Jeux dangereux 1
La chaleur lourde de la nuit empêche de bien dormir. La fenêtre et ouverte le volet levé. la lune éclaire, le corps de Marion, qui est étendue sur son lit, ses longs cheveux sont étalés pêlemêles sur l’oreiller.
A force de s’agiter, Sa nuisette chiffonnée, a remontée sur le haut de ses cuisses, et laisse apercevoir une partie de sa fine toison. Logan son mari n’arrive pas à trouver le sommeil, contemple à la lueur de la lune, le corps de sa femme qui a encore changer de position, elle est sur le flanc avec une jambe repliée, ses fesses sont en partie découvertes.
Logan ravale sa salive, ses yeux pétillent. Il pose sa main sur le haut de la cuisse de sa femme, et lentement, la fait glisser sur la courbe de la fesse. Marion encore assommée par ma moiteur de la nuit, pousse un petit soupir. Ses doigts avec douceur glissent dans le large sillon, et se posent sur la fleur ridée. Logan adore cet endroit. Marion, ne refuse jamais l’accès de sa petite porte à son mari, la coquine adore toutes sortes de pénétrations. Particulièrement, elle ne rechigne pas sur jouissances anales.
Logan appuie plusieurs fois son majeur sur l’anus légèrement boursoufflé. Une pression plus forte sur le muscle rectal, et la première phalange disparait comme aspirée par l’anus. Marion pousse un petit gémissement, Logan enfonce entièrement le doigt. Marion sursaute et se réveille. Elle dit avec des mots vaseux :
-Laisse-moi me réveiller mon chéri, pour que j’en profite pleinement !
Logan en faisant un petit ramonage rectal dit :
-Tu sais ma chérie, en te voyant comme ça, je pense à une chose insensée !
Marion connaissant son mari, s’attend à tout répond :
-Dis le toujours !
-C’est de te voir prise par un autre homme, devant moi !
Marion sursaute et en fronçant les sourcils réplique :
-Et pourquoi pas avec notre fils pendant que tu y es, espèce de cochon, je ne suis pas une pute !
Les yeux de Logan s’illuminent, il répond :
-Mais oui ma chérie, avec Ludovic cela serai pas mal !
Marion prend appuie sur ses coudes et dit en rageant un peu :
-Mais tu es un détraqué Logan, me pousser dans les bras de notre fils, mais tu dois être fou !
Logan tente de s’expliquer :
-J’ai dit Ludovic ou un autre, c’est pareil, j’aimerai que tu fasses défoncer, par un autre mâle !
Marion en a le souffle coupé et demande :
-Mais d’où te viens cette idée grotesque !
Logan se fait plus doux, il caresse doucement les cuisses de sa femme, il sait qu’elle part au quart de tour. Il répond :
J’ai ça dans la tête, à chaque fois que je te fais l’amour, tu es si belle lorsque tu jouis, que cela me donne des idées, et comme nous venons de parler de notre fils, mon cerveau est en ébullition !
Marion s’apaise et réplique :
-Ote toi de la tête ses idées malsaines mon chéri, je ne suis pas encore mûre pour te cocufier, et encore moins avec notre fils !
Les doigts agiles de Logan voyagent sur la fente de sa femme qui étrangement est déjà humide. Il dit en souriant :
-Tu mouilles ma chérie, c’est notre petite conversation qui t’humidifie la chatte, avoue !
Marion ne répond pas, elle ouvre largement les cuisses, et offres aux visiteurs son fruit juteux. les doigts fureteurs, pénètrent la chatte détrempée, là fouille profondément, en arrachant à Marion des gémissements rauques. Logan bande terriblement, mais avant de chevaucher sa femme, il plaque sa bouche sur sa chatte et enfonce sa langue dans le conduit brulant. Il n’épargne aucun coin sa langue habile fouille longuement le puits d’amour. Marion sursaute lorsqu’il lui aspire le clito. Elle gémit en poussant des couinements de bête blessée, la tension monte de plus en plus dans son corps.
Avec voracité, Logan suce la boule de chair qu’il connait bien. Les succions successives, qu’il pratique, la font gonfler de plus en plus. Marion est au bord de la jouissance, elle respire de plus en plus rapidement. Logan se redresse et enfonce quatre doigts dans le vagin débordant de cyprine, il le fouille rageusement, en faisant geindre sa femme soumise. Sa main fait des demi-rotations dans la gaine brûlante, en même temps que des allers et retours vigoureux. Marion défaille, une puissante jouissance la fait hurler.
Logan retire sa main, est en souriant dit :
-Ce que tu es belle lorsque tu jouis ma chérie, avec un autre, je suis certain que tu jouirais bien plus fort !
Marion encore sous le choc de la jouissance, sourit et répond avec quelques trémolos dans la voix :
-Est-ce que je serai seulement à la hauteur, avec un autre !
Logan, ayant une idée derrière la tête, répond :
-J’en ai aucun doute ma chérie, mais pour en être sûr à cent pour cent, il suffit de sauter le pas !
Marion encore haletante réplique :
-Mais si comme tu dis, je saute le pas, tu me
proposes quel bel étalon, pour te cocufier !
En se raclant la gorge, Logan répond :
-Pourquoi chercher plus loin, lorsque l’on a ce qu’il faut sous la main !
Marion se redresse, toise son mari en fronçant les sourcils, dit :
-Mais tu veux vraiment que je fasse l’amour avec notre fils, tu es un obsédé Logan. Et d’abord, qui te dit qu’il voudrait baiser sa maman hein !
Logan réplique :
-Il faudrait peut-être l’encourager, mais tu sais à 22 ans on est une bite sur pattes. J’ai remarqué que certain matin lorsqu’il n’a pas de cours, lorsque tu descends en nuisette de la chambre, il ne te quitte pas des yeux, je suis sûr que le coquin bande !
Marion en se pinçant les lèvres dit :
-Je ne crois pas un mot de ce que tu me racontes !
En haussant les épaules Logan réagit :
-C’est simple fais le teste, demain c’est samedi, il n’y a pas de fac, allume-le !
Le lendemain matin, Marion comme à chaque week-end, en profite pour faire la grâce matinée. Elle se souvient de ce que lui a dit son mari. Elle décide d’exciter son fils, pour voir sa réaction. Très lentement elle descend l’escalier. Elle s’arrête dès la deuxième marches, s’étire comme un chat, bombe le torse, avant de reprend la descente. Elle regarde discrètement son fils.
D’habitude, elle porte une culotte sous sa nuisette, pour descendre prendre son petit déjeuner, mais là, la coquine l’a ôtée, elle se demande si le jeu en vaut la chandelle.
A chaque pas, elle balance son bassin avec la souplesse d’un félin. Sa nuisette transparente laisse deviner ses formes. Sa toison noire, ne peut être ignorer. Ludovic, ne quitte pas des yeux le corps souple qui balance comme celui d’une danseuse orientale. Il ravale sa salive en voyant les mamelons épais, qui appuient fortement sur le fin tissu, comme pour le percer.
Sur la dernière marche, Marion s’arrête, et vicieusement ouvre légèrement les jambes. A la clarté du jour, la nuisette transparente, ne cache presque plus le pubis. Sans forcer ses yeux, on voit nettement les fines lèvres vaginales bien dessinées garnit d’une fine toison. Ludovic salive, Logan avait raison le bougre bande.
Marion fait le tour de la table, pour embrasser son mari et son fils. Elle pose ses yeux discrètement sur l’énorme bosse qui déforme le pyjama. Marion regarde son mari, lui sourit, puis prend place à table. Le fils ne quitte pas des yeux les seins. Il semble hypnotisé par les bouts larges et épais. Son papa enfonce le clou :
-Qu’est-ce que tu as Ludovic tu as vu le diable ?
Ludovic sursaute, et répond :
-Non, non, je regardais maman !
Toujours avec ironie, Logan ajoute :
-C’est de voir ta maman, qui te fait planer comme ça, atterrit mon garçon !
Ludovic en béguant répond :
-Je ne sais pas mais aujourd’hui, elle me fascine, je la trouve très belle !
Logan dit :
-Ah c’est pour cela que tu bandes comme un taureau sous la table, elle te fait envie ta maman hein petit cochon !
-Gêné, c’est avec beaucoup d’émotions dans la voix, qu’il répond :
-Ben, ben, oui, elle est désirable, il faut être de marbre, pour ne pas avoir envie d’elle !
Marion reste sans voix, ses paroles flatteuses la troublent. Elle est très gênée, et se dit que là, elle a poussée le bouchon trop loin.
Les yeux de son fils sont brillent de mille feux. Rapidement, il avale son café, et se rend à la salle de bain.
Trop pressé, il omet de fermer la porte. Logan se lève et se dirige vers la salle d’eau, il pousse doucement la porte. Ce qu’il voit le fait sourire. Son fils, se masturbe férocement, sous les perles d’eau fumantes qui ruisselles sur son corps. Logan fait demi-tour et va chercher sa femme. Les deux entrent dans la salle de bain, et épient le jeune branleur.
Marion écarquille les yeux, elle ne quitte pas des yeux la verge, que son fils agite énergiquement. les voyeurs entendent Ludovic geindre, soudain un gémissement plus fort que les autres le fait cabrer. Il envoie sur la parois transparent de la douche un flot de sperme. La semence épaisse glisse doucement sur la parois, avant de tomber dans le bac. Marion est sans voix. Doucement Marion et son mari, sortent de la salle de bain. Il se dirigent vers le salon. Marion se laisse tomber lourdement sur le canapé, elle semble ailleurs.
Logan lui dit :
-Là ma chérie tu as mis le paquet, tu as vu dans quel état tu l’as mis. On peut dire qu’il à giclé pour toi !
Marion en faisant une moue dit :
-Mon Dieu, Logan tu as vu la grosseur de sa bite, elle est énorme hein !
Logan en souriant répond :
-Il est bien monté je l’avoue, mais il a de qui tenir !
Logan sort de son pantalon sa verge, s’assoit à coté de sa femme, il passe sa main sous sa nuisette, et caresse délicatement la fente. Il dit :
-Mais ma cochonne la bite de notre fils t’inspire, oh la vache tu es trempée !
Marion en baissant la tête répond :
-Mais, c’est toi qui ma poussé, donc c’est toi le cochon. J’ai prise du plaisir pour l’exciter, mais honnêtement maintenant, je le regrette. Que doit-il penser de moi !
Logan éclate de rire et dit :
-Que tu es une grosse salope, qu’il baiserait bien, et toi tu le ferais avec lui !
Marion hausse les épaules et répond :
-Mais tu ne penses qu’à ça, vieux cochon. Tu sembles ignorer que c’est notre fils, donc c’est impensable !
Logan retrousse la nuisette sur le haut des cuisses de Marion, lui ouvre les jambes et se place entre ses cuisses. Il dirige vers la chatte suintante son mandrin, et le frotte contre les grandes lèvres humides. Marion ferme les yeux, son mari lui saisit les hanches et pousse. Lentement le manche de chair s’enfonce dans le conduit brûlant. Marion, pousse pendant toute la pénétration un long râle rauque. Logan ne cesse de pousser que lorsque ses couilles frappent la chatte de sa femme. Il dit :
-Imagine que c’est la bite de Ludovic que tu as dans le ventre !
Marion pousse un soupir bruyant et s’agrippe a son amant. Logan commence un va-et-vient terrible, à chaque poussée, il tire sur les hanches de Marion pour bien l’empaler. La bite voyage dans le conduit en prenant de la vitesse. Marion geint comme une bête malade. Le gland qui lui racle les parois du vagin, la fait gémir plaisir. Les coups de reins sont violents, le pilonnage dévastateur. Marion souffle comme un bœuf, elle d’agrippe à son mari comme un rapace sur sa proie.
Ludovic sort de la salle de bain, enroulé dans une serviette. Il entend des gémissements terribles provenant du salon. Il s’avance et entre dans la pièce. Il reste sans voix, son papa défonce sa maman, qui grince des dents.
Logan sent la présence d’une personne, tourne la tête, et voit son fils, qui les regarde yeux écarquillés. Sans se démonter, il dit :
-Tu sais Ludovic, tu peux te joindre à nous, ta maman n’a pas encore jouit, il faut la finir !
Les paroles de son mari, lui font tourner la tête. En voyant son fils, elle se plaque contre son mari pour cacher son corps. Elle devient rouge comme une pivoine, et cherche à cacher son visage en le plaquant contre l’épaule de Logan. Logan continue de donner des coups de reins, à chaque coups, Marion pousse un gémissement. De temps en temps, Marion jette un regard vers son fils. Le coquin bande comme un cheval, la serviette cache mal son érection. Logan se dit que c’est l’occasion, en souriant il dit :
-Marion regarde comme Ludovic bande, nous ne pouvant pas le laisser comme ça, c’est inhumain, fait voir à maman ta belle queue !
En hésitant, et avec des gestes maladroits, Ludovic laisse tomber la serviette sur le sol. Il montre en se pinçant les lèvres, sa verge dressée comme un mât. Marion sort sa tête, et regarde en écarquillant les yeux le membre épais. Logan dit :
-Regarde comme elle est bien épaisse et bien large, tu la veux dans ton ventre ma chérie ?
Marion sans répondre, enfonce ses ongles dans la peau de son mari qui se cabre en grimaçant. Il réplique :
-Cela veut dire oui ou non !
En grognant elle dit :
-Tais-toi, baise-moi, baise-moi, je n’en peux plus défonce-moi, vas-y, vas-y !
Sans y être invité, Ludovic s’approche et au travers du fin tissu, fait tourner son doigt autour des mamelons épais, rapidement les bougres prennent du volume. Il pose sa bouche et gobe malgré la nuisette les bouts qui ne cessent de grossir. Il suce et tète avidement les petits mâts de chair. Suite à cette nouvelle agression délicieuse, jointe au pilonnage intense que pratique Logan. Les gémissements de la maman augmentes de tonalités.
Logan donne de grands coups de reins en poussant des Hans de bucheron, soudain il s’arrête se retire et dit :
-Ludo, viens la finir !
Sans se poser de question, le fiston délaisse les mamelons, et il prend place entre les cuisses de sa maman. Il lui enfonce brutalement sa bite jusqu’aux couilles dans le ventre. La maman s’accroche a lui en geignant. La jeunesse de son amant fait qu’il est très vigoureux, il défonce sa maman en la faisant gémir :
-Oui, oui, oh c’est trop bon, oh mon chéri, mon chéri, je vais jouir !
Logan est émerveillé de voir sa femme se faire prendre par son fils. La bite puissante lui laboure le col de l’utérus, la maman geint à chaque coup de boutoir. Le gland lui malmène le col, qu’il tente de pénétrer.
Marion, elle aussi, donne des coups de reins. Logan n’en peut plus, il offre aux lèvres de sa femme son gland. Marion dans un état second, saisit le manche de chair, et l’enfourne brusquement dans sa bouche. Les succions qu’elle pratique dessus font grogner son mari.
Ludovic s’acharne sur sa maman, en la déglinguant violemment. Il dit entre deux souffles :
-Oh ce que tu es bonne maman, ta chatte est brûlante comme l’enfer !
Elle réplique en recrachant la bite de son mari :
-Baise-moi, baise-moi mon chéri, oh que c’est bon, je viens, je viens, oui, oui !
Une violente secousse lui traverse le ventre, elle se cabre fortement et explose, sa jouissance et terrible. Ludovic donne encore quelques estocades, avant de lui remplir le ventre de son sperme. Il se retire il est comme hypnotisé par le corps de sa maman. Il ne peut s’empêcher de dire :
-Oh ce que tu es belle maman !
Marion réagit, s’effondre et éclate en sanglot, elle dit en reniflant :
-Je suis une maman indigne, je suis une salope, je viens de jouir en me faisant prendre par lui, mon Dieu comme j’ai honte, je voudrais mourir !
Ludovic réplique :
-Ne dis pas cela maman, non tu n’es pas une salope, nous avions fait ce que nos sens nous ont commandé !
La maman se redresse et se plaque contre le torse de son fils, sur ses joues coulent des perles salées. Ludovic lape les perles de rosées avec douceur. Il dit tendrement :
-Maman, ton corps me rend fou, tu me fascines tellement que je suis prêts à faire n’importe quoi, pour que tu sois encore à moi !
Marion s’essuie les yeux d’un revers de la main et répond en ayant encore dans la voix quelques sanglots :
-Mais mon chéri, ce que nous venons de faire est impardonnable, tu te rencontres, nous sommes des incestueux !
Ludovic en lui donnant une multitude de baisers sur le visage répond :
-Inceste ou pas je m’en moque, je te veux !
Marion baisse les yeux, son mari prend la parole :
-Ma chérie, c’est flagrant, tu le désires aussi, alors ne résiste pas, ta jouissance a était fabuleuse avec lui, je te le demande, soyez encore amant !
Marion ravale bruyamment sa salive, elle dit avec beaucoup d’émotions :
-C’est vrai, j’ai eu une jouissance magnifique, il serai insensé de renoncer à, d’autres !
Logan en souriant dit :
-Tu viens de faire le meilleur choix de ta vie ma chérie, offre au nouveau venus ta petite rosette que j’aime tant défoncer !
Ludovic, n’en crois pas ses oreilles sa maman accepte d’être à nouveau sa maitresse. Pour la remercier, il lui donne un baiser très appuyé sur les lèvres, avant de la basculer sur le lit.
Linsee
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