Épisode 23 !
Avant propos :
Notre voyeur espionne, par caméra interposée, une jeune femme noire svelte et bien roulée, qui se change dans les vestiaires. Il apprécie le cul athlétique de la jeune Black.
********
Il est tôt. Huit heures. Mais le club sportif est déjà ouvert depuis un moment pour ceux de ses membres qui viennent transpirer avant d’aller au boulot. Moi, je suis installé à la table du café, un œil sur la porte d’entrée du club – en réel – un autre sur les images diffusées par la caméra espionne détournée la veille.
Grâce à mon dispositif, elle envoie un signal codé que seul je peux décoder pour profiter au mieux de mon espionnage. J’en connais un qui ne va pas être content : le saligaud qui a placé cette caméra et qui ne recevra plus rien.
Neuf heures. C’est l’heure des starlettes. La première d’entre elles à faire son entrée dans le club est une grande Black filiforme, au port de tête insolent et au cul à se damner. Je la repère dès son arrivée dans le club. Quelques dizaines de secondes plus tard, je la retrouve sur mon écran, pénétrant dans les vestiaires. Elle s’installe. Je fais pivoter la caméra jusqu’à elle. La voici qui se déshabille. Elle a un corps superbe. Des seins bien plus gros que je ne les aurais imaginés, perchés sur un buste aussi svelte qu’il est possible.
C’est comme si elle me faisait un strip-tease. Une fois torse nu, elle retire lentement son pantalon, puis sa culotte. Sa chatte est épilée de près ; son mont de Vénus est parfaitement lisse. Elle se retourne et se penche un peu pour prendre sa tenue de gym dans son sac. Mamma Mia ! J’ai une vue parfaite sur son cul splendide ; je peux même voir les lèvres de son sexe mises à nu par l’épilation.
La Blackette s’apprête à passer sa tenue de sport quand quelqu’un fait irruption dans le vestiaire. Une nouvelle cliente, sans doute. Je me réjouis d’avance. Non : c’est ce salaud de prof de sport, venu saluer son élève. Tu parles ! La fille est entièrement nue ; elle lui dit bonjour en déposant un baiser sur ses lèvres.
Le prof de sport l’enlace et lui rend son baiser. Elle a déjà la main posée sur le paquet du sportif qui, lui, caresse les superbes fesses de la jeune femme noire. Le baiser dure un long moment, laissant tout le temps aux deux protagonistes de se peloter, à la fois tranquillement et fiévreusement.
Mais, sans que rien n’ait semblé marquer la fin de l’étreinte, le prof s’en repart vers la salle de sport. La Blackette passe sa tenue de gym et part le rejoindre. Un long moment se passe dans le vestiaire sans que personne n’y entre. Pas grave. La jeune Antillaise devra repasser par là pour prendre sa douche. Et je ne doute pas que, si l’occasion se présente, ce cochon de prof de sport viendra l’y baiser, pour peu qu’elle y soit seule.
Voici une perspective qui me ravit. J’ai toujours adoré vivre les histoires de cul par procuration. Et j’adorerais voir cette magnifique créature se faire défoncer par un beau mâle athlétique.
Ça y est. Quelqu’un vient de rentrer dans le vestiaire. C’est bien ma veine. Un type de l’entretien. Une moustache touffue au beau milieu du visage, une casquette affreuse vissée sur la tête et une clope éteinte au bec. Merde ! Le voilà qui monte sur un escabeau en direction de la caméra.
J’espère de pas être déjà repéré. J’ai brouillé les pistes, au cas où ; mais tout de même… Le spectacle s’annonçait magnifique ! Le type farfouille un moment. Et il redescend. Le voilà qui griffonne quelque chose sur un bout de papier. Là, il montre à la caméra, écrit en gros caractères épais, un numéro de téléphone. C’est mon voyeur, celui auquel j’ai piqué le signal de la caméra. Il doit être furax. Il veut que je l’appelle et je comprends bien pourquoi. Il range maintenant son escabeau et repart, juste au moment où deux filles sublimes font leur entrée. Ni une, ni deux, elles se retrouvent en petite tenue et moi je mate. J’appellerai mon « co-voyeur » un peu plus tard.
Épisode 24 !
Avant propos :
Notre voyeur se souvient des instants de baise qu’il a espionnés grâce à la caméra d’un autre, entre le prof de gym et deux de ses élèves, dans les douches du club de sport.
*********
« Allo ? »
La voix semble tremblotante, peu assurée. Pas du tout la voix que j’aurais imaginée pour un agent d’entretien à la moustache épaisse comme celui qui m’avait donné son numéro de téléphone par caméra interposée.
« Oui, vous m’avez laissé votre numéro de téléphone ».
Je ne sais pas bien comment me présenter à celui dont j’ai détourné la caméra espionne des vestiaires du club de gym.
« Oui, j’attendais votre appel, me répond-il. Vous êtes un malin, vous ! »
« Oui, plutôt. Mais ne vous inquiétez pas, je peux vous donner les codes pour que vous puissiez vous aussi mater ».
« Je n’ai pas l’habitude de travailler en équipe, voyez-vous ».
Je vois bien. Je vois surtout les images des vestiaires du club de gym qui continuent à défiler sur mon écran. Plusieurs femmes magnifiques en sous-vêtements, ou même nues, qui se changent devant mes yeux voyeurs. S’il ne veut pas « travailler en équipe », comme il dit, j’aurai ce spectacle pour moi tout seul.
Toute la journée d’hier a été une merveille. Des femmes, toutes plus belles les unes que les autres, sont venues se changer, prendre leur douche dans ces vestiaires. À certains moments, je ne savais plus quoi choisir, entre reluquer une jolie Beurette menue qui se savonnait sous la douche et une rousse longiligne qui se déshabillait dans les vestiaires.
Et puis, il y avait le prof de gym. À la moindre occasion, il venait dans les vestiaires des filles, dont aucune ne songeait à protester contre la présence d’un homme dans ce lieu réservé aux dames. Mais quel homme ! Je commençais même à comprendre ce qui les attirait toutes à lui. Cette assurance, ce sans-gêne de celui à qui tout est acquis, le tout servi par une musculature d’Apollon et une autorité naturelle. Elles se pâmaient dès que le prof venait jouer les coquins dans le vestiaire. Dès que le club désemplissait, en début d’après-midi, en fin de soirée, il en avait d’ailleurs culbuté deux sous les douches.
La première devait avoir trente ou trente-cinq ans. Une jolie fille auburn, qui avait dû être mannequin ou quelque chose comme ça dans sa jeunesse, au corps parfaitement dessiné, entretenu par des heures de gym hebdomadaire. Le prof était arrivé subrepticement derrière elle tandis qu’elle shampooinait sa touffe. Il l’avait prise comme ça, debout, par-derrière, et elle s’était laissé faire.
La seconde était la grande rousse dont je vous parlais. Elle était restée tard, le soir, dans la salle de gym, jusqu’à être seule avec le prof. Les deux amants s’étaient précipités dans les vestiaires pour s’envoyer en l’air dès qu’ils s’étaient crus seuls. Seule, peut-être, mais ma caméra n’avait pas loupé le moindre coup de reins du prof de gym.
Ces images me reviennent, alors que je ne sais pas bien quoi répondre à mon interlocuteur.
« Je partage avec vous ma technique pour voir les images de la caméra. C’est à prendre ou à laisser. Où et quand pouvons-nous nous rencontrer ? »
« Désolé, mais je préfère que vous me fassiez parvenir tout ça par e-mail. Je dois rester discret, me répond-il ».
« OK, si vous voulez. Juste une question, par simple curiosité. Vous travaillez vraiment dans le club ? »
L’autre voyeur se met à rire. Je comprends que la réponse est non. Il peut toujours rire. Moi, j’ai encore en mémoire toutes les positions acrobatiques de la rouquine et du prof de sport, qui s’en sont donné à cœur joie dans les vestiaires du club. Des instants que l’autre a ratés, et dont je me suis régalé. Je me rappelle avoir été stupéfait par la souplesse de la jolie rousse. Et par son tempérament de chaude baiseuse.
L’homme me donne une adresse e-mail et je lui envoie tout de suite le logiciel et les codes qui permettent de reluquer les images de la caméra du vestiaire. Oups ! J’ai peut-être fait une erreur. J’espère qu’il saura se montrer discret. Mieux vaut pour lui, d’ailleurs : c’est lui qui a placé cette caméra, après tout.
Épisode 25 !
Avant propos :
Toujours nanti d’un système de caméras espionnes dans les vestiaires d’un club de gym, notre héros surprend une jeune maghrébine en pleine masturbation.
********
Ah ! Que d’heures passées à mater en toute impunité les bombes sexuelles de la salle de gym ! Je les vois encore en train de couvrir leur peau douce de toutes sortes de lotions et autres baumes, ou se savonnant lascivement sous la douche. J’en ai remarqué une, en particulier, une jeune franco maghrébine qui ne doit pas avoir vingt ans. Ce genre de filles repérées pour leur physique et qui quittent les études une fois le bac en poche pour chercher gloire et fortune.
La jolie Beurette avait vraiment tout d’une star du porno – et c’est pour moi seul qu’elle aura fait son show – avec ses seins ronds et fermes, ses hanches pleines et ses belles fesses bien rebondies. Quand elle est arrivée dans le vestiaire, l’activité de la salle de sport battait son plein. Elle devait être en retard pour son cours de gym, et c’est en quatrième vitesse qu’elle se déshabilla, ne me laissant que des promesses.
Au retour d’une heure de transpiration, elle m’offrit en revanche un spectacle dont tout voyeur, même aussi expérimenté que moi, se serait délecté. Elle retira son body mouillé, qu’elle portait sans sous-vêtements, laissant jaillir les deux globes fermes de sa poitrine sous mes yeux. La lumière de la salle étant bonne, je pus zoomer sur les grandes aréoles brunes, appétissantes, de la belle et m’en rincer l’œil avant qu’elle ne soit totalement nue. Sa chatte n’était pas épilée et c’est une magnifique touffe frisée qu’elle dévoila alors. Se retournant, elle offrit à ma vue un cul à la peau veloutée, très pâle et, se baissant pour sortir du gel douche de son sac de sport, elle me permit de me régaler de sa petite chatte velue.
Elle était si belle, si désirable, que je n’avais d’yeux que pour elle, alors même que le vestiaire était plein de beautés nues ou à demi-nues qui ne demandaient, pensai-je, qu’à être reluquées sous toutes les coutures. Mais, sans conteste, la jeune maghrébine emportait la palme de la sensualité. Puis la Beurette entra dans la douche, où une autre des caméras espions prit le relais. Laissant couler l’eau sur ses cheveux crépus, elle semblait prendre beaucoup de plaisir à la sensation du filet qui coulait le long de son corps, créant un sillon entre ses deux belles mamelles.
Ses ablutions durèrent longtemps. La jeune femme savonnait avec minutie chaque partie de son corps en insistant, à ce qui me semblait alors, sur certaines zones érogènes. Le lavage de ses seins fut, par exemple, tout un poème. Les mains pleines de mousse savonneuse, elle exerçait d’amples mouvements circulaires autour de chacun de ses nibards, les soulevant un à un, les écartant, les resserrant l’un contre l’autre.
Longtemps. De sorte que, quand elle eut fini, le vestiaire s’était totalement vidé de la faune de nymphettes qui s’y préparaient quelques minutes auparavant. Ma belle Arabe sortit de la douche, toujours nue, et repassa dans le champ de la première caméra.
Là, elle prit une sorte de baume dans son sac de sport, en déposa au creux de sa main et commença à s’en badigeonner le cou, les épaules puis la poitrine, et ainsi de suite jusqu’en bas de ses mollets. Elle prenait, là encore, un grand soin à ne rater aucune partie de sa peau, y compris l’intérieur des cuisses, où elle s’attarda un long moment.
Ainsi frictionnée, la belle Beurette étendit une serviette sur le banc, s’y assit et, encore tout huilée de son massage, laissa retomber son dos sur le mur du bâtiment. Elle écarta très légèrement ses cuisses et une de ses mains fila au cœur de son intimité, que je ne pouvais distinguer clairement. Ça semblait trop beau pour être vrai ; mais là, devant la caméra espionne, la splendide Beurette entamait une masturbation qui me mit, pour le moins, en émoi.
Épisode 26 !
Avant propos :
Sans cesse interrompue pour les allées et venues des vestiaires, la jeune Beurette poursuit malgré tout sa masturbation sous le regard des caméras du voyeur.
********
Les tétons de la jeune Beurette pointaient durement, et fièrement, au-dessus de ses larges aréoles brunes. La belle gardait les yeux ouverts, et les miens restaient rivés à l’écran de mon ordinateur, qui me retransmettait en direct les images de cette séance de branlette improvisée dans les vestiaires de la salle de sport.
La main droite de la jeune femme se démenait entre ses cuisses tandis que sa main allait et venait de son ventre à son pubis, puis remontait à ses seins qu’elle caressait voluptueusement, et parfois même à ses lèvres dont elle couvrait ses propres doigts de baisers humides. La beauté arabe ne semblait porter aucune attention au monde extérieur, prise dans un accès de volupté qui m’apparaissait – à moi, observateur passionné – totalement incontrôlable, et la perspective d’être surprise en pleine séance d’autoérotisme n’avait même pas dû effleurer la jeune branleuse.
À mesure que le plaisir montait en elle, ses cuisses s’écartaient, me dévoilant de plus en plus – et pour mon plus grand plaisir – sa chatte velue et frisée. J’ai bien conscience que le fait d’assister à un tel moment peut paraître totalement hasardeux aux néophytes, mais croyez-en un voyeur aguerri comme moi, ce genre de scènes n’est pas si rare pour qui sait où et comment chercher.
Quoi qu’il en soit, j’étais tranquillement installé à reluquer les cuisses pleines de la jolie Maghrébine pendant qu’elle s’agitait et se convulsait, comme prise de spasmes, les yeux toujours grands ouverts. De la façon dont elle s’était plantée en face de la caméra espionne, on aurait presque pu croire qu’elle donnait son show en toute connaissance de cause.
Elle me faisait face, la chatte humide plantée au beau milieu de mon écran et je balayais son corps du faisceau de la caméra avec délice. Je restais totalement ému devant la beauté de ses seins que, maintenant, la Beurette pinçait légèrement du bout des doigts.
Puis elle s’arrêta net, sans que je comprenne tout de suite pourquoi. En fait, une autre personne avait poussé la porte du vestiaire. Une grande nana blonde, au physique de bimbo californienne lui faisait face, sans nullement se choquer de la nudité de la jeune maghrébine. La nouvelle venue se prépara pour rejoindre les équipements sportifs tandis que mon héroïne faisait mille et une choses inutiles, toujours en tenue d’Ève, histoire de se donner une contenance. Mais à peine la bimbo eut-elle quitté la pièce que ma belle poilue retourna à ses plaisirs en solo.
Puis ce fut au tour d’une trentenaire brune aux cheveux bouclés de faire son entrée, manquant à son tour de peu de surprendre la masturbation de la Beurette vicieuse. Elle était en tenue de sport, se déshabilla juste devant ma caméra, à quelques pas de la branleuse, et se dirigea vers les douches. Dès qu’elle fut hors de portée de vue, la Beurette reprit ses jeux, se démenant – en tout cas, à ce qu’il semblait – pour jouir le plus rapidement possible. Mon écran était découpé en deux, une partie me montrant la jeunette en pleine branlette, l’autre la brune trentenaire sous la douche.
J’avais presque l’impression de me faire le complice de la jeune femme, observant le comportement de la trentenaire sous sa douche, comme pour avertir la belle du retour de la gêneuse. On se demande bien comment j’aurais pu faire. Mais peu importe. Car elle touchait au but. Pour la première fois, ses yeux se fermèrent, elle pinça ses lèvres, sans doute pour étouffer le son de son orgasme.
Là, ses épaules basculèrent, son bassin avança et c’était parti. Pendant une longue minute, la jolie Maghrébine put déguster un plaisir durement mérité. Quand ses fesses se reposèrent enfin sur le drap de bain posé sur le banc, la brune sortit de la douche.
Avait-elle compris ce qui se jouait ici ? Je l’ignore. Mais c’est en deux temps et trois mouvements que la jeune fille se rhabilla et sortit enfin du vestiaire, où elle avait tout de même passé une heure.
Épisode 27 !
Avant propos :
Notre voyeur retourne en face de l’appartement du couple libertin, qui se livre à une séance de sadomasochisme au cours de laquelle madame décide.
*********
Pour l’heure, c’est samedi soir, et je suis perché sur les toits de Paris. Après une promenade qui ne m’a pas apporté grand-chose – si ce n’est une beauté mûre qui sortait de son bain – je suis de retour en face des fenêtres du couple libertin chez qui j’ai surpris, une première fois, une partouze extraordinaire, et une seconde fois, un trio avec un jeune éphèbe black.
Une soirée calme à la maison, voilà ce qu’apparaît être le programme des deux coquins. Ils dînent en tête à tête, et la conversation semble calme et détendue. Peu à parier qu’ils attendent du monde. Mais je vais planquer ici encore un moment : si rien ne se précise, il me reste la possibilité d’un nouveau terrain de jeux découvert par un ami voyeur.
Quoi qu’il en soit, je reste là un moment, histoire de vérifier que rien de très pervers ne se prépare chez ce couple qui, d’après ce que j’en ai déjà vu, ne se refuse vraiment rien. Le dîner est fini. On débarrasse la table et madame allume la télé. Rien de très folichon en perspective…
Un temps se passe. Puis c’est madame qui se dirige vers la chambre, laissant monsieur partir de l’autre côté, vers ce que je suppose être la salle de bains. Heureusement pour moi, ni les volets ni les rideaux ne sont jamais fermés dans cet appartement et je peux continuer à suivre les allées et venues de la dame par la fenêtre de la chambre.
Elle ouvre une armoire et y cherche longuement quelque chose. Et c’est enfin que les événements prennent un tour favorable pour moi. La voici qui en sort une tenue toute en cuir qu’elle déplie sous mes yeux.
Elle se déshabille, très lentement, comme si elle faisait un strip-tease à un spectateur imaginaire. Bref, j’en profite au maximum. J’ai ses deux petits seins un peu tombants dans ma ligne de mire. Rien de comparable avec la beauté beurette de la salle de sport, mais c’est tout de même très plaisant. La libertine s’asperge de talc, dont elle recouvre presque toute sa peau. Elle se baisse maintenant pour revêtir sa combinaison de cuir. Avec une aisance déconcertante, elle se retrouve vite parée d’une tenue hallucinante d’indécence.
La combinaison descend du haut des épaules jusqu’au bas de ses mollets, en ne laissant que trois ajours, tout à fait impudiques. Deux trous laissent en effet passer ses seins et un autre est percé à hauteur de son mont de Vénus et jusqu’à son entrejambe, remontant de l’autre côté vers ses fesses, que je peux contempler à loisir quand elle se retourne. Ainsi vêtue, la libertine retourne à son armoire et y farfouille un long moment. La voilà qui en sort un martinet aux courtes lanières de cuir, qu’elle saisit fermement de sa main droite. Elle en claque un coup sur sa cuisse avant de reposer l’objet sur le lit.
Retour à l’armoire. Nouvelle recherche. Elle dégote maintenant une cagoule de latex violet, qu’elle passe sur sa tête avant d’en refermer la fermeture Éclair. On ne voit maintenant plus que la bouche et les yeux de la libertine, qui reprend en main le martinet avant de filer de nouveau vers le salon/salle à manger. Elle se pose sur le canapé, en face de la télé. Elle prend la télécommande et zappe. C’est un film porno qui se joue à l’écran, où l’on voit deux starlettes – une brune et une blonde – en train de se gouiner tranquillement au bureau.
Je vois ma libertine appeler maintenant en direction de la salle de bains. La soirée s’annonce perverse à souhait, car voilà qu’apparaît monsieur, entièrement nu, à quatre pattes, qui rampe littéralement jusqu’à son épouse, s’arrêtant à ses pieds, avant de recevoir une caresse sur sa tête dégarnie.
Épisode 28 !
Avant propos :
Le couple libertin poursuit ses jeux SM sous le regard de notre voyeur qui ne perd pas une miette du spectacle pervers qui lui est offert.
*********
Étrangement, la scène à laquelle j’assiste n’a rien de grotesque. Au contraire, il y a un certain érotisme qui se dégage à la fois de ce couple et de ces jeux aussi variés. Les voici qui passent de la partouze générale au trio avec un jeune Black et maintenant aux jeux de domination SM.
Il est à genoux, en face de sa femme qui reste lovée dans le canapé. Il attend les ordres. Je la vois maintenant qui écarte les genoux, ouvrant ses cuisses, et appuie sur la nuque de son mari pour attirer sa bouche à elle. D’une main, elle tient une télécommande avec laquelle elle zappe d’une scène porno à l’autre sur son lecteur DVD ; de l’autre, un martinet dont elle n’a pas encore fait usage.
Monsieur s’applique. Je zoome sur la chatte de sa femme, dans laquelle il est plongé aussi loin qu’il est possible. Grâce à mes jumelles, je peux voir jusqu’à sa langue qui travaille le clito gonflé. Madame, elle, est affalée sur le sofa, les jambes tendues vers le sol et profite au maximum des caresses buccales.
Ça y est. Elle claque maintenant quelques légers coups de martinet sur le dos nu de son homme, juste pour le symbole, car celui-ci ne semble pas ressentir de douleur trop importante. Elle relève une jambe et, d’un geste leste, l’entortille au-dessus de la nuque de son esclave, le plaquant encore un peu plus entre ses cuisses. L’autre jambe suit et c’est dans un étau que Monsieur, désormais, doit prodiguer son cunnilingus. Je peux distinguer sur les lèvres de madame que celle-ci parle à son homme, d’un ton que j’imagine sévère, mais juste. Je l’imagine l’encourageant, de mots durs et doux, à bien la lécher.
Les coups de martinet se font plus précis, plus secs. Madame s’énerve sur le dos de sa pauvre victime, dont la peau rosit légèrement à chaque nouveau contact des lanières de cuir. Elle a un peu tourné la tête, de sorte que sa cagoule de latex ne me permet plus de suivre le mouvement de ses lèvres. Ça n’est plus tout à fait un jeu. Tortillant du bassin, madame redouble des coups de martinet sur la peau nue de son mari. Il se débat un peu, mais il ne peut se dégager, prisonnier des cuisses puissantes de sa dominatrice. Alors, reprenant une seconde son souffle, il replonge de plus belle entre les lèvres de la maîtresse SM.
Voilà la raison de l’emportement de la libertine : elle s’apprête à jouir. La voici qui se convulse, retenant toujours son mari prisonnier du cunni qu’il lui offre. Son bassin s’agite en tous sens. Elle doit lui crier son bonheur dans tous les mots qui servent à asservir et à humilier. Il est là, docile, et il ne cesse de lécher le sexe de son épouse.
Ça y est. Elle vient de jouir. L’étau des cuisses se desserre, elle se dégage lentement. Mon attention est détournée de la scène par des bruits en contrebas, sur un toit inférieur. Je me penche, mais l’obscurité ne me permet pas de distinguer quoi que ce soit.
Sans doute un chat. Je retourne à mon couple libertin. Madame est maintenant à quatre pattes sur le canapé, sa croupe, laissée nue par la combinaison de cuir, tendue vers le visage de son homme. Il s’agrippe d’un geste doux et caressant aux cuisses de la dominante, prenant soin de ne pas abîmer le cuir de la combinaison puis, de la même manière qu’il l’avait fait pour sa chatte, plonge la tête entre les deux belles fesses de son épouse.
Je vois à nouveau la bouche de la maîtresse, laissée libre par la cagoule. Elle gueule comme une damnée son envie – que dis-je ? Sa volonté – de sentir la langue de ce docile esclave au fond de son cul. Mais elle a beau hurler, monsieur est déjà appliqué à prodiguer une parfaite feuille de rose, la langue plantée dans l’arrière-train de son épouse dominatrice.
À suivre…
Ajouter un commentaire