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Histoire de Sexe

Le journal d’un voyeur Chapitre 6

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Épisode 29 !

Avant propos :

Alors que notre voyeur continue à mater le couple libertin en plein délire sadomaso, il s’aperçoit qu’il n’est peut-être pas le seul à profiter de la vue sur les fenêtres de l’appartement.

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Une chose que je n’ai pas remarquée, pendant toute la séance de domination de la libertine sur son mari lécheur, c’est que celui-ci n’a pas cessé de bander pendant toute la durée du cunnilingus et de la feuille de rose que sa femme lui a imposés. Or, c’est un fait important, car la maîtresse dominatrice a bien l’intention de profiter de cette érection. Elle fait s’asseoir sa victime sur le rebord du canapé puis se lève, lui faisant face, avec cette attitude autoritaire dont elle ne s’est pas départie depuis le début.

Elle a reposé la télécommande du lecteur de DVD sur la table basse et c’est maintenant du bout des lanières de cuir du martinet qu’elle caresse lentement les couilles et la bite de son mari, qu’elle entend bien utiliser comme bon lui semble. Il reste là, servile, attendant fébrilement le moment où son plaisir se transformera en douleur. Mais il n’en est rien. Elle s’agenouille à son tour en face de l’intimité de son homme, se penche vers elle et prend le gland dans sa bouche. Je connais ses talents de suceuse depuis la première orgie espionnée chez ce couple déluré.

Là, elle se contente du gland, qu’elle aspire entre ses lèvres, couvre de salive avec sa langue. Cette fois, elle saisit les deux petites couilles de son homme dans le creux de sa main et, tout en poursuivant la fellation, les serre entre ses doigts. Il a un léger mouvement de recul, provoqué par la douleur, que son épouse dompte sans coup férir.
Elle attrape des yeux son regard, le gland turgescent toujours collé entre ses deux lèvres et commence à tourner le poignet, de sorte que les deux testicules s’en trouvent maltraités, pour ne pas dire torturer. Je vois le type beugler de douleur.

Pourtant, il bande toujours aussi dur. Madame relâche un peu la pression, recrache la bite qui me semble aussi dure qu’il est possible. D’une main, elle saisit de nouveau le martinet et en assène un coup violent sur le torse de son époux. Elle se redresse maintenant. Il y a encore du bruit tout près de moi. Je cherche du regard pour voir si un autre mateur ne s’est pas invité à la fête. Dans la pénombre, je n’aperçois rien, même pas une forme qui pourrait être à l’origine de ces bruits.

Entretemps, madame s’est assise sur les genoux de son époux. Elle fait glisser les lanières du martinet contre son torse. Son érection fait toujours plaisir à voir. Prenant appui au sol, elle se redresse un instant pour se laisser retomber sur la bite du mari, se l’enfilant d’une traite, écrasant de son poids les couilles maltraitées. Il n’est plus qu’un gode humain, sur lequel madame s’empale avec délice. Elle va-et-vient sur le membre, avec un mélange d’agitation et de contrôle de soi, qu’elle agrémente de plusieurs coups de martinet sur le torse de l’esclave.

Je peux voir ses petits seins ballottés au rythme de la cavalcade. D’un geste, elle envoie valser le martinet au loin, se saisit des tétons de son homme et, tout en continuant à se baiser elle-même sur la bite tendue, pince et griffe son objet sexuel. Elle lui parle tout en s’empalant : j’imagine qu’elle lui ordonne de ne pas jouir de suite, tant le mec a l’air d’être au bout de son propre plaisir.

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Je rate le bouquet final car, à nouveau, du bruit se fait entendre à mon aplomb. Cette fois, je peux distinguer une forme humaine qui s’enfuit vers un autre toit. Pas de doute : c’est le même voyeur que la fois précédente. Il me faut en avoir le cœur net.
Alors, je me lance, aussi prudemment qu’il est possible sur les toits rendus glissants par la pluie, à la poursuite de la silhouette qui se carapate dans la nuit.

Épisode 30 !
Avant propos :
Toujours planqué dans l’hôtel de passe, notre voyeur se remémore la partouze qu’il a pu mater pendant une partie de la nuit. Mais quand, enfin, les stores de l’appartement de son concurrent s’ouvrent, une surprise l’attend.

********

À la première heure du jour, le lendemain matin, je suis déjà à la fenêtre à épier l’appartement de l’autre voyeur, espérant enfin démasquer mon concurrent. Ses volets se sont refermés, et il ne semble pas devoir émerger avant un moment. Il faut dire qu’il a dû mater les clients de l’hôtel pendant un bon moment.

Quand le vieux salaud eut fini de tirer sa pute antillaise – ce qui fut vite fait – un jeune mec aux allures bourgeoises a débarqué à son tour dans le boui-boui et s’est installé dans la chambre à côté de la mienne. Au bout de quelques minutes, ce sont deux jeunes femmes, une Slave et une Africaine, qui l’ont rejoint dans sa chambre.

Deux professionnelles, manifestement. La partouze a duré toute la nuit. Le jeune a d’abord fait déshabiller les deux jeunes femmes devant lui, allongé sur le lit. Pas une seconde ils n’ont pensé à tirer les rideaux. Les deux filles étaient roulées comme des déesses. Deux belles femmes au corps fin et bien dessiné, qui roulaient des hanches avec un savoir-faire savamment entretenu.

Le jeune gars a sorti sa queue, et les deux filles ont commencé à se gouiner pendant qu’il se branlait. Du voyeurisme tarifé, en somme. La jeune Africaine frottait sa poitrine à celle de la petite Russe, et cette dernière semblait y prendre un vrai plaisir. Quand la pute noire s’est mise à genoux pour lécher sa chatte, la blondinette avait l’air d’être très proche de l’orgasme. Puis les deux jeunes femmes ont rejoint leur client sur le lit, non sans avoir éteint la grande lampe nue de la chambre. Heureusement pour moi – et pour l’autre voyeur, sans doute – elles laissèrent allumer la salle de bains, de sorte que je pus continuer à mater en ombres chinoises. J’adore ce genre de spectacles : vous voyez des formes se dessiner, des corps se rejoindre, et il faut un effort d’imagination, parfois intense, pour reconstituer la réalité des scènes qui se déroulent devant vous.

Là, l’une des filles – que je ne parvenais plus à distinguer l’une de l’autre – s’était empalée en amazone sur le chibre du jeune gars tandis que l’autre lui faisait face, assise carrément sur le visage du client. Pendant que l’une chevauchait avec passion la bite du jeune homme, l’autre se faisait lécher tout en échangeant des baisers langoureux avec sa complice.

Les deux professionnelles me semblaient authentiquement lesbiennes. Autant elles satisfaisaient avec dévouement les caprices de leur jeune client, autant elles prenaient plaisir à se gouiner gentiment. Pendant toute cette chevauchée fantastique, leurs deux bouches ne se décollèrent pour ainsi dire pas l’une de l’autre. Idem quand le gars les fit mettre toutes les deux à quatre pattes pour les sauter alternativement. Les deux filles semblaient très complices et s’embrassaient tout en subissant les assauts de leur pervers client.

Bref, la soirée fut chaude, très chaude et se prolongea jusque tard dans la nuit. Il est déjà midi, et le voyeur d’en face n’a toujours pas ouvert ses volets. Peut-être est-il déjà parti. Non : les stores commencent à s’ouvrir. Je vais enfin voir le visage de mon concurrent. Évidemment, le dispositif est vieillot et les volets coincent un peu.
Là, je ne peux vous dire ma stupeur. De l’autre côté de la vitre, c’est clairement un visage féminin qui apparaît devant moi. Une jeune femme blonde, avec de longs cheveux filasse, le teint clair, les yeux bleus. Si je m’attendais à ça ! Mon concurrent voyeur vit en couple, et sans doute sa petite amie ignore tout de ses activités nocturnes.

Épisode 31 !

Avant propos :

Notre voyeur suit sa concurrente jusqu’aux abords d’une fac de lettres où celle-ci semble avoir ses habitudes de mateuse de jeunes et jolies étudiantes en tenues de printemps.

********

Après mûre réflexion, j’ai changé d’hypothèse. Je me suis fait à l’idée que mon voyeur est peut-être une voyeuse et que la jeune femme que j’ai vue par la vitre est peut-être mon concurrent. Après tout, et à bien y réfléchir, l’ombre que j’ai suivie dans la nuit avait quelque chose de félin – peut-être de féminin – dans sa fuite éperdue sur les toits de Paris.

Il me faut en être sûr. Non pas que la présence d’un autre voyeur devant l’appartement des partouzards me gêne, mais je suis de plus en plus intrigué par cette présence – féminine ? – quand je me rince tranquillement l’œil. Je n’ai pas libéré ma chambre d’hôtel. Le réceptionniste est circonspect sur mes activités : il ne doit pas être habitué au fait qu’un client lui loue une chambre pour plus de quelques heures. Peu importe. Je me poste devant la fenêtre en attendant que la jeune femme veuille bien sortir de sa tanière.

En fin d’après-midi, la voici qui fait son apparition dans la rue, passant la grande porte cochère qui ne ferme pas. Je me précipite à l’extérieur pour la filer un moment. Après tout, elle ne peut pas me reconnaître ; elle ne connaît peut-être même pas mon existence. Elle descend dans une bouche de métro ; je la suis à distance. Elle va vers le sud de la ville et je lui file le train jusque dans la rame de métro. Pas de chance pour moi et pour mes velléités de discrétion : le métro est presque vide. Elle s’installe sur une banquette et je me décide à m’asseoir juste en face d’elle.

Planqué derrière un journal ramassé à la hâte sur le quai, je dévisage aussi discrètement que possible la jolie blonde. Car elle est plutôt jolie, et même franchement charmante, malgré ses cheveux filasse et mal entretenus. Étrange, son visage m’est familier. Mais où donc ai-je pu la voir ? Son attitude est étrange, elle semble agitée. Peut-être m’a-t-elle dans le collimateur ? Ou peut-être suis-je en pleine crise de parano ? Quoi qu’il en soit, il faut que je retrouve où j’ai déjà vu cette frimousse.

Après un changement et un nouveau trajet, elle finit par sortir du métro à la station Censier-Daubenton. Là, elle fait quelques dizaines de mètres pour s’installer dans un café qui fait face à la fac. Elle s’installe à une table le long de la baie vitrée et commande un thé. Je l’ai suivie jusqu’à l’intérieur : ma curiosité est plus forte que mon envie de rester discret. Très vite, je comprends que la jeune blonde est bien ma voyeuse. Je le comprends au défilé incessant de jeunes et jolies étudiantes, en tenues légères, qui passent en tous sens dans la rue, dans le café et sur le parvis de la faculté, juste de l’autre côté de la chaussée.

Et au regard inquisiteur de la voyeuse. Elle repère tout, avec une vivacité qui m’impressionne. Là, une étudiante se baisse pour ramasser un papier sur le trottoir, découvrant ses cuisses nues sous sa jupe. Je suis sur le coup, mais je m’aperçois que la blondinette n’en rate pas, elle non plus, une miette. Quel meilleur endroit que cette fac pour mater de jolies jeunes femmes ? Cette fois, plus de doute : c’est bien une voyeuse, et non un voyeur, qui partage avec moi le spectacle de l’appartement du couple échangiste.

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Un mystère demeure cependant. Plus je la regarde, et plus je me dis que j’ai déjà vu cette tête quelque part. Il va être 18 heures ; l’activité de la fac ralentit petit à petit. Ma voyeuse règle son addition. Moi aussi. Je lui laisse quelques mètres d’avance et lui emboîte le pas. Avec un peu de chance, la voyeuse va me faire profiter – même involontairement – de quelques bons plans.

Épisode 32 !

Avant propos :

Toujours accaparé par l’idée d’être concurrencé par une femme voyeuse, notre mateur s’offre un moment de détente en regardant les enregistrements espions du club de gym, où le prof s’en donne à cœur joie.

**********
Finalement, la voyeuse est rentrée directement chez elle. J’en ai profité pour récupérer mes affaires, régler la note de l’hôtel et faire de même. À chaque jour suffit sa peine : j’ai commandé une pizza et me voici devant mon ordinateur, à visionner les images enregistrées par mes caméras dans le vestiaire du club de gym. Pas de panique, Mesdames : je me contente d’enregistrer ce que je ne peux pas voir en direct, mais je détruis consciencieusement les fichiers ensuite.

J’ai donc scruté l’enregistrement en avance rapide, en quête des moments croustillants. Outre les habillages et déshabillages de ces demoiselles – toujours des moments très intéressants – il y avait ce sacré prof de gym, qui niquait à tout va. Des brunes, des blondes et des rousses, des Blanches et des Noires : c’est dingue le nombre de nanas que, en trois jours, le mec s’était tapées. Tout avait commencé l’avant-veille au matin, avec une grande bringue aux cheveux auburn, à la carrure de nageuse est-allemande et aux seins d’héroïne de comics américains.

La fille, la vingtaine, s’était déshabillée l’air de rien, avant sans doute d’enfiler une combinaison de gym. Elle fut interrompue : le prof. Il s’approcha d’elle, échangea quelques amabilités et lui fit la bise. Puis il la bascula en arrière, dévorant les larges aréoles de ses seins, trop gros pour sa bouche. La fille eut à peine le temps de s’accrocher à la poutre apparente de son entraîneur, qui lui rendit les plus beaux hommages pendant cinq courtes, mais intenses, minutes. Puis ce fut le tour d’une brunette à la peau mate, plus tard dans la matinée. Toujours la même technique :

« Tiens, salut, comment tu vas ? Prête à transpirer ? »

Et pan ! En deux temps, trois mouvements, l’affaire était dans le sac.
À croire qu’aucune des plus jeunes et jolies adhérentes du complexe sportif ne résistait au charme – et à la musculature – de ce Casanova des tapis de sol, de ce Don Juan du step ping. Jusqu’à des femmes plus mûres, et qui auraient été sans doute moins désirables si elles ne s’étaient révélées de vrais volcans.

À la fin de l’enregistrement de la veille, j’ai repéré une femme blonde comme les blés, la quarantaine – peut-être même la cinquantaine – qui revenait, encore tout humide de transpiration, de la salle de gym. Elle se déshabilla prestement, révélant un corps d’une minceur incroyable, une poitrine à peine naissante et un cul presque plat mais ferme.
Elle a filé sous la douche, vite rejointe par une autre dame qui, visiblement, était une amie proche. Sensiblement le même âge, mais pas du tout le même physique : elle était brune, un corps rond, une paire de seins énorme. L’exact inverse de sa copine de sport.
Elles étaient nues ; la douche se mit à couler. Puis elles se mirent à se savonner l’une l’autre, langoureusement. Chouette ! J’allais assister à une séance de baise lesbienne. J’adore !

Mais c’était sans compter avec le prof et son besoin compulsif de niquer tout ce qui bouge. L’homme a fait son entrée dans le champ de mes caméras et s’est déshabillé à son tour, bandant ses muscles autant que sa queue. Il a rejoint les deux gouines sous la douche et ce fut à son tour d’être savonné et massé avec délicatesse. Ce petit jeu de badigeonnage à quatre mains dura un long moment avant que le prof ne se décide à culbuter, chacune à son tour, les deux femmes mûres sur le carrelage des douches du club.

Un moment après qu’ils eurent fini, alors que je m’apprêtais à passer à l’enregistrement du jour même, une silhouette fit son apparition. Le type de l’entretien ! Il est monté à un escabeau, armé d’une boîte à outils, en direction des caméras espionnes. Je pus alors voir son visage : aucun doute, il m’était familier. Cet homme n’en était pas un : c’était la fille blonde, la voyeuse qui me concurrençait, décidément partout où j’allais mater.
Et puis, plus rien : elle avait débranché le dispositif.

Épisode 33 !

Avant propos :

Notre voyeur entreprend une filature de la perverse blonde qui, déguisée en homme, se rend tout droit vers un cinéma porno du quartier où elle va pouvoir mater un jeune homme black en branle.

*********

Ma découverte m’avait choqué. Le type de l’entretien qui dépose des caméras espionnes un peu partout dans Paris n’est autre que la voyeuse des toits de Paris. Dès le lendemain, je me retrouve de nouveau dans la chambre d’hôtel qui fait face à l’immeuble de la petite perverse. J’espère pouvoir la voir sortir et la suivre à nouveau dans ses pérégrinations à travers la capitale. En reprenant cette même chambre, j’ai éveillé la curiosité du réceptionniste qui, décidément, ne comprend pas bien ce que je suis venu faire là. Il m’a proposé de la compagnie en précisant « garçon ou fille : ici, on ne juge pas ». Très bien, le gars est aussi maquereau à ses heures.

Me voilà donc scotché à la fenêtre, partiellement dissimulé par la paire de rideaux brinquebalante, attendant la sortie de la jeune blonde. Or, ce n’est pas elle que je vois passer la lourde porte cochère de l’immeuble, mais bien l’agent d’entretien, dans son bleu de travail, avec sa casquette vissée sur la tête. Elle s’est de nouveau travestie, ce qui suggère qu’elle part en « mission » pour planquer quelque caméra espionne je ne sais où dans Paris. Il me faut à nouveau la suivre. Je descends donc les escaliers, repasse devant le réceptionniste, de plus en plus intrigué par mon manège. La filature ne dure pas longtemps. La jolie blonde – ou l’agent d’entretien, devrais-je dire – se dirige tout droit vers un cinéma porno du quartier, en fait l’un des derniers de Paris. L’homme – ou la femme – il y a manifestement ses habitudes, puisque la guichetière le salue comme on salue un vieux pote.

Il entre dans le cinéma. Je lui emboîte le pas, m’acquittant du prix d’entrée. Une fois dans la salle plongée dans une semi-pénombre, je découvre un film qui ne semble pas avoir été tourné la veille : ici, on projette du cinéma X des années 70. À cette heure de l’après-midi, la salle de projection est déjà bien fréquentée. Des dizaines d’hommes, disséminés dans tous les coins, reluquent le film avec un air faussement détaché. Certains se cachent sous leurs manteaux pour se branler, d’autres le font plus ostensiblement.

C’est à quelques fauteuils de l’un d’entre eux que s’assied ma jolie blonde. Elle est à quatre rangées de ce grand et jeune Black, qui astique un manche épais et long au vu et au su de tout le monde. L’air de rien, elle mate le gros chibre autant que le film. De mon côté, je choisis de m’installer juste derrière elle, de sorte qu’elle ne peut me voir qu’en se tordant totalement le cou. De toute façon, l’agent d’entretien travesti ne s’intéresse pas du tout à ma présence, plus occupée à se lécher les babines devant l’énorme engin du jeune Black. À un moment, repérant l’homme assis à quelques mètres de lui, le jeune gars se tourne vers notre voyeuse, ignorant bien sûr qu’il s’agit d’une femme, et lui lance :

« Une pipe ? »

Piquant un fard, la coquine décline l’invitation d’un mouvement de tête. Pas plus gêné que ça, le Black continue de se branler. Il doit être là depuis un moment, car il est tout près de jouir. Profitant de ce que le mec a basculé sa tête sur le dossier de son siège, les yeux mi-clos, la jeune femme ne se gêne plus pour reluquer, jusqu’à ce que le type se mette à se convulser, un flot gigantesque de foutre jaillissant de sa bite qui semble dure comme la pierre.

Ma voyeuse est venue dans ce ciné pour mater des hommes se branler : quoi de plus logique, finalement ? Mais un mouvement de foule, vers l’entrée de la salle, vient me contredire. Les mecs s’affolent en voyant un couple dans la cinquantaine faire son apparition dans le cinéma. Certains y voient une occasion, d’autres une menace, remballant leurs attributs précipitamment dans leur pantalon.

Épisode 34 !

Avant propos :

En filature, tentant de percer le secret de la voyeuse déguisée en homme, notre héros se retrouve dans un cinéma porno de Paris, quand un couple libertin dans la cinquantaine fait son apparition dans la salle obscure.
********

Le couple mûr est installé dans la même rangée que moi, à quelques encablures. Le monsieur est assis à deux fauteuils de moi, sa femme directement à sa gauche. Les plus téméraires des spectateurs du cinéma porno s’approchent : certains par la rangée de derrière, pendant que d’autres viennent s’agglutiner vers moi.
C’est un coup à se faire repérer par ma voyeuse. D’autant que celle-ci, plus ingénieuse que les autres, a sorti un petit miroir avec lequel elle reluque, dans la meilleure position possible, le couple que chacun suppose exhibitionniste.

Le monsieur est un homme athlétique, un vieux beau qui porte fièrement une calvitie prononcée. Il n’a pas de bide et semble plutôt costaud. La dame, elle, à ce que je peux en voir, caché derrière ma main pour éviter le regard de ma voyeuse, a plutôt fière allure. Fausse blonde, maquillée avec goût, elle exhibe dans une tenue sexy un décolleté vertigineux qui fait loucher tous les gars venus la mater depuis la rangée de devant.
Elle a beau avoir du kilométrage, comme on dit, la libertine sait faire bander son homme. À sa façon de regarder le film à l’écran, sans se préoccuper de la masse considérable de types dont plusieurs ont la bite à la main, qui la regarde et tentent de s’approcher d’elle, on voit tout de suite qu’elle n’en est pas à sa première sortie du genre.

J’arrive à voir la main gauche de son mari posée sur sa cuisse gauche et qui remonte sa jupe d’un geste à la fois cavalier et naturel. Ça y est, elle a elle aussi posé la main sur la braguette de son époux et, à ce que je peux en deviner, sur celle du chanceux qui a pu s’installer à sa gauche. Soudain, elle se tourne vers moi. Pour mieux embrasser langoureusement son mari. Celui-ci sort sa queue de sa cachette et pousse la tête de sa femme vers le bas. Voici la mûre libertine en train de réaliser un pompier magistral à son légitime époux, alors que les spectateurs tentent, les uns bousculant les autres, de profiter de l’occasion pour peloter un peu la formidable poitrine.

Je jette un coup d’œil en direction de ma voyeuse. Elle n’en perd pas une miette. Peu de risque que je sois repéré : la salle est tout de même obscure ; on y distingue mal les visages et, de toute façon, elle semble, toujours bien cachée sous son déguisement d’homme, trop absorbée par la scène qu’elle reluque dans le petit miroir. Saut de puce : je prends place sur le fauteuil à ma gauche. Je suis maintenant directement à côté du monsieur ; les longs cheveux de la libertine, concentrée sur sa pipe, me frôlent presque. Je dois tout de même faire attention car je peux à tout moment entrer dans le champ de vision de la voyeuse.

Je lance de temps à autre un regard dans sa direction, histoire de vérifier qu’elle ne m’a pas vu. Aucun risque : la jeune femme a carrément plongé sa main dans son pantalon et se masturbe, les yeux toujours rivés sur la petite glace qui lui permet de mater le couple. Impossible de deviner chez cette fille, même en pleine branlette, qu’elle n’est pas un homme. Bien sûr, de mon côté, je la vois bien en train de masturber sa chatte sous son pantalon ; mais le commun des spectateurs de ce ciné porno n’a aucune chance de ne pas la prendre pour un voyeur un peu trop pudique. À mon tour de me faire du bien. Tandis que des mains de plus en plus nombreuses s’abattent sur les seins et la croupe de la suceuse, j’ouvre ma braguette et sors ma queue : ce n’est pas tous les jours qu’on peut jouer les mateurs à un souffle de sa victime.
À peine ai-je extrait ma bite dans l’intention de me branler en regardant la superbe fellation administrée par la vieille libertine à son homme, que cette dernière lance sa main dans ma direction et, d’un geste assuré et vif, prend possession de mon érection.
Madame est une gourmande ; on va bien s’amuser…

À suivre…

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