Histoire de Sexe

Le traditionnel 69 du dimanche

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Marie-Claude et Marcel Duprey étaient en plein 69, en ce dimanche matin, quand une voix se fit entendre en bas de la fenêtre de leur chambre, côté rue.

« Mme Duprey, Mme Duprey ! Vous êtes là ? »

Marie-Claude Duprey releva la tête et abandonna sa préoccupation immédiate, à savoir le gland de son mari.

« Tu as entendu, Marcel ? C’est la mère Michelle qui m’appelle »

Marcel Duprey, qui mélangeait depuis un bon moment sa barbe et sa moustache au pubis fourni de son épouse et lapait consciencieusement sa vulve pour la mettre en condition, marmonna dans son entrecuisse :

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« Qu’a t-elle ? Elle a perdue sa chatte ? Laisse-la et occupe-toi plutôt de ma bite ! »

Marie-Claude Duprey reprit son activité sans se faire prier. Le 69 était sa position favorite en matière de préliminaire. Chaque dimanche matin, comme un rituel, le couple s’adonnait à sa partie de jambes en l’air hebdomadaire après le petit-déjeuner, pendant que la petite Muriel regardait les dessins animés à la télé. Ils bouclaient la porte de leur chambre avec interdiction de les déranger. Âgée de 12 ans, leur enfant ne se posait pas trop la question de savoir ce qu’ils faisaient, même si elle s’en doutait un peu car Mme Duprey n’avait pas l’orgasme discret. Officiellement, il ne s’agissait que de « jeux ». L’avantage du dimanche matin, c’est d’abord que M. Duprey était très en forme, ensuite que Mme Duprey s’était « organisée » la veille et enfin que la gosse était occupée, et qu’on pouvait donc prendre tout son temps, contrairement au reste de la semaine, vacances exceptées. Marie-Claude Duprey est une plantureuse blonde d’une quarantaine d’années, à peau mate et cheveux abondants, qu’elle avait réunie pour l’occasion dans un chignon bâti à la diable avec une grosse barrette, histoire de se donner de l’aisance. Elle a les sourcils épais, curieusement assortis à son pubis très fourni qu’elle discipline difficilement à coups de douloureuses séances d’épilation à la cire chez l’esthéticienne. Mais elle tient à conserver ce qu’elle appelle son « triangle des Bermudes », véritable chevelure intime. Marcel Duprey est au contraire grand et sec, tout en muscles et en tendons, chauve mais barbu et moustachu. La nature l’a doté d’un sexe long et épais dont il est fier et dont il se sert exclusivement avec son épouse.

« Mme Duprey ! Je sais que vous êtes là, j’ai quelque chose d’important à vous dire ! »

Cette fois, Marie-Claude s’interrompit pour de bon et abandonna à regret sa position ventrale pour l’assise, face à son mari :

« Chéri, il faut que j’ouvre sinon elle va ameuter tout le quartier ! On finira après »

« Elle fait chier, la vieille, elle ne peut pas nous foutre la paix ? »

« Je te rappelle que son mari entretient notre jardin, on ne peut pas l’envoyer bouler ».

Et Marie-Claude Duprey revêtit un léger peignoir pour aller ouvrir la fenêtre.

« Bonjour Mme Michelle. Excusez-moi, j’étais sous la douche, qu’est-ce qui vous arrive donc ? »

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« Ah je suis contente de vous voir. Figurez-vous que j’ai une grande nouvelle à vous annoncer : ma fille a accouché. Un petit garçon, Lucas, 3 kilos et tout mignon »

« Ah, très bien, la maman se porte bien ? »

Alors s’engagea une conversation d’une affligeante banalité, qui menaçait de durer. Marcel Duprey voyait son érection diminuer à vue d’oeil et ça l’ennuyait profondément. Aussi se glissa-t-il à quatre pattes jusqu’à son épouse penchée à la fenêtre, mais dissimulée de l’extérieur jusqu’à la poitrine, laquelle débordait du peignoir. Couché entre les jambes de sa femme, il glissa son visage à l’intérieur du peignoir et lécha l’intérieur des cuisses avec l’intention de retrouver la vulve prématurément abandonnée par la faute de Mme Michelle. Marie-Claude essaya de le chasser avec son pied mais Marcel lui tenait solidement les cuisses et ses lèvres buccales rencontrèrent les lèvres vaginales et la moustache le luxuriant pubis. Cette situation inattendue lui plaisait finalement assez et sa langue se fit vorace. Marie-Claude Duprey eut alors une crispation qui inquiéta Mme Michelle :

« Qu’est-ce que vous avez, Mme Duprey ? Vous ne vous sentez pas bien ? »

« C’est que… je… euh… je crois que j’ai mangé un peu trop vite ce matin ».

« Pas bon, ça, Mme Duprey, il faut prendre son temps, surtout le dimanche. C’est comme moi… »

Marie-Claude Duprey n’écoutait plus. Toute son attention était portée sur le travail de la langue de Marcel. Ce cunni improbable la mettait en transes et elle dégoulinait sur la barbe en ondulant et en pesant sur la langue par des petits mouvements de son bassin. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir tout en affectant d’écouter la voisine intarissable. Marcel glissa un doigt dans son vagin et Marie-Claude réprima difficilement un petit cri.

« Mme Duprey, allez prendre du charbon, je crois que ça ira mieux »

« Ou… oui, c’est ça, ouiiiii, euh pardon, au revoir Mme Michelle et bonne journée »

Marie-Claude Duprey referma précipitamment la fenêtre, fit voltiger son peignoir, et s’empala recta, à même le sol, sur la bite tendue de son mari, toujours en position assise :

« Salaud ! Cochon ! Tu aurais pu attendre que j’aie fini », dit-elle en ondulant à grands coups de hanches.
Les mains en appui sur les épaules de Marcel, les pieds collés au sol, elle faisait danser sa croupe sur la tige verticale de son époux, lui mettant ses obus dans la figure pour qu’il puisse les sucer en même temps. Elle devint vulgaire :

« Cochon ! Salaud ! Mets-la moi profond, remue-toi, vas-y quoi ! »

Marcel, stimulé par l’enthousiasme de son épouse, décolla ses fesses du plancher dans la position du marteau-piqueur inversé. Surexcité, le couple était au bord d’un orgasme commun quand leur fille Muriel frappa à la porte de la chambre :

« Maman ! Papa ! Mamie est au téléphone ! »

« Quoi, qu’est-ce qu’elle a ? Dis-lui qu’on la rappelle »

« Non, elle dit que c’est urgent, elle a une fuite d’eau et sa cuisine est inondée ! »

« Ah merde ! »

Le couple se désunit avec un bruit mouillé. Marie-Claude pesta :

« Ta mère, elle n’en loupe pas une. On ne peut jamais être tranquille, même le dimanche »

« Chérie, désolée, on reprendra plus tard, c’est promis », dit Marcel en enfilant un caleçon déformé par la grosseur de son sexe encore en érection. Marie-Claude, dépitée, revêtit son peignoir pour gagner la salle de bains et prendre une douche.

« Je te rappelle qu’on a un pique-nique au bord du lac avec les Morin tout à l’heure. Muriel y tient beaucoup », dit-elle à son mari.

« Ah oui c’est vrai, j’avais oublié. Bon, j’espère que je serai revenu »

Deux heures plus tard, fuite réparée et épongée, Marcel Duprey revint au bercail pour prendre lui aussi une douche avant de repartir au lac avec femme et Muriel. Il essaya d’entraîner Marie-Claude pour un « petit coup vite fait » porte de la salle de bain fermée. Bien qu’habillée et pomponnée, elle était sur le point de céder quand le téléphone sonna. C’était Henri Morin qui s’inquiétait de ne pas les voir arriver au rendez-vous. Duprey expliqua ses déboires de la matinée et renonça à son ambition immédiate d’un coït compensateur. Ce n’était décidément pas son jour.

Dans la voiture, sur le chemin du lac, le couple avait choisi de prendre la chose avec humour et de faire contre fortune bon cœur. Pas question d’être trop explicite avec la gosse derrière, on en resterait au stade des allusions.

« Pas trop frustré ? » lança Marie-Claude.

« Pas plus que toi. De toute façon, tu ne perds rien pour attendre, la journée n’est pas finie »

« Tu parles ! Il n’y a plus de musique dans ton accordéon »

« Détrompe-toi. Je suis toujours prêt à jouer du clairon. On trouvera bien un endroit au lac »

« Bof, tu as le souffle un peu court »

« Je suis en train de faire des réserves »

Comme par provocation, Marie-Claude avait écarté les cuisses sur le siège de la voiture et sa courte robe d’été était remontée jusqu’à la limite du slip de bain qu’elle avait revêtu avant de partir. Elle se caressait la cuisse d’une main négligente. S’ils avaient été seuls dans la voiture, Marcel aurait pris des mesures énergiques. De même, Marie-Claude ne pouvait pas ignorer la bosse qui tendait le haut du pantalon de son mari.

« Je suis à point », murmura-t-elle, « si tu ne fais rien, je divorce »

« T’inquiète, je vais m’occuper de ton cas »

C’est dans cet état d’esprit que les Duprey retrouvèrent les Morin à la plage. On sortit les nappes et les paniers. Comme d’habitude, Françoise Morin portait le bikini de ses 15 ans c’est-à-dire qu’il ne cachait à peu près rien. Marie-Claude Duprey avait quand même un peu plus de tissu sur elle mais il est vrai qu’elle avait aussi quelques kilos de plus car Françoise était plutôt du genre asperge. Néanmoins, les seins de Marie-Claude débordaient généreusement du soutien-gorge et la rendaient de plus en plus désirable aux yeux de Marcel. Son slip ne dissimulait qu’imparfaitement ses fesses, et Marie-Claude n’arrêtait pas de le remonter, en vain…
Après le bain, on déjeuna, on fit la sieste et l’heure d’un deuxième bain arriva. Duprey comptait mettre le moment à profit pour entraîner Marie-Claude dans le sous-bois voisin et lui faire enfin sa fête. Il était allé repérer les lieux et il suffisait de prendre négligemment une serviette de bain. Mise au courant, Marie-Claude devenait un peu fébrile. L’envie de pénis devenait à la limite du tolérable. Pendant le bain du matin, Marcel avait trouvé le moyen de glisser un doigt dans son slip et ranimé l’incendie qui couvait.
C’est alors qu’Henri Morin s’avança vers Marcel Duprey et murmura à son oreille :

« Euh, Marcel, Françoise et moi, on a une urgence. Cela ne t’ennuie pas de surveiller les gosses pendant qu’on va faire notre petite affaire dans un coin ? »

Marcel en resta muet de stupéfaction. Piégé ! Ces deux cochons l’avaient devancé. Quand ils disparurent dans les fourrés, Marie-Claude laissa échapper sa colère :

« Alors ça alors, ils sont gonflés, ces deux-là ! Et c’est à nous de tenir la chandelle en plus ! Tu t’es encore débrouillé comme un manche, mon pauvre Marcel. Bon, maintenant, c’est terminé, la boutique est fermée ! »

Marcel Duprey accusa piteusement le coup. Le mieux était encore d’aller au bain pour se calmer. Marie-Claude fit de même, les nichons dressés comme en révolte. Et quand ils virent une demi-heure plus tard le couple ami sortir réjoui du sous-bois, Marie-Claude en remit une couche :

« Et voilà ce qu’est un homme, un vrai, qui s’occupe bien de sa femme ! »

Un peu plus tard, Françoise Morin, toujours très légèrement vêtue de son bikini minimaliste, s’approcha de Marie-Claude d’un air mutin :

« Tu sais ce qu’on vient de faire avec Henri ? »

« Ben évidemment, j’ai compris, vous avez baisé »

« Oui, c’était super. J’adore faire ça en pleine nature, pas toi ? »

« Si, mais vous nous avez devancés »

« Ah bon ? Désolée. Vous n’avez qu’à y aller maintenant »

« Non, il se fait tard, on ne va pas tarder à rentrer »

« Dis-moi, je vais te demander un truc, euh, intime. Tu pratiques la sodomie avec Marcel ? »

« Ben, évidemment. Tu sais on a aucun tabou »

« Ah, très bien. Et tu utilises quoi pour que ça rentre bien ? »
« En général, un gel, mais parfois, Marcel me prépare avec sa langue et sa salive et ça suffit, quand j’ai vraiment envie ça rentre tout seul ».

« Bon alors tu fais comme nous. Et tu te mets comment ? À quatre pattes ou assise ? »

« En principe, à quatre pattes »

« Ah ! Tout à l’heure, j’ai fait ça assise, j’ai juste changé de trou (elle pouffa). C’est génial parce que je pouvais regarder Henri dans les yeux. Et c’est moi qui commandais la manœuvre, il était à ma merci. J’ai joui comme ça, j’en ai crié »

« Je sais, on t’a entendue d’ici »

« Tu m’étonnes ! Dans ces cas-là, je ne me contrôle plus. Que veux-tu j’adore la bite. Je ne pourrais pas faire ça avec une femme. Et Marcel, c’est un bon coup ? »

Marie-Claude commençait à être un peu agacée. Elle répondit du tac au tac :

« Oui, il est long et dur de jambes, de bras et de queue. Bon, on va s’en aller maintenant »

Françoise ne répliqua pas. Son Henri était plutôt du genre rondouillard.

Passablement énervée, Marie-Claude, après avoir revêtu sa robe, se débarrassa de son maillot qu’elle remplaça par un simple slip. Henri Morin intervint :

« Allez, on va chez nous finir la journée, on dînera à la bonne franquette, les gosses ne veulent pas se quitter ».

Et chacun prit la direction de sa voiture pour se rendre au domicile des Morin.

Après un bref état des lieux, il fut constaté que la nourriture disponible était insuffisante. Marcel sauta sur l’occasion :

« Avec Marie-Claude, on va aller faire un saut dans le bled d’à côté, il y a une épicerie ouverte sept jours sur sept ».

Et le couple s’en fut procéder à ses emplettes. Une fois celles-ci accomplies, Marcel Duprey interpella son épouse :

« On ne va pas rentrer tout de suite. J’ai une queue d’un mètre. On va trouver un coin tranquille et je vais te baiser dans la voiture, ça rappellera notre jeunesse ».

Marie-Claude procéda à la vérification d’usage en tâtant la braguette de son mari :

« Mouais, j’ai vu mieux mais si ça peut te faire plaisir… »

En fait, elle bouillait mais ne voulait surtout pas l’avouer. La confession de Françoise avait déclenché un incendie dans son entrecuisse et elle se demandait comment arriver à se calmer. Après avoir tâtonné, Marcel trouva un emplacement discret dans une zone industrielle déserte en ce dimanche. À peine eut-il stoppé que Marie-Claude déboutonna fébrilement le pantalon du conducteur d’où surgit une pine tendue au gland violacé :

« Ah, pas mal, Mmmhh Mmmhh… »

Elle le suça voracement malgré la gêne du levier de vitesse tout en se laissant pétrir les seins qu’elle avait libérés en faisant glisser les bretelles de sa robe. La voix rauque, Marcel lâcha :

« Viens, je vais te prendre dans le coffre, au moins le hayon aura servi à ça ».

Elle dépoitraillée, lui déculotter, Ils sortirent du véhicule et après avoir fait de la place dans le hayon, Marcel aida son épouse à s’installer. Elle s’était débarrassée de sa robe et de son slip et l’attendait, pieds nus et cuisses ouvertes, les fesses au bord du pare-chocs, et le fixant du regard :

« Viens vite, j’en peux plus ! »

Il la prit par les cuisses et s’enfonça en elle d’une seule poussée, jusqu’à la garde, debout. Elle miaula, s’allongea et trouva à s’accrocher pour lui renvoyer la balle. Devant les assauts conjugués et synchronisés, la voiture se mit à tanguer. Marcel se régalait de la houle de ses seins, Marie-Claude de ses pectoraux et de ses abdominaux saillants. Ils s’interpellaient :

« Allez chérie, remue le ton beau cul, sois chienne ! »

« Cochon, salaud, j’en veux plus, plus, plus ! Jusqu’aux couilles, jusqu’aux couilles ! »

Lesdites couilles battaient maintenant sur les fesses rebondies de Marie-Claude qui s’extasiait :

« Ah chéri, tu es dur, c’est bon, ne t’arrête pas surtout »

« Parle-moi de ma queue, elle est bonne hein ? »

« Tu as une grosse bite, chéri, fouille-moi, baise-moi »

Marcel suait à grosses gouttes, soufflait comme un phoque et cherchait à tout prix à retenir un peu son sperme. Il avait d’autant plus de mal que Marie-Claude, les pieds en appui au bord du hayon, totalement écartelée, manifestait un enthousiasme sexuel irrésistible. Elle l’admonestait, le sommait, le fustigeait :

« Plus vite, plus vite, plus viiiiiiite ! »

Mais Marcel s’interrompit. Il avait trop attendu ce moment pour gicler prématurément et il se retira au grand dam de son épouse :

« Salaud ! J’allais jouir »

« Tu ne perds rien pour attendre. Mets-toi à quatre pattes »

Et Marie-Claude s’exécuta et son homme, toujours debout derrière la voiture, la prit en levrette. Il était juste à la bonne hauteur et Marie-Claude manifesta d’emblée son contentement en agitant sa croupe généreuse. Elle prit appui sur les dossiers arrière pour riposter. Marcel laissa glisser ses mains pour saisir les deux seins lourds qui balançaient entre les bras de son épouse.

« Oui, caresse-moi, c’est bon comme ça mais ne t’arrête pas, hein ? »

Marcel lima, lima, lima de longues minutes, savourant le moment présent, les yeux sur le dos mouvant et la nuque tendue de Marie-Claude, qui se soulagea en se mettant sur les coudes. À nouveau, Marcel se retira. Il s’assit sur le hayon et invita Marie-Claude à se mettre accroupie devant lui, face vers l’extérieur. Elle avait la tête qui cognait un peu contre le haut du hayon mais cette nouvelle position la ravit parce qu’elle le sentait vraiment bien en elle et parce qu’il la tenait fermement par les hanches, accompagnant ses mouvements. Ses seins dansèrent la samba et la voiture tangua sur ses amortisseurs car Marie-Claude ne se maîtrisait plus vraiment et couinait franchement. Marcel sentait qu’il n’en avait plus pour longtemps. Il voulait finir en beauté, la percuter cuisses ouvertes. Marie-Claude se rallongea à nouveau sur le hayon, les pieds en appui sur le bord et accompagna les percussions de son homme en ruant dans les brancards et en lâchant d’une voix rauque :

« Oui, oui, maintenant, je jouis, je jouis, je jouiiiis… »

Marcel explosa, son sperme éclaboussa non seulement le corps de son épouse mais aussi une bonne partie du hayon. La tension retomba d’un coup, Marie-Claude reposait jambes pendantes hors de la voiture, anéantie et enfin comblée :

« Ah chéri que c’était bon ! »

C’est alors qu’un petit coup de klaxon retentit. Marie-Claude et Marcel virent s’approcher avec stupeur une voiture surmontée d’un gyrophare bleu. Les flics ! Deux policiers, un homme et une femme, en descendirent alors que le couple se rhabillait en catastrophe, laissant de côté leurs sous-vêtements dans la hâte :

« Bonjour Madame, bonjour monsieur. Vos papiers s’il vous plaît »

Inspectant les deux cartes d’identité de ceux qu’ils considéraient comme des exhibitionnistes au mieux et au pire comme un couple illégitime, le policier eut l’air surpris :

« Ah, vous êtes mari et femme ? »

« Ben oui »

« Vous savez que vous venez de commettre un outrage public à la pudeur, qui est un délit ? Vous ne pouviez pas faire ça chez vous ? »

« On fait ça où on peut, Monsieur l’agent »

La fliquette regarda Marcel d’un air pensif. Comme si elle n’avait pas été tout à fait indifférente à la fin de sa prestation, qu’elle devait mater avec son collègue depuis quelques minutes, tous feux éteints. Au moins, se dit Marcel, ils ont attendu qu’on ait fini.

« Nous sommes obligés de dresser un procès-verbal et vous serez convoqué au commissariat pour votre déposition. Vous êtes passibles du tribunal »

Marcel et Marie-Claude se regardèrent, consternés. Comment allaient-ils expliquer ça à Muriel ? »

« Monsieur l’agent, on n’a rien fait de mal, on ne peut plus faire ça chez nous et on s’est mis exprès à l’écart pour ne pas être vus ».

« Oui mais nous, on vous a vus. Vous savez qu’ici, c’est un endroit dangereux ? Vous auriez pu être agressés »

Sur ce, la fliquette, une grande blonde à queue-de-cheval, qui n’avait cessé d’observer Marcel, en particulier au niveau du pantalon où sa bite encore tendue marquait une excroissance très nette, murmura quelque chose à l’oreille de son collègue, lequel se rembrunit :

« Bon, allez, ça va pour cette fois mais qu’on ne vous revoit plus ici »

Et les deux policiers repartirent après avoir rendu les cartes d’identité, non sans que la fliquette ait adressé un regard appuyé à Marcel.
Dans la voiture, Marcel et Marie-Claude partirent d’un grand éclat de rire.

« Eh ben dis donc, on a eu chaud. Pour une partie de cul à émotion, c’en est une »

« Oui chéri, en tout cas, c’était super. Dis donc, tu as tapé dans l’oeil de la fliquette. Attention hein, tu sais que je suis jalouse comme une tigresse »

Et elle l’embrassa goulûment.

Marcel éclata de rire.

« Je crois que le flic n’était pas indifférent non plus à tes nichons qui étaient à peine couverts par ta robe. J’ai bien vu qu’il les regardait, comme il avait dû te regarder quand tu es venue sur moi dans la voiture ».

« En tout cas, je n’ai rien vu devant moi, faut dire que j’avais l’esprit ailleurs… »

« Je te parie qu’ils sont allés baiser ensemble. Mais je fantasme sans doute »

Puis il comprit que l’heure avait tourné :

« Bon, ce n’est pas tout ça mais maintenant, il faut rentrer donner à manger à tout le monde. Ils doivent commencer à avoir faim ! »

Fin !!

Marie CLaude

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1 commentaire

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  • Bravo Marie Claude de avoir décidé de publier le récit pour le regretté Marcel qui est mort bien trop tôt sinon super composition du récit c’est très excitant à lire comme d’habitude

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