Les ouvriers du soleil s’occupent de mon chantier… et de moi

Les ouvriers du soleil

Lorsque j’ai décidé d’investir dans des panneaux solaires pour ma maison, je m’attendais à des économies d’énergie, pas à vivre une expérience aussi torride que celle-ci. Les premiers jours du chantier avaient été plutôt classiques. J’avais accueilli l’équipe un matin ensoleillé de mars : deux jeunes hommes souriants, Max et Julien, tout juste trentenaires, et clairement en pleine forme.

Le premier jour, ils avaient passé leur temps sur le toit, à installer la structure. Moi, de mon côté, je m’étais efforcée de ne pas trop les regarder par la fenêtre, mais franchement, leurs t-shirts serrés et leurs bras musclés rendaient la tâche difficile.

Ce matin-là, alors que je leur offrais un café, Max m’a lancé un regard prolongé.

— Merci pour ça, vous êtes adorable, avait-il dit, son sourire dévoilant une rangée de dents parfaites.
— Normal, vous bossez dur, avais-je répondu, légèrement troublée par la manière dont ses yeux s’attardaient sur mon décolleté.

L’invitation à rester plus tard

En fin de journée, Julien m’a demandé si je pouvais leur laisser la maison ouverte un peu plus longtemps, car ils voulaient avancer sur le chantier. J’ai accepté sans trop réfléchir. Le soir, après une douche rapide, je suis descendue dans ma robe de chambre pour leur demander s’ils avaient besoin de quoi que ce soit avant que je parte me coucher.

— Tout va bien, mais c’est gentil de demander, a dit Max, avant de poser ses outils et de me regarder avec une intensité qui a fait naître une chaleur inattendue en moi.
— Vous savez, a ajouté Julien en s’approchant, c’est rare de tomber sur une cliente aussi… accueillante.

Je sentais l’ambiance changer. Leur proximité, leurs regards, tout laissait entendre qu’ils avaient remarqué mes regards furtifs, et qu’ils avaient peut-être les mêmes idées que moi.

Une chaleur électrique

Max s’est approché et a doucement pris ma main.

— Vous avez une maison magnifique… mais franchement, c’est vous qui la rendez encore plus belle.

Je n’ai même pas eu le temps de répondre que Julien était déjà derrière moi, ses mains effleurant doucement mes épaules à travers ma robe. Mon souffle s’est accéléré, et sans réfléchir, je me suis tournée vers eux.

— Vous êtes sûrs de vouloir mélanger travail et plaisir ?

Max a souri avant de murmurer à mon oreille :

— Parfois, c’est ça qui rend les journées mémorables.

Le reste s’est passé comme dans un rêve. Julien a glissé ses mains sous ma robe de chambre, découvrant ma peau frémissante sous ses doigts. Max, quant à lui, s’est penché pour m’embrasser. Leur assurance était électrisante, et je me suis abandonnée complètement à eux.

Une nuit de plaisir

La table de ma cuisine est devenue notre terrain de jeu. Max m’a allongée dessus, ses lèvres explorant chaque parcelle de ma peau pendant que Julien m’embrassait avidement. Leurs mains travaillaient en parfaite synchronisation, déshabillant mon corps et réveillant chaque nerf en moi.

Quand Max a enfin pénétré en moi, c’était comme si toute la tension accumulée explosait en une vague de plaisir brut. Julien, de son côté, m’offrait des caresses expertes, sa bouche explorant mes seins avec une passion qui m’a fait crier de plaisir.

Les minutes se sont transformées en heures. Ils alternaient, jouant avec mon corps comme s’ils savaient exactement ce dont j’avais besoin. Max était intense, brut, tandis que Julien était plus doux, presque tendre. Ensemble, ils formaient un contraste parfait, et je me suis retrouvée à atteindre des sommets que je n’avais pas connus depuis des années.

L’aube d’un nouveau jour

Quand tout s’est finalement calmé, nous nous sommes retrouvés allongés sur le sol de ma cuisine, nos corps encore entrelacés.

— Vous êtes incroyables, avais-je murmuré, un sourire béat aux lèvres.
— Ça nous a fait plaisir… et on peut revenir si vous avez d’autres travaux, a plaisanté Max.

Le lendemain, ils étaient de retour sur le toit, comme si de rien n’était. Mais chaque fois que je croisais leurs regards, un frisson de plaisir remontait en moi, me rappelant cette nuit inoubliable.

Et moi, je ne verrai plus jamais les panneaux solaires de la même façon.

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données.