, répondait « C’est bon, je vais juste aux toilettes. Arrête de faire chier ». Elle trouvait mal sain que je puisse voir la quéquette de mon père. Mais, ça ne me choquait pas. Je m’en fichais qu’il soit à poil… C’était il y a bien longtemps maintenant. Depuis l’adolescence, je ne l’ai pas souvent vu nu.

J’ai envie de faire comme lui. Comme il ne semble pas gêné de dormir à poil à côté de moi, alors il n’y a pas de raison que je le sois aussi. Je retire mon tee-shirt de dodo et mon shorty. Il n’y a pas de raison d’être embarrassée, mais ça me fait tout étrange. Ce n’est pas comme ce matin où c’était moi qui était nue et lui habillé, c’est… Merde, je commencer à bien mouiller, je suis toute excitée.

Je me mets à me caresser le ventre, les seins, mon entre-jambes. Il recommence à ronfler, ça cache mes petite gémissements. Je n’ai pas envie qu’il se réveille et découvre que je me masturbe à côté de lui, à cause de lui. Je vais doucement, c’est dur de se contrôler.

Peu de temps après, alors que j’ai l’impression qu’il est toujours dans son sommeil, je l’entends dire « Arrête de bouger ». Je stoppe net, il se remet à ronfler. Mes idées coquines reprennent. S’épile t’il toujours le pubis ? Je me souviens ma mère s’être foutue de sa gueule en le voyant, disant clairement, histoire de lui mettre la honte devant moi « T’es vraiment ridicule, tu te rases maintenant les couilles ». Il ne l’a pas fait pour elle en tout cas, c’était sûr. Mais, pour qui alors ? Il a dit qu’il ne l’avais jamais trompé… Serait-ce pour lui ? Parce qu’il aime ?

Je l’ai bien fait pour Paul, mais j’aime mieux sans rien. C’est plus sensible, c’est plus coquin aussi. Et j’aime bien la douceur de ma peau lorsque c’est fraichement rasé. Alors, continue-t-il ? Je pose ma main sur sa hanche, il ne bronche pas. Je la glisse, j’arrive à son pubis… Pas un poil… C’est doux, j’aime ce touché. Mes doigts caressent, je me mords la lèvre inférieure, ça me plait, ça m’excite.

Mes doigts continuent, il n’en saura rien, il dort toujours. Je fais des mouvements plus grands, mes doigts s’aventurent plus loin et se mettent à caresser la base de son pénis. J’ai beau me dire qu’il faut que j’arrête, je ne m’y résous pas. Cette verge en sommeil m’attire, je fais glisser doucement ma main dessus. C’est toujours aussi doux, et chaud aussi. Et je la sens commencer à se lever. Je suis entrain de faire bander mon père, je suis toute étonnée.

Il se met à bouger, je m’écarte. Il change de position pour se mette sur le dos. Il repousse les draps jusqu’à son bas ventre, rentre une main dans la couverture. Les mouvements m’indiquent qu’il se masturbe. Je veux voir de mes yeux. Je découvre son corps jusqu’à mi-cuisses… S’il savait qu’il était entrain de se branler devant sa fille… S’il savait qu’elle est admirative de ce spectacle.

Et il s’arrête, met ses mains au-dessus de sa tête. Il commence à débander un peu. Je la veux bien dure. Je sais, je suis totalement cinglée, c’est plus fort que moi. Je me mets à le masturber doucement. Je surveille chaque instant, m’arrêtant souvent dès que j’ai l’impression qu’il va se réveiller, et reprends une fois rassurée.

J’approche mon visage plus prêt pour mieux l’observer, sentir l’odeur qu’elle dégage. C’est terrible comme j’en ai envie. Je dépose un petit bisou sur le gland, regarde mon père, il ne réagit pas, n’a pas bougé. Il ne ronfle plus, mais respire fort depuis que j’ai entrepris de le masturber.

Alors, je dépose de nouveaux petits bisous, sur toute la longueur. Une goûte de pré-sperme sort, je donne un petit coup de langue dessus. Aussitôt, je le sens se contracter et lancer un petit gémissement. Bien que je tienne toujours sa verge d’une main, j’attends un peu… Non, il n’y a pas de danger.

Alors, je pose ma bouche sur ce gland. Ce petit avant goût m’a donnée envie de bien plus. Je le fais passer entre mes lèvres, c’est bon, j’adore. Ma langue s’y met aussi, et ma main monte et descend tout le long. Encore du pré-sperme en sort, il se met à bouger un peu et gémir. Il faut que j’arrête, il faut vraiment que j’arrête… Encore un peu… Non, tant pis, je ne peux plus m’arrêter, je ne veux pas m’arrêter.

Je sens une main se poser sur ma tête. Des doigts entre dans ma chevelure. D’une voix pleine d’étonnement mélangé par l’inquiétude, il me demande « Pauline ? Qu’est-ce que tu fais ? ». J’accélère mon mouvement, je n’ai plus de raison de me retenir. « Non, arrête… ». Ha bon ? Tu veux vraiment ? Alors, pourquoi tu ne me repousse pas ?… Et un jet de sperme frappe mon palais, puis un autre, et encore un autre. J’avale en même temps, ne relâche pas le rythme. Ce goût dans ma bouche, il n’est peut-être pas bon, mais c’est le meilleur que j’ai goûté.

Son éjaculation est finie. Je continue à sucer et masturber, elle est encore bien dur. Et d’un ton plus autoritaire, m’ordonne « Arrête, maintenant ! ». J’obéis. on se regarde un peu dans les yeux, il a l’air fâché, étonné et satisfait à la fois. J’ai très honte de moi. Alors, je l’enlace, collant tout mon buste contre le sien, posant ma tête sur son poitrail et lui disant

  • Pardon, papa.
  • Mais, qu’est-ce qui t’a pris ?
  • Je ne sais pas. Je n’ai pas pu m’en empêcher. T’as tout de même aimé ?
  • … La question n’est pas là… Pauline, ce n’est pas bien, vraiment pas bien. Je sais que lorsque l’excitation est très forte on a du mal à se contrôler, mais… Faut pas recommencer ok ?
  • Et si je suis très très excitée ?
  • Alors, va dans ta chambre te calmer.
  • Tu veux dire, me masturber ?
  • oui, c’est ce que ça veut dire.

Après cette nuit, j’ai décidé de faire comme mon père et toujours dormir nue. J’ai aussi cassé le principe de ma mère qui était de ne pas se balader à poil dans la maison. Ce dimanche matin, quittant le lit de mon père, je me suis levée pour aller aux toilettes. Lui était déjà debout depuis pas mal de temps j’imagine. Et puis, toujours nue, j’ai regardé les livres posés sur les étagères dans le couloir. J’attendais que mon père passe, qu’il me surprenne ainsi pour connaitre sa réaction. Il est arrivé peu après

  • T’es debout ? Tu ferais bien d’enfiler quelque chose.
  • Je préfère rester comme ça. Et maman n’est plus là pour faire la morale.
  • Ce n’est pas ça, je suis entrain d’aérer le salon et la cuisine. Tu risques d’attraper froid. Je vais commencer à préparer ton petit déjeuner.

Sa réponse me retourna la tête. Il s’en fichait que je sois nue… ou, il aimait me voir nue, mais ne pouvait l’avouer. Et son regard sur moi… Une envie forte apparue… S’il ne se rendait pas compte de l’état dans lequel qu’il venait de me mettre, c’est qu’il était aveugle. Mes tétons pointaient tellement. Alors, je lui répondis « D’accord… Je vais d’abord me ma… calmer dans ma chambre et j’arrive ».

Mon pauvre papa, je ne l’ai pas ménagé ce dimanche. Une fois la maison bien aérée et à nouveau chauffée, je n’ai mis comme tenue que le déshabillé qui m’a été offert au magasin de lingerie. Je lui avais demandé

  • Je te plais comme ça ?
  • Ca me plairait si j’avais une maitresse et que c’était elle qui le portait. Mais, désolé, ça ne me fait aucun effet.

Je n’étais pas convaincue. Plusieurs fois, je l’ai vu mater mes seins ou mes fesses. Et puis, après le repas du midi, je me suis allongée sur le canapé. J’ai attendu qu’il arrive pour écarter les cuisses et lui demander :

  • Ca te dérange si je me caresse là ?
  • Vas dans ta chambre pour ça.
  • T’es pas drôle !

Puis, plus tard, il me demande

  • Pauline ? Habille toi un peu plus, on va aller se promener.
  • Pourquoi faire ?
  • Pour prendre l’air, ça te fera du bien.
  • Et si j’ai une envie subite ? Comment on va faire ?
  • T’es chiante. Bon, j’y vais tout seul. Moi, j’ai besoin de prendre l’air.
  • A tout à l’heure papa… Papa ?
  • Quoi !
  • Je peux utiliser ton rasoir pour me raser la chatte ?
  • … Arrête Pauline… Fais ce que tu veux, je ne tiens pas à le savoir.
  • ok, merci papa. Promène-toi bien.

J’ai profité de son absence pour voir si les vidéos de mon téléphone étaient aussi synchronisées. Je n’avais pas envie de laisser mon père tranquille. Je voulais le faire craquer car je sais qu’il a envie de moi. Et j’ai vraiment envie de sentir sa bite me pénétrer. Je suis certaine qu’il est un amant extraordinaire. Alors, je me suis filmée entrain de me masturbée, utilisant le gode offert par les profs.

Mais, lorsqu’il rentra, c’est une autre Pauline qu’il vit. J’étais habillée avec mon vieux jean préféré, culotte dessous, soutien-gorge, débardeur et pull. J’étais assise à regarder des débilités à la télé, recouverte par une couverture.

Il me demanda ce que je regardai, je ne répondis pas. Il me demanda si j’avais une préférence pour le dîner, je pris la télécommande et j’ai augmenté le son de la télé. Il vint me voir en me disant « Tu te fous de ma gueule ? », j’ai mis le volume encore plus fort. Il m’a attrapée la télécommande, énervé et me fit la pire des insultes « Ce n’est pas parce que ta mère est partie qu’il faut te sentir obligée de la remplacer ! ». Et il a éteint la télé.

Je suis restée à fixer l’écran noir, sans rien dire, boudant. Lui, est reparti à la cuisine. Je n’ai pas bougé de place, je n’ai pas fait le moindre mouvement, à peine cligné des yeux. Il est revenu plusieurs minutes après, un plateau à la main, une assiette garnie de salade, fromage de chèvre et jambon cru. Je me prépare à lui dire « Pause là sur la table basse », mais il s’assoit dans un fauteuil, prenant le plateau sur ses cuisses et a commencé à manger.

Je le fusille du regard, il avale sa bouchée et me dit « Tu sais où est la cuisine… ». Il se prend une nouvelle fourchette, l’avale et ajoute « Avec moi, c’est donnant donnant. T’es gentille, je suis gentil. Tu fais ta sale tête, ne compte plus sur moi ».

Il mange, il boit son vin. Il finit son assiette et va ranger son plateau. Je n’ai toujours pas bougé, toujours rien dit. Puis, il revient et me dit

  • Je vais faire des courses demain soir. Serviette ou tampon ?
  • … Tampon.
  • Pardon ? Je n’ai pas entendu.
  • Tampon !
  • Non, je n’entends toujours rien.
  • …. Tampon, s’il te plait.
  • Haaa, là j’ai entendu. Ca ne change pas, comme quand t’étais petite. S’il manque des mots, je ne comprends pas.

Ca me fait sourire, mais je ne lui montre pas. A la place, je vais dans ma chambre. Je déteste avoir mes règles. Je me sens mal à chaque fois. Heureusement qu’elles ne durent jamais plus de deux ou trois jours.

Je me couche presque directement. Mais, un moment, une pensée me réveille… La vidéo, j’ai oublié de lui dire de l’effacer avant de la regarder. Je n’ai plus envie qu’il la voit. Je me lève, il est encore tôt. J’espère qu’il regarde la télé et qu’il n’est pas déjà sur son ordinateur.

J’arrive dans le salon, je le découvre se masturbant devant ma petite sex tape. Je souris, j’ai la preuve que je voulais. Je repars dans ma chambre discrètement. Je me sens toujours mal à cause de mes règles, mais soulagée en même temps.

Pendant les deux jours suivants, j’ai tenté d’être la plus agréable possible avec mon père. Je lui ai même préparé le repas du soir, et fais des machines de linges alors que je déteste toucher les habits sales. Mais, je n’avais aucune envie sexuelle. Je n’ai même pas essayé de l’espionner entrain de se branler le soir, je ne me suis pas masturbée non plus.

J’ai profité de ces deux jours pour avancer dans la révision de mon bac blanc. Je ne suis pas encore au point à 100%, mais je suis rassurée, je maîtrise pas mal de choses. Et on tombe le 24 Décembre. En milieu d’après midi, mes grands-parents ont débarqués. J’étais contente de les voir. Ils étaient inquiets de savoir comment j’allais suite au départ de ma mère, dont je n’ai pas eu de nouvelles depuis notre discussion téléphonique.

Stanriff

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