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Histoire de Sexe

Le journal d’un voyeur Chapitre 4

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Épisode 17 !

Avant propos :

Notre voyeur, échaudé par l’aventure des toilettes de la fac, se décide à aller mater dans les cabines d’essayage d’un grand magasin de fringues.

********

Aujourd’hui, j’ai passé pas mal de temps à repenser aux deux lesbiennes de la chambre du palace. Je suis passé devant et j’ai eu la malchance de voir la blonde, flanquée de son mari, toujours arrimé à son téléphone, quitter l’hôtel en taxi. Dommage, je serais bien passé ce soir pour jouer à nouveau les voyeurs.

Finalement, j’ai opté pour une pratique que j’avais délaissée un moment : le voyeurisme dans les cabines d’essayage. Si je peux en profiter pour vous donner quelques conseils…
Voilà, j’arrive dans le magasin. J’ai choisi des fringues « jeunes » pour trouver des clientes à l’avenant. Logique jusqu’ici. La mixité du magasin est utile également, histoire de pouvoir jouer les clients. Je choisis cinq ou six jeans à essayer, et c’est parti.

J’oubliais : choisissez les heures d’affluence. Impossible de mater discrètement quand on est trois dans la boutique. Là, c’est parfait. On est samedi et le shopping bat son plein. À tel point que je suis obligé d’attendre qu’une cabine se libère. Voilà qui est idéal pour moi. Les rideaux des cabines s’ouvrent et se ferment de façon désordonnée.
Tiens. Ici, je jette un œil vers une cabine où une jeune femme se retrouve en string, reluquée par son petit copain. Et par moi. Ici, une nana essaie des maillots de bain. Il s’agit de trouver un angle de vision. Voilà. Parfait. À chaque fois qu’elle se baisse, j’ai une vue magnifique sur sa paire de nibards.

« C’est à votre tour, je crois, Monsieur ».

Une femme, qui attend en même temps que moi son tour, m’indique une cabine qui vient de se libérer. Tout au bout de la rangée, pas de chance. Difficile de refuser, toutefois, sans paraître suspect. Je m’engouffre dans la cabine avec ma pile de pantalons à essayer. Je vais être tranquille un bon moment.

Il n’y a plus qu’à espérer que quelque chose d’intéressant se passe dans la seule cabine mitoyenne. Je pose mes jeans, baisse mon froc et en profite pour poser mon miroir sur le sol. J’ai une vue en contre-plongée sur ma voisine, une jeune fille dans la vingtaine, venue acheter des sous-vêtements.

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Elle est déjà en petite tenue, et son string m’offre une vision magnifique sur une jolie paire de fesses très appétissantes. Je peux la regarder comme si j’étais allongé sous elle. Je peux me délecter du grain de sa peau, mater tous les grains de beauté de ses cuisses, et même voir quelques poils pubiens qui dépassent de son string.

Étant moi-même en slip – je suis supposé essayer des jeans – je peux me caresser en profitant du spectacle. La jeune femme a fait un choix large de sous-vêtements assortis, strings et soutiens-gorges. Magnifique : elle retire son soutif ! Encore une qui n’a pas compris que la lingerie devait s’essayer sur ses propres dessous et qui libère deux seins blancs, de taille moyenne que je peux reluquer par-dessous.

Et la voici qui retire maintenant le bas. Elle est nue comme un ver, prête pour l’essayage. Elle enfile puis retire une véritable panoplie d’ensembles assortis, se tournant dans tous les sens pour se voir dans le miroir sous tous les angles. Et moi, j’en profite comme un salaud.

Elle n’est peut-être pas aussi belle que les deux mannequins, mais elle est là, à portée de main, presque. J’entends quasiment son souffle quand elle essaie une nouvelle tenue. Ce petit manège dure depuis déjà une demi-heure, quand la belle étudiante se décide pour un ensemble noir et sort de la cabine.

Les yeux pleins des merveilles vues grâce à mon système de miroirs, j’essaie en toute hâte un pantalon, qui me va comme un gant. Je sors à mon tour de la cabine, non sans avoir vérifié si un point de vue ne s’ouvrait pas sur l’une des femmes qui essaient des vêtements. Je fonce vers la caisse, paye mon achat et m’apprête à sortir du magasin quand, face à moi, se dresse une affiche pour une marque de vêtements quelconque. Les deux femmes qui y posent ne me sont pas inconnues : ce sont les deux mannequins du palace. « Comme on se retrouve… » ai-je le temps de penser avant de rejoindre la rue où s’agitent minijupes ou shorts courts.

Épisode 18 !

Avant propos :

Notre voyeur s’est mis au vert pour tenter de penser à autre chose qu’à sa passion pour le sexe et l’espionnage coquin. Malheureusement pour lui, la voisine ne l’entend pas de cette oreille.

*******

Le temps est venu de me mettre au vert. Invité par ma sœur à passer la semaine dans sa maison de province, je saisis l’occasion de casser le train-train de la vie parisienne et de tenter, du même coup, de soigner un peu mon addiction au voyeurisme. La maison est un petit pavillon, sans grand charme, bourgeois, où tout semble avoir été pensé pour de vrais urbains transformés en faux campagnards. Des panneaux solaires sur les toits, une piscine dans le jardin et quelques plants de tomates : toutes les maisons de ce quartier résidentiel se ressemblent comme si elles avaient été conçues pour la même famille.

Ma sœur passe son temps libre dehors, entre baignade et jardinage, activité qui consiste plus à discuter avec la voisine qui, elle aussi, s’adonne aux bienfaits de l’agriculture bio, qu’à réellement soigner les plantes potagères. De mon côté, je profite de la piscine, je me relaxe, j’essaie d’évacuer mes pulsions de mateur compulsif. Pas facile d’ailleurs, car la voisine est un beau brin de femme, une grande bringue très brune, un peu ronde, souriante et avenante.

Quand ma sœur part au boulot, je m’installe au bord du bassin et lis un peu. Mais cet après-midi, le roman que j’ai entamé la veille me tombe des mains. Me reviennent en tête les images de la partouze épiée depuis les toits, des deux jeunettes se gouinant dans les toilettes de la fac, des exploits érotiques du couple de la Butte Montmartre.
Dans le jardin d’à côté, la voisine tond et fait un bruit du diable. « Je vais piquer une tête ; ça va me rafraîchir. »

À mon retour sur ma chaise longue, le vacarme de la tondeuse a cessé. Un silence délicieux a envahi le quartier. Un silence mystérieux, à vrai dire.
Chassez le naturel, il revient au galop. Je me vois moi-même me lever, m’approcher de la haie et mater à travers les feuilles pour voir où la jolie voisine en est avec ses cultures. Elle est en fait allongée au bord de sa propre piscine, les yeux fermés, les pieds trempant dans l’eau. Elle est nue. Entièrement.

Se croyant à l’abri des regards étrangers, elle se prélasse délicieusement, profitant du soleil qui cogne sur sa peau mate. Je reluque ses seins lourds où perlent quelques gouttes de sueur, sa toison noire et épaisse, comme une injure à mes bonnes résolutions de voyeur repenti.

La maison de ma sœur est déserte, et personne ne peut me voir tandis que je reluque la séance de bronzage naturiste de la voisine. Alors, après tout, pourquoi ne pas en profiter ? Après tout, ce n’est pas moi qui ai cherché à la voir en tenue d’Ève ; c’est elle qui est venue me provoquer.

Une heure s’est écoulée. Et rien ne bouge. Je suis toujours là à scruter le charmant corps de la femme qui bronze à quelques mètres de moi, derrière la haie. J’admire la forme pleine de ses seins, le léger frémissement de ses tétons quand elle respire. Mais attention, elle se retourne maintenant. On aurait pu la croire endormie, tant elle était immobile. Mais non, voilà qu’elle m’offre son cul à regarder, deux belles fesses joufflues et blanches, qui n’ont pas vu le soleil depuis longtemps.

Une autre heure passe et la voisine se retourne à nouveau. La voici qui fouille un sac de plage qu’elle a laissé négligemment traîner à côté d’elle. Elle en sort un flacon de crème solaire dont elle se remplit la main. Comment voulez-vous que je garde mon sang-froid ? Elle se badigeonne le corps d’huile, insistant sur ses seins, sur son ventre et même sur l’intérieur de ses cuisses. On dirait qu’elle fait exprès, juste pour me faire craquer.

Elle repose la lotion dans son sac et en sort un long objet blanc, que je ne distingue pas tout de suite. Pas possible… On fera vraiment tout pour m’empêcher de me sevrer de ma drogue ! C’est un vibromasseur long et épais que la belle brune tient dans sa main. J’entends d’ici le petit moteur.

Épisode 19 !

Avant propos :

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Ne parvenant pas à mater correctement de l’autre côté de la haie, notre voyeur va trouver un stratagème pour pouvoir reluquer les séances de bronzage naturiste de la voisine.

********

Comme tous les soirs, le dîner réunit toute la famille. Ma sœur, mon beau-frère et moi veillons sur le bon déroulement de mon neveu, huit ans, un gamin qui a tendance à se gaver de frites de fast-food et à qui il faut parvenir à faire ingurgiter quelques légumes, si possible du potager. Mais le môme est turbulent, et il est bien difficile de le faire rester à table trop longtemps. Quand il revient du centre aéré où l’a mis ma sœur pour les vacances, il ne pense qu’à jouer dans le jardin, manquant régulièrement, par son imprudence, de tomber dans la piscine.

Nous n’en sommes même pas au fromage qu’il est déjà en train de batifoler sur la pelouse, ma sœur et mon beau-frère n’ayant pas une once d’autorité sur lui. Moi, je suis perdu dans mes pensées : je revois la belle voisine en train de frotter son vibromasseur sur la pointe tendue de ses nichons, puis descendre lentement le long de son corps nu jusqu’à son entrecuisse, où elle a posé l’engin sur son clito.

Dommage pour moi, la foison de feuilles qui constitue la haie représente un vrai rempart à une bonne vue sur ce qui se trame de l’autre côté, et ce n’est qu’à la faveur des soubresauts de jouissance masturbatoires de la voisine que j’ai pu admirer pleinement son corps.

Il faut que je trouve un meilleur angle de vue. J’ai bien essayé de monter à l’étage pour trouver une fenêtre d’où je pourrais reluquer la belle brune dans ses séances de bronzage naturiste et coquin, mais il n’y a rien à faire : la voisine s’est assurée de ne pouvoir être épiée de quelque point de vue que ce soit dans le quartier.

J’en suis là dans mes pensées quand mon beau-frère me présente, ainsi qu’à son fils, un dessert. Le gamin, toujours avide de sucreries, laisse atterrir son hélicoptère télécommandé et se précipite vers sa chaise pour engloutir une crème au chocolat.
Moi, je n’ai vraiment plus faim. Mes pensées ne sont plus tournées que vers une solution éventuelle. Il y a des jours où je m’étonne de ma propre lenteur. L’hélicoptère ! Évidemment, il suffit de partir d’un hélico pour gosse, de l’équiper d’une de mes caméras, et le tour sera joué. D’autant que le jouet de mon neveu est particulièrement silencieux.

Il reste juste un problème. Dans mon envie de couper les ponts avec mes lubies voyeuristes, je n’ai évidemment pris aucun équipement. Pas de mini-caméra… À moins que… Oui ! J’ai toujours offert à mon beau-frère des échantillons de mes créations technologiques. Il doit bien traîner quelque part dans la maison une caméra miniaturisée que je pourrais adapter au jouet du gosse ; et même si le jouet est repéré, je pourrai toujours prétendre que je travaillais à une amélioration.

Le lendemain après-midi, ma sœur à peine repartie au bureau, je retrouve l’une de mes inventions posées en évidence dans le salon. Un bricolage rapide, et voici que l’hélico pour gamin s’est transformé en drone espion. Il n’y a plus qu’à aller voir chez la voisine si celle-ci a repris ses siestes nudistes. Le décollage est parfait, l’engin ne fait aucun bruit. L’image sur l’écran de contrôle est parfaite, juste un peu instable. L’hélico passe la limite de la haie. Je peux voir la piscine de la voisine, l’herbe tondue parfaitement, les tables de jardin.

Oui, la belle brune est là, toujours nue, à prendre le soleil dans la fraîcheur du bassin. Je mets le jouet en vol stationnaire. Je suis à l’à-pic de la belle voisine, de son corps nu, de ses seins gros et fermes. Je tente un zoom vers son sac : huile solaire, livre ; je distingue aussi parfaitement le vibromasseur qui dépasse un peu du fouillis. On dirait que j’ai fait ça toute ma vie. Il ne reste plus qu’à changer d’angle. Voilà ! J’ai une vue plongeante sur le pubis fourni et épais de la naturiste. La suite des événements s’annonce bien.

Épisode 20 !

Avant propos :

Depuis les toits de Paris, notre voyeur assiste à une scène candauliste entre un couple libertin qu’il a pris l’habitude de mater et un jeune homme noir très athlétique.

********
De retour à Paris, je ne peux pas dire que je me sois désintoxiqué du voyeurisme, vu le matage régulier opéré dans le jardin de la voisine. Au contraire, mon envie d’aller reluquer dans les appartements des coquines et des ingénues de la capitale n’avait fait que décupler. Me voici donc reparti vers d’autres aventures, toujours en quête du grand frisson voyeur. Direction l’appartement où j’avais, il y a quelque temps, pu observer les gang-bangs inversés de cette bande de libertins pleins d’imagination.

Arrivé là-bas, tout semble calme. Le couple – il est 22 heures – est tranquillement installé devant sa télé. J’ai une vue parfaite sur leurs faits et gestes, mais les deux coquins sont tout à fait calmes. Ils regardent les infos du soir. Rien de bien folichon.
Qu’à cela ne tienne, je n’ai pas envie d’aller trop crapahuter sur les toits. Il vient de pleuvoir. Je ne tiens pas à aller me casser une jambe, ou pire, en cherchant un autre spot de matage. Peut-être ces deux-là vont-ils se décider à baiser un peu ?

Une heure se passe, et rien ne se passe. J’ai oublié l’idée de voir quelque chose d’intéressant ce soir. Le couple est toujours sagement assis devant la télé ; j’en profite pour scruter alentour pour tenter de trouver un autre spectacle. Rien !
Pas mon jour de veine. Ça arrive aux meilleurs mateurs. Tiens, voilà que madame s’extirpe du canapé, sans doute pour aller se coucher. Il est bientôt minuit. Je la perds de vue un instant, tandis que le mari se lève à son tour, farfouille dans son bar et en sort une bouteille de whisky et deux verres.

Je règle mes jumelles un instant et quand la mise au point revient à la normale, je vois la petite quadragénaire revenir dans la pièce, tenant par la main un grand jeune homme noir, type ailier fort d’une équipe de basket, qui serre la pogne du mari avant que celui-ci ne lui tende l’un des deux verres.

Les hommes se posent dans le canapé. La télévision est éteinte. Je sens que la soirée n’est pas vraiment perdue. Leur faisant face, la femme menue se met à se déhancher sur une musique que j’imagine langoureuse. Estomaqué par le spectacle, le jeune Black ne songe même plus à porter ses lèvres au whisky que le mari a, lui, descendu d’une traite.
Madame se dévêt, retirant un à un ses vêtements, dévoilant son corps sec, ses petits seins haut perchés, sa peau pâle et son petit cul qui a l’air encore bien ferme. Elle devient de plus en plus provocante, dévoilant son intimité à ces deux hommes, ignorant qu’un troisième larron profite du show. C’est qu’elle est bandante, à se trémousser comme ça, comme une allumeuse en manque.

Quand elle s’agenouille devant les deux gars, je sors ma queue de mon pantalon. Je contemple cette femme nue qui se frotte à deux hommes habillés qui sirotent un whisky, tandis qu’elle s’affaire à les exciter au maximum. C’est le mari qui, le premier, lui tend sa bite raide que la quadra engouffre dans sa bouche, aussi profondément que je l’ai vue le faire lors de mon premier matage.

Très vite, elle file vers la queue du Black. Il n’est pas spécialement bien monté, mais la petite bouche de la blonde est comme déformée par le gros gland qui s’insère entre ses lèvres. Je suis frappé par le contraste entre la bite noire et les joues pâles de la libertine, qui se déforment pour sucer au mieux son amant. Entretemps, le mari s’est déshabillé. Il attend maintenant son tour, calé confortablement dans le sofa, contemplant comme moi le pompier de rêve que sa femme administre à leur ami black. Elle se relève maintenant, caresse un peu le torse de son homme.

Puis la quadragénaire tourne le dos aux deux hommes et vient s’asseoir sur la queue tendue de son mari. C’est qu’il l’encule, le salaud ! Je la vois fermer les yeux et ouvrir la bouche à mesure qu’elle s’empale sur lui. Le grand Black est en branle, mais parvient tout de même à se lever pour mieux contempler l’intromission du membre viril dans le cul de la femme.

Épisode 21 !

Avant propos :
Notre voyeur se retrouve sur les toits, à assister à la double pénétration frénétique de la femme candauliste quand une ombre vient perturber la quiétude de sa séance de matage…

********

Ça y est, elle est totalement pénétrée. Le grand Black s’approche du couple, tenant à la main sa queue raide. Je sens que le spectacle va valoir le déplacement. Allant et venant sur l’érection de son homme qui s’enfonce dans son anus, la femme semble gueuler à tue-tête son plaisir. C’est bien simple : perché de l’autre côté de la rue, j’ai l’impression de l’entendre.

Le jeune Noir s’approche un peu plus, lui caresse ses petits seins d’où jaillissent deux tétons menaçants comme des flèches. Je zoome sur le visage de la libertine. Elle a dans le regard un mélange d’excitation extrême et d’anxiété. Son amant plie les genoux, l’embrasse comme il peut dans le cou, malgré les va-et-vient de plus en plus violents de la femme sur la queue de son homme, puis approche à son tour sa bite.

Elle a le minou offert, les cuisses écartées pour pouvoir mieux s’appuyer et s’empaler sur son époux. Ni une, ni deux, le jeune amant est en elle. Elle subit une double pénétration qui lui fait clore les yeux. Sa tête bascule en arrière, sa bouche grande ouverte. Je devine qu’elle ne crie plus. Elle apprécie chaque centimètre de son amant black s’enfonçant dans son vagin, venant rejoindre son propre mari, fiché dans son cul.
Les trois amants restent un moment immobiles tandis que le zob du jeune homme est maintenant entièrement englouti par la minette de la libertine. Chacun semble profiter au maximum de cet instant de félicité. Et c’est elle qui se met alors à agiter doucement le bassin, profitant des deux engins plantés en elle.

Elle semble comme habitée, comme ces femmes prises d’une transe vaudoue lors de cérémonie de magie noire. Très vite, sans que je n’aie bien compris comment, les deux hommes se retrouvent debout, à côté du canapé, tenant par les hanches la libertine avide de sexe, empalée sur deux membres dont elle sait tirer le meilleur, et offrir le meilleur.

Encore quelques minutes de ce régime-là. Moi qui ai dû mater des centaines de femmes en train de faire l’amour, je ne crois pas avoir jamais vu une telle furie utiliser deux amants pour son propre plaisir. Elle est pendue au cou du Black, appuyant son dos sur le torse de son mari, et paraît ne pas être rassasiée par la double pénétration.
Le jeune homme n’en peut plus. Il est sur le point de flancher, tout comme moi d’ailleurs. La libertine, expérimentée, comprend que son jeune baiseur va rendre les armes. Elle se dégage de la position, se retrouve à genoux devant lui. Elle retire la capote et prend la verge noire au fond de sa gorge, tout en se masturbant frénétiquement le clitoris.

Aux mouvements désordonnés du bassin du jeune gars, je comprends qu’il est en train de se répandre dans sa bouche. Quand il se calme, il baisse les yeux vers sa suceuse, qui lui sourit fièrement. Puis elle se retourne et engouffre la virilité de son homme là où le Black a déjà joui. Lui non plus n’est pas long à partir. Il se répand à son tour dans la gorge de sa femme. Quand il se retire, je la vois prendre un air salace et se lécher les babines de contentement, sous le regard pervers de son époux.

Tout à coup, j’entends un bruit, sous moi, comme quelque chose qui aurait glissé sur les toits de tôle de Paris. Je lâche un instant mes jumelles pour voir une forme humaine s’échapper subrepticement. L’ombre file sur les toits de Paris, avec un je-ne-sais-quoi d’un air coupable. Peut-être un autre voyeur ? Je ne pense pas avoir été moi-même repéré, mais il faudra être prudent à l’avenir.

Je n’étais peut-être pas seul à mater la scène de double pénétration. En face, le jeune mec est reconduit à la porte, non sans un bisou sur la bouche de la quadragénaire, qui est restée nue. Le couple file à la salle de bains, disparaissant de ma vue. Il est temps pour moi de rentrer au bercail. Sur le chemin du retour, l’idée de cet homme qui espionnait de concert avec moi me turlupine. Il faudra que j’éclaircisse ce mystère : je n’ai donné ce plan voyeur à personne, jusqu’à présent.

Épisode 22 !

Avant propos :

Notre voyeur est de retour dans sa salle de gym préférée, qui est aujourd’hui envahie de jeunes starlettes impudiques et désireuses de se maintenir en forme. L’occasion est trop belle.

********

Me voici de retour au club de gym où j’avais pu mater la jolie starlette de la chanson en la compagnie galante du prof de gym. Avait-elle vanté les mérites du club, de ses installations ou s’était-elle ouvert des performances sexuelles du prof ? Toujours est-il que la clientèle s’était singulièrement rajeunie depuis ma dernière visite.
Que des jeunes femmes en fleur, apprenties vedettes de téléréalité, présentatrices débutantes de talk-shows, ex-mannequins de 25 ans et demi. Dans la salle de gym, je ne savais vraiment plus où donner de la tête. Je suis vraiment au paradis des voyeurs ! Ici, une jeune animatrice de téléshopping, courbée sur son agrès, donne à voir un décolleté plongeant, dévoilant pratiquement les tétons de ses deux gros seins siliconés. Là, deux étudiantes se reposent, assises sur des tapis, les cuisses écartées.

J’ai repéré aussi une rouquine dans la vingtaine. À bien la regarder, je constate – avec plaisir – qu’elle ne fait aucune sorte d’effort pour dissimuler ses formes, pas plus que sa peau qui se découvre au gré de ses mouvements de gym. Je trouve son attitude spéciale, très différente des autres filles de la salle. Et puis, il y a toujours ma starlette, partie dans des exercices de yoga ou de relaxation. Elle est à quatre pattes sur un tapis d’exercice, et je peux mater en toute discrétion son joli cul moulé dans son body. Je me régale. Il n’y a plus ici que des femmes de moins de trente-cinq ans, sveltes et entretenues, et quelques hommes dans mon genre, qui transpirent plus du fait du spectacle proposé par toutes ces nymphettes que par leurs exercices de musculation.

C’est décidé : il faut que je replace une caméra ou deux dans les douches de ces dames. Renseignements pris, il est possible de privatiser le club le soir, après 22 heures, pour s’adonner à quelque discipline de remise en forme en compagnie de son prof particulier. Il me faut un complice. Ce sera Gilles, qui pourra ainsi me donner un coup de main pour disposer les caméras.

Gilles n’est pas très athlétique. Je lui invente une identité de professeur d’un art oriental inconnu qui, j’en suis sûr, fera florès dans les années à venir. Un lundi soir, le club est à nous. Nous avons tout le temps de placer nos espions dans les lieux stratégiques.
J’en dispose un dans le sauna, un dans les vestiaires, puis c’est au tour de la douche. Je me régale à l’avance de pouvoir mater très tranquillement toutes ces superbes femmes entièrement nues se relaxant après des efforts sportifs intenses. Gilles est en train de placer ses propres caméras dans les toilettes du club : on ne se refait pas.
Quant à moi, je m’imagine déjà en train de mater le prof de gym culbutant joyeusement l’une de ses élèves dans ses douches, comme je sais que c’est son habitude. Et une autre, encore une autre. Chacune des belles nanas que j’ai pu reluquer dans la salle passe à la casserole dans mon imagination.

Chaque vestiaire dispose d’un système de vidéosurveillance supposé parer à d’éventuels vols. La caméra est placée à l’entrée de la salle, ne filmant que les allées et venues des membres. Mais il suffit de profiter de celle-ci pour en placer une autre, beaucoup plus petite et discrète, et la pointer vers les douches. Un jeu d’enfant pour un voyeur expérimenté.

Je prends un escabeau et monte vers la caméra de sécurité. Incroyable ! L’idée que j’avais eue a déjà été prise. Quelqu’un a installé une caméra espionne en dérivation du système initial. Cette caméra est rotative et doit pouvoir balayer à la fois le vestiaire lui-même et les douches collectives.

Qu’à cela ne tienne ; il suffit de détourner le signal et à moi les images volées de tout ce que Paris compte de starlettes. Je fais mon branchement, m’assurant que le signal pourra me parvenir jusqu’au café du coin, où j’ai trouvé une petite table isolée qui me laisse tout loisir de mater à ma guise. Dès demain, je pourrai profiter tranquillement des images de cette caméra, qui me permettra de voir si le prof de sport baise effectivement toutes les jolies femmes qui fréquentent son club. Je m’en réjouis par avance.

À suivre…

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