...
Histoire de Sexe

Le journal d’un voyeur Chapitre 1

On t'offre 200 jetons et 1 semaine de test Ultimate sans conditions : Teste le générateur IA Photos & Vidéos !   

Les pensées, les aventures et les fantasmes d’un voyeur qui souhaite partager sa passion pour les femmes et leur intimité. Au travers d’histoires vécues, cet homme nous fait découvrir un monde méconnu : celui du voyeurisme assumé. Ce premier texte est l’occasion de découvrir les premières expériences et sensations d’un voyeur à l’adolescence.

Si vous n’aimez pas les filles qui ne portent pas de culotte sous leur jupe, les femmes qui prennent leur douche dans les vestiaires des gymnases où elles font du sport et les dames qui oublient de tirer leurs rideaux quand elles sont nues dans leur appartement, n’allez pas plus loin : les histoires que je vais vous conter ne vous intéresseront pas. Pour les autres, je me présente…

Épisode 1

Je me prénomme Gatien, j’ai 30 ans et je vis à Paris. Il se trouve que, à 20 ans, j’ai été l’heureux inventeur d’un gadget permettant à tout-un-chacun de suivre à la trace l’itinéraire d’un téléphone portable et donc, de son propriétaire.

Que voulez-vous, les gens sont comme ça. Les femmes trompées et les maris cocus se sont rués sur mon invention et je vis aujourd’hui confortablement des royalties de ce produit. J’ai donc tout le loisir d’inventer et d’améliorer des systèmes liés à ma passion : voir. Je ne fais que ça de mes journées.

paragraphe 4 ia porn

Quand j’étais petit, je voulais être espion. Je me suis mis rapidement à imaginer des gadgets à la 007 pour voir sans être vu, regarder sans être reconnu. Une montre photographique, un écran d’ordinateur espion, jusqu’à ce système de suivi qui s’adapte sur n’importe quel téléphone cellulaire.

C’est après l’adolescence que j’ai compris ce que je pouvais tirer de mon ingéniosité pour assouvir le fantasme de n’importe quel étudiant : voir ce qui se passe dans le vestiaire des filles en salle de sport. J’ai ainsi miniaturisé à l’extrême une caméra dont les prises de vues se déclenchaient à partir d’un détecteur de mouvement. La caméra habilement placée au-dessus de la porte : à moi seins, culs et chattes, que je pouvais reluquer à volonté sur mon ordinateur. Je n’ai jamais été pris. Et c’est sans doute pour cette raison que cette passion ne m’a jamais quitté. Aujourd’hui, ce sont six caméras placées dans des vestiaires de salles de sport qui alimentent mes désirs de nudité volée.
Tiens ! Je pourrais vous raconter quelques-unes des plus belles scènes auxquelles il m’a été donné d’assister grâce à ce dispositif. Je dois d’abord vous dire que beaucoup de gens sont comme moi : le fantasme des vestiaires est très répandu et nombre de coquins et coquines profitent de la première occasion pour baiser dans ces lieux érogènes.

C’était l’une de mes premières expériences depuis que j’avais touché le pactole grâce à mon brevet. Je m’étais inscrit à un complexe sportif, en grande banlieue. Le genre select. On y croise une majorité de femmes désœuvrées et un peu délaissées, pour tout dire, par des maris trop occupés par leurs affaires. J’avais placé l’une de mes mini-caméras dans le vestiaire de ces dames. Mon ordinateur portable m’enverrait des images dès que quelqu’un allait pénétrer les lieux. J’avais donc tout loisir de déambuler dans les allées du complexe pour me rincer l’œil : piscine, bien sûr, mais aussi salle de gym, salle de musculation, et court de tennis.

Il y avait là quatre femmes de la quarantaine qui disputaient un double féminin, pour le plus grand plaisir des employés du centre qui, comme moi, zyeutaient les huit gambettes offertes à nos regards. Quand je pense que certains veulent supprimer la jupette de l’uniforme officiel du tennis féminin…
Nous étions trois ou quatre à en profiter : une cuisse dévoilée par ci, une culotte exhibée par là, c’était un véritable festival de cannes, un jeu de jambes pour mateur amateur de sous-vêtements de sport, un vrai délice pour moi.
Pendant tout le match, mon ordinateur se tint à carreau, lui qui devait me signaler tout mouvement dans le vestiaire des femmes. Voilà qui tombait bien, car je me régalais à contempler les quatre bourgeoises, qui ne se faisaient aucun cadeau sur le terrain. Leurs peaux ruisselaient de sueur, c’était un spectacle érotique intense.
Quand la partie fut finie, il ne me restait que l’espoir de les voir débarquer à portée de ma caméra, et une érection qu’il me fallait soigner dans les toilettes des hommes. J’étais donc installé pour me branler tranquillement, la tête pleine d’images de jupettes et de gambettes quand, enfin, mon PC sonna.

Épisode 2

Notre voyeur va-t-il enfin pouvoir assouvir son fantasme et mater, en secret, les joueuses de tennis qui le font tant rêver ? Tout est prêt : ordinateur, caméra cachée ; il ne manque plus que les belles innocentes…

Comme prévu, c’était mes quatre tenniswomen qui venaient de faire leur apparition dans les vestiaires des femmes. Mon plan voyeur fonctionnait parfaitement : elles commençaient à se déshabiller, pile dans l’axe de la caméra. Il faut vous dire qu’à l’époque je n’avais pas encore ajouté à mon gadget un système de rotation sur axe pour balayer le champ de vision.
Mais pour l’instant, tout se déroulait à merveille. Je me tirais sur le nœud tout en reluquant les quatre femmes, en sous-vêtements de sport, qui semblaient rigoler à gorge déployée. J’imaginais qu’elles étaient fières d’avoir ainsi assuré le show sur le court de tennis. Matées par tout le personnel masculin à proximité, elles avaient sans doute aimé se sentir ainsi désirées.
Cette idée me faisait bander encore un peu plus. L’une d’elle retira son soutien-gorge, laissant apparaître une jolie poitrine toute menue, visiblement très ferme. Elle fut imitée par la plus gironde des quatre, une fausse blonde aux seins tombants et lourds qui se retrouva nue devant ses copines, ainsi que devant mes yeux d’obsédé.

J’étais au paradis d’Onan, d’autant que les deux autres ne furent pas longues à se dessaper entièrement. J’avais sous les yeux quatre créatures dans le plus simple appareil, quatre très belles femmes aux physiques aussi différents qu’il était possible. J’ai déjà parlé de la brune aux petits nichons, de la fausse blonde dodue, mais je pouvais aussi me rincer l’œil sur le corps d’une athlétique métisse et d’une rousse fine et presque maigre.

Que demander de plus, me direz-vous… Sans doute pas que ces quatre là se donnent en spectacle comme elles le firent pourtant. La belle métisse s’approcha de la bimbo rondelette et commença à lui masser les épaules. Je croyais devenir fou en voyant que la rouquine faisait de même avec la brune. Un fantasme vivant, comme si mes rêves de voyeur étaient devenus réalité. Voilà que la blonde embrassait à pleine bouche la nana créole.

paragraphe 2 candy

Là, sur mon ordinateur, se jouait une scène lesbienne à quatre, dans le genre de lieux le plus fantasmatique pour moi. Que pouvais-je encore espérer ? Je me retenais de jouir pour profiter au maximum du spectacle. Mais déjà les quatre nanas se levaient et partaient en direction des douches, loin du champ d’action de ma caméra. Réagir. Vite.

Je me rhabillai et fermai mon ordinateur pour me diriger vers les vestiaires. C’était ma chance. Tout le monde était parti déjeuner, les couloirs étaient déserts. Arrivé devant la porte d’où l’on entendait couler l’eau des douches, je jetai un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite. Personne. Il fallait pousser discrètement la porte et rentrer dans le vestiaire.
J’étais dans la place. Des douches, on ne percevait que le bruit de l’eau. Comme si elles avaient été vides. Furtivement, je tentai de regarder. Les quatre femmes étaient bien là, et elles se gouinaient comme des coquines en chaleur. La métisse était à genoux et léchait doucement la jolie rousse ; la brune était, elle, perdue dans les grosses mamelles de la blonde.

Je pouvais mater, mais je risquais d’être surpris à tout moment. Peu importait, après tout. Si elles m’avaient surpris, les quatre bourgeoises infidèles auraient sans doute eu du mal à me dénoncer, moi qui savais tout des plaisirs saphiques auxquels elles s’adonnaient dans les vestiaires du complexe sportif.

Je restai donc là, la main plongée dans mon futal et tentant de me branler, tandis que les quatre gouines se rejoignaient dans une étreinte orgiaque qui était, à mes yeux de voyeur, une sorte d’accomplissement. Les nanas se pelotaient, s’embrassaient, se léchaient, et moi je me masturbais en profitant au mieux de la scène érotique. De toute façon, je ne garde jamais les enregistrements de mes intrusions voyeuses dans l’intimité des gens. Je profite du moment présent. Et là, j’en profitais à plein. Ces quatre lesbiennes étaient superbes. Pourtant, ce n’est même pas le spectacle le plus incroyable qu’il m’ait été donné de contempler grâce à mes mini-caméras dans des vestiaires sportifs.

Épisode 3

Dans cet épisode, il s’agit de réussir à espionner une chanteuse connue, toujours dans un vestiaire, toujours avec des caméras espion. Mais cette fois, il va y avoir une surprise…

L’un des avantages de pouvoir me payer l’abonnement dans des salles de sport très connues et courues de la capitale, c’est que je peux y rencontrer des personnalités plus ou moins célèbres. Celle-ci, je l’avais reconnue immédiatement ; c’était une chanteuse qu’on avait pu découvrir lors d’un des innombrables télé-crochets de la téléréalité.
Elle était plus jolie encore dans la vie qu’à l’écran. De longs cheveux bruns qui couraient sur ses épaules, une peau mate, luisante de transpiration, et un corps entretenu de sportive. Je savais que ses clips étaient toujours un peu chauds, et j’imaginais sans peine à quel point, tant elle était bien gaulée.

En voyeur accompli, je n’eus pas de peine pour me poster à la meilleure place pour la reluquer sans risquer de me faire prendre. Elle était face à moi, penchée sur le guidon d’un vélo d’appartement, transpirant à grosses gouttes tandis que son tee-shirt bâillait suffisamment pour que je puisse contempler à l’envi son imposante poitrine. Pour un peu, j’aurais pu voir ses tétons. Je me mis sans peine à la place des milliers de fans transis d’amour pour cette magnifique brune de vingt ans à peine, qui auraient sans doute tué pour être à ma place.

J’étais à quelques mètres d’elle, le nez dans son décolleté sans soutien-gorge et elle ne pouvait même pas imaginer que je ne faisais que la mater. Elle resta une bonne demi-heure sur l’appareil et déjà, les grains de beauté de ses seins n’avaient plus de secret pour moi. Mais, vous savez ce que c’est, le voyeurisme est une drogue à accoutumance. J’avais envie d’en voir davantage.
L’occasion se présenta quand la belle starlette changea d’appareil de musculation. Il était encore temps pour moi d’aller placer l’une de mes caméras dans le vestiaire occupé par la jolie brune. Il était tôt ce matin-là, et la direction n’avait ouvert que deux vestiaires, l’un pour les dames, l’autre pour les messieurs. Au pire, si j’avais été pris, il m’aurait été facile de prétendre m’être trompé de porte.
Je filai donc vers le lieu de mon prochain forfait. Il fallait tout de même faire vite. Je sortis deux de mes caméras et en plaçai une en direction des vestiaires, l’autre en direction des douches. Il fallait être sûr de ne rien rater quand la chanteuse se déshabillerait.

J’eus à peine le temps d’évacuer les lieux que deux femmes, dont la belle convoitée, arrivaient déjà dans ma direction. Il était l’heure de prendre place tranquillement chez les hommes, d’ouvrir mon PC portable et de me rincer l’œil. Ce fut l’autre femme, une vieille bique bourgeoise de la soixantaine, qui se déshabilla la première. Aucun intérêt. La jolie brune prenait son temps, fouillait dans son sac pour en sortir une serviette, un flacon de gel douche, de l’après-shampooing…
Elle ne semblait pas pressée de se dévêtir, contrairement à moi, tout impatient de voir dans toute leur lumière les appâts que j’avais pu deviner chez la jeune femme. Pire, elle donnait l’impression de gagner du temps, comme si elle attendait que le vieille rombière ait fini de se préparer et quitte la place pour passer à son tour à la douche.

Une pudique, pensai-je, ce qui renforça encore mon excitation, tout heureux de la gravité de mon délit. Voilà, la vieille en avait fini et, effectivement, la chanteuse pour midinettes commença à se dénuder. Son corps était encore plus parfait que je ne l’avais imaginé. Elle fila, nue, sous la douche, sous laquelle elle se massa le corps, les mains enduites d’une huile essentielle ou d’un onguent quelconque.

La scène était d’un érotisme très charnel : la belle starlette semblait se laisser aller à une sorte de volupté de l’eau sur sa peau, de ses mains sur ses seins… À dire vrai, je transpirais maintenant bien plus que dans la salle de musculation. Du coin de l’œil, je vis une ombre qui venait de passer dans le champ de la première caméra, celle des vestiaires, sans que je puisse l’identifier. Je la récupérai sur l’autre fenêtre de mon ordinateur, celle qui correspondait à la caméra des douches. C’était le prof de gym du club. « En voilà un qui ne se gêne pas : il est là, tranquille, face à sa cliente entièrement nue… » Je suis parfois long à la détente. Évidemment, le bellâtre était son amant et il était là pour la baiser.

Épisode 4

Comment un voyeur tenace finit toujours par obtenir ce qu’il veut et pouvoir regarder un couple illégitime en train de s’envoyer en l’air dans un vestiaire. Un coup à nous faire tous devenir voyeurs !

Le prof de gym ne fut pas long à tomber haut de corps et short. Je pus constater que, outre ses muscles saillants de sportif professionnel, le gars avait d’autres atouts physiques à faire valoir. Il était déjà bandé au maximum, tout comme moi d’ailleurs ; il s’approcha de la jeune starlette, la saisit par la nuque et lui donna un baiser langoureux.

La jeune femme lui rendit et son baiser et sa fougue. Elle devait s’impatienter de voir son bel étalon la rejoindre dans ce vestiaire. L’eau cessa de couler et je pus voir les deux tourtereaux se chauffer comme deux bêtes en rut. Mon système d’espionnage s’était nettement amélioré, et je pouvais désormais zoomer pour voir de plus près l’étreinte des deux amants.

J’avais cru, à force de fréquenter ce club, que le jeune prof de culture physique était homosexuel. Je constatai qu’il n’en était rien, même si je ne pouvais m’empêcher de penser qu’une telle bombe sexuelle que la belle chanteuse pouvait tourner la tête à n’importe quel homme.
D’un geste puissant, l’homme agrippa la brune par les hanches, la soulevant de terre pour mettre ses deux beaux globes à portée de sa bouche. Elle l’enserra de ses cuisses et se pendit à son cou tandis qu’il titillait du bout de la langue ses tétons dressés. Je fis un zoom sur la pointe des seins de la belle, que le mec dévorait avec ardeur. Elle s’était empalée sur la queue droite et veinée du jeune gaillard, qui imprimait de ses cuisses un va-et-vient tonique et puissant à l’intérieur de la jolie chatte. Quant à moi, j’étais resté estomaqué devant la puissance érotique de la scène qui se jouait dans le vestiaire à côté du mien.

Au bout d’un moment, l’idée me vint de laisser là mon ordinateur et de tenter d’approcher les deux baiseurs en réel. Seulement, une fois devant la porte, je constatai que celle-ci était verrouillée. Il ne me restait plus qu’à retourner à mon voyeurisme numérique et à profiter pleinement du dispositif de caméras que j’avais installé.

À ma grande surprise, je trouvai quelqu’un dans le vestiaire que j’étais alors seul à occuper. Un jeune type, un minet à la mine un peu niaise, se préparait à son tour pour rejoindre les équipements sportifs. Un bonjour fut échangé, et le jeunot me regarda suffisamment pour que je comprenne qu’il s’agissait en fait du petit ami officiel de la jeune chanteuse : je les avais vus à la une d’un magazine people.

Mon sang ne fit qu’un tour : pourvu qu’il n’ait pas jeté un coup d’œil à mon écran et vu sa fiancée dans les bras du prof de gym. Si tel avait été le cas, il ne serait sans doute pas là à lacer ses baskets comme si de rien n’était. Je me rassis donc sur le banc, le PC sur les genoux, à contempler la séance de baise que j’espionnais.

La nana était revenue par terre. Elle s’appuyait maintenant contre le mur de la douche, les fesses cambrées en direction du bas-ventre du mâle, qui lui donnait de violents coups de reins. La tête de la fille partait en arrière et ses yeux restaient clos tandis que sa bouche, elle, était grande ouverte. On pouvait supposer qu’elle râlait de plaisir.
Le jeune cocu n’avait toujours pas fini de se préparer et j’étais là, à mater la starlette en train de baiser, mon érection coincée dans le mini short que je mettais pour la gym. Le fiancé s’adressa alors à moi :

« Vous venez souvent ici ? Je ne vous ai jamais vu »

«  De temps à autre ; je suis membre depuis un moment »

À l’écran, le prof de sport avait agrippé les longs cheveux noirs de la fille et la niquait de plus en plus brutalement.

« Moi, c’est mon club préféré, poursuivit le jeune gars. C’est là que viennent les plus belles filles de Paris. Il y a de quoi mater, rigola-t-il, avant de sortir de la pièce.

Épisode 5

Après les séances de voyeurisme via la technologie, notre voyeur nous explique que les méthodes « à l’ancienne » lui procurent aussi beaucoup de plaisir. Une longue-vue ou une paire de jumelles restent les outils essentiels et indispensables de tout voyeur sérieux !

Voilà pour les anecdotes de mes matages technologiques de vestiaires sportifs. Mais les lieux pour jouer les voyeurs à Paris sont nombreux. Les marches d’escalier qui dévoilent un petit cul sous une jupe ou les fenêtres un peu trop en vue d’où l’on voit des corps de femmes nues.

S’il est un espace qui ravit toujours le voleur d’images érotiques à Paris, ce sont bien les toits de la ville. Je ne suis pas qu’un geek féru de nouvelles technologies. Je suis aussi un sportif accompli, et je peux vous dire que le crapahutage sur les sommets de la capitale n’a plus de secrets pour moi. Mes excursions aériennes m’offrent toujours l’occasion de me rincer l’œil agréablement.
Rien que dans l’entourage immédiat de mon actuel appartement, j’ai pu repérer une jeunette étudiante qui vit quasiment nue dans sa chambre de bonne, un couple de trentenaires qui baisent comme des lapins tous les soirs près de leur fenêtre et un adepte du SM qui reçoit des jeunes femmes fétichistes dans un grenier, sans se douter que je regarde par le vasistas. C’est ainsi que, armé d’une paire de jumelles légères et performantes, j’accède au toit de mon immeuble et saute d’immeuble en immeuble – dans un quartier où ce petit jeu est possible – pour dénicher des angles de vue intéressants.

Récemment, j’ai trouvé un axe qui me permet de mater à la jumelle une femme d’une quarantaine d’années qui se masturbe devant son ordinateur quasiment tous les soirs. Je suis situé de l’autre côté de la rue mais, grâce aux jumelles, je peux la reluquer comme si j’étais dans la même pièce qu’elle.
La dernière fois que je l’ai surprise en pleine séance de branlette numérique, la coquine était en train de surfer sur un site porno dédié aux éjaculations faciales. La belle avait ouvert son chemisier, ses seins étaient nus et sa main avait glissé sous son pantalon. Elle était avachie sur sa chaise et se faisait du bien en regardant des stars du porno se faire gicler au visage par des membres énormes.
J’aurais presque pu entendre les râles de plaisir de ma belle branleuse à chaque nouvelle salve de foutre qui maculait la figure des jeunes femmes. Elle ouvrait la bouche comme si elle mimait l’envie de boire tout ce jus. Une de ses mains avait pris possession de ses nichons, qu’elle pinçait avec beaucoup de force, autant que je pouvais en juger en tout cas.

D’habitude, la femme – que je savais célibataire – prenait plutôt son plaisir sur du porno plus soft. Elle se branlait assez rapidement, prenait son pied et filait à la salle d’eau pour se rafraîchir. Mais là, la séance masturbatoire durait et se prolongeait. Elle semblait fascinée par le sperme qui dégoulinait sur les porno-stars.
Moi, j’étais confortablement installé tout en haut du toit de l’immeuble d’en face et je prenais du plaisir à la voir ainsi abandonnée à ses fantasmes les plus salaces. Je voyais bien qu’elle tordait de plus en plus fort ses mamelons, qu’elle se mordait les lèvres, sans doute pour réprimer son envie de crier de plaisir. Et puis elle se leva. Je crus qu’elle avait fini et m’attendis à la voir réapparaître dans sa salle de bain. Seulement, elle n’avait pas terminé, puisque la vidéo pornographique tournait encore sur l’écran de son ordinateur.

Et c’est entièrement nue qu’elle revint s’asseoir devant le site X. Elle avait un très beau corps pour son âge, une peau qui semblait souple et ferme. La blancheur de ses seins ressortait vivement par contraste avec son teint bronzé. Elle planta de nouveau sa main droite entre ses cuisses et porta la gauche à nouveau vers ses tétons dressés. Et je la vis poser une pince à linge sur le bout de son sein, ce qui lui arracha une grimace de douleur. Je la vis respirer profondément et reprendre sa masturbation, la pince toujours fichée sur son nibard endolori. Elle s’agitait maintenant en tous sens, proche de l’orgasme, qui ne fut pas long à venir.

À suivre…

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. paragraphe 4 rosetelrose pas cher

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Bienvenue membre Premium!

premium logo

Les autres regardent