Quitter les quartiers chics de Paris pour venir dans ce pays de bouseux, ça n’a pas été une partie de plaisir. J’ai dû abandonner mes amis, les sorties dans la capitale, le shopping dans les grands magasins, juste pour cette petite ville de merde. J’en veux à mes parents. Soit disant qu’ils en avaient marre du stress parisien, des bouchons et autres. Ils ont quittés des boulots en or, pouvant couvrir financièrement tous mes besoins pour se mettre à leur compte à la campagne.
Eux, se plaisent bien là, à vivre à côté des vaches et des chèvres, et ils disent que ça me fera du bien à moi aussi, découvrir la nature, la vie simple… La nature, ça pue la merde. La vie simple ? Elle était simple ma vie, il suffisait que je demande de l’argent à mes parents pour qu’ils m’en donnent et que je puisse acheter ce que je veux avec.
Je leur ai supplié de me laisser vivre seule, faire mon année de terminale dans mon ancien lycée, même à vivre dans une chambre de bonne. Ils ont refusé… Et je me tape un lycée de plouque avec des plouques. Je les ai tous pris de haut, je m’en fiche qu’ils ne m’aiment pas.
Ils m’insultent, mais la bave de crapaud ne touche pas la blanche colombe que je suis. J’ai eu le droit à des « connasse », « poufiasse », « salope »…. Salope, j’aimais que les mecs qui se trouvaient entre mes cuisses m’appellent comme ça au moment de l’acte. ouais, je me donnais bien. Depuis ma première fois, je sais que le sexe aura une part importante dans ma vie. J’aime le cul, tout simplement.
Mais, depuis que je suis ici, je n’ai rien à me mettre en bouche, et il est hors de question que je me tape l’un de ces bouseux. Mes doigts comblent mon manque. Mais, plus les semaines passent, et plus l’envie d’une bite est présente. Il m’arrive de plus en plus souvent d’aller surprendre mon père sous la douche. J’ai honte de faire ça, je m’en veux, mais l’envie est bien trop forte.

Même en cours, il m’arrive de perdre toute notion de là où je suis, fantasmant sur le fait de me faire prendre, me sentant tremper mon string, et devant attendre la pause pour me soulager dans les toilettes. J’évite autant que possible, je ne suis pas du genre très silencieuse. Pour le moment, personne ne m’a surprise. Heureusement, ils seraient en plus capable de m’emmerder pour ça.
Et puis, en ce début décembre, le prof d’histoire géo nous demande de faire un exposé pour la semaine suivante… En binôme…. La joie totale… Chacun choisit avec qui il veut être, je veux être toute seule. Mais, pas de bol, nous sommes en nombre paire, et je n’ai pas le choix, je me retrouve avec la cancre de la classe, réputé pour être un gros fêtard, qui fait régulièrement le con…
A la fin du cours, je vais le voir. Je suis directe
— on boucle ça au plus vite, ça va déjà être assez pénible comme ça ! on fait ça ce soir.
— Tout à fait d’accord. Chez toi ou chez moi ?
Il est hors de question qu’il vienne dans ma maison, qu’il découvre ma chambre. Je n’ai aucune hésitation à lui répondre
— Chez toi. T’as au moins internet ?
— Evidemment. Ca t’étonne que se soit un peu civilisé ici ?
— Fais pas chier tocard !

— Peux-tu me dire comment une fille aussi mignonne que toi peut-être une aussi grosse connasse ?
Je lui réponds en lui montrant mon majeur… Ca promet pour bosser ensemble. Mais, je ne suis pas du genre à mettre de l’eau dans mon vin. Il a intérêt à s’adapter à moi… Paul… en plus, il a un prénom dépassé… Nous ne naissons vraiment pas tous égaux dans ce monde.
Mais, lorsque j’arrive chez lui, je suis étonnée. La maison est un peu vieillotte, d’anciens meubles et tout, mais a un style plutôt moderne et elle est très grande. Mais, je suis encore plus surprise par sa chambre, immense… Un bureau, un lit, un canapé, sa propre télé et une console de jeux connectée dessus, un babyfoot au milieu. Je ne sais pas, elle doit bien faire 40 m². Il ouvre un ordinateur portable dernier cri, une fille dénudée en arrière plan. C’est l’occasion de reprendre mes esprits pour lui lancer une pique
— T’as besoin de ça pour t’exciter ?
— Je suis sur que tu te branles bien plus souvent que moi, grosse salope.
— … Dans tes rêves, pauvre naze.
on se met à bosser, on s’envoie régulièrement des insultes. Nous ne sommes clairement pas très productif. Et, nous jetons un œil par la fenêtre. Il neige plus que ce que j’ai pu voir dans ma vie. En dix minutes le sol est immaculé de blanc. Mon téléphone portable sonne, c’est ma mère. Elle s’inquiète de ne pas me voir à la maison. Je lui explique où je suis et pourquoi. Mais, elle m’annonce que toutes les routes sont coupées, qu’il n’y a plus de transport en commun, qu’il n’est pas possible de venir me chercher en voiture. En tant normal, j’aurais bien trois quart d’heures pour rentrer à pied, mais là… Ce n’est même pas envisageable.
Entre temps, Paul a également eu ses parents au téléphone. Ils sont bloqués à leur travail et ne peuvent pas rentrer. Je suis coincée avec ce type, il ne semble pas plus content que ça que je reste avec lui. Ce vendredi soir sera le pire jour de ma vie.
on aurait pu se dire que ça permet d’avancer sur l’exposé, mais même pas. Internet ne fonctionne plus. on va chacun grignoter quelque chose dans le frigo. Dehors, les choses ne s’arrangent pas. Le vent souffle de plus en plus fort, c’est une vraie tempête de neige.
Il me propose de me faire dormir dans leur chambre d’ami. Le vent fait claquer plein de choses que je n’identifie pas, je ne suis clairement pas rassurée, j’ai peur de dormir seule. Je lui réponds, peu assurée alors « Je peux dormir dans le canapé de ta chambre ? ». Il rigole, il se moque de moi parce qu’il voit bien que j’ai peur. Je le prends mal, mais suis obligée d’accepter ses critiques. Et il finit par dire, peut-être par pitié « ok. Mais si tu ronfles, je te pourrie ta nuit ».
Je découvre alors qu’il s’agit d’un canapé lit. Il met les draps, les couvertures, installe tout parfaitement. Je le regarde, étonnée de tant de bonne volonté, et lui dit
— Merci.
— Quoi ? T’as dit quoi ? Merci ? Tu connais ce mot ou t’as sorti ça sans savoir ce que ça veut dire ?
— Arrête, s’il te plait.
— Tu connais aussi « s’il te plait « ? Mais, c’est incroyable….
Il arrête de se moquer de moi en voyant des larmes couler de mes yeux. J’ai rendu les armes, j’ai trop peur de cette tempête, je ne veux plus me battre pour ce soir. Je me sens faible et vulnérable. Il éteint la lumière, chacun se déshabille de son côté dans l’obscurité. Je garde mon string, mais enlève mon soutient gorge sans retirer mon débardeur. Je me couche, je l’entends se coucher aussi. Et il me dit
— Bonne nuit Pauline.
— … Bonne nuit Paul.
J’ai dû mal à trouver le sommeil… Le vent me fait toujours peur. Puis, il se calme. J’entends le souffle fort de Paul qui dort comme un loir. Je sens l’odeur masculine qui règne dans la pièce. Je me sens m’assoupir et en même temps, je laisse mon esprit vagabonder. J’imagine Paul qui vient me rejoindre, qui déchire mon string et me prend violemment.
Mes mains caressent mon corps. J’ai chaud, très chaud. Je vois juste la silhouette de Paul qui est dans son lit, il dort, je me dégage des draps et des couvertures. Mes seins sont durs, mes tétons pointent. Je pense être encore plus excitée par sa présence, un mec juste à quelques pas de moi, avec ce risque d’être découverte.
Je passe une main sur mon string, il est trempé, je n’en reviens pas. Je n’en peux plus de mes habits, je les retire, les jette au pied du canapé lit, suffisamment prêt pour les remettre lorsque j’en aurai terminé. Et je me mets à me toucher, tellement excitée, tellement besoin de me faire du bien.
Je sens l’orgasme arriver, trois doigts dans mon vagin, l’autre main accélérant sur mon clitoris. Et, je suis coupée net par une lumière.
Toute essoufflée, je ne calcule rien. Par réflexe, je me suis cachée sous les draps. J’ai honte, et peur d’avoir été surprise. Paul a allumé sa lampe de chevet et me regarde fixement. Je réagis bêtement, et ferme les yeux pour faire croire que je dors. Je l’entends se lever et s’avancer vers moi. D’un petit air moqueur, il me dit
- Je sais que tu ne dors pas. Tu peux continuer si tu veux, ça ne me dérange pas.
- … Je ne sais pas de quoi tu parles.
- Je pensais que tu sanglotais, mais en fait tu te masturbais comme une petite folle.
Et je sens quelque chose qu’on effleure sur ma joue. J’ouvre les yeux, il s’amuse avec mon string au-dessus de ma tête. Je crois n’avoir jamais été aussi honteuse de ma vie. Je rougis comme jamais. Je le vois porter mon sous-vêtement au nez, Mes yeux commencent à suivre le mouvement, mais s’arrêtent instantanément devant son caleçon. Il est en érection, n’essaie pas du tout de le cacher, et je reste bouche bée. Le tissu déformé me montre quelque chose de bonne taille, de très bonne taille. Mon envie de baise me reprend d’un coup. J’ai envie de cette verge.
- Elle te plait ?
- … Hein ? De quoi tu parles ?
- Tu veux la voir ? La toucher ?
- … Non, pas du tout… Mais… Si ça te fait plaisir…
Il baisse son caleçon… Houa… Elle est belle, magnifique même, plutôt grande, assez épaisse, comme j’aime. Il m’attrape la main pour la poser dessus. J’empoigne sa verge, je n’ai plus envie de la lâcher.
- Tu peux la goûter aussi.
- … Ca restera entre nous, d’accord ? T’en parles à personne.
- J’ai pas envie qu’on sache que j’ai baisé la sale poufiasse de parigote.
Je dépose un petit bisou sur le gland. Je ne peux pas me contenter de ça, j’ai envie de plus, j’ai de plus en plus envie. Je le lèche, le suce comme si je n’avais pas mangé depuis des semaines… C’est quelque part le cas. Ca m’excite de plus en plus, je veux le sentir en moi.
Je le lâche, retire tous les draps, me montrant nue devant lui, j’écarte les cuisses en lui demandant « baise-moi ! ». Il regarde mon corps un instant, il semble hésiter. J’insiste
- Baise-moi, s’il te plait.
- Ca ne va pas être possible. Je ne dis pas que je n’en ai pas envie, mais, j’aime pas les chattes poilues.
- Quoi ?
- J’aime que les minous sans poil. Je n’y arrive pas sinon. C’est pas contre toi, t’es super bandante. Mais…
- Tu vas pas me prendre parce que j’ai des poils ? Mais, je les coupe… Ils sont courts là.
- Même. J’aime lorsqu’il n’y a rien.
- … Je n’ai jamais tout enlevé… Tu ne vas pas me laisser comme ça, tout de même. Putain, je suis ultra chaude, j’ai super envie.
- Ben… Désolé. La pipe ça va, mais pas plus.
Je suis stupéfaite. C’est la première fois qu’on me fait ce coup. Mais, j’accepte de lui offrir ce plaisir, que j’apprécie peut-être bien plus. Je le préviens juste « Je n’avale pas ». Je m’occupe comme une folle de sa bite. Il ne tarde pas à éjaculer, m’arrosant le visage totalement. J’adore cette odeur de sperme. Plusieurs fois, dans mes différentes expériences, j’ai hésité à tenter d’avaler. Mais, j’ai toujours eu peur d’être dégoûtée par le goût.
Il a repris mon string, et m’essuie le visage avec, puis descend sur mes seins comme pour les souiller aussi. Je le fixe dans les yeux. Je ne suis pas du tout calmée, j’ai même encore plus envie qu’avant. Je dois trop le lui montrer, il me dit
- Vas-y, ne te gène pas.
- Non, ça ne va pas ? Je ne le fais jamais devant quelqu’un.
- Fais comme si je n’étais pas là. Je regarderai à peine… Laisse-toi aller. Ca reste entre nous de toute façon.
- … Putain, t’es chiant.
J’ai comme une petite voix qui me dit « ne fait pas ça », mais je ne l’écoute pas. L’envie, ou le besoin, est bien trop fort. Je m’assois sur le bord du lit, totalement découverte, les jambes écartées. Je ferme les yeux et me lance. Le contacte de mes mains et mes doigts m’électrise instantanément. Je caresse ma poitrine, je fouille mon entre-jambes.
J’oublie sa présence, j’oublie où je suis. Seul mon plaisir compte. Mon esprit n’oublie tout de même pas qu’il est juste à côté de moi. Il est comme un catalyseur qui amplifie les effets. Je m’entends gémir, je me sens jouir, je cris lorsque cet orgasme puissant me traverse le corps, le fait se tordre dans tous les sens. Et je tombe comme une feuille morte sur le matelas. Je suis essoufflée, je reprends mes esprits, j’ouvre les yeux, et je suis surprise
- Tu fais quoi avec ton téléphone ? Tu me filmes ? Mais…
- J’ai toujours rêvé qu’une fille de la classe soit en mini-jupe sans rien dessous et que je le remarque. Je découvre alors son minou tout lisse…
Le salaud, il veut me faire chanter ? J’ai bien compris le message. Je suis déçue de sa part… Déjà qu’il ne m’a pas baisée… Je me remets sous les draps, le regarde fixement. J’espère qu’il comprend toute la rancœur qu’il m’inflige et lui dis
- Je vais dormir maintenant. Bonne nuit Paul.
- ok, bonne nuit.
Ses parents sont revenus au petit matin, la route avait été dégagée durant la nuit. Mes parents sont venus me chercher peu de temps après. Je n’ai quasiment plus adressé la parole à Paul avant de partir. Je n’avais pas envie qu’il ajoute des conditions à son chantage. En tout cas, nous n’en avons pas reparlé.
Mais, j’y ai repensé tout le week-end. La météo annonçait -5°C pour lundi… Merde, en mini-jupe par ce froid, ce n’était pas jouable. En même temps, je n’étais pas convaincu d’avoir le choix. Le pire pour moi était qu’il montre cette putain de vidéo aux autres de la classe, aux autres de tout le lycée.
Heureusement que mes parents n’ont pas vu comment j’étais habillée. J’ai enfilé mon grand manteau avant qu’ils ne remarquent quoi que se soit lorsqu’ils m’ont emmenée à l’école. Mais, j’ai l’impression de ressembler à une pute.
Je me suis rasée le minou le dimanche matin. Ca m’a fait bizarre de le voir sans poil. Et en même temps, je l’ai senti bien plus sensible à mes caresses. J’ai enfilé une mini-jupe qui dévoile un peu plus que la moitié de mes cuisses. Pour ne pas avoir trop froid aux jambes, j’ai mis des bas auto-fixant que j’ai montés au maximum. J’espère qu’ils ne vont pas descendre. En tout cas, ils sont cachés par ma jupe. Et enfin, mes bottes qui couvrent entièrement mes tibias.
Arrivée à l’école, je prends tout de suite Paul à part des autres. Je lui dis directement
- J’ai fait ce que tu m’as demandée. Alors, t’effaces, ok ?
- … Hein ? J’ai rien compris là.
J’ouvre mon manteau, et lui dis « Mini-jupe sans rien dessous ». Il a l’air bête, il ne comprend pas ce qu’il se passe. J’ajoute « et épilée » en lui prenant la main, vérifiant que personne ne regarde, et la passe sous mon vêtement pour qu’il touche… Je ne pensais pas que ce simple contact m’électriserait autant. Une envie subite de me faire prendre m’envahit. Mais, il est hors de question qu’il s’en rende compte. Je le regarde de haut, alors que j’aimerai m’agenouiller devant lui. Et, j’ai vraiment l’impression qu’une étincelle vient de s’allumer dans son esprit.
- Tu parles de ce que je t’ai dit après que… ? Putain, t’as cru que je te faisais chanter ?
- … Pourquoi ? Ce n’était pas le cas ? Tu as filmé pourquoi alors ?
- Je ne sais pas trop… Parce que j’étais dans le cœur de l’action… Enfin, j’ai pas réfléchi… Peut-être que j’ai fait ça pour être certain que je n’étais pas dans un rêve.
- Mais… Tu m’as dit…
- Ben, tu venais de me montrer un truc super génial, alors je t’ai juste dit quel était l’un de mes fantasmes les plus intimes… Maintenant que t’as décidé de me le faire vivre, j’espère bien que tu vas m’en montrer plus… Je bande comme un âne.
Et moi, je me sens trop conne. Je vais devoir passer la journée ainsi. Je vais à ma place, je commence à retirer mon manteau. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, que tout le monde sait ce que je porte sous ma jupe et ce que je n’ai pas. Je me sens mal et étrangement, plusieurs autres sensations se mêlent. Je suis essoufflée, j’ai chaud, ma poitrine se gonfle. Et je me dis, plus étonnée que jamais, « Putain, pourquoi ça m’excite ? ». J’ai de plus en plus honte de mon état, je suis de plus en plus excitée.
Je m’assois, je ferme les yeux pour me calmer, je serre bien les cuisses. Je sens mon minou trempé, de la cyprine couler entre mes fesses. J’ai peur que ça fasse des tâches que tout le monde remarquera. Et j’entends « T’es peut-être une connasse de parisienne, mais au moins t’es drôlement sexy ». J’ouvre les yeux… J’ai mal calculé, je n’y ai même pas pensé. Assise, ma jupe est remontée, découvrant les jarretières de mes bas. Je crois avoir lancé un son qui ressemble à un gémissement en découvrant ça.
Je n’en peux plus, il faut que j’aille me rafraichir aux toilettes. Je me précipite trop, j’écarte trop les cuisses pour sortir de ma place. Mais, il y avait déjà un attroupement en face pour voir ma tenue. Ils découvrent bien plus, bien trop. Ils ne disent rien, ils sont trop surpris. Et moi, je sens mes joues chauffer, rougir. Je dois fuir.
Je suis presque à la porte de la classe, le prof arrive et me bloque le passage.
- où comptez-vous aller, mademoiselle ?
- Aux toilettes…
- Fallait y penser avant. Le cours commence. A votre place… Non, mettez-vous au tableau pour la correction des exercices de la semaine dernière.
Je voulais être discrète, je suis totalement exposée. Il n’y a plus de doute, tous les regards sont rivés sur moi, des sourires, des airs moqueurs… Et le bas de mon ventre vibre de plus en plus, la cyprine coule le long de mes cuisses. Ils vont le voir, ce n’est pas possible autrement. Mais, je suis coincée là. J’ai tellement honte.
Je stresse, j’ai les mains moites, je transpire de partout, j’ai les oreilles qui bourdonnent. Je ne comprends rien de ce que me demande le prof. S’il fallait que je dise combien font un plus un, j’en serais totalement incapable. Je commence à bouger un peu dans tous les sens. C’est-ce qu’il ne fallait pas faire. Je sens un bas commencer à glisser sur ma cuisse. La sueur, la cyprine…. Ca ne tient plus sur ma peau.
Il tombe d’un coup sur mon genoux, je me sens tellement bête. Il y a un silence total dans la classe, je n’ose rien regarder, j’essaie juste de remonter ce fichu bas. L’autre s’amuse à tomber à son tour. J’en remets un, et le second redescend. Et le prof s’impatiente et me dit « Voyons, mademoiselle… Faites preuve d’intelligence. Vous voyez bien que vous n’y arriverez jamais. Enlevez-les tout simplement. »
J’ai les larmes aux yeux, je n’ai jamais été humiliée à ce point. Je m’attendais à ce que ça fasse rire la classe, mais non…. Toujours le même silence. Je me penche pour baisser la fermeture éclaire de mes bottes. Je tremble, je suis maladroite, je perds l’équilibre et me retrouve fesses contre le bois de l’estrade.
Je sais que j’ai les cuisses un peu écartées, je sais que tout le monde voit mon minou nu, et pourtant, je ne fais rien pour cacher. Je continue à baisser cette fermeture éclaire, j’enlève ma botte et retire ce bas. Le prof, resté à côté de moi jusque là, se déplace, va dans les rangs. Si je ne bouge pas, lui aussi va découvrir mon intimité. Alors, pourquoi je ne fais rien ? Je n’en sais rien, j’ai l’impression d’être dans un cauchemar, dans un rêve et je vais bientôt me réveiller et me masturber comme une folle en y repensant.
Je remets ma botte, je m’occupe de la seconde. Je lève un instant les yeux, tous ont le regard rivé sur moi. Mais, c’est surtout celui du prof qui m’attire. Il passe sa langue entre ses lèvres, me matte comme pas possible. Il me voit le regarder et me dit avec un ton faussement ironique « Prenez donc votre temps. »
Je n’ai pas voulu que ça dure, mais les minutes ont été bien plus longues que j’aurai aimé. J’ai fini cette comédie, cette exhibition. Je me relève, la sonnerie indiquant la pause retentit. Je ne tarde pas pour aller aux toilettes. Je m’enferme dans un box, j’ai besoin d’évacuer tout ce stress, j’ai besoin de m’offrir un orgasme.
C’est le rush à cette heure-ci. J’entends beaucoup d’autres passer. Je me touche, doucement, il ne faut que qu’on m’entende. Et puis, plus un bruit, je me lâche, branle mon clitoris comme une folle. Je tente de retenir mes gémissements au début, mais le plaisir est trop intense. Je me laisse totalement aller. Je me mets à jouir, c’est bon, incroyablement intense. Je ne gémis plus, je lance des râles et ça dure longtemps.
Je reprends doucement mon souffle, mes esprits. Je réajuste ma jupe, et me décide enfin à sortir de ce box. Je n’étais malheureusement pas seule. Je découvre alors Laure et Marie, deux filles de ma classe, adossées au mur. Elles m’attendaient… Je vais d’humiliation en humiliation. Je baisse la tête, me dirige pour me laver les mains. L’une d’elle me dit
- Clairement, vu comme tu t’es comportée avec tout le monde, tu mériterais qu’on le raconte.
- … S’il vous plait…
- T’inquiète pas. T’as l’air vachement plus sympa lorsque tu es dans ce genre de situation… Mais, à au moindre faux pas, on te promet de te pourrir la vie.
- ok, je m’en souviendrai.
- … Pour te prévenir, Paul n’en a jamais assez… Chatte épilée, éjaculation faciale, avaler, sodomie… on ne sait pas à quel niveau tu es avec lui, mais c’est pour te prévenir.
- Merci…
Les filles partent. La sonnerie, c’est le moment de revenir en classe. Je n’en ai pas envie, mais je ne suis pas du genre à faire l’école buissonnière, surtout l’année du bac. Le prof ne me regarde pas, il me dévisage. Il me dit de retourner à ma place, mais me demande de venir le voir à la fin du cours. J’ai peur qu’il me sermonne sur ce qu’il a vu de moi. Et, je ne me comprends pas, ça m’excite à nouveau.
Plus la fin du cours arrivaient, plus je stressais et plus ça m’excite. Tout le monde quitte la classe, je reste, comme demandé par le prof. Il est assis sur un coin de son bureau, il me demande de m’approcher de lui. J’avance, hésitante, me place en face de lui. Il se lève et me dit, doucement, calmement « Tu es une jolie fille, tu dois le savoir. Mais, aujourd’hui, je me suis aperçu que tu es une vraie femme ». Il se place derrière moi, je sens son souffle dans ma nuque, je n’ose bouger, des goûtes de nouveau mon liquide intime coule le long de mes cuisses.
Lorsqu’il pose ses mains sur mes haches, que son bassin se colle à mes fesses, je sens quelque chose de dur contre ma raie, sachant de quoi il s’agit. Et je me demande quelle sera la réaction de mes copines de Paris lorsque je leur raconterai… En fait, il n’y aura aucune réaction… Elles ne me parlent plus.
Au début, nous échangions tous les jours. Puis, ça s’est espacé. Cela fait maintenant trois semaines que j’ai envoyé mon dernier message, sans aucune réponse de leur part. Elles veulent couper les ponts, je l’ai compris, mais n’ai pas voulu l’admettre jusqu’à maintenant. Je me rends compte que je suis seule, sans personne pour me soutenir ou me conseiller…
Les mains du prof remontent le long de mes côtes et se placent juste en dessous de mes seins. Je respire fort. Ces attouchements me dégoûtent autant qu’ils m’excitent. Je ne me suis jamais tapé un homme de cet âge, je n’y avais jamais pensé.
Il me glisse à l’oreille, en chuchotant, comme s’il s’agissait d’un secret.
- J’ai toujours été attiré par les jolies femmes coquines. Je pourrais t’aider à avoir un bon dossier pour te présenter à toutes les écoles que tu veux. Tu aimerais avoir un bon dossier, n’est-ce pas ?
- oui… Monsieur, ça m’aidera sûrement.
- Je pourrais aussi te donner des conseils sur les profs, sur ceux avec qui tu pourrais jouer de tes charmes. Penses-tu que c’est une bonne chose ?
- …. Je ne sais pas… Je vous fais confiance.
Ses mains sont redescendues, passent sous ma jupe et commencent à me caresser les fesses. Puis, l’une d’elle va sur l’avant, et se place entre mes cuisses, se met à me masturber. Les bruits de mouille me montent aux oreilles. Je suis plus que jamais honteuse qu’il remarque à quel point je suis excitée. Et il reprend
- D’ici cinq minutes, la salle des profs sera vide. Tu vas venir avec moi. Tu vas faire tout ce que je te demande. on est bien d’accord ?
- … oui, monsieur. Ca restera juste entre nous ?
- Tu connais monsieur Taral ?
- Mon professeur de sport ?
- oui. Tu as cours avec lui demain, piscine je crois.
- oui, exactement. Pourquoi ?
- Il saura tout de ce qu’il se passe en ce moment. Il risque d’être jaloux. Il m’a souvent parlé de toi et de tes formes… Il fantasme sur toi comme un fou. Je suis content de profiter de ton corps avant lui. Mais, je lui renverrai la pareille. Soit très gentille avec lui… oublie ton maillot de bain demain.
- Quoi ? Comment ?
- Il ne saura pas que je t’ai prévenu. Je lui dirai juste que tu es une belle petite salope. Tu lui feras la surprise comme ça… Tu t’inquiètes ? Il ne faut pas. Il a des maillots en réserve.
Je suis choquée et en même temps, j’ai aimé être insultée de la sorte. Je ne sais quoi répondre, je n’ai pas le temps. Il arrête ses attouchements et nous partons pour la salle des professeurs.
Comme prévu, il n’y a personne. Je ne comprends même pas pourquoi je suis là, pourquoi je ne me suis pas enfuie. Il s’assoit sur une table et me dit « Suce-moi. Dépêche-toi avant qu’on nous surprenne ». Je me suis agenouillée devant lui, totalement soumise. La seule chose que je peux dire à ce moment là, c’est que j’ai eu envie de me retrouvée dans cette situation.
J’ai sucé cette petite queue fine, peu appétissante. Mais, depuis le temps que j’avais envie d’une bite, je n’allais pas jouer la difficile. Lui, n’a rien demandé d’autre que cette pipe. En même temps, il n’a pas eu trop le temps, il a été plutôt rapide. Lorsque je l’ai senti arriver, je l’ai retiré de ma bouche, l’ai branlé et il a éjaculé de grandes giclés contre mon cou. J’aurai pu jouer la dégoûtée, mais, au contraire, j’ai poussé quelques gémissements en sentant ce liquide chaud frapper ma peau.
J’ai essuyé avec des serviettes en papier, mais une partie avait coulée entre mes seins. Le prof m’ordonna de quitter la pièce avant que je ne puisse totalement me nettoyer. Je sentais le sperme durant tout le reste de la journée. J’espérai n’être que la seule qui s’en rendait compte.
Paul voulait qu’on bosse ensemble après les cours. Je refusais, il insistait lourdement. Je ne pouvais pas, j’avais besoin d’une bonne douche, je ne voulais pas qu’il se rendre compte de quoi que se soit. Vu comme il me haïssait, c’était certain qu’il raconterait tout à tout le monde. Il en état hors de question.
Je me dégoûtais de ce que j’avais fait… Sucer un prof… Sucer un mec plus vieux que mon père. Et pourtant, je n’ai pu m’empêcher de me masturber sous l’eau en repensant à cette journée, ayant du mal à calmer cette excitation, rêvant qu’il me baise comme une folle dans cette salle des profs.
J’ai eu du mal à trouver le sommeil, seule dans mon lit. J’ai repensé à cette journée. Je n’étais pas fier du tout, je me suis détestée… Je me suis pourtant encore masturbée, follement excitée et apeurée de la journée qui arrivait. Pourquoi devais-je oublier mon maillot ? S’il y en avait à prêter, quel en était l’intérêt ? Je me doutais que quelque chose allait se passer, mais n’avait aucune idée de quoi.
J’ai obéis aux instructions données la veille. J’ai dis à Monsieur Taral que j’avais oublié mon maillot de bain. Il m’a regardée de haut en me disant « Je vais voir ce que j’ai pour toi ». J’attends devant les vestiaires qu’il revienne, pendant que les autres commencent à se changer. Il n’a pas cherché bien longtemps, il approche, je le vois tenir un bout de tissus blancs dans chaque main. Il me les donne, je n’en crois pas mes yeux. Un mini-string et quelque chose qui ressemble à un bandeau à mettre autour de la poitrine. Il devait y avoir un lacet à serrer autour du cou, mais il avait été visiblement retiré. Perplexe, je lui dis
- Mais, je ne peux pas mettre ça.
- C’est comme tu veux. Tu peux aussi te baigner en sous-vêtements ou nue. Ca ne me dérange pas. Je te préviens juste que je note aujourd’hui, plongeons, nages… C’est toi qui vois.
- … Je vais avoir l’air de …
- De ce que tu es. J’ai entendu parler de tes exploits d’hier. Arrête de jouer les saintes nitouches, petite salope. Assez parlé, soit tu es prête dans cinq minutes, soit je te colle un zéro.
Monsieur Mathur n’avait pas menti, il lui en avait bien parlé. J’ai compris que je devais faire le cours. J’avais tout de même le choix entre mettre ces choses ou y aller avec mes sous-vêtements bien plus sages. Mais, je me voyais mal poursuivre la journée sans ensuite car mouillés. Je portais encore une jupe et ma poitrine nue sous mes vêtements seraient trop visible aux yeux de tous. J’avais déjà fait les frais la veille. J’ai donc décidé de mettre ce maillot de bain.
Les filles ne m’ont pas vue l’enfiler. Elles étaient déjà parties sous les douches le temps que je me déshabille. Je passe le bandeau, il est petit, couvre à peine ma poitrine. J’ajuste le mieux possible, mais elle dépasse en-dessous du tissu tout de même.
Le string est pire. La ficelle me rentre totalement dans la raie des fesses, le petit triangle tout juste mon minou. C’est impossible d’avoir des poils pubiens avec ce genre de chose, ça dépasserait dans tous les sens.
Et je réalise que je vais devoir me montrer ainsi devant toute la classe. Je me mets à stresser, et mon corps se met à réagir comme la vieille. Mes seins se gonflent, les tétons pointent. Mon vagin s’humidifie, mes lèvres supérieures s’ouvrent. Le string passe entre, je n’arrive pas à le mettre correctement en place. Et j’entends le prof rappeler les autres à l’ordre. Il m’avait dit cinq minutes, je sors et rejoins ma classe au bord de la piscine.
Nombreux sont ceux qui me regarde bouche bée. J’avance timidement, je ne peux cacher à personne mon stress, mon angoisse. Tout le monde doit sentir que j’ai envie de fuir. Et le prof me dit sèchement « vas prendre une douche avant ! ». Je m’exécute, je me dépêche, il me presse. Je me mouille, et reviens rapidement. Mais, en passant devant une vitre qui me reflète, j’ai remarqué que le haut est devenu totalement transparent. Je regarde le string, ce n’est pas mieux.
Les autres ne remarquent pas tout de suite, ils sont déjà entrain de se faire noter sur le plongeon. Mais, je ne reste pas inaperçue bien longtemps. Personne ne dit rien, je sens pourtant leur regard me peser lourdement. Je me sens de plus en plus mal, et de plus en plus excitée.
Le prof me parle comme si de rien n’était. C’est à mon tour de passer. Je rate totalement, je n’ai pas l’esprit tranquille. Et le bandeau, en rentrant dans l’eau, s’est retrouvé à ma taille. Le prof m’incendie et exige que je recommence. Je remets le tissu en place avant de sortir de l’eau, comme si ça changeait quelque chose. Et je me remets en place. Mais, le prof me demande d’attendre. Il est partit chercher son téléphone portable.
Sans gène, il dit « Je te filme pour bien montrer à tout le monde ce qu’il ne fait pas faire. Et pendant qu’on y ait, tu vas nager en brasse jusqu’au bout et revenir en dos crawlé. Ne t’arrêtes surtout pas ». Je me doute bien que c’est pour une autre raison qu’il va faire ça. Je n’ai pas le choix, je n’arrive pas à réfléchir correctement, alors, je fais ce qu’il me dit.
Mon plongeon est meilleur, mais comme la fois d’avant, le bandeau se retrouve autour de ma taille. Je ne m’arrête pas, je nage comme il m’a demandée. Je touche le bord, me mets sur le dos, et repars dans l’autre sens. Mes seins sont nus devant tout le monde. Les autres ont pu voir mon minou la veille, ils observent maintenant une autre partie de ma féminité. Mais, je continue tout de même. J’ai super honte, je suis à un niveau d’excitation extrême. Et le prof marche sur le bord et avance en même temps que moi avec son téléphone braqué en ma direction.
Enfin arrivée, je recache mon corps dans l’eau. Le prof me dit tout de suite « Pas mal, mais laisse la place aux autres maintenant. Sorts tout de suite ». J’ai compris qu’il ne me laissait pas le temps de couvrir à nouveau ma poitrine, je l’ai fait après être sortie de l’eau.
Je n’ai pas eu besoin de nager à nouveau, de retourner dans la piscine jusqu’à la fin du cours. Je me suis protégée enveloppée dans ma serviette à regarder mes camarades se faire noter. Le cours se finit, tout le monde va prendre sa douche, sauf moi. Le prof m’a demandée de rester. Il attend que les autres soient suffisamment loin pour me dire
- Je te mets un zéro.
- …. Mais… Pourquoi ?
- Tu n’étais pas prête à temps.
- Ce n’est pas juste !
- Tu trouves ?… Il y a peut-être moyen pour toi de gagner quelques points tout de même. Qu’en penses-tu ?
- Que dois-je faire ?
Il sourit en disant « Je vois que tu comprends ». Il me regarde de la tête aux pieds. Je baisse les yeux vers le sol, mais remarque qu’il commence à bander dans son boxer de bain. Et il reprend « Déjà, tu vas me rendre le maillot. Ensuite, on ira dans un coin plus tranquille à l’abri des regards ». Je comprends bien ce qu’il me dit. Je retire ma serviette, je retire ces bouts de tissu. Il a un regard dominant et vicieux. Une fois toute nue, il m’entraîne dans une remise où se trouvent différents accessoires de piscine.
A peine sommes nous arrivés qu’il me fait baisser, pauser mes mains sur un coffre pour que je tende mes fesses en arrière. Et dans la seconde suivante, il me pénètre. Je suis humiliée et dégoûtée de me faire prendre par ce sale type, ainsi, comme si je ne servais qu’à ça. Je reconnais aussi prendre enfin du plaisir à sentir une verge entrer en moi. Il me traite de petite chienne en manque… Il a bien remarqué que j’étais ouverte et trempée.
J’aimerai lui cacher que je prends du plaisir, mais je n’y arrive pas. Je gémis à chacun de ses coups de butoir. Il y va fortement, sans se soucier de ce que je ressens. Puis, il sort et son gland se place à l’entrée de mon anus. Je lui dis alors
- Non, s’il vous plait, pas par là.
- … Vraiment ? Je sais que tu aimerais ça… ok pour cette fois. Mais, un jour, je t’enculerai et tu me supplieras de recommencer. Allez, salope, à genoux. Je veux vérifier par moi-même tes dons de suceuse.
Je n’ai jamais sucé après avoir été pénétrée. Ca me dégoûte un peu, lécher ma propre mouille. Je ne me vois pas non plus lui dire non une seconde fois. Je suis soumise et lui obéis. Je commence doucement, écœurée. Le goût est indéfinissable et je suis incapable de dire si j’aime ou non. Mais le prof s’impatiente et, tout en prenant ma tête avec ses mains, dit « Bon, on ne va pas y passer la journée ».
Il se met alors à baiser ma bouche. C’est désagréable, je ne suis pas du tout le rythme. Je me mets à saliver comme pas possible et ça commence à me couler le long du menton, sur ma poitrine. Il s’excite de plus en plus. Je le sens grossir, je sens qu’il va éjaculer. Mais c’est hors de question qu’il le fasse dans ma bouche. J’arrive à me dégager, à sortir son sexe de ma bouche. Pour éviter qu’il râle, je le prends tout de suite en main et le masturbe vigoureusement.
Les premiers jets de son liquide chaud me heurtent le visage et les cheveux. Je lève la tête, baisse sa queue. La suite de son éjaculation finit sur ma poitrine. Je me relève et il me donne une tape sur les fesses en me disant
- Vas t’habiller. C’est l’heure de partir.
- … Et ma note ?
- Ho, mais t’es en faite une pute qui veut se faire payer… Je te donne 10 sur 20… Tu ne me remercie pas ? Ce n’est pas assez ?
- Je pensais avoir plus tout de même.
- ok… Je te rajouterai cinq points si tu n’oublies pas ton maillot la semaine prochaine. Mais, attention à ce que tu mettras… Tu comprends, n’est-ce pas ?
- … oui, monsieur.
- Bon, parfait. Ne perd pas de temps à prendre une douche.
Je suis retournée aux vestiaires en oubliant de récupérer ma serviette. Même sans être couverte de sperme, tous les autres savaient ce qu’il venait de se passer. J’ai honte, je ne dis rien, fais profil bas. Personne ne me parle non plus.
Je pensais finir la journée plus calmement, même si l’odeur de sperme qui dégageait me paraissait bien. Des mèches de cheveux étaient collées à cause de cette substance qui avait séché. Je sais que tout le monde parle dans mon dos. Je ne peux plus rien y faire. Ils doivent bien s’amuser, la connasse de parisienne qui se fait publiquement humiliée… Je me sens désespérément seule.
Je compte sur le cours de chimie de cet après-midi pour penser à autre chose. Mais, le prof, dès le début du cours, me pose un papier sur ma paillasse. Il n’a pas essayé d’être discret, tous les autres l’ont vu faire et attendent que je regarde ce qu’il y a dessus.
Je déplie le papier, il y a une impression de moi, de ce matin, nageant sur le dos seins nus. Je comprends tout de suite d’où elle vient, et que je suis déjà la proie pour tous ces profs. Le mot dessous le confirme : « Demande à t’absenter, et reviens nue sous ta blouse ». Je me suis exécutée dans les minutes qui suivent.
Avant d’obéir, je me suis demandée ce qui se passerait si je refusais. J’avais compris que ce prof aussi faisait partie de cette bande, je ne savais pas qui d’autre encore. Déjà, des images diffusaient entre eux, qu’allaient-il en faire après ? Y avait-il des personnes sur qui je pouvais compter ? C’était bien trop tôt pour le dire. Et puis, même si cette situation était très glauque, elle m’excitait comme pas possible. Je relativisais en me disant que n’allais pas être nue devant tout le monde. J’aurai toujours ma blouse.
Mais, personne n’était dupe. on ne voyait plus mon pull dans le petit décolleté, on ne voyait plus ma jupe qui dépassait dessous. Et un autre message posé sur ma paillasse quelques minutes après que je sois revenue : « trois pressions en bas, quatre en haut ». C’était trop beau, il était évident que je n’allais pas rester comme ça. J’ai été naïve de penser le contraire.
Je commence par le bas, le plus discrètement possible. Après la seconde pression, assise derrière ma paillasse, j’ai déjà le minou presque nu. Et je me pose toujours la même question, pourquoi ces situations m’excitent autant. Je suis sur le point d’enlever cette troisième pression, je sens des regards sur moi. Mon voisin de gauche matte ce que je fais. Je ne comprends pas son regard. Il n’est pas moqueur, pas amusé… Inquiet en fait… C’est l’impression que ça me donne. Il plisse même le front lorsque j’ouvre plus le bas, découvrant clairement mon pubis.
Je mets bien moins de temps pour le haut. Je pose mes mains sur les pans de ma blouse, et je tire doucement en comptant « 1…2…3…4 ». Voilà, j’ai fait comme demandé. J’ose à peine regarder ce que ça donne… ce n’est plus un décolleté que j’ai, mais un précipice. Même mon nombril est visible. Pour être plus précise, il ne reste qu’une simple pression un peu au-dessus de mon pubis. Je n’avais pas calculé, contrairement au prof qui savait très bien ce qu’il me demandait.
Et puis, moins d’une minute plus tard, Il me fait passer au tableau pour que je résolve un exercice. C’était une nouvelle occasion pour être exhibée. Et c’est avec le vagin trempé et la cyprine me coulant entre les cuisses que je j’ai traversé la salle, sous tous ces regards, morte de honte et d’excitation.
Le prof est un vrai sadique. Il se moque ouvertement de mon apparence devant tout le monde, m’insulte presque. Ca l’amuse de m’humilier, et je n’ai aucune défense, obligée de subir sans rien dire… Je me sens tellement faible face à eux tous que je suis incapable de réagir. Mais ce n’était rien par rapport à ce que j’ai ressenti lorsqu’il dit « Vous avez oublié de vous essuyer après la piscine ou vous avez un problème de plomberie ? ». J’étais en larme, humiliée comme jamais, en voulant à mon corps de réagir ainsi.
Entendre la sonnerie de la pause n’était pas un réconfort. Je savais que je ne pouvais pas sortir comme dans cette tenue, me montrer ainsi devant tous les autres du lycée. Je devais rester en classe et je prenais conscience que ça ne serait pas de tout repos.
Le prof avait su me diminuer à un point inimaginable, humiliée comme jamais. J’étais totalement affaiblie psychologiquement, sans la moindre volonté. Alors, lorsqu’il s’est assis sur la paillasse bien en face de moi, ayant attendu le départ des autres, lorsqu’il me demanda une fellation, je n’ai pas hésité. C’était la suite logique des choses. J’ai ouvert son pantalon, j’ai sorti sa verge à moitié bandée et j’ai commencé à la sucer.
Après plusieurs minutes, il me dit qu’il allait éjaculer dans ma bouche. Je n’en avais pas envie… Peut-être que si en fait, je ne savais plus très bien. L’idée me dégoûtait autant que l’envie de savoir ce que ça faisait. De toute façon, étais-je en mesure de choisir ?… L’instant avant qu’il se mette à éjaculer, il me dit « Garde tout dans la bouche, n’avale pas encore ». Et ma bouche commence à se remplir de ce liquide tiède et épais. Je n’arrive pas à tout garder, je n’avale pas non plus. Alors qu’il continue à se déverser, une partie coule entre mes lèvres. Ca descend le long de mon maton, ca tombe dans mon décolleté.
Il sort sa verge, enfin, et me prévient « N’avale pas encore ». Il fouille dans une poche de son pantalon sous sa blouse pour sortir son téléphone. Il l’actionne et me demande d’ouvrir bien grand pour lui montrer ce sperme. Après plusieurs photos ainsi, il me dit d’avaler… Ca a du mal à passer, le goût me donne la nausée, mais je le fais tout de même. Et ensuite, j’ouvre à nouveau la bouche pour lui montrer, pour qu’il puisse me photographier à nouveau, comme il me l’avait demandé.
Il me demande de m’assoir sur la paillasse et de me caresser devant lui. Il a toujours son téléphone braqué sur moi, je pense que cette fois, il filme. Même si je préfèrerai ne pas me masturber devant lui, tout mon corps réclame un instant de plaisir. Mes me font du bien, ça me détend, j’en avais tellement besoin. Ma blouse est totalement ouverte, je montre entièrement à ce salaud et ça me plait. De toute façon, je ne suis plus à exhibition prêt.
Mes doigts sur le clitoris me font gémir sans retenue. Le plaisir monte vite, je sens déjà l’orgasme arriver. Et il m’ordonne « Regarde bien l’objectif lorsque tu jouiras ». A nouveau, j’obéis. Je fixe le téléphone et mes cris cachent presque la sonnerie indiquant la fin de la pause. Et il me dit « Reste comme ça, mais écarte bien les jambes vers la porte. Je sens que t’as encore envie de te branler… J’adore, c’est tellement facile avec toi ». Je suis affolée. Les autres vont arriver d’un instant à l’autre. Et pourtant, je me mets comme il me demande, et me masturbe à nouveau, j’en ai tellement envie.
Plus tard, ce qu’il me dit alors résonna dans ma tête, comme une alarme : « c’est tellement facile avec toi ». Pour est-ce facile avec moi ? Pourquoi ça le serait moins avec d’autres ? Il y en a d’autres ? Je ne suis pas la seule dans cette situation ?
Le cours va rependre, le brouhaha des autres élèves devient de plus en plus présent. il sort de la salle. Je l’entends crier « Rentrez en silence, le cours reprend ». Les uns après les autres me découvrent entrain de jouer avec mon clitoris. Je les vois rentrer un à un, chacun me regarder, chacun prenant un air différent devant le spectacle que je leur offre. La pression augmente à une vitesse affolante, et je me mets à jouir devant eux, je continue à me masturber. Le prof rentre en dernier, il fait mine de découvrir la scène, et prend un air scandalisé. Il m’hurle « Petite dépravée. Revenez donc au tableau, ça occupera vos mains. Et fermez donc cette blouse, ce n’est pas une maison close ici ! ».
Le temps que je remette mes vêtements, cachée dans les toilettes, tout le monde est parti. Enfin, pas vraiment. En prenant le couloir, je vois Paul parler avec d’autres. Je ne veux pas qu’ils me voient, j’ai été assez humiliée comme ça pour aujourd’hui, ce n’est pas la peine que ça continue. Je me cache derrière une armoire. Et je les entends parler. Paul semble en désaccord avec les autres qui lui disent
- Mais, laisse tomber. Elle le mérite bien. Tu ne te souviens pas comment elle nous a insultés dès le départ. C’est une pouf cette fille, une connasse. Tu crois vraiment qu’elle est obligée ?
- Vous ne vous rendez pas compte… Ca va pourrir sa vie à jamais.
- Et si tu fais quoi que se soit, c’est la tienne qui va être pourrie. Et puis, t’as vu, ça lui plait. Si elle n’aimait pas ça, elle ne mouillerait pas comme une fontaine…
- Je ne crois pas. C’est pas si simple.
- … Ce n’est pas Emilie. Te mêle pas de ça, pour ton bien.
Emilie ? C’est qui ? Je sors de ma cachette, avec une sorte de lueur d’espoir dans les yeux. Il y a une partie de vrai de ce que disait l’autre, mais je n’ai aucune envie que ces situations se reproduisent. Les autres me voient et partent, mais pas Paul. Je suis directe avec lui
- C’est qui Emilie ?
- Personne.
- Elle a subit la même chose que moi, c’est ça ? Je veux la rencontrer, s’il te plait.
- Non, ce n’est pas possible. Et même si je te la présentais, elle ne voudra pas te parler.
- … Alors, ça ne changera rien que tu essaies… S’il te plait.
Je le supplie, pleure devant lui. C’est peut-être ma seule chance d’arrêter ce qui se met en place. Il a le regard triste et finit par me dire « ok… Je pense vraiment que tu ne mérites pas ça. Demain après-midi, je t’emmène la voir ». J’ai eu l’impression de respirer pour la première fois de ma vie. Je découvrais alors que Paul avait redoublé sa première, avait aujourd’hui plus de 18 ans, son permis de conduire et une voiture.
Mais, j’avais encore cette matinée de ce mercredi à passer. Et je ne savais absolument pas ce qui allait m’arriver durant les cours d’anglais et d’espagnole. Je suis déjà arrivée à l’école avec la boule au ventre, c’était à cause d’une interro où je savais que j’allais me planter. Mais, cette fois, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre.
Et la matinée s’est passée sans rien. J’étais soulagée. Nous sommes parties dès la fin des cours. Il m’a emmenée à 150 kilomètres de là… Nous n’avons pas parlé. Et pourtant, j’avais des milliards de questions à poser, sans savoir par la quelle commencer.
Il s’arrête à côté d’un petit bistro. Nous sortons de la voiture, il me fait rentrer dans l’établissement. Un jeune homme, un serveur certainement, nous dit « Désolé, mais le service est terminé pour ce midi ». Paul lui dit qu’on n’est pas là pour manger et veut savoir si Emilie est là. L’homme l’appelle, et je remarque une fille très grosse, sans aucune joie de vivre s’approcher. Paul va tout de suite à sa rencontre, elle semble heureuse de le voir. Ils se font la bise et se mettent à discuter en retrait.
La fille lui dit « non, hors de question. Fais la repartir ! Je ne veux plus jamais reparler de cette histoire ». Paul parle doucement, je n’entends pas ce qu’il lui raconte. A plusieurs reprises, elle jette un œil sur moi. Et je l’entends dire « ok, cinq minutes, pas une seconde de plus ». Paul vient me chercher et me fait assoir face à Emilie, puis va plus loin pour nous laisser en tête à tête. Elle a les yeux rouges, elle est au bord des larmes. Sèchement, elle me demande « C’est quoi ton histoire à toi ? ». J’ai dû mal à savoir par où commencer, les mots m’écorchent la bouche comme des lames de rasoir. Je ne pensais pas que ça serait si dur de tout raconter.
Les cinq minutes sont passées, mais elle continue à m’écouter. Je me mets à pleurer, elle aussi. Elle sait parfaitement ce que je ressens et vis. Et lorsque j’ai fini, n’ayant pas hésité à rentrer dans les détails, elle me demande
- Et qu’est-ce que tu attends de moi ?
- Que tu m’aides à sortir de ça.
- Ce n’est pas possible. Ils t’ont photographiée et filmée, ils te feront chanter pour que tu assouvisses le moindre de leur désir.
- Mais, il y a bien une solution, quelque chose… Un prof sur qui compter ?
- Non, personne. Ils sont tous à mettre dans le même panier. J’ai essayé, qu’est-ce que tu crois ? J’ai dit non une seule fois. J’ai été convoquée chez le directeur, il y avait ma mère. Il lui a montré des photos de moi entrain de me masturber dans la classe. Il a joué le mec gentil en excusant mon écart… J’ai compris l’avertissement.
- Le directeur aussi ?… Ca a commencé comment pour toi ?
- Je ne sais plus, vraiment. Mais, c’était une sorte de jeu pour moi. Putain, j’avais eu un 17 sur 20 en histoire alors que j’étais super nulle, juste parce que j’avais écarté les cuisses. C’était génial et facile, j’allais avoir un super dossier scolaire pour aller où je veux après. Au premier trimestre, j’étais première de la classe juste en couchant. Et puis, après, mes notes étaient moins bonnes. Ils me demandaient de faire de plus en plus de trucs pour faire monter ma moyenne. C’était devenu un cercle infernal et j’étais totalement seule, personne pour me soutenir. Je me suis retrouvée à me faire partouzer dans la salle des profs juste pour obtenir un simple 5 en math, la matière où j’étais la plus forte. Tu vas comprendre pourquoi ils aiment tant les QCM… Ca leur permet de truquer tes réponses… Ils adorent t’obliger à faire ce qui te répugne. Je suis désolée pour toi, mais la seule consolation que tu auras c’est de te dire que tant qu’ils sont sur toi, une autre est sauve. Tu n’es pas la première à qui ça arrive, moi non plus d’ailleurs, et tu ne seras pas la dernière. Tu as dû te demander pourquoi il n’y avait que des profs masculins dans ce lycée… Tu connais maintenant la réponse.
- … Il n’y a jamais eu de prof femme ?
- Si… Elles ne sont jamais restées longtemps. Le directeur leur fout la pression pour qu’elles dégagent : « Trop gentille… Trop sévère »… Jamais rien ne va…
Je l’ai remerciée pour ces confidences. J’aurais pu lui demander bien plus, avoir plus de détails. Mais à quoi bon, je savais maintenant à quoi m’attendre. Nous sommes repartis avec Paul. Il me dit
- Tu sais, elle n’était pas comme ça avant. Elle était jolie comme un cœur, bien foutu à en faire baver plus d’un… Une joie de vivre comme pas possible. Ca lui ai arrivé il y a deux ans. Tout ce qu’elle espérait c’était d’avoir son bac pour ne pas être obligée de revivre tout ça. Je crois que ça l’aurait tuée sinon.
- … Je ne veux pas finir comme ça… Elle est quoi pour toi ?
- Une merveilleuse amie, une confidente, ma première aussi. J’étais en seconde, j’ai souffert de ne pas savoir quoi faire pour l’aider. Et tous ses amis se sont détournés d’elle, l’ont insultée comme de la merde…
- Je ne veux pas qu’un de ces porcs me dépucèle l’anus.
- … Ca arrivera, que tu le veuilles ou non.
- Non, pas si quelqu’un le fait avant… Soit le premier, s’il te plait.
- Tu dois te douter que je rêve de le faire, et te faire plein d’autres trucs aussi. Mais, si c’est pour te préparer à leurs assauts, je le ferai à leur manière.
- C’est-à-dire ?
- Pas de préparation particulière, pas de lubrifiant. Ca risque de te faire mal, mais j’irai doucement.
- ok, ça me va. J’ai envie qu’on arrive vite chez toi pour que tu me le fasses.
- Quoi ? Aujourd’hui ?
- Les vacances sont dans une semaine et demi. Je ne pense pas qu’ils laissent mon cul tranquille jusque là… Le prof de sport a déjà voulu me pénétrer par là…
Je suis là, à quatre pattes sur le lit de Paul. J’ai peur. Lorsque j’ai senti son gland à l’entrée de mon anus, je me suis totalement contractée. Il m’a caressée le dos en me disant « Chuuut, détends toi. Ca sera plus facile, je t’assure. Et cambre toi un peu plus. ».
Je le sens appuyer, à commencer à rentrer. J’ai déjà mal, je suis certaine que ma peau est entrain de se déchirer. Je gémis de douleur, il se retire.
- on ne va pas y arriver.
- Si, il faut que tu le fasses. Tant pis si j’ai mal. Je préfère que se soit toi qu’eux.
- C’est chaud, t’as le cul super séré en plus.
Tant pis pour ça. Il se remet en position, recommence à rentrer, la même douleur, je mords l’oreiller. Et je commence à le sentir à l’intérieur. Il s’arrête, je lui demande
- T’es dedans ?
- Pas entièrement, juste le gland. Je continue. Je vais faire de petits vas-et-viens pour aller jusqu’au bout.
Je le sens faire ce qu’il m’a dit, la douleur est toujours présente. Je lance des râles de souffrance, les larmes coulent de mes yeux, je serre fortement les draps. Ca dure si longtemps. Et puis, enfin, il est tout entier en moi. Il reste un moment sans bouger, mais l’entrée de mon cul me brûle.
Et il recommence des vas-et-viens, avec de petits mouvements au départ, augmentant leur amplitude en même temps que mes gémissements de douleurs se calment. Ca me fait de moins en moins mal, et au bout de quelques minutes, je ne souffre plus du tout. Et il me demande
- Ca va ?
- oui.
- Tu aimes ?
- Je ne sais pas. C’est un peu étrange comme sensation. Mais, je ne déteste pas.
Il continue encore un peu et se retire. Je ne l’ai pas senti éjaculer et il se rhabille. Je touche mon anus, il n’y a pas de sperme qui en sort. Le trou semble si grand. Et je lui demande
- Tu veux pas aller jusqu’au bout ?
- Pas maintenant. on recommencera plus tard lorsque ton anus aura repris sa forme normale.
- Quoi ? Tu veux recommencer ?
- Tu crois que ton cul va s’habituer en une seule fois ?… Regarde dehors.
Il neige, fortement. Ca nous fait rire et je lui dis « Tu dois le faire exprès. Deuxième fois que je viens et me voilà encore coincée chez toi ». Et puis, c’est pas si mal que ça, on a tout de même un exposé à finir pour la semaine suivante.
A peine nous sommes nous mis à son bureau que ses parents rentrent. Ils ne sont pas trop étonnés de me voir, sachant que je dois travailler avec leur fils. Par contre, ils ont préféré rentrer avant d’être totalement bloqué cette fois.
La neige continuant à tomber, paralysant une nouvelle fois la ville, c’est convenu avec mes parents, je reste dormir chez Paul. C’est l’occasion de travailler, mais pas que l’exposé. Malgré la présence de ses parents, enfermés dans la chambre, nous nous déshabillons à nouveau, je me suis remise à quatre pattes. Je n’ai plus peur, j’ai confiance en lui.
- Non, pas comme ça. Allonge toi sur le dos.
- Tu ne vas pas me sodomiser ?
- Si, mais dans cette autre position. Ils le feront aussi, pour voir ton visage en même temps.
Je le laisse me diriger. La position est moins confortable, mais il s’enfonce tout de même. J’ai moins mal, mais le début reste difficile. Puis, ça va bien mieux. Je mets mes mains sur ses hanches, et commence à bouger à mon tour pour l’accompagner. Il me dit alors
- Tu as l’air d’aimer ça.
- oui, mais je ne vais pas jouir comme ça.
- Tu peux te toucher en même temps.
Sa voix montrait toute l’excitation qu’il avait en m’imaginant le faire. Je lui fis ce plaisir. Il regarde mes doigts bouger sur mon clito, il aime voir mes doigts masturber mon clitoris et j’aime lui montrer. J’aurais pu jouir bien plus tôt, mais j’avais envie de déclencher mon orgasme en même temps que le sien.
D’un coup, il sort. J’attrape sa queue, et la branle au même rythme que je branle mon petit bouton. Je jouis en fermant les yeux, je sens son sperme sortir et tomber sur mon ventre. J’ai pris du plaisir à me faire baiser, même à me faire enculer. Ca fait du bien.
Je garde le sperme sur mon ventre pendant qu’il se rhabille. Je sais qu’ils vont m’en faire avaler plein. La texture et l’odeur me répugnent, mais je plonge deux doigts dedans et les porte à la bouche. Il faut que je m’habitue. Paul me regarde faire et en rigolant me demande
- C’est bon ?
- Amer et salé… Pas terrible.
Je lèche pourtant mes doigts et recommence, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Et Paul me demande
- Je peux te poser une question ?
- Vas-y.
- La semaine prochaine, à la piscine, tu vas devoir remettre le maillot ?
- … Non. Il veut que j’amène le mien, et faut que se soit provoquant. Mais, j’ai rien… Juste des maillots normaux. Tu crois que ça ira tout de même ?
- Non.
Et il ouvre son placard, écarte des boîtes, en ouvre une tout au fond et fouille dedans. Il ressort quelque chose qui ressemble à un petit amas de corde et me le donne.
- C’est quoi ?
- Un maillot. Emilie devait porter ça pendant les cours.
- Emilie ? Tu as des affaires d’elle ?
- oui, j’ai tout récupéré… J’aurai du les jeter, mais… Je ne l’ai pas fait…
- … Ca se met comment ?
Ce maillot est juste composé de grosses ficelles, avec trois toutes petites pièces de tissu qui servent de cache téton et cache sexe. Je me regarde dans le miroir pour me rendre compte à quoi je ressemble dedans… Je ne sais pas quoi dire, ça ne ressemble pas du tout à ce que je pensais de moi, une jeune fille assez sage et fréquentable.
Mes tétons sont effectivement cachés, mais pas mes larges aréoles qui dépassent. Et ce cache sexe n’est qu’un cache clitoris. Le début de la fente de mon minou est à l’air, et une corde passe entre mes lèvres, remonte entre mes fesses.
- Putain, si j’y allais à poil, ça serait moins provoquant.
- C’est clair. Mais, ce n’est pas ce qu’il veut… Tu fais une tête bizarre.
- … Je m’imagine mardi.
- Et ?
Je ne lui réponds pas. Mais, il doit bien voir mes tétons qui pointent. Je m’accroupie devant lui en le fixant dans les yeux. J’ai le souffle court. J’écarte le bas, pour bien libérer mon minou et lui dit
- Je ne comprends pas pourquoi ça me fait cet effet à chaque fois.
- … Tu me donnes envie de faire quelque chose.
Son regard part sur le côté, sur son appareil photo, et je lui dis « Fais le ». Mais, on frappe à la porte, la voix de la mère de Paul qui demande « Je peux entrer ? ». Et Paul lui réponds « Une minute ! ». Il attrape dans son placard un tee-shirt et me le lance « Tiens, mets ça ! ». Je l’enfile, il ouvre la porte.
Elle est venue pour me dire qu’elle avait préparé la chambre d’ami pour moi, qu’elle y avait mis des serviettes pour que je puisse me laver. Elle a aussi proposé gentiment de laver mes affaires pour avoir quelque chose de propre à remettre le lendemain… Mes vêtements étaient tous en tas juste au pied du lit et bien visibles.
Lorsqu’elle est repartie, j’ai demandé à Paul
- Tu crois qu’elle se doute de quelque chose ?
- Non, je pense qu’elle n’a aucun doute. Vu comme tu gémissais tout à l’heure, toute la maison a entendu.
Pour faire bonne figure, je suis allée me coucher dans la chambre d’ami. En pleine nuit, je suis allée rejoindre Paul dans son lit. Je me suis totalement offerte à lui comme je ne l’ai jamais fait avec qui que se soit. J’ai aimé sentir sa verge dans chacun de mes trous. J’ai tenté d’être silencieuse, parfois en m’enfonçant la tête dans l’oreiller. J’espère n’avoir réveillé personne. Finalement, le moment où j’ai fait le moins de bruit est quand j’avais son sexe dans la bouche. Il m’avait prévenu qu’il allait conclure… J’ai continué à le sucer, avalant chacune de ses giclées… J’étais bien moins écœurée, même si le goût ne me plaisait pas encore.
Et, je me suis blottie dans ses bras. Des sentiments nouveaux naissaient… Qui aurait cru une semaine plus tôt que j’aurai pu tomber amoureuse de ce mec, de ce bouseux, de ce saltimbanque ? Pas moi en tout cas. Il me surprend en me demandant directement
- Sais-tu ce qu’est une gorge profonde ?
- … Heu… C’est lorsque la fille fait rentrer entièrement la bite du mec dans la bouche. Pourquoi tu me demandes ça ?
- Tu en as déjà fait ?
- Bien sûr que non. C’est un truc à faire vomir. Si c’est un de tes fantasmes, ne compte pas sur moi pour…
- Emilie non plus ne voulait pas. Ils ne lui ont pas laissé le choix.
Stanriff
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