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Histoire de Sexe

Les vacances d’Annie et Jean-Luc Chapitre 1

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Avant-propos :
“Bonjour, Véronique, la belle-sœur de Marie-Claude et auteur de la plupart de ses récits, vous racontera, au nom d’Annie et Jean-Luc, la deuxième histoire d’Annie : « Les vacances d’Annie et Jean-Luc ».”

Premier contact !

Pour leurs vacances, Jean-Luc et Annie ont décidé de venir faire du camping sur le bord de la côte Vendéenne, aux Sables-d’Olonne. Ils se sont trouvé un petit camping très sympa à Olonne-sur-Mer, il n’y a qu’à traverser la forêt côtière pour arriver à la plage. Crevés par le voyage, la chaleur, et l’installation du campement. Ils mangent hâtivement une salade composée qu’Annie avait préparée, puis vont se coucher et s’endorment rapidement.

Vers minuit, Jean-Luc se réveille avec une forte envie d’aller aux toilettes. Alors qu’il va sortir de la tente ; il entend distinctement des gémissements. Ceux-ci viennent de l’emplacement d’en face. Leurs voisins sont en train de faire l’amour, une veilleuse allumée et leur tente ouverte en raison de la chaleur encore pesante. Ils ne se savent pas observés et agissent sans retenue. Jean-Luc est excité dans ce rôle de voyeur, il se masturberait bien en les regardant, mais pour l’instant il a vraiment trop envie d’aller uriner. Il sort de sa tente et, tout en restant dans l’ombre, se dirige discrètement vers les toilettes pour ne pas éveiller l’attention de l’autre couple. C’est en arrivant près des lampadaires éclairant les pourtours du bloc sanitaire, qu’il se rend compte que le short qu’il a enfilé pour sortir laisse apparaître une bosse très visible. Heureusement, à cette heure-ci il n’y a personne et il peut se soulager dans un urinoir, le sexe encore gonflé, sans être remarqué. Il repense à ce qu’il vient de voir et se surprend à commencer une masturbation dans les toilettes, mais il se dit qu’il vaut mieux retourner à sa tente pour profiter du spectacle en live. Jean-Luc revient avec moult précautions pour rester discret. La tente d’en face est toujours allumée. Tant mieux. Il rentre dans sa tente, retire son short et prend son sexe en main. À ce moment, le couple d’en face éteint la lumière et s’endort. Partagé entre l’envie de se masturber et celle de dormir, Jean-Luc finit par céder à Morphée plutôt qu’à Éros.

Le lendemain matin, Jean-Luc est le premier à de réveiller. Il prend sa trousse de toilette et va au bloc sanitaire. Toutes les douches sont déjà occupées. Jean-Luc peste, puis il constate qu’il reste au fond quatre douches libres. Elles sont d’un modèle différent, sans porte, avec juste un petit panneau vertical pour assurer un minimum d’intimité. Il n’a pas envie d’attendre et va à l’une des deux se trouvant les plus au fond pour être tranquille. Alors qu’il a commencé à se savonner, ce sont ses voisins qui arrivent à leur tour et entrent ensemble dans la douche face à la sienne. L’eau ne coulant pas, ils n’ont pas dû faire attention à sa présence et sont entrés spontanément dans cette douche, comme s’ils étaient habitués à toujours aller dans celle-ci. Ils font couler l’eau et commencent immédiatement à se savonner mutuellement. Leurs savonnages se muent rapidement en caresses puis en masturbations réciproques. Jean-Luc ne perd aucune miette de ce spectacle et se masturbe également en les regardant. Il est fort heureux de pouvoir reprendre ce qu’il n’avait pas pu terminer la nuit dernière. La femme d’en face finit par jouir sous les assauts des doigts de son ami. Ils ne semblent pas, s’être rendu compte de la présence de Jean-Luc face à eux, ou bien ils font semblant de rien. Jean-Luc se laisse aller et crache plusieurs jets de sperme qui vont se coller sur le panneau stratifié séparant les douches. Le couple se rhabille et quitte les douches, Jean-Luc en profite pour nettoyer la trace de sa jouissance, il termine sa toilette et retourne, à son tour, vers son campement. Le bruit de la fermeture éclair de la tente achève de réveiller Annie, qui somnolait depuis qu’il était parti à la douche. Il ne peut s’empêcher de lui raconter ce qu’il a vu cette nuit et ce matin, ce qui la laisse indifférente au grand dam de Jean-Luc.

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Le reste de la matinée passe doucement. Une fois qu’Annie a pris sa douche, ils vont faire quelques courses et achèvent de déballer le contenu du coffre de la voiture. Cela les amène à l’heure du déjeuner, assez léger, en prévision de la baignade imminente. Il est tôt quand ils quittent le camping en direction de la plage. Le temps de traverser les deux kilomètres de forêt et ils arrivent à la barrière dunaire, dernier obstacle avant de pouvoir enfin contempler l’immensité bleutée. Le sable fin s’étend à perte de vue. Étant donné l’heure, il y a encore très peu de monde sur la plage. Ils décident néanmoins de marcher quelques centaines de mètres pour éviter la foule, qui viendra inévitablement envahir ce petit paradis dans une heure au plus. Ils constatent, surpris, que certaines des personnes déjà présentes sont nues. Ils en concluent que le naturisme est probablement autorisé sur cette plage. Cela ne les choque pas particulièrement et ils se mettent en maillot comme ils l’avaient prévu. Annie porte un maillot une pièce très prude. Jean-Luc est particulièrement content d’être installé sur la zone naturiste. Son côté voyeur s’affirme, il ne peut s’empêcher d’observer les va-et-vient des autres personnes, surtout quand celle-ci se déshabille.

C’est ainsi qu’il voit arriver leurs voisins de camping une heure après eux. Jean-Luc essaye à nouveau d’intéresser Annie à ses voisins dont le comportement l’excite.

« Tiens, voilà nos voisins de camping ! »

« Ceux qui font des cochonneries sous la douche ? »

Au moins, elle a déjà retenu l’essentiel. Satisfait, Jean-Luc essaye d’en faire plus.

« Tu penses qu’ils vont se mettre nus ? »

« Humm… Oui, c’est possible »

« Pourquoi ça ? »

« Parce que nous sommes sur une zone naturiste »

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« Mais nous aussi… Et on n’est pas nus »

« C’est parce qu’on ne savait pas. Mais maintenant, il y a plus de monde »

Jean-Luc se demande si Annie aurait accepté de venir sur la zone naturiste s’il y avait autant de monde que maintenant. Enfin, on ne se marche quand même pas dessus. Leurs plus proches voisins de plage sont au moins à cinquante mètres, mais au fur et à mesure que la plage se peuple, l’espacement diminue. Leurs voisins viennent s’installer à une trentaine de mètres d’eux. Ils sont les plus proches. L’ont-ils fait exprès ? Ce serait surprenant. Il est improbable qu’ils aient réussi à reconnaître leurs voisins de camping à une telle distance. Ils posent leur sac de plage, allongent leurs serviettes sur le sable, et se dénudent entièrement sous le regard de Jean-Luc, mais aussi celui d’Annie, qui a regardé toute la scène. Jean-Luc, encore plus excité par cette promiscuité toute relative, essaye d’aller plus loin.

« Tu avais raison chérie. Dis, tu ne voudrais pas te mettre nue toi aussi ? »

« Ça ne va pas ? »

« Mais non, tout le monde l’a fait autour de nous, on va se faire remarquer. Il vaudrait mieux se déshabiller »

« Eh bien, fait le si tu veux »

Jean-Luc est bien obligé de tomber le slip pour rester cohérent avec lui-même et espérer, par la suite, convaincre Annie d’en faire autant. Malgré tout, gêné par sa pudeur, il se place sur le ventre et continue à observer l’autre couple du coin de l’oeil.

Au bout de quelque temps, Jean-Luc voit un jeune homme s’allonger dans le prolongement de l’entrejambe de sa voisine, à même à dix mètres d’elle. C’est alors qu’il comprend qu’elle doit avoir ses jambes entrouvertes, exhibant son intimité aux passants. Jean-Luc observe la scène, excité à l’idée de ce qui va bien pouvoir se passer, il ne va pas être déçu. Sa voisine écarte encore plus les cuisses. Son mari avance alors sa main et caresse le sexe de sa femme sous le regard du jeune homme, qui n’en perd pas une miette, et Jean-Luc, gagné par une excitation de plus en plus intense. Le jeune homme se lève et va dire quelques mots au mari, qui lui répond en montrant la dune. Jean-Luc n’entend rien, mais se doute que cette discussion doit avoir un caractère érotique. Ils se lèvent et quittent tous les trois la page en direction de la dune, parsemée de buissons propices à toutes sortes d’ébats. Jean-Luc se dit que l’occasion est trop belle.

« Chérie, veux-tu bien faire quelques pas avec moi sur la plage ? »

« Pourquoi pas ? »

Ils se lèvent. Jean-Luc commence à se faire à la nudité et n’est absolument pas gêné, à côté de sa femme qui est toujours en maillot. Cette inégalité de tenue aurait même plutôt tendance à l’exciter encore un peu plus, son corps exposé impudiquement au regard des autres, mais pas celui de sa femme. Heureusement qu’Annie n’y fait pas trop attention, car le sexe de Jean-Luc s’est gonflé entre-temps, sous l’effet de ses pensées perverses. Ils longent quelque temps la dune, puis Jean-Luc suit les traces laissées par leurs voisins il y a quelques instants, Annie hésite à le suivre.

« Pourquoi aller par là ? La plage est assez grande »

« Fais-moi confiance, viens voir ! »

Ils montent sur la dune, les traces obliquent vers un bouquet de buissons. Jean-Luc et Annie s’avancent, ils finissent par entrevoir les corps derrière le feuillage. Ils continuent un peu et peuvent sans difficulté voir ce qui se passe.

Ils sont allongés à même le sable et placés en triangle, le jeune homme masturbe la femme, celle-ci fait de même à son mari, tandis que ce dernier branle le jeune homme. Jean-Luc essaye de caresser et de déshabiller sa femme, mais celle-ci résiste et retourne à la plage alors que les trois autres s’apprêtent à passer à des caresses buccales. Jean-Luc regagne la plage à son tour et rejoint sa femme qui prend la parole.

« Ils ont l’air de bien s’amuser, nos voisins »

« Ah ça, je dois dire qu’ils ne se gênent pas ! »

Après un bref silence, Jean-Luc décide de revenir à la charge.

« Tu ne voudrais pas retirer ton maillot pour me faire plaisir ? »

« Pour exciter les mateurs du coin ? Non merci »

« Mais non, juste pour moi »

« Tu es déjà assez excité, tu as vu la taille de ton sexe ? »

« Il est un peu gros »

« Tu es à la limite de l’érection, oui. Si tu étais en maillot, ça se verrait beaucoup moins »

Jean-Luc en rajoute en espérant finir par convaincre Annie.

« Mais je ne me sens pas gêné. J’assume. Je peux aller et venir comme ça »

« Je ne le crois pas »

« Alors on parie ? Si je le fais tu te déshabilles ? »

« Hum… Peut-être »

Rien qu’à cette perspective, le sexe de Jean-Luc se redresse. Comme il l’avait dit, il se relève avec son érection et fait un grand tour aux environs puis revient, le sexe toujours en l’air.

« J’ai gagné »

« C’était un peu facile. Si tu te masturbais devant moi ? »

C’est avec plaisir que Jean-Luc s’exécute. Tourné sur le flanc vers sa femme, prenant appui sur un coude et se branlant discrètement de l’autre main. Trop excité par cette situation, par sa femme en maillot et lui nu, par ses voisins qui s’envoient en l’air à côté, par les voyeurs qui l’observent peut-être en ce moment, il ne prend pas longtemps à venir. Un long jet de sperme gicle hors de son sexe et file droit sur le maillot de bain de sa femme.

« Je crois que tu vas être obligée de le retirer »

« C’est malin. Je n’avais pas besoin que tu le salisses pour que je le retire »

« Excuse-moi, c’est parti tout seul… »

Annie retire discrètement son maillot, et s’allonge sur le dos. La tentation est trop forte, Jean-Luc avance sa main et la pose à plat sur le ventre de sa femme. Elle ne réagit pas. Il décide alors de descendre vers le pubis, puis d’atteindre le sexe. Annie se laisse faire, elle entrouvre même un peu les cuisses pour faciliter le passage de cette main qui lui donne tant de plaisir. Décontractée, elle s’oublie et se laisse masturber jusqu’à la jouissance. Apaisée, calmée, ravie, elle se tourne vers son mari et lui dit dans un sourire empreint de plénitude.

« Merci, tu m’as fait le plus grand bien. Finalement, je me sens mieux comme ça. Offrant mon corps au soleil et au souffle de l’air »

Ils s’embrassent longuement, puis s’en vont jouer dans l’eau, nus et libres, pour se remettre de leurs émotions. Annie sent bien les regards de certains hommes se poser sur elle, mais ça ne la gêne plus, le plaisir d’être vue est le plus fort. Jean-Luc voit bien, lui aussi, ces autres hommes qui observent sa femme, mais il en ressent surtout de la fierté et aussi du plaisir. Content d’être arrivé à ses fins, il a de nouvelles idées en tête.

Le soir venu, Jean-Luc et Annie ont prévu de faire des merguez pour leur repas. Ils vont donc au barbecue mis à disposition dans cette partie du camping. En arrivant sur place, ils constatent que leurs voisins viennent également d’y arriver. Ils décident donc de prendre le repas ensemble et de faire plus ample connaissance. Ils s’appellent Anthony et Carole et sont eux aussi de la Franche Conté, de la Haute Saône alors que nous sommes du Territoire de Belfort. La soirée s’écoule tranquillement, en parlant de tout et de rien, mais pas une seule allusion à la plage. Une fois le repas terminé, ils se séparent, tous de fort bonne humeur. Jean-Luc et Annie vont faire un petit tour à pied, histoire de profiter de la fraîcheur toute relative, prétexte à de nombreuses caresses tendres et complices. Ils rentrent à la nuit tombée, et peu de temps après vont se coucher. Jean-Luc pense à quelque chose.

« Je me demande s’ils vont recommencer comme hier soir »

« Tu crois ? »

« Peut-être. On verra bien s’ils rentrent avant qu’on s’endorme »

Ils laissent leur tente ouverte et se mettent à discuter tranquillement pour passer le temps. Ils n’y pensent plus, quand un quart d’heure plus tard, Anthony et Carole arrivent devant leur tente. Jean-Luc et Annie se taisent et attendent de voir ce qui va se passer. Leurs voisins jettent un coup d’oeil circulaire, n’ayant vu personne aux environs, ils se déshabillent à l’extérieur de la tente, ce qui est nettement plus pratique. Une fois nus, ils se glissent à l’intérieur, allument la veilleuse et commencent à se caresser mutuellement le corps. Observant cela en voyeurs, Jean-Luc et Annie sont excités et se mettent à se caresser aussi. Après les caresses, leurs voisins décident de se placer en position de 69, et tout naturellement, Jean-Luc et Annie en font autant. Les deux couples alternent les positions, les deux voyeurs prenant un réel plaisir à copier ce que font leurs deux voisins.

À suivre !!

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