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Histoire de Sexe

Le journal d’un voyeur Chapitre 2

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Épisode 6 !

Avant propos :

Matant sous les jupes des touristes de la Butte Montmartre, notre voyeur surprend un couple en train de se donner du plaisir sur les marches du Sacré-Cœur. Il parvient même à voir le pubis de la jeune femme tandis que son homme la pelote.
Il est des lieux dans Paris où se retrouvent tous les voyeurs de la capitale, car ils sont propices à se rincer l’œil en direct et en live, à l’insu des jolies touristes ou des Parisiennes un peu trop innocentes. Ainsi, d’une bouche de métro qui souffle les jupes façon Marylin, ou de la cabine d’essayage d’un grand magasin, dont tous les mateurs de la ville savent qu’elle présente un défaut d’isolation opportun.

Mais le paradis des voyeurs de la capitale se trouve, sans nul doute, aux pieds d’un endroit pourtant peu propice, paraît-il, au vice et à l’érotisme. Il s’agit des marches montant au Sacré-Cœur où s’ébrouent, les jours d’été, des centaines de touristes, tout court vêtues, qui offrent candidement la vue de leurs cuisses et de leurs culottes à une cohorte de voyeurs expérimentés et organisés.

Ce jour-là, j’en ai pris plein les mirettes. Il faut vous préciser que je ne connais pas les codes de l’armée d’obsédés sexuels qui investit les lieux dès les premiers beaux jours. Mais j’arrive tout de même à repérer les situations favorables.
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Là, voici un groupe de Japonaises en minijupes qui dévalent les escaliers pour trouver un coin pour pique-niquer. Déjà, un groupe de voyeurs s’approche, et je fais partie de la bande. Les hommes japonais se placent heureusement derrière nos victimes, et nous pouvons regarder à loisir les cuisses des jeunes Nippones qui sont en contrebas. Certains mateurs comptent, comme on le ferait pour les buts d’une partie de baby-foot, le nombre de culottes et de strings qu’ils peuvent apercevoir. Et là, avec ces Japonaises, c’est un festival. Une culotte blanche par ici, un string rouge par là. Je regarde discrètement les belles Asiatiques qui nous offrent la vue de leur intimité sans même le savoir. Certaines sont si impudiques dans leur façon de se tenir qu’on pourrait même se demander si elles ne le font pas exprès.

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Puis c’est au tour d’un groupe italien de faire son apparition, détournant l’attention des mateurs de Nippones. Hautes en couleur et en voix, ce sont des étudiantes romaines qui font leur petit pèlerinage touristique sur la Butte Montmartre. Toutes en jeans, ou presque, elles arborent des tee-shirts trop larges qui bâillent sur des poitrines fermes et opulentes.

J’entends un sifflement. C’est un des voyeurs, qui a sans doute repéré une scène coquine. En bas d’une volée de marches, il se déboîte la mâchoire à regarder un couple de jeunes tourtereaux qui se roulent des pelles en public, au beau milieu des escaliers du lieu saint. Le jeune gars a la main sur la poitrine de sa belle qui, de façon indécente, laisse voir ses cuisses pleines et fermes à qui veut.

Et que ça se bécote, et que ça se pelote. D’un coup d’œil, je repère une dizaine d’hommes disséminés ici et là qui regardent les jeunes amants en pleine exhibition involontaire. Un autre coup de sifflet, et ce sont tous mes « confrères » qui déguerpissent vers un autre point de vue. Mais moi, j’en veux plus. Je sens que ces deux-là sont chauds comme la braise et, croyez-moi, j’ai de l’instinct pour ces choses-là. Et c’est vrai que la main du mec a filé sous le tee-shirt de la fille, dont je devine au premier regard qu’elle a le soutif dégrafé. Pour peu, je verrais bientôt ses nichons jaillir du tissu légèrement transparent de son haut. Elle a les doigts qui glissent au niveau de la braguette du mec alors que la foule continue à descendre et monter les escaliers qui mènent au Sacré-Cœur. Quelques vieilles bigotes râlent un peu devant l’impudeur des amoureux ; mais moi, je me régale.

Les mains du jeune gars se baladent sur tout le corps de sa fiancée, découvrant son ventre, puis ses cuisses. Il remonte le long de sa jambe, soulevant un peu plus la jupe sous l’œil irrité d’un ecclésiastique qui passe par là. Pour le voyeur que je suis, c’est le pied, d’autant plus que… Oui, je ne me trompe pas : la jolie nana n’a pas de culotte.

Je peux voir une charmante touffe velue, tandis que le petit ami agace du bout des doigts le clito de la jeune fille. Elle n’en peut plus. Gênée par la situation, elle se relève, tend la main à son homme et lui fait signe de la suivre. Il est temps pour moi de les prendre en filature…

Épisode 7 !

Avant propos :

Après une petite filature, notre voyeur est assis à portée de vue des deux amants du Sacré-Cœur. Sous la table du restaurant se joue un drôle de spectacle érotique, avant que le couple ne parte baiser sous une porte cochère.

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Ses longs cheveux noirs et ondulés sont tout ébouriffés, après la séance de câlins collés serrés que les deux amants se sont offerts sur les marches du Sacré-Cœur. Je les suis à distance tandis qu’ils prennent le chemin de la place des Tertres. Je peux voir son petit cul qui se dandine à chaque pas. Cette nana est une bombe et j’ai encore les images de son pubis velu qui défilent dans mon imaginaire.

Il se fait tard, et l’heure du dîner a sonné pour ces deux-là. Ils choisissent un restaurant, un de ces attrape-touristes où l’on mange peu et mal pour très cher. Pas de chance pour moi. J’aurais préféré un bon petit restau de l’autre côté de la Butte… Mais je m’engouffre dans la salle peu après eux. Je dois la jouer fine, et me faire placer à une table suffisamment loin mais suffisamment proche des deux tourtereaux, histoire de pouvoir mater sans être repéré.

Parfait. On me place à quelques mètres du couple, légèrement en biais par rapport à leur table ; j’ai une vue parfaite sur les genoux de la belle. C’est une belle plante, au physique très élancé, avec toutefois de jolies formes volumineuses mais discrètes.
Je remarque qu’elle a retiré son soutien-gorge, que son homme avait dégrafé quand ils se pelotaient au Sacré-Cœur. Je constate aussi que ses tétons pointent, donnant une forme indécente et coquine au tissu de son tee-shirt, qui laisse entrevoir par transparence la beauté de sa poitrine.

La jeune femme est chaude. Toute excitée par leurs caresses de l’après-midi, elle a entrepris de faire du pied sous la table à son amant. Soulevant l’un puis l’autre, elle dévoile à mon regard le haut de ses cuisses, parfois même son entrejambe. Le mec sort le grand jeu : apéritif, entrée, plat, dessert ; il veut vraiment être sûr de la mettre dans son lit.

Le spectacle qui se joue sous la table est d’un érotisme torride, à l’abri des autres clients du restaurant. Il s’est rapproché d’elle et parvient à soulever sa jupette avec le bout du pied. Je vois parfaitement sa chatte qu’elle découvre en ouvrant les jambes. Le mec a le pied, maintenant, au niveau du sexe de sa belle. II a tombé la chaussure et lui caresse le minou.

Au-dessus du niveau de la table, la belle brune ne laisse rien paraître. Alors que j’ai maintenant une vue dégagée sur les poils frisés de son minou et que son homme travaille à la faire mouiller, elle poursuit la discussion sans aucun complexe. À un moment, je me demande si je ne suis pas repéré. En effet, un serveur est venu me trouver pour me demander si je souhaite prendre un dessert et, tout absorbé par le spectacle érotique qui m’est offert, je ne l’ai pas remarqué. Depuis, la jeune femme jette des coups d’œil furtifs dans ma direction, comme pour s’assurer que je reluque bien son petit jeu sous la table.

Le mec a plus de mal à garder une certaine contenance. Quand le pied nu de sa chérie se pose sur son entrejambe, son visage est pris de petites grimaces qui trahissent son émotion. Dans la salle, personne ne remarque rien ; mais je peux, moi, imaginer quel est son état d’excitation.

Je demande l’addition et règle, tout en sifflant un café. Je veux être prêt à décamper à la suite des deux amants, et être sûr de ne pas perdre leur trace. La nana dégage une telle sensualité, une telle volupté que je m’en voudrais de rater la suite des événements.
Les voilà qui s’en vont. Manquant à toutes les règles que je me suis fixées pour mes filatures, je leur emboîte immédiatement le pas. Dans la rue, je fais semblant de resserrer mes lacets pour leur donner un peu de champ. Le couple se promène dans les rues désertes de Paris. Il doit être tard, le repas fut long et arrosé.

Ils marchent bras dessus, bras dessous, la main de l’un collée au cul de l’autre. Ils sont sans doute encore plus excités que moi. Tout à coup, la jeune femme pousse son amant en direction d’une porte cochère, assez profonde, loin de tout réverbère qui compromettrait leur invisibilité. Je m’approche en rasant les murs. Il l’a tournée contre la porte, a troussé sa jupe et sorti sa queue.

Je suis derrière le pilier de la porte maintenant et je peux entendre les deux coquins baisers comme ça, debout, en plein milieu de Paris. Je ne les vois plus, mais je peux entendre chacun de leurs souffles : je ne suis qu’à quelques décimètres d’eux. Il la bourre et elle couine de plaisir. Je sors ma queue et tente d’adapter ma branlette au rythme des coups de reins du jeune homme.

Épisode 8 !

Avant propos :

Notre héros poursuit son matage du jeune couple. Après les avoir entendus baiser sous une porte cochère, il parvient à trouver un angle pour reluquer ce qui se passe dans leur chambre d’hôtel. Et c’est très chaud.

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Ce soir-là, je n’ai pas joui en même temps que les baiseurs de la porte cochère. Et je les ai suivis dès que les deux coquins ont réajusté leurs fringues après cette séance de sexe au beau milieu d’une rue parisienne. Et nous nous retrouvons en plein Pigalle, avec ses lumières, ses rabatteurs de bars à hôtesses et autres spectacles de strip-tease, le jeune couple marchant quelques mètres devant moi. Ils ne m’ont toujours pas remarqué et filent vers leur hôtel, un de ces établissements que l’on trouve à la chaîne dans toute la France. Parfait. Je connais très bien le quartier ; et si la chance me sourit, je peux trouver un point de vue depuis les toits qui donnera sur leur chambre. J’ai mes habitudes et mes combines, comme tout voyeur qui se respecte.

Je file dans l’immeuble de l’autre côté de l’avenue, gravis une à une les marches de l’escalier en colimaçon et débouche sur un toit à couvert où j’ai mes repères. De là, j’ai une vue parfaite sur toutes les chambres donnant sur l’artère principale. Bien content d’avoir pris mes jumelles, je scrute l’hôtel, espérant voir une lumière s’allumer.
Bingo. Les voici qui débarquent dans leur chambre. Ils sont enlacés et se roulent des pelles sans parvenir à se décrocher l’un de l’autre. Ils tombent de concert sur leur lit et commencent à se déshabiller. Ma vue est parfaite et mes super jumelles captent le moindre de leurs faits et gestes.

La fille a un corps superbe : elle est très fine, très longiligne, si ce n’est une magnifique paire de nichons fermes et solides et un cul à vous damner un saint. Il se met à quatre pattes face à elle, me bloquant un peu la vue, et se lance dans un cunnilingus passionné. Je zoome sur le visage de la jeune femme, dont les yeux se révulsent sous les coups de langue de son partenaire. Elle se met à jouir tandis que je sors mon chibre de sa cachette.

Tenant les jumelles d’une main, je peux voir qu’il la replace sur lit, dans la même position, pour qu’elle puisse lui sucer la bite. Je ne rate pas un seul des va-et-vient que la belle imprime à sa fellation, pompant le dard avec application et gourmandise. Il a une queue raide, épaisse et courte, qu’elle engouffre sans se ménager entre ses lèvres.
Puis, l’amant attire sa compagne vers lui. Un long baiser s’ensuit et elle se place en levrette. Je peux admirer ses fesses cambrées qui réclament du sexe. Il s’approche et glisse son membre entre les deux jolies pommes. Je rêve ! Il va l’enculer !

Ça fait des semaines que je n’ai pas eu l’occasion de mater une vraie sodomie, et celle-ci s’annonce particulièrement pornographique. La nana s’est saisie de ses deux fesses qu’elle écarte avec impudeur devant le gland de son amant pour lui offrir un angle parfait.

Il s’enfonce en elle. Je dirige mes jumelles vers son visage. Elle ferme les yeux et ouvre grand la bouche. Je peux presque l’entendre crier tellement je suis dans la scène. Je reviens au joli cul défoncé. Le mec lime sans complaisance l’anus offert de sa dulcinée.
Il repose son torse sur son dos et saisit ses deux mamelles qui frôlent les draps du lit, tout en continuant à la besogner comme un rustre. Hélas pour moi, le spectacle ne va pas être long. Après avoir bourré son cul sans ménagement, le jeune homme se retire et jouit à grands flots sur la peau de sa belle, sur les draps, et sur la moquette de l’hôtel.
Les femmes de ménage de Paris n’ont pas la vie facile, croyez-moi ! Quant à moi, il est temps de redescendre de mon perchoir en essayant de ne pas tomber, mes jambes flageolant après avoir pris mon pied à mater cette scène de sexe anal.

Épisode 9 !

Avant propos :

Notre voyeur rend visite à l’un de ses comparses adepte d’espionnage érotique dans un sex-shop où celui-ci travaille. Contre toute attente, il tombe de nouveau sur le jeune couple déluré qu’il matait sur les marches du Sacré-Cœur.

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Il m’arrive parfois de me rendre dans les sex-shops de Pigalle, non pas pour acheter des films pornographiques – j’ai tout ce qu’il faut avec mes matages personnels – mais pour discuter avec un ami qui y travaille régulièrement. Un passionné de voyeurisme comme moi. Il se fait embaucher par-ci par-là, et parvient parfois à revendre un ou deux enregistrements de ses exploits.

On s’échange des trucs de voyeurs : des bons angles dans Paris, des astuces technologiques, des anecdotes croustillantes… Il a la chance d’avoir pour voisine une rouquine flamboyante totalement nymphomane qui reçoit chez elle des hommes, des femmes et des couples, sans jamais, évidemment, penser à tirer les rideaux.
Cette fois, mon comparse a trouvé un CDD dans l’un des plus grands sex-shops de Paris, un immense complexe que les habitués reconnaîtront. Il a là un point de vue unique sur la vie érotique de la capitale et déniche des bons plans pour mater en observant et en écoutant les clients et clientes du magasin.

Entre deux encaissements pour des plugs ou des vibromasseurs, il me raconte les exploits de sa sulfureuse voisine, qui a reçu la veille un couple de vieux dont elle s’est occupée à tour de rôle : elle a sucé monsieur pendant que madame se masturbait, puis ce fut au tour de la dame de se faire lécher. « Une vraie cochonne cette rousse, c’est à peine croyable ! » me dit-il. Et comme pour prouver ses dires, il sort de son sac une série de clichés des aventures de la voisine.

Pour arrondir ses fins de mois, Luc, c’est son nom, « anonymise » les photos et les revend sous la veste aux clients des sex-shops où il bosse. Et là, je peux vous dire qu’il a du bon matériel. Sa voisine est un vrai canon, et le fait que les photos soient prises depuis la rue d’en face renforce l’aspect pervers de la scène.

Il est minuit passé ; la boutique ne désemplit pas. Luc est en train de me raconter comment il a réussi à surprendre une partouze lesbienne dans un appartement de sa rue, mais je ne l’écoute que d’une oreille. Du petit couple BCBG venu s’encanailler dans l’antre du diable, la clientèle est passée au couple libertin venu chercher son nécessaire de baise. Les jupes se sont raccourcies, les décolletés plongent comme les chutes du Niagara, les tenues se font chaudes.

Je me décroche à moitié la mâchoire en voyant une cliente présenter à la caisse ses emplettes du jour : une robe « plus nue avec que sans », un gode ceinture, un martinet rose et une boîte de capotes nervurées. La femme est blonde, la quarantaine épanouie, et on peut sans problème distinguer ses seins sous le haut en résille qu’elle dissimule – très peu – sous un imperméable.

Luc, quant à lui, est blasé par ce genre de rencontres. Depuis qu’il travaille dans les quartiers chauds, il n’a cure de ce type d’exhibition volontaire. Luc est un chasseur, et sa proie ne doit surtout pas être au courant de ses intentions perverses. Il est devenu un vrai pro de l’espionnage coquin.

Mais moi, je suis chauffé à blanc par ce déballage de chair par des coquines toutes plus extravagantes les unes que les autres. Luc en est encore à ses récits de voyeurisme à haut risque quand débarque – je vous le donne en mille – le jeune couple du Sacré-Cœur. Après tout, pas étonnant de voir ces deux cochons dans ce genre d’endroits.
Ils se dirigent vers la caisse du fond, celle qui donne accès au sauna et au cinéma porno. Sans crier gare, je fonce vers eux et m’arrête à quelques encablures de là. Je tends l’oreille. Ils ont un fort accent espagnol et demandent deux places pour le cinéma.
J’attends un moment, puis repose le DVD « spécial gros seins » que j’ai saisi pour me donner une contenance. Je jette un coup d’œil à Luc, qui ne semble pas affecté par ma disparition soudaine et je file à mon tour vers le cinéma X où, déjà, je pressens que de belles aventures érotiques m’attendent.

Épisode 10 !

Avant propos :
Le voyeur a suivi le jeune couple dans le cinéma porno. Il le retrouve dans une masturbation réciproque, entouré d’hommes pervers qui n’osent pas les approcher. Mais notre héros ne va pas se dégonfler, et tenter sa chance avec les deux amants impudiques.

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J’arrive au sous-sol. Une étrange odeur salace envahit mes narines, mélange de renfermé et de sperme, sans doute. Voilà qui n’est vraiment pas engageant. Je m’enfonce dans une semi-obscurité. Je prends la première porte, qui conduit à une salle de projection « hétéro ». Je n’ai pas eu à les chercher longtemps. Mes deux tourtereaux sont assis sur l’une des banquettes, l’un à côté de l’autre et sont facilement repérables du fait de l’attroupement qui se forme à leur proximité. Les mecs sont là, tout étonnés et tout heureux de voir débarquer un couple. Elle est fringuée de manière sexy, sans extravagance, pour autant que j’aie pu en juger en les apercevant dans la boutique.

Personne ne semble vouloir s’approcher et prendre le risque de les faire fuir en s’asseyant à leurs côtés. J’hésite un moment, puis me lance. Je prends place sur la banquette, à la droite de la fille. Elle est encore plus belle que dans mon souvenir. Ses yeux noirs dévorent la scène de sodomie qui se joue à l’écran.

Elle a sorti la bite de son homme de sa braguette et la branle machinalement sans détacher son regard du film de cul. De temps à autre, elle jette négligemment un coup d’œil aux alentours, pour s’assurer que sa présence a eu l’effet escompté. Et en effet, tous les clients du cinéma, je pense, sont dans les parages.

De la main, son homme remonte délicatement sa jupe, dévoilant ses jolies cuisses pleines et charnues, puis remonte encore un peu plus, jusqu’à dévoiler son pubis poilu que j’ai tant désiré. À son tour, il se met à la branler, jouant de son pouce sur son clito. Autour de nous, les autres voyeurs ont, pour la plupart, sorti leur queue et se branlent en faisant des commentaires lubriques.

Je ne la toucherai pas. Elle est pourtant toute proche, tout offerte à mes caresses. Mais ce que je veux, c’est voir au maximum jusqu’où tout cela peut aller. Sans interférer. Je suis vraiment un voyeur : alors que je suis persuadé que je pourrais profiter de la situation pour peloter, peut-être même baiser cette si jolie coquine, je me contente de regarder.

Mais voilà que l’homme retire le haut de sa belle et, lentement, dégage ses seins de son soutien-gorge, encore une fois dégrafé. Elle a une jolie poitrine, en tout point conforme à ce que j’avais deviné lorsque je matais les deux amants à la jumelle. À mon tour, je sors ma queue, qui est raide comme jamais. Je me branle, ne détachant pas les yeux du corps sublime qui s’offre à ma lubricité. Elle tourne la tête vers moi, regarde un instant mon membre gonflé, et me sourit. Puis repart vers l’écran, où une actrice porno subite= les assauts de trois grands Noirs bodybuildés et montés comme des apollons.

Son homme est proche de jouir. Il caresse fébrilement ses seins, qui pointent sous l’effet de ses attentions. Elle accélère le mouvement et, dans un spasme, son homme délivre sa semence, qui coule le long de son bras gauche. De la main droite, elle s’approche de ma queue, que je lâche une brève seconde pour lui laisser un éventuel passage.

Tandis que son homme s’applique à nettoyer son autre main, la jolie Espagnole a plongé son regard de braise dans le mien et entreprend de me branler avec autant de talent qu’elle a su en montrer avec son fiancé. Je ne sais plus distinguer l’espion de la victime, tant elle plonge dans mon intimité, alors que l’orgasme pointe au bout de mon gland. Son homme a repris le massage du clito, elle entrouvre les lèvres.

Je vais jouir, c’est sûr, bien avant elle. Elle veut certainement me voir jouir, tandis qu’elle scrute la moindre mimique de mon visage. Je dois soutenir son regard et jouir les yeux dans les siens. Elle plisse les paupières, mais ne me quitte pas des yeux. Elle sourit largement en me faisant jouir entre ses doigts.

À suivre…

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