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Histoire de Sexe

Histoire de sexe longue : Pauline – Année de terminale Partie 6 Final

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Le professeur principal ne put cacher sa surprise en me voyant débarquer dans son cours de math. Les autres élèves se demandaient ce qu’il se passait. Je m’installe à une place libre, il y en a toujours au premier rang. Le prof, en essayant de reprendre de l’assurance :

  • Bonjour Pauline, j’espère que ça s’est bien passé.
  • Avec tout ce qu’on a vécu ensemble, tu peux me tutoyer.

Le silence dans la classe est tellement intense qu’on pourrait entendre une araignée tisser sa toile. Le prof se racle la gorge et reprend son cours. Je retire mon gilet, enlève mon débardeur, je commence à dégrafer mon soutien-gorge, et le prof me demande

  • Qu’êtes-vous entrain de faire ?
  • Ho… Pardon, j’ai tellement l’habitude d’être à poil devant tout le monde. C’était comme un réflexe.

Et je fais semblant de rire en ajoutant

  • Merci de m’avoir arrêtée, un peu plus et j’allais me foutre les doigts dans la chatte et me branler comme une folle.
  • Pauline, tout ceci est…

Il se ravise en voyant que les autres écoutes, et rangeant ses affaires, il dit “Le cours est terminé”, et sort de la classe dans les secondes qui suivent. Je me fais alors directement alpaguer par Marie-Aude, une fille de ma classe qui me dit

  • En plus d’être une pute, tu fais chanter les profs ? Je ne veux pas louper mon bac à cause de toi. Parce que se sont de bons profs, et ils nous préparent bien.
  • Je suis certaine qu’ils adoreraient te préparer ton petit cul, et voir comment il se dilate en entrant leur bite dedans.
  • … on a toujours le choix.
  • T’es née comme ça ou t’as eu un accident de poussette ? Ils ne te demandent pas ton avis. Ils s’en fichent de savoir si tu aimes ou pas, si tu as mal ou non. Tant qu’ils s’occupaient de moi, tu étais sauve ou l’une de tes petites copines. Et ce que je fais là, c’est pour éviter que ta petite sœur en seconde prenne ma place lorsqu’elle sera en terminale. Je suis claire ou t’as besoin d’un dessin ?

Elle ne sait plus quoi dire. Mais, Paul intervient, malheureusement pour lui

paragraphe 4 rose
  • ok Pauline, t’es pas obligée de lui parler comme à une demeurée non plus.
  • Alors qu’elle fasse preuve d’intelligence.
  • … Personne ne pouvait savoir.
  • Si, toi. Mais tu as préféré m’abandonner au moment où c’est devenu difficile, juste après m’avoir donné espoir. Tu te souviens ? Emilie en pense quoi ? … Alors ?… Tu ne lui as rien dit, c’est ça ? T’es pire que tous les autres.
  • Pardon Pauline. Mais, je veux que tu saches que je ne suis pas ton ennemi.
  • Pas mon ami non plus.

A mon tour, je récupère mes affaires, et sors de la classe en leur adressant à tous un beau doigt d’honneur. Ca ne sert à rien, je sais, mais ça me fait du bien. Je veux me venger, à n’importe quel prix. Tous ceux qui m’ont fait du mal, tous ceux qui ont profité de moi allaient payer le prix fort.

Mais, dans le couloir des classes, on m’attrape et on me colle contre le mur. C’est Paul, il m’embrasse… Mon dieu, comme c’est bon. Mes lèvres n’ont pas embrassé d’autres lèvres depuis trop longtemps. Sa langue caresse la mienne, mon corps réagit, j’en gémis presque. Et je reprends mes esprits, le pousse, essuie ma bouche du revers de la main

  • Putain, qu’est-ce que tu fous ?
  • Je veux que tu saches que je ne t’ai pas abandonnée.
  • Mais oui, bien sûr. Tu me prends pour une conne en plus ?
  • Si j’avais continué à te soutenir, tu te serais laissée encore plus exploiter…. Emilie a appelé ton père.
  • Pourquoi ? … Tu… T’as fait quoi ?…

Je me mets à pleurer en comprenant. Il a les yeux rouges aussi. Il commence à me dire “Parce que je t’ai…”, et je suis partie en courant. J’ai eu peur de lui montrer ma véritable fragilité, j’ai eu peur qu’il sache que j’ai encore des sentiments, j’ai eu peur de l’entendre dire… Et j’ai passé tout le temps du déjeuner dans les toilettes à pleurer, puis me calmer, et me préparer pour la seconde épreuve du bac blanc.

Je ne suis pas revenue en cours, ou tenter de le perturber avant la fin des épreuves. Je me suis concentrée, vraiment concentrée sur mes copies. Je n’ai donc par revu Paul ou les autres de la classe pendant les trois jours suivants. Je n’ai pas tenté de refaire peur au surveillant principal. De toute façon, il avait l’air de se pisser dessus dès qu’il me voyait.

Et lorsque ça a été fini, j’ai attendu mon père à la maison. Il est rentré, m’a regardée

  • Tu es très belle.
  • Tu es un sacré cachotier…
  • Je ne vois pas de quoi tu parles.
  • Et si je te dis : Paul ?

Il sourit et répond “Et tu comptes te venger avec ta jolie robe noire du 24 Décembre, ton maquillage simple mais efficace, ton manque de sous-vêtements. Pas de bas, mais des chaussures à talons aiguilles. Tu as dû mettre du temps à coiffer tes cheveux ainsi. Tu t’es enduite de la crème à l’huile d’olive, je le vois à la beauté de ta peau. Pas de parfum superflu. Ton foulard cache le diamant que je t’ai offerte et que tu te décides enfin à remettre. J’arrête là ou tu veux que je rentre dans les détails ?”

Je n’en reviens pas de tout ce qu’il a vu en quelques secondes. Je comprends que je ne peux rien lui cacher. J’avance rapidement vers lui et l’enlace. Il en profite pour me dire “J’ai l’impression que ta journée s’est bien passée”. Je ne veux plus qu’il parle, je l’embrasse, comme une amante. Je l’embrasse comme une amoureuse. Je suis plus que sa simple fille. Mes mains passent dans mon dos et descendent la fermeture éclaire.

Je n’ai jamais voulu autant de quelqu’un qu’à cet instant. Et il a su répondre à mes envies, m’écouter, être à moi tout comme j’ai été à lui. Au moment où il a éjaculé dans mon corps, l’envahissant de son nectar chaud, je lui ai avoué mon véritable secret : “Je t’aime papa et personne d’autre”.

Même si les choses se sont grandement arrangées grâce à mon père et Paul, l’année scolaire n’était pas terminée. J’aimais mon père de tout mon cœur. Je me rendais tout de même compte que ce que j’avais vécu m’avait changée. Était-ce en bien ? En mal ? Je ne sais pas, mais je n’avais plus la même perception de la sexualité. Un rien pouvait me donner envie.

Histoire de sexe longue : Pauline - Année de terminale Partie 6 Final
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Peu de temps après mon altercation avec Marie-Aude, celle-ci voulu me parler en privé. Nous nous sommes donc isolées et elle commença à dire “Tu sais, j’ai repensé à ce que tu as dit l’autre fois. Enfin, je veux dire que… Tu crois que ça aurait pu arriver à n’importe qui d’autre ?”. Je ne l’écoute déjà plus. Une odeur dégage d’elle… Un mélange féminin et masculin à la fois. Elle a un copain, c’est certainement lui que je sens. Je n’arrive pas à décrocher mes yeux de ses lèvres qui bougent en me parlant. J’ai envie de les goûter, j’ai envie d’y insérer ma langue.

Elle s’arrête un instant de parler, me fixe, et d’un petit sourire me demande

  • Je te donne envie ?
  • … Je t’écoute juste.
  • Les cours vont bientôt reprendre. on se revoit après ? Je connais un endroit calme.
  • Pour quoi faire ?
  • Je crois que tu sais.

Elle se penche sur moi et me dépose un baiser léger sur mes lèvres. Elle se retire, et me sourit à nouveau. Ma langue lèche mes muqueuses. oui, nous allons nous revoir après les cours. J’ai bien envie de la connaitre plus intimement.

J’ai passé la fin des cours à me demander où elle allait m’emmener. J’ai fantasmé sur ce que nous allions faire. Les minutes me semblaient durer des heures, mon excitation montait au fur et à mesure que le temps passait. Nos différents échangent de regard n’ont rien aidé à mon état. Et enfin, la sonnerie de fin. Mais, nous sommes encore restées à attendre que la foule quitte l’école.

Je suis Marie-Aude. Elle semble connaitre l’endroit parfait pour nous deux. Elle m’amène derrière la cantine, me fait entrer par la porte de service qui amène aux cuisines. Je ne me demande même pas comment elle connait ce passage, je trouve juste son idée judicieuse puisque plus personne n’est présent dans ces lieux.

Elle s’assoit sur l’établi, je m’approche pour l’embrasser. Elle me bloque en mettant sa main devant et me dit

  • Je dois t’avouer quelque chose avant… Tu ne peux pas savoir comment j’ai fantasmé sur toi, avec tes habits ultra sexy, lorsque tu te touchais…
  • C’est vrai ?
  • J’ai passé des nuits la main entre les cuisses en repensant à toi… Et quelque part, ça me manque de ne plus te voir. Tu voudrais faire ça pour moi ?
  • Me masturber là ? Juste ça ? J’avais pensé à autre chose.
  • Ce n’est que le début. Et après, tu verras, tu ne le regretteras pas.

J’hésite, elle s’avance vers moi pour m’embrasser. Quel plaisir de sentir sa langue caresser la mienne. Je me laisse aller, je me laisse faire. Quelques instants après, j’étais totalement nue, assise sur un plan de travail. Elle est en face de moi, à m’observer, et me dit

  • Vas-y, montre moi plus.
  • Tu en parleras ?
  • Je n’ai aucune envie que mon copain sache ça.
  • Que veux-tu ?
  • J’aime trop te voir te toucher.

Je commence à écarter les cuisses. J’ai la tête qui se met à tourner, c’est une sensation étrange, que je ne comprends pas, mais qui n’a rien à voir avec l’excitation. D’ailleurs, celle-ci est entrain de partir, disparaître totalement.

Je la vois alors d’une autre manière. Je ne comprends pas ce que je fais comme ça, pourquoi elle me demande ça. Malgré ce qu’elle veut faire paraître, elle est totalement désintéressée, voir dégoûtée. Je descends du plan de travail et récupère mes affaires. Elle m’attrape par le bras en me demandant

  • Tu fais quoi là ? Je croyais qu’on allait…
  • Je n’ai plus envie.
  • Plus envie ?… De toute façon, ça ne change plus rien.

Son visage a changé. Elle a un air hautain. Je comprends que ses intentions n’avaient rien d’amicales. Je remarque alors des têtes se relever, cachées derrière différents meubles. C’était donc un piège ? Il y en a de ma classe, mais pas seulement. Ils doivent être une bonne dizaine, peut-être plus. Je me sens conne, ma tête tourne de plus en plus, je veux fuir. Marie-Aude, se mettant juste devant moi et me bloquant le passage pour sortir, se moque de moi

  • J’ai toujours dit que t’étais une pute et tu l’as prouvée une fois de plus. Plus personne ne va croire ce que tu racontes. Personne ne t’a jamais forcée. T’es juste une nympho qui ne l’assume pas.
  • Laisse-moi passer, s’il te plait.

J’ai de plus en plus chaud. Je sens mes jambes commencer à trembler. Mais, elle ne bouge pas.

  • Allez, montre-nous. Il y a plein de trucs avec quoi tu peux te branler.
  • Arrête ! Je ne veux pas.

Et je la bouscule, et cours dehors en tenant dans mes mains mes affaires. Je me couvre juste en remettant mon manteau et fuis le plus loin possible. Mais, je n’ai plus de force, et je dois m’arrêter pour reprendre mon souffle, pas suffisamment loin à mon goût. Je pense être seule, je me mets à pleurer, plaquée contre un mur.

  • Pauline ? Ca ne va pas ?
  • … Paul ? Heu… Si, ça va… T’es encore là ?
  • Ben, j’avais mon entrainement de volley. Je viens de finir. Tu veux que je te raccompagne chez toi ?
  • … Mon père ne sera pas encore rentré. Je n’ai pas trop envie d’être seule…
  • Je t’amène chez moi alors ?
  • Je veux bien, si ça ne te dérange pas.
  • Pas de problème. Qu’est-ce qu’il y a ?
  • Rien… Je ne me sens pas très bien, c’est tout.
  • ok… Et pourquoi j’ai l’impression que tu ne portes pas grand-chose sous ton manteau ?
  • … Je… Je n’ai pas envie d’en parler… J’ai juste était conne, c’est tout.

Il me prend dans ses bras, m’embrasse dans le cou. C’est agréable, mais à cet instant, j’ai envie de le repousser. Je prends sur moi jusqu’à ce qu’il me lâche et nous quittons cette école ensemble.

  • Pauline, rentre, tu vas avoir froid.
  • Non, je n’ai pas froid… C’est beau la neige qui tombe. Je n’avais jamais regardé avant. Tu te rends compte ? J’ai toujours trouvé ça si froid, sans âme. En fait, c’est magnifique. T’as remarqué qu’il n’avait pas neigé depuis la dernière fois que je suis venue chez toi ?
  • oui, j’ai remarqué. Mais, mes parents risquent de rentrer plus tôt à cause de la neige. Ca leur ferait bizarre de te trouver à poil dans leur jardin.
  • … Paul, t’avais pas envie de me faire l’amour ?
  • Si, mais pas toi. Je pense que tu aurais accepté juste pour me faire plaisir.

Marie-Aude m’avait blessée plus profondément que je l’aurai voulu. Je perdais la tête. Je me suis mise à tournoyer sous les flocons qui tombent, ça me faisait tellement de bien. Et le décor s’est mis à a défiler à une allure infernale sous mes yeux. J’ai entendu Paul me dire d’un ton inquiet “Pauline, t’es toute blanche” et tout est devenu noir.

Je mets du temps à réaliser où je suis en me réveillant. Je suis dans un lit, une chambre… La chambre d’ami de chez Paul. Je me lève, j’ai soif. Il fait nuit dehors, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut-être. J’entends du bruit dans la cuisine et je rentre. Il y a les parents de Paul qui sont entrain de prendre leur petit-déjeuner. Le père me regarde avec de grands yeux, la mère se lève en lançant un juron et me dit

  • Mademoiselle, je ne sais pas comment c’est chez toi, mais ici, on ne se promène pas toute nue dans la maison. Vas enfiler quelque chose.
  • … J’ai soif… J’ai chaud…

J’ai la tête qui se remet à tourner. Elle me prend la main, mais l’autre sur mon front en disant “T’es encore brûlante. Je te ramène dans le lit, on va t’amener de l’eau”. Je la laisse m’entrainer et je m’arrête, affolée

  • Mon père, il ne sait pas où je suis. Il faut que je l’appelle.
  • Calme-toi, tout va bien. Il est au courant et est même passé hier soir. Et toi, tu ne sors plus du lit maintenant. Je vais appeler un docteur.

Je m’allonge. Alors que je mourrais de chaud une minute avant, je commence à greloter. Je me mets bien sous les draps, le père de Paul m’amène un verre d’eau. Je bois, la mère me demande “ça va mieux ?”. Je ne réponds pas, ça ne va pas du tout. Je l’entends dire “vite, une bassine”, mais trop tard.

C’est douloureux, je sanglote, je n’aime pas être malade

  • Pardon, je vais nettoyer.
  • Ne dis pas de bêtise. on va te préparer le canapé lit de la chambre de Paul. D’ailleurs, il n’est pas l’heure de le réveiller pour le lycée ? Chéri, tu t’en charges ?

Elle m’a prêtée un peignoir, mais avant d’aller dans la chambre de Paul, j’ai dû m’arrêter aux toilettes pour vomir à nouveau. Mon ventre était vide, mais j’avais toujours envie, ça me faisait mal. Je n’ai pas vu Paul. A peine arrivée au canapé lit, je me suis couchée. J’ai mis toute les couvertures possible, j’avais terriblement froid. Puis, je me suis endormie. Je n’ai pas vu non plus le docteur, mais il était passé.

C’est à nouveau en sueur que je me suis réveillée, mourant à nouveau de chaud, retirant les couvertures, et le peignoir. La mère de Paul est là, assise au bureau de Paul. Elle ne dit rien sur le fait que je sois à nouveau nue et me donne un verre d’eau trouble en me disant “Bois, ça devrait aider à faire tomber la température”. Je finis le verre, mais je ne garde pas longtemps dans mon ventre ce que je viens d’avaler. Cette fois, il y a une bassine à côté de moi.

Et je recommence à avoir froid, me blottissant dans les couvertures. Elle s’approche, s’assoit sur le bord du lit et me dit

  • Tu as une bonne grippe.
  • C’est nul. Et ça vous donne beaucoup de travail en plus.
  • Ce n’est pas grave… Te souviens-tu de ce qu’il s’est passé aujourd’hui ?
  • … Non, pourquoi ?
  • Ca doit être à cause de la fièvre, mais …
  • Que s’est il passé ?
  • Lorsque le docteur t’a auscultée, tu as plusieurs fois attrapé sa main pour la glisser entre tes cuisses. Et ensuite, tu t’es caressée… Quasiment jusqu’à ce que tu te réveille. J’ai trouvé ce comportement étrange. Tu aurais une explication ?
  • … Non, je devais certainement délirer. Je ne me souviens pas.
  • ok… Bon, repose-toi. Je vais voir pour te préparer un truc à manger.

*****************************

La mère de Paul est restée toute la journée avec moi. Elle avait ainsi posé un jour de congés disant que j’étais bien trop malade pour rester seule. C’était très gentil de sa part. Et j’ai passé ces heures à vomir la moindre chose que j’avalais. J’alternais entre avoir trop chaud et trop froid. Nous n’avons quasiment pas parlé. Mais cette présence de mère de famille me faisait du bien.

En milieu d’après midi, je me sentais un peu mieux, même si j’avais très chaud. Paul était rentré, il a annoncé que Marie-Aude a vomi en début d’après-midi et que son copain ne se sentait pas bien non plus. Ca m’a fait rire, j’étais la seule à comprendre pourquoi. Mais, la mère de Paul lui dit

  • Peux-tu nous laisser seules pendant que je m’occupe de ta copine ?
  • Ben non, c’est ma chambre.
  • Pauline, réajuste toi, on voit tout avec ton décolleté.
  • Mais, j’ai super chaud.
  • Normal, avec la fièvre que t’as. Vous m’énervez tous les deux, je ne vais jamais réussir à te faire cette natte.

Elle s’occupe de moi comme ma mère ne l’a jamais fait, douce et attentionnée. Je lui ai donné beaucoup de travail, mais je n’y pouvais rien. La dernière fois que j’ai vomi, je m’en étais mise par tout, et aussi dans les cheveux. Ca n’avait pas dû être une partie de plaisir de me donner cette douche pour me laver entièrement alors que j’étais à moitié amorphe. Et là, elle tente de m’attacher les cheveux pour éviter de les souiller à nouveau.

Mais, pour le moment, je recommence à être un peu vaseuse, et j’ai également envie de plaisir. Mon bas ventre se met à titiller. Je laisse glisser la bretelle de la nuisette que m’a prêtée la mère de Paul. Je l’entends râler parce que mon sein s’est découvert, mais sa voix est déjà lointaine. Je la sens remettre en place le vêtement. Je ne me rends compte plus de rien.

Une vague de bien être remonte d’entre mes cuisses, je respire plus fortement. Une voix très lointaine, à peine audible me parle “Pauline, tu n’es tout de même pas entrain de te masturber ?… Pauline ? Pauline ? Tu m’entends ?”. oui, je t’entends, mais je ne suis déjà plus là. Je ne peux pas te répondre.

Et cette voix reparle, à laquelle s’ajoute une autre

  • Paul, sors immédiatement de la chambre.
  • Mais… C’est bon, je l’ai déjà vue faire.
  • Je ne veux pas le savoir, tu viens avec moi. on la laisse tranquille pour le moment.
  • Fais chier, au moment où ça devenait intéressant.

Et le silence, cassé peu après par des gémissements. Je n’ai pas réalisé tout de suite que c’était les miens. Et peu après, tout devint noir.

Je me suis réveillée une main coincée entre mes cuisses, contre mon minou. Je me suis endormie en me touchant. J’ai encore très chaud, mais je sens du froid sur mon front. Je ne suis pas toute seule. J’ouvre les yeux, la mère de Paul est là à m’appliquer un gant de toilette humide sur le visage. J’ai le corps recouvert d’un simple drap. Elle me regarde en souriant

  • Tu va mieux ?
  • Je ne sais pas. Mais, ça me fait du bien. Paul est où ?
  • Il dort dans la chambre d’ami. Veux-tu essayer de manger quelque chose et prendre ton médicament ?
  • … J’ai faim.
  • Je t’amène un plateau.
  • Non, je préfère me lever. J’en ai marre de rester dans le lit.

Elle en avait profité par faire ma natte pendant que je dormais. Et je découvre que mon père est là à parler avec celui de Paul. Il se lève pour me prendre dans ses bras et je lui demande

  • Qu’est-ce que tu fais là ?
  • J’étais venu voir comment tu allais. Je n’ai pas voulu te réveiller. La maman de Paul me proposait de te garder encore cette nuit et demain.
  • Tu dois aller au travail demain ?
  • oui, malheureusement, je ne vais pas pouvoir y couper.

Le choix était vite pris. J’aimais me faire chouchouter par la mère de Paul. Je me sentais aller bien mieux le lendemain. Mes forces revenaient et je n’ai vomi que deux fois. La mère décida de me laisser seule au milieu de l’après-midi pour aller faire des courses.

Paul rentra de l’école, j’étais allongée sur le lit à lire un bouquin, vêtue de la nuisette de sa mère. Il posa ses affaires de cours à son bureau, j’observais le moindre de ses gestes.

  • Alors, la vomisseuse, ça va mieux ?
  • oui, mais je crois que j’ai encore de la fièvre. Tu peux me dire si je suis chaude ?

Il pose sa main sur mon front pour dire “Mhhh… Pas trop”. Je la lui prends et la pose dans mon décolleté en lui faisant “Et là ?”. Ca le fait sourire

  • Pas plus, mais je crois que la température monte en moi.
  • Si ton thermomètre est prêt, tu pourrais me l’enfoncer…
  • Sérieux ? T’as envie ?
  • Grave

Je m’allonge en m’appuyant sur les coudes. Je n’avais pas pensé sexe de toute la journée, mais lorsqu’il est arrivé, j’ai eu une subite envie. J’écarte alors les jambes en remontant le tissu de mon vêtement. J’ai les poils du minou qui ont commencé à repousser, mais ça ne le gène pas. Il se déshabille avant de s’allonger sur moi.

La position ne me convient pas du tout. J’ai l’impression d’étouffée. Il se pousse, je me retourne pour me mettre en levrette. Je ne m’imagine pas non plus me mettre sur lui, je n’ai pas encore repris suffisamment de force. Il entre doucement en me demande

  • Ca va ? Je ne te fais pas mal ?
  • Ho que non. Ca fait du bien.

Il y allait de plus en plus fortement au fur et à mesure que sa jouissance arrivait. J’avais envie qu’il arrête, ça remuait trop, mais j’avais peur de gerber si j’ouvrais la bouche. Il se retira enfin de moi, j’ai attrapé la bassine pour vomir, sentant en même temps son sperme recouvrir mes fesses. Inquiet, il me fit “Pauline, ça va ?”. Et en même temps, la porte de la chambre s’est ouverte et la mère de Paul a fait irruption en criant “Mais qu’est-ce que tu fous ?”. Je l’ai entendu donner une claque à son fils. Et elle commence à l’engueuler

  • Tu vois bien qu’elle est malade et toi tu ne penses qu’à la…
  • Mais c’est elle qui voulait ?
  • Et alors ? Tu ne peux pas dire non ? T’es pas un animal tout de même ! Et si t’es cloué au lit parce que tu as attrapé la grippe, ne compte pas sur moi pour m’occuper de toi !
  • C’est sûr. T’es bien contente qu’elle soit là. Enfin, t’as la fille que tu as toujours voulue. Parce que ton fils, t’en as rien à foutre.
  • Ne dis pas n’importe quoi !
  • Tu fais chier !

Et il part en claquant la porte, nu, prenant ses affaires avec lui. Elle reste, je me sens stupide dans cette position, la tête dans la bassine et le cul en l’air avec le sperme qui me coule sur les jambes. D’une voix plus calme et plus douce, elle me demande “C’est vraie ? C’est toi qui lui a demandé ?”. Je fais un oui avec la tête avant de vomir à nouveau. Elle reprend alors “S’il est malade, c’est toi qui t’occupera de lui”. J’arrive péniblement à lui dire

  • Vous êtes sérieuse ?
  • Ho que oui. Il a raison sur un point, c’est vrai que je suis contente de ne plus être la seule femme de la maison. Je t’aime bien Pauline, mais il y a des côtés de ta personnalité qui me déplaisent vraiment.
  • … Lorsque je suis en manque, je n’arrive pas à me contrôler.
  • Si Paul est malade, je ne pense qu’il pourra faire quoi que se soit. Pour nous, nous sommes des adultes responsables. Nous saurons te gérer.

Mon père était venu le soir. Il me trouvait en bien meilleure forme, il discuta avec les parents de Paul, et nous sommes restés pour manger tous ensemble. Je faisais attention à chaque bouchée que je mettais dans ma bouche, alors même que j’aurai tout engloutit tellement j’avais faim. Mais Paul ne mangeait pas.

J’avalais petit à petit, tout me semblait tellement délicieux. Mais Paul est parti en courant, nous l’avons entendu vomir aux toilettes. Sa mère m’a regardée, je me suis sentie mal. Allait-elle appliquer sa punition ? Elle ne se gèna pas pour expliquer la situation à mon père, entrant dans les détails. J’étais sur le cul. Il me regarda et sourit avant de me dire

  • Je crois que tu as ton week-end occupé.
  • Quoi ? Non, tu ne vas pas me laisser là ?

J’ai regardé le père de Paul, peut-être allait-il avoir pitié de moi. Mais non, il m’annonça « Je dois partir bientôt de toute façon, j’ai une soirée billard avec les collègues de boulot ». Mon père joua le jeu et me dit qu’il va aller me chercher du rechange pour le week-end. La mère de Paul ajouta alors, s’adressant à mon père « Si ça ne vous dérange pas, je vais venir avec vous. Je suis certaine que mon avis sera utile. Et puis, j’ai toute confiance en Pauline pour s’occuper de Paul ».

Je me suis retrouvé seule avec Paul coincé aux toilettes. Je me sentais bien seule, et conne. Je vais le voir et lui demande

  • Ca va ?
  • Super… Beurp…
  • … Je vais préparer ton lit et la bassine.
  • ok… Beurp…
  • Désolée, je n’ai pas calculé.
  • Pas grave, je ne t’en veux…beurp… pas.

J’ai aidé Paul à regagner son lit. Je suis restée à le surveiller. Je me sens totalement impuissante. Je me suis déshabillée pour dormir dans le canapé lit à côté de lui et pouvoir intervenir en cas de problème. Il me regarde nue, je lui demande

  • Ca te plait ?
  • Ca craint, ça ne me fait aucun effet.
  • Vraiment ?

J’ai envie de le provoquer. Je m’installe sur le lit, cuisses écartée, et commence à me toucher. Pour seule réaction, il vomit à nouveau. Je suis encore de corvée de nettoyage de la bassine.

Sa mère rentre enfin, plus de deux heures après être partie. J’ai beau être dans le lit, je ne dors pas, toujours à surveiller Paul. Elle pose un sac avec des habits et s’approche de moi pour me demander comment il va. Elle a une drôle d’odeur, je ne l’identifie pas tout de suite. Je lui raconte qu’il a beaucoup vomi et qu’il dort enfin.

C’est lorsqu’elle quitte la chambre que je réalise, elle est imprégnée de l’odeur de mon père. Je ne peux me résoudre à croire qu’ils ont couché ensemble, elle, mariée… Mais, j’entends l’eau de la douche, le doute devient plus grand. Je ne peux pas garder ça pour moi. Je réveille Paul. Il a du mal à émerger

  • Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ?
  • Ta mère a couché avec mon père.
  • Quoi ? tu me réveilles pour ça ?
  • Ben oui… Et ça ne te choque pas ?
  • Ma mère couche avec qui elle veut.
  • Mais… Ton père dans tout ça ?
  • Il est au billard… Jeu de boulles, de queues, de trous. C’est un code qu’il a avec ma mère, mais ça fait longtemps que j’ai compris.
  • … Et ça te parait normal ça ?
  • J’en sais rien, je veux dormir, je m’en fous.
  • … ok, bonne nuit.

***************

Jouer les infirmières, c’est pas mon truc du tout. Subir cette punition m’énervait. J’avais envie d’autres choses, j’avais de plus en plus envie en fait. Encore, si le malade pouvait me baiser… Mais Paul n’arrivait même pas à lever sa queue. Il me promit plein de fois qu’il se rattraperait, mais c’était maintenant que je voulais être prise. Mes nombreuses masturbations devant lui ne le faisait même pas réagir. J’étais frustrée.

Il y avait un autre point qui m’énervait : le fait que la mère de Paul ait couché avec mon père. Elle n’avait pas le droit, il était à moi, c’était mon homme rien que pour moi. Elle ne voulait pas que je me promène nue chez elle ? Pas de problème, je m’affichais en string et tee-shirt. Ca ne lui plaisait pas, je le lisais dans son regard. Je m’en fichais et en plus ça allumait son mari. Ca m’amusait bien au final.

Le samedi soir, je n’en pouvais plus. Je voulais rentrer chez. Et même si je m’étais promise de ne plus coucher avec mon père, lui en voulant d’avoir touché une autre femme que moi, l’envie de le sentir entre mes cuisses était bien trop forte.

A table, en dînant avec les parents de Paul, je tentais tant bien que mal de me contrôler. Tout me donnait envie : le père dont je l’imaginais nu prêt pour moi, la mère dont je me demandais si elle était bisexuelle, le manche de la fourchette, les bananes… Mon string était tellement trempé, sans même me toucher, qu’il en était devenu transparent. Ma poitrine était tellement gonflée qu’elle en était douloureuse.

Je ne me suis pas attardée avant de retourner dans la chambre de Paul, espérant qu’il soit bien plus en forme. Mais, il dormait, je n’ai même réussi à le réveiller, ni même le faire bander.

Quelques minutes plus tard, la mère de Paul est entrée dans la chambre, me découvrant entièrement nue entrain de me masturber, léchant le sexe mou de son fils. Elle ne dit rien, me fixa juste. Je me suis redressée, je ne me contrôlais plus du tout. Je me suis masturbée de plus belle devant cette femme, qui, d’un ton neutre, me dit

  • Sors de la chambre. Il a besoin de se reposer.
  • Moi aussi j’ai des besoins.
  • J’ai pourtant l’impression que tu te débrouilles très bien toute seule.
  • Ce n’est pas suffisamment, je veux plus.
  • … Vas dans la cuisine, tu trouveras bien un truc qui t’aidera à te calmer. Par contre, tu dormiras dans la chambre d’ami. Je te laisse faire le lit, je vais me coucher.

Elle attendit que je sorte de la chambre, je suis passé devant elle énervée et frustrée. Et pour l’embêter encore plus, je suis restée nue. Elle ne répondit pas à la provocation, elle semblait s’en foutre en fait.

Alors, je suis allée dans la cuisine, comme elle me l’avait suggérée. Le père de Paul était là à prendre une bière dans le frigo. Elle avait dit que j’y trouverai certainement quelque chose pour me calmer, j’avais fait mon choix. Tentant de l’allumer le plus possible en prenant une position sexy et une voix mielleuse, je lui demande “Ca ne vous dérange pas que je sois toute nue ?”. Il sourit en parcourant mon corps de bas en haut avec ses yeux. Et il répondit en décapsulant la bouteille

  • Que fais tu ici ainsi ?
  • Je cherchais un truc…

Je me suis approchée le plus possible de lui sans que nos corps ne se touchent. J’ai posé ma main sur celle qui tenait la bière et l’ai avancée pour en boire une gorgée. Il me proposa qu’on s’installe sur le canapé pour regarder la télé. Il ferma la porte qui amène aux chambres. Assis l’un à côté de l’autre, alors qu’il zappait à la recherche d’une chaîne intéressante, j’ai ouvert son pantalon, j’ai sorti sa verge déjà bien dure et je me suis mise à le sucer.

Il augmenta le son de la télévision, certainement pour camoufler mes futurs gémissements, et posa la télécommande sur le canapé en me disant “Tu sais sucer, petite salope. Et tu sais faire quoi d’autre aussi ?”.

Lorsqu’il éjacula sur mon dos, après être sorti de mon anus, je planifiais déjà de le laisser se reposer quelques minutes avant de le sollicité à nouveau. C’est clair que cette partie de baise a été des plus agréables. Mais, avant même de commencer, je savais déjà qu’elle ne serait pas suffisante pour me calmer totalement.

Au moment où je me suis redressée, je vis la mère de Paul adossée au mur du salon. Depuis combien de temps était-elle là ? Je n’en avais en fait rien à faire. Elle me lança des habits, mes habits, mon jean’s, mon pull, et gardait à ses pieds le sac d’affaires qu’elle avait ramenée deux jours plus tôt. Elle me dit d’un ton sec “Habille toi, je te ramène chez ton père. Il t’attend”.

Quelques minutes après, dans la voiture :

  • Vous m’en voulez d’avoir couché avec votre mari ?
  • Ne me prends pas pour une idiote. Tu ne crois tout de même pas que je ne me douterai pas de ce que tu allais faire ? Je ne veux plus que tu t’approches de Paul. Il a déjà redoublé à cause d’une fille qui n’en valait pas la peine, je ne veux pas qu’il gâche cette fin d’année à cause de toi.
  • … Mais, je m’en fiche de ce que vous voulez. Et vous vous croyez mieux ? Vous avez couché avec mon père !
  • Mais, remets-toi à ta place, ma pauvre fille ! La vie sexuelle de ton père ne te regarde en rien. Tu es sa fille, pas sa copine ou sa femme !… Paul sera au courant de ce qu’il s’est passé ce soir.
  • La vie sexuelle de son père ne le regarde pas, et il s’en fout.
  • Il est intéressé par la tienne par contre.
  • … Ca ne changera rien de toute façon.
  • Je n’en suis pas certaine. Ecoute, t’as plein de qualités, mais…
  • Vous me prenez pour une grosse salope, une chienne, une fille qui ne pense qu’à se faire sauter par n’importe qui ? Et bien, vous avez raison, c’est exactement ce que je suis. Je vais même vous dire que si vous m’aviez demandée de lécher votre chatte, je l’aurai fait. Maintenant, arrêtez la voiture, je vais rentrer à pied !

J’attends que les élèves quittent la classe. Mon prof principal doit me rendre mon bac blanc corrigé. Je connais déjà les notes, je les ai vues hier avec mon père sur le site de l’école. Elles sont bonnes, je m’en doutais déjà.

Il me pose les copies sur ma table et me dit en repartant

  • Si tu as des questions, tu n’auras qu’à me les poser au prochain cours.
  • C’était tout de même con, vous ne trouvez pas ?
  • De quoi ?
  • Ce chantage. Ce n’est pas mieux de baiser une fille consentante ?
  • C’est bien d’avoir un vide couilles à portée de main. Et d’une certaine façon, tu étais consentante.
  • obligée de l’être ou l’être par obligation ?
  • De toute façon, ton calvaire est finit. on n’en parle plus.

Je me lève pour m’approcher de lui. Il range ses affaires dans son cartable et me tourne le dos. Je pose ma main délicatement sur son épaule. Il se redresse, mais ne regarde toujours pas. Je lui glisse à l’oreille, presque en chuchotant

  • Je n’ai pas dit que je n’aimais pas que vous me baisiez. J’ai dit que je n’aime pas le caractère obligatoire et contraint.
  • … Je ne comprends pas, tu veux quoi alors ?
  • Ne plus être un vide couilles à portée de main, comme vous le dite. Je veux bien être un vide couilles lorsque j’en ai envie. Mais, pas de chantage, et si je ne veux pas on fait pas.
  • … Pourquoi ? Il y a des trucs que tu n’as pas aimés ?
  • Lécher vos bites couvertes du sang de mes règles…
  • ok, ça marche. Et comment on peut savoir si tu as envie ?

Je me place devant lui et lui montre ma gorge. Il ne semble pas comprendre, je lui dis

  • Lorsque je porterai un ras du cou, c’est que je suis disponible. Tout autre collier ne compte pas. Vous pouvez faire passer le message aux autres prof.
  • Tu portes un ras du cou là.
  • Je sais.

Je passe ma langue sensuellement sur mes lèvres, et continue à l’allumer avec mon regard persistant. Il n’ose pas, puis plaque une main sur un de mes seins. Il le découvre non maintenu par un quelconque soutien-gorge sous mes habits. Son autre main passe sous mon pull qui recouvre mes fesses. Il la plaque sur ces derniers, fait des mouvements comme pour chercher une marque de culotte ou de string à travers mon leggin. Il ne trouvera rien.

Il me dit “Montre moi ta chatte”. Je réalise alors que la porte de la classe est ouverte. Mais, il n’y aucun bruit dans les couloirs, tout le monde a dû aller manger. Je baisse le leggin à mi-cuisse et soulève le pull.

  • Arrête de te raser la chatte.
  • … Je ne savais pas que vous préfériez les poils.
  • Pas forcément. Laisse pousser pour voir.

Et d’un signe du doigt, il me demande de remonter encore plus mon haut, jusqu’à voir ma poitrine nue. Il me la touche à nouveau. Il a un air froid et me dit

  • Pour qu’on comprenne bien lorsque tu ne veux pas quelque chose, il faudra que tu dises “Non, je ne veux pas”.
  • C’est compris.

Et sans prévenir, il m’attrape un téton qu’il tient entre ses mains. J’ai poussé un petit cri de surprise, puis un autre de douleur alors qu’il se met à le pincer. Il tire dessus, j’ai très mal, au point où je suis obligée de me tenir à lui pour ne pas perdre l’équilibre. Il le tord, je n’arrive même plus à crier, et je sens mes yeux se remplir de larmes.

Continuant encore à me torturer et ne pouvant rien faire pour me défendre, il me dit, sèchement

  • Va falloir que je sache si tu veux qu’on te traite comme une princesse ou une trainée. Si tu ne réponds pas, ça sera en trainée. Alors ? Ta réponse ?
  • Je m’en doutais. Et n’imagine pas une seconde que nous n’avons pas d’exigences nous aussi.

Et il lâche d’un coup mon téton. Je tombe sur le sol à genoux et me malaxe le bout du sein. Il est tout distendu et commence à devenir bleu. Je lui dis

  • Mais, ça ne va pas ? Ca fait super mal.
  • Tu en avais envie, sinon tu m’aurais demandé d’arrêter.
  • Bon, je te laisse. Je vais parler de notre arrangement avec les personnes concernées.

**********************

L’épidémie de grippe était passée, tout le monde était à nouveau là. Il aurait peut-être mieux valu pour moi qu’elle continue jusqu’à la fin de l’année. J’étais devenue la pestiférée de la classe, de tout le lycée même. Je recevais des insultes de toute part, et Paul était loin d’être le dernier sur le sujet, le pensant même meneur des autres, avec Marie-Aude. Il m’en voulait à mort de ce que j’avais fait avec son père, j’avais perdu son soutien à jamais.

Dans les couloirs, je me faisais régulièrement bousculée, taclée. Des histoires insensées avaient été inventées : j’aurais des mycoses, des maladies sexuelles, je me taperais même des chiens ou des chevaux… J’avais surtout perdu le soutien de tous les élèves, sans la moindre exception.

Mais, j’étais très inquiète pour autre chose : moi et mes envies. J’avais prévenu mon père que je ne coucherai plus jamais avec lui pour le punir d’avoir baisé la mère de Paul. Ca l’avait bien fait rire en fait. Pour ma part, je me demandais combien de temps j’allais tenir car je n’avais plus aucune queue à me mettre sous la dent. Avec d’autres élèves, ce n’était plus possible, et les profs… Qu’attendaient-ils ? Tous les jours je portais un ras du cou. Si leur but était de me faire perdre tout contrôle, ils étaient bien sur le point d’y arriver. Heureusement que nous étions vendredi et que le soir sera le premier des vacances d’hiver.

J’ai failli craquer plusieurs fois et demander à mon père de me baiser comme une folle. Mais, je m’étais faite une promesse et j’essayais de la tenir. Mes très nombreuses masturbations journalières n’avaient que le bénéfice de me calmer pendant quelques minutes à peine. Et j’adorais m’enfoncer les bouteilles de bière vides de mon père dans mon vagin ou mon anus. Mais, ça ne valait pas une bite.

Il fallait que je parte en chasse, que j’aille me taper n’importe quel mec, jeune ou vieux, moche ou mignon, gros ou maigre. Tout ce qui m’intéressait était ce que j’allais trouver dans le pantalon. La dernière fois que j’ai dragué un inconnu, j’habitais encore à Paris. A cette époque, ce n’était pas pour me le faire, j’avais un jeu bien plus marrant. Mes proies étaient des mecs plutôt canon accompagnés par une petite amie. J’adorais la réaction des filles jalouses. Je me faisais souvent insulter, mais c’était surtout le mec qui s’en prenait plein la gueule.

Cette fois, ça ne sera pas pour jouer, mais bien pour aller jusqu’au bout. Ca se passera peut-être dans ma maison, ou chez lui, ou dans une voiture, ou encore caché entre deux poubelles, ça n’avait aucune importance. J’avais hâte, mais ça ne servait à rien de me presser. Il fallait déjà que mon père quitte la maison pour aller travailler, puis attendre que les magasins ouvrent. A cette heure, seuls ceux qui vont au travail seront dans les rues. Trop peu de chance d’avoir ce dont j’ai besoin.

Je regarde ce que je vais mettre. Je veux être sexy, provocante, attirer les regards et les envies. Et mon téléphone sonne, c’est en numéro masqué. J’hésite, et réponds. C’est mon professeur principal.

  • Tu passes de bonnes vacances ?
  • Ca va.
  • T’es en ville ?
  • oui.
  • Je me disais, il y a eu quelques aménagements faits à la bibliothèque de l’école. Ca t’intéresserait de les voir avant les autres ?

Je sens déjà l’excitation envahir tout mon corps. Mon cœur bat fort, ma poitrine se gonfle. Il appelle au bon moment, je ne pouvais plus attendre. Et, voyant que je ne réponds pas immédiatement, il continue

  • Mais, tu n’as peut-être pas envie de porter un ras du cou.
  • Ho, si, même plusieurs s’il le faut.
  • C’est bien ça. Je dois te prévenir que le chauffage a été mis au maximum.
  • … Je risque de mettre du temps à arriver, il y a moins de bus en ce moment.
  • Ce n’est pas grave. Nous avons toute la journée devant nous. on t’attend.

Et il raccroche… “on” ? J’aurai bien aimé savoir qui étaient présents aussi. Mais, j’avais déjà ma petite idée de quoi porter. J’ai commencé par vérifier l’heure de passage des bus pour ne pas poireauter bêtement dehors dans le froid, et je me suis préparée.

J’ai commencé à me maquiller quelques stations avant l’arrivée. Je ne voulais pas qu’on me voit trop peinturlurée au cas où il y avait du monde. Mais, nous n’étions qu’une demi-douzaine. Je vérifie au passage que mon manteau cache bien ma tenue. Il descend jusqu’à mes bottes, personnes ne peut voir mes bas résilles, mon porte-jarretelles et mon soutien-gorge ouvert. Le seul vêtement supplémentaire que j’ai est mon ras du cou.

Je descends du bus, la grille de la cours est ouverte. Je passe, vais d’un pas décidé au bâtiment où se situe la bibliothèque. La porte est fermée, je n’ai pas le temps d’essayer de l’ouvrir que quelqu’un de l’intérieur le fit. C’était le surveillant général. Il me fait signe de rentrer, me conduit jusqu’à la porte de la bibliothèque et me dit

  • Ils t’attendent.
  • Il y a qui ?
  • Tu verras bien. Laisse ton manteau là.

Je l’ouvre, l’enlève et le pose sur le crochet qu’il m’a indiquée. Il me regarde de la tête aux pieds d’un air satisfait et dit

  • Ils vont être contents.
  • Vous ne venez pas ?
  • Non, j’ai des choses à faire. Amuse-toi bien.

J’ouvre la porte et entre. Je mets deux secondes à réaliser ce qu’il se passe. Entre temps, la porte s’est refermée derrière moi et a été verrouillée. Je ne peux plus sortir. Mon professeur principal n’est pas là, ni personne d’autre que je connais. Il y a là, quatre hommes qui sont entrain de faire des travaux… Et un cinquième qui sort de derrière une étagère. La peur m’envahie, je suis tétanisée.

Ils me regardent, rient en parlant entre eux. Je ne comprends rien à ce qu’ils disent, ils ne sont pas français. Ca semble être une langue des pays de l’est. Je mets mes bras devant la poitrine. L’un d’eux s’approche, prend un air rassurant, ça ne marche pas trop, et me parle doucement sans que je comprenne quoi que se soit.

Il est grand et très baraqué, comme les quatre autres d’ailleurs. Il me prend la main et m’attire vers le milieu de la pièce. Je me laisse faire, je n’ai pas le choix. J’ai trop peur et mon corps doit leur renvoyer tous les signes comme quoi je suis excitée.

Il me caresse doucement le visage, la gorge. Je baisse la tête, je ne veux pas qu’il croit que je suis consentante. Mais, avec un doigt sous mon menton, il m’oblige à le regarder, puis m’embrasse et rentre sa langue entre mes lèvres.

Une main se pose sur mes fesses, une autre s’ajoute à la première, et une suivante… Je regarde, on me les pince, me les tapote, ils tâtent la marchandise. Ils font de même avec mes cuisses et ma poitrine. J’ai toujours très peur, mais l’excitation est bien là aussi. J’aimerai comprendre ce qu’ils disent. Je crois juste que je leur conviens. Et l’un d’eux me fit

  • Toi, combien ?
  • Combien ? Je ne comprends pas.
  • Euros, combien ?

Ils me prennent pour une pute, je n’en reviens pas et timidement, je réponds

  • Rien… Zéro euros. Je ne suis pas une prostituée.
  • Haaaa. Toi, coquine. Moi aimer.

Et l’un d’eux me soulève par derrière comme si je n’étais qu’une plume. Il me colle à lui et passe ses mains sous mes cuisses et écarte grandement mes jambes pour exposer mon intimité à la vue de tous. Par réflexe, je mets mes mains devant le pubis, on me les retire rapidement.

Et tout de suite, l’un se baisse et me passe un coup de langue sur ma chatte. Je laisse sortir un petit gémissement de surprise et de plaisir. Sa bouche se pose alors dessus et il commence à me lécher. Il ajoute un doigt dans mon vagin et le masturbe rapidement. Plus je gémis, plus les autres rient. Mon orgasme est déjà sur le point d’arriver, lié à mon manque sexuel de ces derniers temps. Mais, il arrête de me branler juste avant. Il pose son doigt à l’entrée de mon anus et me demande

  • Toi, aimer ça ?
  • oui…

Je n’attends que ça, qu’il entre. Et je souffle fort en même temps qu’il enfonce son gros index. Il dit quelque chose aux autres et ils se mettent à touche mon cul aussi. Le doigt d’un autre s’ajoute au premier. Et les deux s’amusent à tirer comme pour agrandir mon trou. Et un troisième doigt rejoint les deux premiers. Je sens ma peau tendue, mais je n’ai pas mal, je suis prête à subir tout ce dont ils ont envie.

Je suis toujours tenue en l’air par le cinquième type, et mon corps sert de terrain de jeu aux quatre autres. Ils me pénètrent avec leurs doigts, me lèchent, m’on fait jouir une première fois, mais j’étais loin d’être rassasiée. Et puis, ils commencent à baisser leur pantalon. Je découvre des sexes plutôt larges et de différentes tailles.

Sans m’en rendre compte, j’ai passé ma langue sur mes lèvres. Ce n’est pas passé inaperçu, ça les a fait rire, et j’ai ri avec eux. Et on me repose au sol pour que je chevauche l’un d’eux qui vient de s’allonger. Rapidement, mes trois orifices sont pris et mes mains occupées à branler les deux verges libres.

Les positions s’enchainent, les expériences aussi. Je découvre avec plaisir les sensations d’une double pénétration vaginale. J’ai un orgasme fulgurant lorsque s’est ajoutée en plus une bite dans mon cul. J’ai un peu souffert lorsqu’ils ont tenté la double pénétration anale. Je les aurais laissés faire s’ils avaient voulu, mais ils ont eu pitié de moi.

C’est toute essoufflée que je me suis mise à genoux, entourée par ces cinq amants, debout à se branler autour de moi. J’attends ma récompense. J’ouvre la bouche, mais je sais que mon corps et mon visage seront également aspergés de spermes. Et pour les aider à conclure, je caresse devant eux ma poitrine et ma chatte, je me sens encore bien excitée.

Ils m’ont remerciée, et m’invitent à revenir le lendemain. Je ne sais pas encore, j’ai beaucoup aimé. Et moi aussi, je les ai chaleureusement remerciés. Cette expérience a été extraordinaire.

La porte de la bibliothèque n’était plus verrouillée. Je sorts, j’ai les jambes qui flageoles. Je sens déjà que j’aurai des courbatures le lendemain. Je prends mon manteau mais décide avant de partir d’aller me nettoyer aux toilettes.

Je me trouve aussi jolie que je suis trash en m’observant dans le miroir. Le maquillage a débordé et coulé, le sperme qui me couvre me donne un style que j’aime. Mais, je sais que je ne peux pas prendre le bus ainsi, même si j’aimerai.

Je me passe le visage sous l’eau, mais étale leur jus sur le reste de mon corps. Je vais sentir le sperme, mon parfum préféré. Et on rentre dans les toilettes, c’est mon professeur principal. D’un petit sourire, il me fait

  • Alors, c’était bien ?
  • oui. Très belle surprise.
  • Bien. Tant mieux que tu ais aimé. Rejoins-moi dans la salle des prof, j’en ai une autre pour toi.
  • … Je ne me sens pas d’attaque pour une autre partie de jambes en l’air.

Et je retire mon ras du cou en même temps. Il ajoute cependant

  • Je m’en doute. Mais, tu n’auras rien à faire. on va juste discuter un peu.
  • ok, j’arrive.

Je ne tarde pas, et vais le rejoindre, un peu anxieuse de ne pas savoir de quoi il veut me parler. La porte est ouverte, je rentre, il est à quelques pas de moi. Il me demande d’ouvrir la bouche, je ne comprends pas pourquoi mais le fait. Il me demande de l’ouvrir encore plus. Et on me saisit par derrière, me met un boule entre les lèvres qu’on attache derrière ma tête.

on me bloque les bras, je me débats, mais je n’ai plus beaucoup de forces. Je tente de crier, mais ils sont étouffés par l’objet, je me mets à pleurer. Le professeur principal s’avance et me donne une grande gifle en me disant “Calme toi !”. J’ai le goût de sang dans la bouche. J’aimerai lui cracher à la gueule. Et je me débats encore plus fortement.

Ils sont trois à tenter de me maintenir, lui, le prof de chimie et le surveillant général. Ils arrivent à me coucher sur une table. Et, pendant que deux d’entre eux me tiennent allongée, le troisième m’attache bras et jambes.

Je ne peux plus bouger. Je suis ligotée, bras en croix, jambes écartées. Je tire sur les liens en espérant qu’un nœud se détache, mais non, je m’essouffle inutilement. J’ai peur de ce qu’ils pourraient me faire, j’ai aussi envie de les écorcher vif, et eux se moquent de moi

  • Et bien, t’es une vraie furie quand tu t’y mets.
  • on t’a connue bien plus docile.
  • Désolé pour le bâillon, mais c’est à cause de notre petit arrangement… Promis, on s’arrête si tu dis “Non, je ne veux pas”…

Je tente de le dire, mais rien d’audible n’atteint leurs oreilles. Et le prof principal se penche vers moi et me dit

  • Ecoute bien Pauline. Nous n’avons aucune confiance en toi. Je ne sais pas si t’es une vraie salope… Enfin, oui, tu en es une, mais je te sens vicieuse au point de vouloir faire du mal aux gens. Nous croyons que tes intentions ne sont pas nettes. Nous nous trompons peut-être, je ne sais pas. En tout cas, ton père et toi avez bien foutu la merde. Nous aimerions beaucoup que tu te fasses virer définitivement… Mais, pour le moment, nous n’avons rien à exposer qui ne nous compromette aussi. Alors, ça serait bien que tu nous fasses plaisir aussi, fais des trucs… Des excès de violence ou autre… Sécher trop souvent les cours…
  • C’est prêt…
  • Parfait. oui, j’ai oublié de te dire que nous préférons largement les chattes épilées que rasées. Merci d’avoir laissé poussé tes poils, nous allons te montrer comment faire à la cire chaude. Tu vas voir, tu vas adorer.

Je fais non frénétiquement de la tête. Je me doute que ça fera mal. Mais, le prof de chimie applique déjà une bande de cire sur le maillot qui me brûle un peu la peau, une autre de l’autre côté. Je m’agite dans tous les sens pour tenter de l’en empêcher. J’arrive à peine à bouger et je n’ai quasiment plus de forces.

Et le prof principal qui set met alors à tordre mes tétons en disant « Arrête de t’agiter, ça va passer rapidement ». Je mords dans la boule, la douleur est intense et me paralyse. L’instant d’après, on tire d’un coup sec sur les bandes de cires. Je crie, mais le son est totalement étouffé. Je respire fortement, l’air sortant de mes narines, et la seconde bande est retirée dans la même souffrance.

Ils continuent l’épilation, torturant la pointe de mes seins dès que je tente de me débattre un peu. Je pleure de honte et de souffrance, et ça les fait rire d’autant. Puis, j’arrête de tenter quoi que se soit, je n’en ai ni la force ni la volonté. Seuls mon corps tressaute à chaque bande de cire arrachée, avec un cri étouffé tentant de sortir de ma bouche.

Enfin, on me détache et on enlève la boule. Je me recroqueville sur moi-même en sanglots. Le professeur principal me donne une grande claque sur la fesse, ce qui me fait pousser un petit cri, mais je ne bouge pas. Et il dit, contrarié

  • Ben alors, t’as pas envie de nous cracher à la gueule, nous attaquer, nous insulter ?… Pfff, t’es vraiment bonne à rien.
  • … Je ne ferai rien qui vous offrira une raison de me virer.
  • Pauvre petite conne !

Quelqu’un entre dans la salle, je ne regarde pas, mais reconnais la voix du directeur qui dit

  • Ca se passe comment ?
  • J’espère que vous aurez plus de chances que nous.
  • Ca a pris un peu de temps, mais voici une copie. Il y en a quasiment pour une heure et demi. Bon, je vous laisse.

on me dépose une clé usb sous le nez. A nouveau, le professeur principal prend la parole : “Un dernier cadeau pour toi. Nous avons jute oublié de te prévenir que suite à de nombreux vols à la bibliothèque, nous avons installés trois caméras de surveillance. Tu pourras vérifier par toi-même qu’elles sont en parfait état de marche. Nous ne savons pas quelles sont tes intentions et celles de ton père, mais si vous décidez de faire quoi que se soit contre nous, cette vidéo sera dévoilée et fera tomber toutes accusations. Il faudra que tu expliques comment tu t’es introduite dans l’école pendant ces vacances et pourquoi tu t’es donnée à ces types… on pourrait t’accuser de prostitution, tu comprends ?… Bon, dégage maintenant, je ne veux plus te voir”.

******************

J’attends mon père, je ne sais pas comment lui expliquer. J’ai regardé quelques fragments de la vidéo… Je me sens mal, très mal. Et il entre. Je l’entends retirer son manteau et ses chaussures. Je décide de quitter la chambre pour aller à sa rencontre. Nous tomber face à face dans le couloir. Je suis un peu surprise, d’habitude il se prend une bière directement. En sans crier garde, il me colle la gifle la plus monumentale de ma vie. Sans le mur, je serai actuellement à terre.

Je sens ma joue en feu, un goût de sang envahit ma bouche, mais je ne dis rien, je l’ai bien méritée comprenant qu’il a dû recevoir une copie de la vidéo également. Il me regarde fixement, avec colère alors que mes yeux se remplissent de larmes. Je lui dis alors

  • Pardon papa.
  • Tu te rends compte de ce que t’as fait ? Tu te rencontres qu’on ne peut plus rien faire contre tes profs ?… Faut vraiment que tu arrêtes de penser avec ton cul.

Et il me prend dans ses bras, nous nous serrons fortement, et je pleure à chaudes larmes sur son épaule.

Suite à ça, mes envies sexuelles se sont calmées sérieusement. Et lorsque j’avais un petit besoin, mon père était là pour la calmer. Il n’y avait finalement que lui maintenant, le seul qui ne m’ait pas abandonnée, qui est resté avec moi, et qui m’aime pour ce que je suis, malgré tout ce que j’ai fait. Tous les autres, même ma mère qui n’était même pas revenue pour fêter mes 18 ans, ne comptaient plus.

Je me suis mise à faire beaucoup de sport. Je me suis trouvée une passion : la pole danse et mon père m’a même installée une barre dans ma chambre. Je passais des heures par jour dessus. J’avais besoin d’évacuer tant de choses car, au lycée, ça ne se passait pas bien du tout.

Mes notes étaient bonnes, les profs ne pouvaient plus les truquer. Mais pour le reste… Je me faisais insulter dès que possible. Les profs n’aidaient pas non plus, ils étaient durs et sarcastiques à mon égard. Ils espéraient que je pète un plomb pour avoir une excuse de me virer, mais je ne réagissais pas. Et pourtant, j’ai eu très souvent envie de leurs arracher les couilles et les leur faire bouffer.

J’étais seule au lycée, et tous étaient contre moi. Parfois… Souvent en fait, je craquais et me mettais à pleurer. Ca en indifférait certains, ça en amusait d’autres. Mais Paul attendait ces moments pour me rabaisser encore plus, pour m’enfoncer encore plus bas que je ne l’étais déjà. Il me haïssait au plus haut point.

Finalement, je finis l’année scolaire comme je l’avais commencée : sans aucun ami, détestée de tous. Mais, je n’étais plus du tout la même. En mieux ? En pire ? Quelle importance ? Le but est d’apprendre de ses erreurs et d’atteindre les objectifs qu’on se fixe. Pour moi, c’était d’entrer dans une grande école, et la mention très bien que j’ai eu au bac m’a donnée le choix entre toutes celles qui étaient prêtes à m’accueillir.

Mes critères étaient assez simple : une où je ne risquerai pas de recroiser quelqu’un de mon lycée et pas très loin de chez mon père. Je voulais pouvoir revenir aussi souvent que nécessaire afin qu’il ne soit pas seul trop longtemps, dans cette maison bien trop grande pour lui tout. Et je voulais aussi pouvoir être là pour le soutenir, la procédure de divorce ayant débutée, ma mère cherchant à voler tout son fric.

Mais là, ce n’est pas le moment de penser aux soucis passés ou futurs. Demain, nous partons pour ma nouvelle vie, pour m’installer là où je vais crécher pour mes cinq années d’études. Alors, profitons du moment présent. Il me regarde en me disant « Tu es très jolie ce soir ». Je lui souris, n’arrive pas à détacher mes yeux des siens. Son regard à tendance à plonger dans ce décolleté profond qu’offre cette robe peut-être un peu trop habillée et sexy pour ce restaurant. Nous n’en sommes qu’à l’apéritif, mais je rêve déjà qu’on rentre pour qu’il me fasse l’amour toute la nuit. Il me manquera, c’est certain.

Fin.

Stanriff

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