Avant-propos :
“Bonjour, Véronique, la belle-sœur de Marie-Claude et auteur de la plupart de ses récits, vous racontera, au nom d’Annie et Jean-Luc, la deuxième histoire d’Annie : « Les vacances d’Annie et Jean-Luc ».”
Une soirée mémorable !
En fin d’après midi. Chacun se rhabille et plie ses affaires. C’est tous les quatre comme de vieux amis qu’ils reprennent le sentier forestier bordé de pins qui les conduits jusqu’au camping. Chemin faisant, Jean-Luc et Annie proposent une sortie au restaurant ce soir. Approbation d’Anthony et Carole qui sont heureux à l’idée de cette petite soirée. De retour au camping, après un passage obligé par les douches, chacun s’habille en tenue d’été. Les femmes ont choisi de mettre une jupe toutes les deux. Alors que Jean-Luc est dans sa tente, à finir de s’habiller, et ce n’est pas facile dans une canadienne deux places, il voit Carole, en face, se pencher vers sa tente. Est-ce involontaire, est-ce fait exprès ? Toujours est-il que sa jupe remonte très haut dans le mouvement, il voit toutes les cuisses, le haut des cuisses, la fente de son sexe. Non ? Si ! Elle ne porte pas de culotte ! Ce picotement caractéristique, qu’il ressent depuis qu’il a rencontré ses voisins de camping, le parcourt encore. Elle a osé ! L’excitation le gagne, il sort de sa tente et va voir Annie qui s’est affairée dans le coffre de la voiture.
« Tu sais quoi ? Carole n’a pas mis de culotte »
« Non ?… »
« Si, je te dis. Elle vient de se pencher et j’ai pu voir tout son sexe »
« Petit voyeur »
« Je me suis dit… Enfin, si tu veux bien… »
Annie vient de comprendre où il veut en venir.
« Quoi donc ? »
« Eh bien… Faire pareil… »
« Ça ne va pas ?
« Ça m’a mis dans un état. Allez, fais-le s’il te plaît »
Annie réfléchit un peu. Après tout. Ce qui s’est passé jusqu’à présent n’a été que plaisir et jouissance… Pourquoi ne pas se laisser aller et continuer ?
« D’accord, mais donnant donnant »
« Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? »
« Je ne sais pas encore. Je verrai le moment venu »
« D’accord »
Ce faisant, Annie va s’asseoir dans la voiture, en ressort et jette sa culotte dans le coffre.
« Et voilà, c’est fait »
« Je suis déjà excité rien qu’à t’imaginer nue sous ta robe »
Sa main va caresser les fesses de sa femme. D’abord sur la robe, puis sous la robe. Son sexe se tend, provoquant une bosse visible dans la toile du pantalon.
Au restaurant de spécialités locales qu’ils ont choisi est fort sympathique. L’ambiance est bonne et la savoureuse chouée Vendéenne excellente. Ils se sont placés face à face et Jean-Luc a bien remarqué qu’Anthony avait très souvent sa main gauche dessous la table. Imaginant parfaitement ce qui se passe dessous, et toujours aussi excité, il lui vient à l’idée d’essayer d’en faire autant. Reste à voir si Annie se laissera faire. Sa main se hasarde tout d’abord sur le genou, pas de réaction. Ensuite il la fait remonter lentement le long de la cuisse. Quand il arrive sous la jupe, Annie resserre les cuisses. Jean-Luc la regarde, lui sourit tout en continuant à parcourir sa cuisse. Finalement, Annie de laisser agir le charme, se demandant à nouveau jusqu’où vont aller le plaisir et la jouissance. Elle entrouvre les cuisses. Jean-Luc peut reprendre sa route vers l’objet de son désir. Arrivé sur le lieu du délit, il en parcourt les lèvres, y introduit un doigt, joue avec le clitoris. Tout cela tout en continuant à discuter avec ses amis l’air de rien. Le comportement d’Annie trahit plus ce qu’elle ressent. Sa respiration s’accélère, son regard se perd, son sourire s’accentue. Anthony comprend pourquoi. Ravi que ses nouveaux amis aient les mêmes goûts qu’eux, il décide de les accompagner. Lui aussi se met à masturber sa femme avec douceur et insistance. Les deux femmes se regardent. Toutes à leur plaisir, elles se l’échangent au travers de leurs regards lascifs. Le plaisir monte soigneusement administré par les doigts enfiévrés de leurs maris. Elles finissent par jouir toutes les deux, à quelques instants d’intervalle, la jouissance de la première entraînant celle de la seconde, étouffant leurs cris de plaisir dans leurs serviettes. Heureux et satisfaits, les deux maris ramènent leurs mains sur la table et se lèchent les doigts avec plaisir et délectation.
Le repas a été bien arrosé, et quand ils quittent le restaurant vers vingt-deux heures, ils sont tous les quatre bien joyeux. Jean-Luc, sacrément éméché, se trompe et passe son bras autour des épaules de Carole, comme s’il s’agissait de sa femme. Annie réagit tout de suite.
« Hé, je suis là »
« Ah merde ! Je me suis trompé de femme ! »
« Même plus capable de me reconnaître »
« Mais si, même les yeux bandés, je peux »
« À voir… Qu’est-ce qu’on pourrait utiliser comme bandeau ? »
Personne n’a de foulard… ? Un mouchoir, c’est trop petit. Finalement, le plus simple, c’est que Jean-Luc retire sa chemise et s’en fasse un bandeau. Il les palpe l’une après l’autre, visiblement avec plaisir.
« C’est trop facile comme ça. Je reconnais les vêtements »
Anthony entre dans le jeu. Il remarque le petit jardin public à côté duquel il passe.
« Alors il faut le faire sans vêtements. On n’a qu’à aller là-dedans. On sera plus tranquille »
Ils y entrent tous les quatre et avancent jusqu’à une table de ping-pong en béton sur laquelle les deux femmes déposent leurs vêtements au fur et à mesure qu’elles se déshabillent. Les deux hommes les observent et apprécient. Anthony fait une remarque judicieuse.
« Il faudrait que vous gardiez toutes les deux vos mains sur le pubis. Sinon ces trop facile »
Jean-Luc se fait bander les yeux par Anthony qui le dirige tout d’abord vers Carole. Il parcourt les seins de ses mains, agace les tétons, puis caresse le ventre, descend jusqu’au sexe et y introduit un doigt. Anthony intervient.
« Attention. Défense de goûter pour s’aider »
Puis Jean-Luc est conduit devant sa femme. Ses mains suivent le même trajet et une fois qu’il a tout parcouru, il s’exprime sans aucun doute.
« Je suis certain que c’est toi, chérie »
« Gagné ! »
Pendant que Jean-Luc retire son bandeau, Anthony retire sa chemise et se prépare à se masquer les yeux avec.
« Ça m’a l’air bien facile. Il faut que j’essaye aussi »
« Vas-y, tu vas voir… Enfin, tu vas toucher… »
Après avoir passé le bandeau sur les yeux d’Anthony, il l’amène vers Annie. À ce moment, Jean-Luc comprend que sa femme va se faire toucher par un autre sous ses propres yeux. Lui et sa femme croisent leurs regards, les yeux dans les yeux. Le même frisson électrique les parcourt à ce moment. Anthony palpe les seins, joue avec les tétons pour les faire grossir. Ils répondent instantanément, Annie étant très excitée par la situation. Suivant le même trajet que Jean-Luc, il passe sur le ventre, puis au sexe, qu’il effleure et parcourt en le caressant avant d’y entrer un doigt, puis deux, et d’’effectuer quelques allers-retours. Jean-Luc regarde sa femme se faire masturber par un autre homme. Quelle sensation troublante ! D’autant plus troublante que sa femme le regarde droit dans les yeux, et lui exprime tout le plaisir qu’elle reçoit en ce moment, passant sa langue sur ses lèvres sans retenue. Anthony se rend bien compte de cette excitation, sa main est recouverte de la cyprine d’Annie. Visiblement satisfait de ce qu’il vient de faire, il se laisse guider vers sa propre femme. Sans aucun préliminaire, il lui introduit ses doigts mouillés dans le sexe. Cette pénétration bien lubrifiée, la sensation d’avoir en elle les sécrétions d’une autre femme, Carole se caresse les seins, pince ses tétons, prend la main de son mari pour lui faire comprendre d’amplifier ses allers-retours. Elle jouit très rapidement, sous l’emprise du plaisir, criant bien fort malgré le risque d’être entendue par les promeneurs passant hors du parc. Anthony retire son bandeau.
« J’en étais sûr. J’avais tout de suite deviné que ce n’était pas les seins de Carole. Je n’ai continué que pour le plaisir… De nous tous évidemment »
Jean-Luc ayant beaucoup apprécié ce premier jeu, il a envie d’aller plus loin.
« Bravo. Et sans les mains, tu y arriverais ?
Il regarde sa femme qui a compris où il voulait en venir. Son regard et son sourire sont explicites. Elle aussi en veut plus, connaître de nouvelles sensations. Jusqu’où cela ira-t-il ? Ils ne le savent ni l’un ni l’autre. Leurs amis ne le savent d’ailleurs pas non plus et c’est ce qui fait tout le délice de ces moments.
« Avec le goût, c’est facile »
« Tu as déjà essayé ? »
« Non »
« Alors comment tu peux savoir ? »
« On essaye en même temps ? »
« D’accord »
Ils se font bander les yeux par leurs femmes, puis Annie et Carole se concertent rapidement par des signes de la main et échangent leurs partenaires. Elles les attirent près de la table de ping-pong, montent dessus, les pieds sur le rebord de la table, les jambes bien écartées, dans une posture totalement indécente. C’est en leur saisissant la tête à deux mains que chacune dirige l’homme qui leur fait face vers son intimité. Ils entament alors leur cunnilingus, jouant avec chaque partie du sexe de leur partenaire, masturbant le clitoris de la langue et des lèvres, pénétrant le vagin le plus profond possible avec la langue. C’est Anthony qui rend son verdict en premier.
« J’étais certain que je trouverais avec le goût »
Jean-Luc lui répond tout en continuant de jouer avec le clitoris de Carole.
« Je confirme que ce n’est pas le goût habituel »
« Je suis d’accord »
Carole confirme le résultat.
« Bravo, vous avez gagné ! »
Annie se laisse aller, et dit quelque chose qu’elle n’aurait pas imaginé quelques heures auparavant.
« Ce n’est pas une raison pour arrêter »
Jean-Luc et Anthony retirent leur foulard. Et ils reprennent leur ouvrage avec envie. Annie et Carole se caressent les seins pour accentuer le plaisir, puis s’échangent leurs caresses pour accentuer encore l’effet de celles-ci. Rapidement, les deux femmes ont un orgasme. La jouissance de l’une entraînant celle de l’autre comme au restaurant.
Jean-Luc sent bien que cette soirée est partie pour être mémorable.
« Maintenant, ça va être à vous, Mesdames, de nous reconnaître »
Anthony renchérit.
« Excellente idée »
En joignant le geste à la parole, il retire son pantalon et son slip, suivi dans le mouvement par Jean-Luc. Leurs sexes sont déjà presque en érection. Ils bandent… Les yeux de leurs femmes. Ayant choisi pour le premier test de rester chacun avec sa femme, celles-ci semblent s’être faites leur opinion dès la mise en bouche. Sans plus attendre, elles demandent de changer de partenaire. Curieusement, dès qu’elles ont l’autre bite en bouche, elles prennent tout leur temps et font durer bien plus longtemps le plaisir. Léchant, suçant, aspirant avec soins. À tel point que Jean-Luc est obligé d’interrompre la partie pour raisons techniques.
« Stop, ou je jouis ! »
Les deux femmes s’arrêtent et retirent leur bandeau. C’est Annie, qui prend la parole, toujours aussi déchaînée.
« Vous aussi, Messieurs, ça a été un jeu d’enfant de vous reconnaître »
« Je confirme. Trop facile »
Anthony prend la parole.
« Je trouve que vous avez de drôles de jeux d’enfants, Mesdames »
Jean-Luc et Anthony n’ont pas encore joui de la soirée, mais ça ne saurait tarder. Ils s’allongent leur femme respective sur la table de ping-pong et leur font l’amour côte à côte. Les deux hommes caressent leur femme, mais aussi la femme de l’autre. Les deux femmes aussi partagent leurs caresses sur les corps des deux hommes. Jean-Luc, qui était peu de temps avant prêt à jouir, ne tarde pas à venir. Il sort son sexe, car il veut que sa jouissance soit bien visible de tous, et il éjacule de longs jets de sperme sur le corps de sa femme. Anthony avance alors sa main vers le corps de Annie, la plonge dans le sperme et l’étale sur les corps des deux femmes. Jean-Luc est très troublé par cet acte. Il n’a jamais eu de contact avec un autre sperme que le sien. Alors qu’il se demande quelle sensation l’on peut ressentir et s’il ose en faire autant, Anthony éjacule à son tour tout son sperme sur le corps de sa femme, il se tourne vers son voisin, un léger sourire aux lèvres, comme une invite, car il se doute de son trouble.
« Tu veux l’étaler ? »
Un frisson chaud traverse le corps de Jean-Luc des pieds à la tête. Même son sexe ramolli est pris d’un soubresaut à l’énoncé de ces paroles. Ce n’est pas de la gêne, mais du désir. Après tout, pourquoi pas ? Au moins, il aura réponse à ses interrogations. Il avance sa main vers le corps de Carole, zébré de plusieurs lignes blanchâtres. Le sperme d’un autre homme. Sans plus hésiter, sa main vient au contact de la semence et l’étale. Puis, de ses deux mains, il parcourt frénétiquement les corps des deux femmes. Épuisé, il s’arrête pour reprendre ses esprits. Leur voiture est garée juste à côté, ils y retournent sans se rhabiller et rentrent nus au camping après avoir laissé la voiture à l’extérieur, la barrière étant fermée à cette heure-là. Repus de sexe, ils se couchent rapidement et s’endorment tous dans un sommeil peuplé de rêves érotiques.
À suivre !
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