Un soir, comme d’habitude, je rentre me garer sous mon immeuble. Les phares allumés, je roule au ralenti dans le parking souterrain. C’est là que je les vois : deux types. L’un est debout, un sourire aux lèvres, et me fixe sans la moindre gêne. L’autre est accroupi devant lui. Intrigué, je gare ma voiture et décide d’aller voir de plus près. En m’approchant, je reconnais le concierge de l’immeuble, à genoux, en train de sucer un mec, un Beur que je ne connais pas.
Une fois leur affaire terminée, le gars remonte son pantalon et me lance, nonchalant :
— Vas-y, te gêne pas, il est chaud et il suce bien.
Je reviens tout juste d’une séance de muscu, encore en sueur, loin de sentir la rose. Mais ça ne semble pas déranger le concierge. Il me regarde, ouvre la bouche, prêt à recommencer.
— Relève-toi et appuie tes mains au mur. Je veux ton cul !
Il obéit instantanément, se met en position, cambrant les reins dans une pose qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Je sais que je suis bien monté, et quand mon gland force l’entrée, il a un petit sursaut. Ce salaud m’a déjà excité, alors je pousse. Une fois passé le cap, je le prends sans ménagement. Pas au point de le détruire – il a visiblement l’habitude – mais assez fort pour le faire couiner, ma fierté en jeu.
— Remonte ton froc, je monte à la loge avec toi. C’était qui, le mec que t’as sucé ?
— Je le connais pas. Je l’ai juste croisé dans la rue en sortant les poubelles. Il m’a suivi et m’a dit de descendre au garage.
— Et t’as obéi comme ça, direct ?
— Ben… j’avais pas fait gaffe, mon jogging avait glissé, j’avais pas de slip dessous…
— Et lui, il t’a dit de le sucer, et toi t’as plongé. Une vraie salope, quoi.
— Pire, mais c’est mon jardin secret.
À la loge
Arrivés à la loge, je lui ordonne :
— Fous-toi à poil, comme moi. Je vais prendre une douche chez toi, et tu m’expliqueras tout ça en détail.
La douche est petite, mais suffisante pour me laver la bite. Puis je lui dis :
— À toi maintenant. J’ai vu la canule, alors lave ton cul.
Je ne me gêne pas pour mater son corps pendant qu’il s’exécute. Pas mal foutu, visiblement entretenu.
— Vous vous détournez pas, le temps que je mette la canule ?
— Non. Une salope doit aimer tout montrer.
Il se cambre, glisse la canule avec précaution et ouvre l’eau. Je pose une main sur son ventre, sentant les gargouillis. Il rougit quand l’eau sale sort, coulant sur ses cuisses. Une fois propre, je vais m’asseoir dans un fauteuil pendant qu’il s’essuie.
— Alors, raconte-moi ton « jardin » avec un peu de détails.
Il détourne la tête, gêné.
— Ben… J’ai un jour de repos par semaine. La veille, dans la nuit, quelqu’un glisse un mot dans ma boîte. Ça me dit où et quand je dois aller.
— Public ? En pleine nature ?
— Je sais pas à l’avance. Ni ça, ni la tenue.
— Et en bonne salope, tu y vas !
— J’ai pas envie de perdre mon boulot ou d’être dénoncé.
— Tu te fais ramoner le cul avec plaisir ?
— Parfois, oui, beaucoup de plaisir. Parfois, je crie de douleur quand c’est trop gros.
— Des jeunes ? Des vieux ?
Je me rhabille pendant qu’il répond.
— De votre âge, oui. Moi, je dois mettre une cagoule en arrivant, une fois dans la voiture. Parfois, c’est dans un parking, parfois en pleine nature. Toujours cagoulé. On me met nu, je dois sortir, et la voiture s’en va. Je reste là, à attendre, à poil. C’est flippant dehors, on entend plein de bruits, mais dès qu’un mec arrive, je bande rien qu’à l’entendre.
Il ajoute :
— Je cherche une place de livreur, logé, pas trop loin d’ici, où personne me reconnaîtrait.
— C’est pas ma recherche, mais y a quelques conditions. Tu me sembles apte à les encaisser. Buvons un verre, je t’expliquerai. Tu me donneras ta réponse tout de suite. Le temps de régler quelques trucs, et tu déménageras. T’as de la bière ? Vire ton froc, j’aime voir les fesses bouger.
Sans hésiter, il ôte son jean, nu dessous, va chercher une bière et revient.
— Un verre ?
— Oui, un seul. Toi, tu dois aimer boire au goulot.
Il sourit et trinque. Je suis assis, lui debout. Je tends la main, soulève ses couilles.
— Pas trop poilu, j’aime bien.
— J’ai jamais eu beaucoup de poils, ni là, ni au menton.
— Bonne chose, je t’aurais fait raser sinon.
Je sens sa bite se raidir.
— Un fantasme, mec ?
— Oui… Je me rappelle plus quand ça a commencé à pousser, mais j’aime pas.
— Tu feras gamin une fois nu.
— Je me doute, mais c’est mon fantasme.
Proposition
Je passe aux choses sérieuses :
— Bon, parlons boulot. Tu auras la charge d’entretenir mon appart. Un simple escalier te permettra de descendre chez moi. Tu feras les courses nécessaires et serviras de vide-couilles pour moi et mes amis. Je te dirai ta tenue chaque jour. Si tu te trouves un ami en faisant les courses, tu devras me le présenter, et c’est moi qui l’étrennerai avant toi. Quand tu voudras te vider – vessie, bite ou anus – tu me le demanderas.
Il tressaille à chaque condition.
— Euh… un salaire ?
— T’es gonflé, toi. Nourri, logé, tu fais tes courses avec les miennes, et tu veux un salaire ? Ce sera déjà mon jus que t’auras, où et quand je voudrai. Si un ami est satisfait, t’auras un petit à-côté, dont je discuterai pas. Les vêtements ? T’en auras peu besoin, je réglerai ça et je choisirai. Autres questions ?
— Je dois commencer quand ?
— Quand j’aurai trouvé un concierge pour te remplacer. Tu signeras le contrat à ce moment, si ça te convient.
— Vous avez pu constater à ma réaction que j’approuvais tout. Des moments de soumission intense ?
— Oui, c’est compris dans le contrat.
— Alors trouvez vite un remplaçant, et je serai votre serviteur.
Gérard
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