Épisode 11 !
Avant propos :
Notre voyeur profite de caméras espionnes installées par un ami dans les toilettes féminines d’une université et surprend une jeune gothique en pleine séance de masturbation.
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Après cette aventure dans le cinéma porno, j’ai salué rapidement mon ami et suis rentré chez moi, la tête pleine de questions sur ma condition de voyeur. Étais-je vraiment un voyeur né ? N’étais-je pas qu’un timide refoulé qui n’osait pas aborder les femmes pour du sexe en réel ?
Me voici chez un autre ami mateur, un véritable obsédé du voyeurisme, peut-être encore plus déjanté que moi. Spécialiste en vidéo, et monteur de son état, il se fait embaucher contractuellement dans les universités de Paris où il pose un peu partout de toutes petites caméras qui lui envoient régulièrement un flot d’images en provenance notamment des toilettes des filles.
Autant je suis adepte – j’ai eu l’occasion de vous en parler – des vestiaires sportifs, autant sa passion pour les femmes faisant pipi – ou pire – me dépasse totalement. Il est pourtant heureux de me montrer sa dernière conquête, un réseau de microcaméras qui espionne toutes les cabines des chiottes d’une école d’art parisienne.
Avec jubilation, il zappe d’une caméra à l’autre, aux heures d’intercours, et reluque ces jeunes femmes qui baissent leurs culottes avant de s’asseoir sur le trône. Il y en a des brunes, des blondes et des châtains, qui pissent devant l’œil hagard de Gilles à côté duquel je suis assis, contemplant circonspect le résultat de son travail.
Qu’une jeune Asiatique s’asseye sur le siège des toilettes après nous avoir dévoilé un joli cul potelé et, je dois dire, très appétissant, et Gilles sort son membre de sa braguette et entame une branlette, sans tenir compte de ma présence. Je crois rêver. Il est là à se branler, caressant sans pudeur une énorme bite veinée qu’il travaille avec doigté tout en regardant la petite nana en train de pisser. Gêné, je lui annonce que je vais partir, que j’ai du boulot ce matin.
« Attends, elle va bientôt arriver, me retient-il, toujours en faisant comme si de rien n’était ».
À sa voix, je comprends tout de même qu’un spectacle à ne pas rater s’annonce et je reste assis, là, tandis que mon ami accélère le mouvement de sa main sur sa queue. Des yeux, il dévore chacune des filles qui apparaît sur son écran de contrôle, jusqu’à l’arrivée d’une jeune femme très blanche, très pâle, aux cheveux noir corbeau et au visage parsemé de piercings en tout genre.
La belle – car cette fille est, c’est vrai, magnifique – fait comme toutes les autres, baisse son pantalon et sa culotte en s’asseyant sur la cuvette. Pourtant, Gilles semble fasciné, encore plus qu’il ne l’était auparavant. Et alors que tout se déroule a priori comme d’habitude, le miracle se produit. L’étudiante passe une main sous son tee-shirt aux couleurs d’un groupe de métal quelconque, puis remonte vers ses seins. Bientôt, sa main a découvert sa poitrine, laissant apparaître deux pigeons blancs, encore plus pâles que le reste de sa peau, qu’elle caresse avec volupté. Gilles zoome sur l’entrejambe de la jeune femme qui se masturbe maintenant, les yeux clos, le buste penché en arrière. La belle se fait du bien, et je ne porte plus attention à la grosse queue de mon complice, absorbé que je suis par le spectacle grandiose qu’il nous est donné de contempler.
Tandis que la jolie gothique se branle en entrouvrant les lèvres, je sens ma virilité se manifester et je sors ma queue puisque, après tout, il faut faire comme les Romains à Rome. S’ensuit la plus orgasmique séance de masturbation à trois qu’il m’ait jamais été donné de vivre, la jeune gothique se caressant le clitoris avec avidité, mon ami branlant son chibre impressionnant et moi profitant à fond du spectacle de la caméra espion.
La fille prend son pied et je me dis qu’elle est vraiment trop belle, ainsi abandonnée au plaisir. Il faut que je puisse la voir, en réel cette fois.
Épisode 12 !
Avant propos :
Après la petite gothique vicieuse, c’est cette fois à une scène de plaisirs saphiques que notre héros assiste dans les toilettes de l’école d’art. Mais peut-être risque-t-il d’être repéré.
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Depuis notre étrange séance de masturbation commune devant la jolie gothique des toilettes de la fac, du temps est passé. Partant en vacances pour se désintoxiquer de son addiction au sexe, Gilles « le voyeur » m’a confié les manettes de sa « salle de contrôle », celle qui préside aux destinées des quelque vingt-neuf caméras espionnes qu’il a disposées çà et là dans les lieux estudiantins de la capitale.
J’ai connu Gilles en lui fournissant quelques webcams de mon invention qui, grâce à des systèmes de relais, permettent d’espionner à distance sans être jamais repéré. Et le vicieux en a fait bon usage, à ce que je peux voir sur ces écrans. Le seul défaut de ses installations est qu’elles sont dans des toilettes, ce qui ne correspond pas vraiment à ce que j’aime voir. Je préfère pour ma part d’autres lieux, comme des cabines d’essayage ou des douches communes.
Mais, quoi qu’il en soit, je reste là, attentif à tout ce qui se déroule à l’écran, espérant revoir la magnifique gothique espionnée une semaine plus tôt en compagnie de mon impudique pote. Depuis quelques jours, je suis obsédé par l’image de cette beauté, de son corps s’abandonnant aux vagues de plaisir de la masturbation, de son visage déformé par la jouissance. C’est dire ! J’ai même pu regarder un jeune couple d’étudiants venus baiser en douce dans les chiottes d’une fac sans que cela ne me trouble plus que ça. Je veux voir ma belle gothique.
Attention. Quelqu’un entre dans la cabine concernée… Raté, il s’agit de deux filles, une blonde et une blonde vénitienne, qui s’enferment toutes les deux dans les chiottes. Minute. Que font-elles ensemble ces deux-là ? Les voici qui s’embrassent à pleine bouche, à l’abri, croient-elles, des regards indiscrets. Et moi, je suis là, aux premières loges, pour les regarder se peloter l’une l’autre. La blonde claire a la main dans la culotte de la seconde. Et que ça s’embrasse, et que ça se caresse !
Tant pis pour ma gothique. Il s’en passe de belles dans les toilettes de cette école d’art. Il faudra que j’aille y faire un tour un de ces jours ! Voilà que la plus grande d’entre elles – la blonde vénitienne – retire sans se gêner son tee-shirt, laissant apparaître une jolie poitrine comprimée dans un soutien-gorge noir trop petit pour elle. On voit le haut de ses mamelons qui dépasse de la dentelle. Gilles ne m’en voudra pas. Je sors ma queue et commence à me caresser doucement en contemplant la magnifique scène lesbienne. Les deux filles sont maintenant torse nu, lovées l’une contre l’autre et leurs quatre petits seins frottent délicieusement entre eux, faisant pointer leurs jolis tétons tendus.
Les deux nanas ne se lâchent plus. Leurs bouches sont comme collées l’une à l’autre. La plus petite entreprend d’ouvrir la braguette de son amante et glisse le plat de sa main contre son pubis. L’autre bascule le dos au mur et se laisse aller à la caresse, la tête en arrière, la bouche grande ouverte et les yeux fermés qui montent au plafond.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas pu observer une scène d’amour saphique en direct ; j’en prends plein les mirettes. Les deux filles sont maintenant nues et peuvent s’en donner à cœur joie, seules dans la salle des toilettes, comme je peux le vérifier sur les autres caméras.
La grande est sur le point de jouir quand, tout à coup, les deux filles sursautent. Elles se tournent dans un même mouvement vers moi. Je veux dire : vers la caméra. Elles ont repéré quelque chose. Elles se rhabillent toutes les deux en deux temps trois mouvements, abandonnant les lieux à la vitesse d’un cheval au galop. C’est la catastrophe. Le petit moteur hypersilencieux que j’ai installé sur ces caméras pour leur donner de la mobilité a dû se faire repérer dans cette salle vide. Je dois aller sur les lieux pour vérifier l’installation de Gilles.
Épisode 13 !
Avant propos :
De retour sur les toits de Paris, notre voyeur cherche de nouveaux postes d’observation quand il tombe par hasard sur une orgie bourgeoise, qui ne le laisse pas de marbre.
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Gilles m’a remercié de lui avoir sauvé la mise en retirant à temps les caméras invisibles, mais pas vraiment silencieuses, dont il avait équipé l’école d’art. Et moi, j’ai repris mes activités habituelles de voyeur. Je me rends encore régulièrement à la salle de gym où j’avais pu admirer la starlette de télé-crochet et je l’ai à nouveau surprise en train de se faire baiser par son prof de sport.
Mes pulsions de mateur invétéré m’ont une fois de plus conduit sur les toits de la ville lumière. Ce soir, c’est repérage : les novices n’ont aucune idée de ce qu’on peut observer en se promenant, sans prendre trop de risques, sur les toits de Paris.
Tiens, là, une femme qui sort de son bain, se croyant protégée des regards indiscrets par la vitre à bulles de sa salle d’eau. Ici, un couple qui fait l’amour, sans imaginer une seconde que quelqu’un puisse les voir dans leur petite chambre de bonne. J’adore vraiment ces moments-là. Je suis à l’affût du bon plan qui retournera mon esprit de voyeur, mais j’en profite pour reluquer ces petites coquineries que les gens laissent s’échapper par-delà leurs fenêtres.
Voilà que j’arrive, après un bond un peu périlleux sur un autre toit, à l’un de mes repères préférés. Je ne sais pas quel vent souffle sur cet immeuble, mais il est rare qu’on n’y voie pas une petite scène érotique par les différentes fenêtres des différents appartements.
Ici, un couple regarde paisiblement la télé. Là, un ado est scotché à son écran d’ordinateur. Une mémé lit un livre un peu plus loin… Par la vitre la plus haute, tout à droite de la façade, je peux apercevoir un apéritif entre amis. Justes quelques couples, lookés décontractés, devisent et rigolent autour d’un verre. Rien de bien palpitant.
Il est temps d’aller voir plus loin, de prendre des nouvelles de la belle quadragénaire de l’autre côté du pâté de maisons, qui aime se promener nue dans son appartement. Ses lumières sont éteintes ; elle ne doit pas être là. Ça doit être le froid ; je ne sais pas ce qui se passe ce soir : rien de bien folichon à se mettre sous la dent.
Je rebrousse chemin : l’ado est couché, la vieille dame ne lâche pas son livre, la femme du couple téléphage s’est endormie sur le sofa tandis que son homme descend un verre de whisky. Du côté des fêtards, on s’est mis à danser. Et à danser collé serré. Voilà qui attire mon attention. Tiens, l’un des danseurs a glissé la main sous la jupe de sa partenaire. On semble bien se marrer, l’ambiance est peut-être chaude. Oui, le danseur embrasse sa dulcinée sur la bouche. À moins que… Il se retourne et embrasse une autre femme qui lui rend son baiser avec passion. Voyons voir, serait-ce une partouze ? Oui. Bingo ! La soirée mal engagée va finalement bien tourner pour moi, pourvu que personne ne pense à tirer le rideau.
Les choses vont vite : les couples, tous dans la quarantaine flamboyante, s’embrassent et se pelotent en changeant régulièrement de partenaires. Les femmes sont de moins en moins habillées. Je vois ici un joli cul rebondi, là une poitrine lourde dans la bouche d’un monsieur. Je bande. Surprendre une orgie, c’est toujours un grand moment.
Par une autre fenêtre, j’aperçois l’une des convives à genoux, en train de tailler une pipe à l’un des hommes. Je sors les jumelles, qui me dévoilent une fellation talentueuse et inspirée. La nana alterne entre des succions à pleine bouche et des caresses linguales qui semblent faire grimper le mec aux rideaux.
Cela faisait bien longtemps que, à part ma gothique, je n’avais pas maté en direct ; c’est quand même bien meilleur que par l’entremise d’une caméra.
Épisode 14 !
Avant propos :
Notre voyeur est resté sur les toits pour assister à la suite de la partouze bourgeoise, qui va tourner à un jeu très spécial et très sexy qu’il n’avait jamais vu auparavant.
Je me prends à rêver d’être à la place de ce mec, emplissant la bouche de cette coquine, pas très jolie certes, mais vraiment très douée sur le plan de la fellation. Il faut la voir sucer la bite de son partenaire du moment. Elle passe sa langue sur toute la longueur de la hampe, puis l’enfonce au fond de sa bouche. Je vois même ses joues se creuser. Puis elle revient à ses couilles, le branlant tout en gobant les deux testicules avec gourmandise. Maintenant, elle agace le frein du bout de la langue, tandis que l’homme lui caresse ses petits seins tendus.
La suceuse est une femme menue, de 45 ans environ, fausse blonde permanentée, ni jolie ni laide ; mais à la voir sucer ainsi, on lui donnerait un rôle dans un porno sans hésiter. Pendant qu’elle suce, une autre femme entre dans la pièce, embrasse l’heureux homme puis rejoint sa complice dans sa fellation. La seconde est plus belle, brune, à la peau très mate. Elle est déjà entièrement nue, exhibée ainsi sans doute par l’un des mâles de la pièce adjacente.
Notre veinard a deux bouches pour lui tout seul, qui lui dévorent la queue avec avidité. Et c’est une troisième puis une quatrième, enfin une cinquième femme qui rejoint le trio dans la chambre. En fait, toutes les nanas sont là ; les trois autres hommes – oui ils ne sont plus que trois de l’autre côté – se sont rassis et sirotent un nouveau verre.
Notre partouzard est aux prises avec pas moins de cinq femmes, dont deux très belles, qui l’allongent de force sur le lit. De là où je suis, j’ai du mal à voir. Je n’ai accès en fait qu’au bout du lit, ce qui veut dire que je ne peux regarder qu’au niveau du sexe de notre chanceux.
Et le spectacle vaut le détour. Tour à tour, ce sont cinq femmes chaudes comme la braise qui vont se relayer sur le pénis raide d’excitation du mec, le caressant de leurs mains, de leurs seins, de leurs bouches et même de leurs chattes, s’enfonçant le chibre les unes après les autres au fond de leur minou, en amazone, tortillant du cul comme des folles furieuses.
Le traitement ne va pas durer beaucoup plus longtemps. Rendant les armes, je suppose que l’homme baisé se répand dans la bouche de la brune à la gorge profonde, qui sourit largement en relâchant son étreinte buccale de la bite de l’homme. Je me demande bien ce qu’attendent les trois autres hommes. Et la réponse va me venir bien vite. Reprenant ses esprits, le veinard se relève, se rhabille à peine, et rejoint ses trois comparses dans le salon. Il faut bien comprendre quelle est ma situation : je dispose de deux fenêtres, comme deux entrées sur des univers interdépendants, la chambre et le salon.
Et voilà toute l’astuce : à peine le plus chanceux des trois hommes a-t-il rejoint les autres que l’un de ces derniers bondit du sofa et file à toute vitesse, usé d’impatience sans doute, vers les cinq femmes qui sont restées dans la chambre. C’est à son tour de se faire pomper par la blonde permanentée, puis par la brunette, puis par chacune des autres femmes. Et, à son tour, on l’allonge. Et il subit le même sort – très enviable – que le précédent. Quand il jouit, c’est au tour du suivant, qui peut bénéficier du tempérament très chaud des cinq femmes.
Ce petit jeu va durer toute la nuit, les femmes rivalisant d’endurance et d’imagination pour épuiser leurs quatre amants. Ce petit groupe semble avoir inventé un jeu qui devrait faire florès : la partouze tournante ou, si vous préférez, le gang-bang inversé à la chaîne.
Épisode 15 !
Avant propos :
Planqué à portée de vue d’un palace parisien, notre voyeur surprend un ex-mannequin de trente ans nu dans sa suite. Il la contemple longuement avant que celle-ci ne reçoive de la visite.
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Bien sûr, je suis souvent retourné à mon poste d’observation pour voir si une nouvelle soirée libertine, un nouveau gang-bang inversé n’avait pas été à nouveau organisé. Mais rien : juste l’un des couples, les résidents en titre, pas particulièrement chauds en dehors de leurs réceptions très coquines.
Pour moi, plus question de m’embêter avec de nouvelles caméras : l’expérience des toilettes de l’école d’art m’a refroidi. Je me contente des quelques dispositifs installés dans des vestiaires sportifs et, le reste du temps, j’arpente les toits de la ville lumière en espérant tomber sur quelques scènes intéressantes.
Hier, j’ai eu de la chance. Je pars vers 22 heures, direction un toit qui fait face à un grand hôtel aux multiples étoiles, et dont les rideaux luxueux ne sont réellement opaques que quand on en est proche. De loin, surtout armé d’une bonne paire de jumelles, on peut mater tout ce qui se passe dans les chambres.
Le plus ? Parfois de très jolies femmes, ayant épousé un très bon parti. Le moins : beaucoup de personnes très âgées. Là, j’ai de la chance : je viens de repérer une magnifique trentenaire, sans doute un mannequin à la retraite, qui déambule nue dans sa chambre comme si de rien n’était, les rideaux grands ouverts. J’ai déjà repéré son mari, un bellâtre d’au moins trente ans son aîné, toujours collé à son mobile et qui fait des allées et venues de la chambre à la réception du palace.
Il faut que je vous décrive la belle : grande, très fine, de tout petits seins qui pointent constamment de façon insolente, blonde aux traits slaves. Elle a tout d’une top model, et les adeptes de rondeurs ne la trouveraient pas à leur goût. Moi, je me régale : la voilà qui se penche pour ramasser une serviette de toilette négligemment posée au sol. Deux petites fesses juste charnues comme il faut. Une peau laiteuse, pâle et sans l’ombre d’une imperfection.
Maintenant, la belle Russe – je ne connais pas sa nationalité, mais je l’imagine venue de Saint-Pétersbourg – est allongée sur le lit. Elle est toujours en costume d’Ève et je peux reluquer à loisir sa toison blonde comme les blés, pas du tout entretenue, que je trouve parfaitement indécente. La belle est une tactile. Elle ne cesse de caresser son corps, sans que cela ait quoi que ce soit de masturbatoires. Non ; la voilà qui frotte son épaule, passe la main dans ses cheveux, puis son cou. Elle est très désirable. Et je la désire.
Elle tient de l’autre main un magazine féminin qu’elle parcourt, sans apparemment prêter trop attention à ce qu’elle y lit. Au bout d’un moment, elle balance le magazine au pied du lit et se relève. Elle marche comme un mannequin sur un podium, faisant rouler les deux petites pommes qui lui servent de fesses sous mes yeux avides.
Elle semble impatiente. Sans doute se languit-elle de son époux, qui vient de sortir de l’hôtel d’un pas pressé, toujours vissé à son téléphone. Elle entre dans la salle de bains. Je la perds un moment de vue : les vitres des salles de bains, elles, ne laissent rien voir.
Quand elle réapparaît, c’est avec un téléphone portable à l’oreille : une manie dans ce couple, dirait-on. Elle est en grande discussion et semble agitée. Ses petits nichons ballottent un peu sous l’effet de l’agitation de leur propriétaire. Ils sont toujours tendus vers l’avant, comme deux petites armes menaçantes. Ses aréoles sont rose pâle ; on devine à peine l’ombre du sein sur la peau du mannequin.
La conversation terminée, ma belle Russe s’allonge à nouveau sur le lit, cette fois sans magazine. De la paume de la main, elle caresse son ventre plat. Ses cuisses sont un peu plus entrouvertes que la fois précédente, et je peux en voir un peu plus que son pubis poilu et blond. À peine plus. Mais c’est beau.
La voici qui sursaute. Et qui se précipite vers la porte de la suite, toujours nue comme un ver. Elle va ouvrir ainsi dévêtue : son mari qui rentre, sans doute. Non, c’est une autre jeune femme qui est là, vêtue d’une longue fourrure. Elle la fait entrer. Les deux femmes s’embrassent sur la bouche puis s’enlacent longuement, l’une couverte de la tête aux pieds, l’autre nue comme au premier jour. Le spectacle s’annonce magnifique.
Épisode 16 !
Avant propos :
Une blonde pâle, une brune bronzée : le voyeur surprend deux superbes mannequins en train de baiser entre elles dans la chambre d’un palace parisien.
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Les deux femmes restent longuement enlacées, sans bouger, se serrant de toutes leurs forces l’une contre l’autre. L’une est nue, l’autre vêtue d’un grand manteau de fourrure. Autant les cheveux de la première sont courts et blonds, autant ceux de la seconde sont longs et noirs. Physiquement, tout les oppose. Je remarque les lèvres charnues et sensuelles de la brune qui les pose à nouveau sur celles fines et presque invisibles de la jolie Slave.
Elles plongent leurs regards l’un dans l’autre, se tenant le visage doucement. Les deux femmes font sensiblement la même taille, même si la Latine – appelons-la ainsi – porte encore des talons. Pas pour longtemps. Suivant son amie en direction du lit, la magnifique brune jette ses chaussures au loin puis, tandis que la blonde s’allonge à nouveau, elle retire sa fourrure.
Elle était nue dessous. Je peux mater son corps à loisir. Tout l’inverse de la première. Sa peau est mate, ses seins sont lourds, ses hanches magnifiquement dessinées. Quand l’une est toute en finesse, l’autre n’est que volupté et courbes pleines. La blonde est donc allongée sur le lit, nue, les yeux clos. On pourrait la croire en train de dormir. Et même quand la Latine s’allonge directement sur son corps, elle n’esquisse pas le moindre mouvement. Je suis là, les jumelles à la main, en train de jouer les voyeurs avec deux top models entièrement nues, allongées l’une sur l’autre, qui commencent à se caresser et à s’embrasser plus langoureusement que tout à l’heure.
Je dois être le plus heureux des voyeurs. La Russe est sortie de son calme inquiétant et rend maintenant des baisers fougueux à son amante. Des deux mains, elle a saisi les fesses rondes de la Latine, qu’elle tripote avec vigueur. Elle ouvre littéralement le cul de son amie et insinue ses doigts dans la raie de ses fesses.
Voici la brune qui se redresse, surplombant son amante de ses gros seins fermes et bruns, les tétons tendus, des mamelons presque noirs comme du charbon. C’est maintenant la blonde qui s’appuie sur ses coudes, puis parvient à s’accrocher au dos de la Latine et plonge maintenant son visage entre les seins de sa maîtresse. Les deux femmes roulent sur le lit, de sorte que c’est maintenant la Russe qui est au-dessus. Elle a les yeux embués de désir. Les deux femmes se calment un moment. La blonde saisit les seins de sa partenaire. Les yeux plongés dans les siens, elle commence à pincer légèrement les tétons de la brune. Celle-ci grimace. La Russe n’en démord pas, et continue à travailler les seins de la Latine.
C’est du sadisme qu’on devine désormais dans ses yeux. La voilà qui tord les nichons de son amante, sans jamais quitter son regard. La brune hurle de douleur, puis se débat et parvient à se dégager de l’étreinte cruelle de son amie. Elles s’embrassent de nouveau à pleine bouche. Je peux voir jusqu’à leurs langues qui s’entremêlent. La peau diaphane de la Russe contre celle sombre et hâlée de la Latine offre un contraste aussi saisissant qu’excitant.
La blonde est toujours dessus. La voici qui avance son bassin vers les seins de la brune. Elle remonte encore jusqu’à offrir son sexe à la bouche de sa partenaire. Celle-ci n’hésite pas et plonge entre les cuisses de son amie, qui déjà se tord de plaisir, agitée de soubresauts de plaisir. Elle ne va pas être longue à venir. Cette fois, c’est la brune qui s’est emparée des fesses de l’autre, plantant ses ongles dans la chair pâle de sa maîtresse. Elle dévore sa chatte et obtient les cris d’extase, que j’imagine en russe. Les deux femmes sursautent à nouveau. La blonde saisit le combiné du téléphone de la chambre. Les deux femmes se rhabillent à toute vitesse. Voici certainement le mari de retour.
À Suivre…
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