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Histoire de Sexe

Marie-Claude et Eric Chapitre 1

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Préface :
Je m’appelle Éric, j’ai cinquante-cinq ans, commercial dans la fabrication de machines outils. Cheveux châtain clair courts je mesure 1m75. Mon épouse Marie-Claude a 54 ans et travail dans le secteur de la vente. Elle a des cheveux blonds mi-longs, ou courts selon les saisons, mesure 1m 69. Nous nous sommes rencontrés il y a 3 ans sur ce site XFR, et nous nous sommes mariés la même année de notre rencontre. Marie-Claude a une fille Muriel 30 ans, issue d’un premier mariage avec Marcel décédé tragiquement dans un accident de moto. Elle est aussi grand-mère d’une petite fille Jade. Nous aimons le sexe, car il ne faut pas le cacher, c’est un élément indispensable à la survie d’un couple. Ainsi nous désirons partager des évènements vécus mais aussi des fantasmes qui deviendront, peut-être un jour, réalité, qui sait… ? Tout a commencé l’année d’après notre mariage.

Une soirée peu banale

C’était un soir d’hiver, trois jours avant mon anniversaire. Marie-Claude m’avait suggéré quelques jours auparavant de préparer le repas, car j’adore cuisiner, et de dîner en tête à tête, car elle était fatiguée vu l’intensité des ventes en cette période de fin d’année. Nous avions dîné aux chandelles et après ce repas, bien arrosé évidemment, nous avions décidé de regarder un film X, histoire de nous mettre en train. Marie-Claude était montée se changer et avait mis son long déshabillé de dentelle rouge.
Après avoir allumé une baguette d’encens, elle m’avait rejoint sur le sofa où je m’étais installé, comme d’habitude, et s’était couchée contre moi. Le film ne cassait rien. Pas d’histoire, du sexe sans érotisme comme on en trouve de plus en plus dans les films X. Les réalisateurs manquent vraiment d’imagination !

« Ce n’est pas terrible, il n’y a rien de bien excitant, si on montait ? Me dit-elle. « Je monte la première, rejoins-moi dans la salle de bains et monte les verres »

Le temps de ranger la cassette et de remplir les verres, je monte l’escalier, m’avance discrètement vers la porte de la salle de bains et colle mon œil au trou de la serrure.

paragraphe 4 rose

*******

‘’Tu es belle ! J’adore te regarder à ton insu. Tu te brosses les cheveux face à la glace et tes seins aux aréoles larges et brunes transparaissent au travers de ton déshabillé, faisant pointer tes mamelons sur le tulle de dentelle. Plus bas ton buisson blond forme une tache entre tes cuisses. Sans rien dire, je t’observe et je sens en moi un trouble étrange. Ayant lâché la brosse, tu ouvres le wc et tu t’assieds pour satisfaire un petit besoin. Un léger craquement du plancher sous mes pieds te fait tourner la tête :

Éric ? Entre, je t’ai entendu, je suis sûre que tu m’observes encore »

Un peu dépité d’être surpris, j’entre dans la pièce pendant que tu te lèves.

« Tu espérais me voir faire pipi, n’es ce pas ? Encore ton fantasme ! Mais c’est raté. Tu sais que ça me gêne et du coup ça me bloque, comme maintenant. C’est bizarre comme fantasme, je ne trouve pas cela très sain et en plus c’est quelque chose d’intime. Je ne suis pas contre les innovations, mais je ne suis pas prête pour ça. Par contre si tu veux me regarder prendre ma douche ! »

Pendant que je m’assieds sur la cuvette du WC, tu ôtes ton déshabillé, entres dans la baignoire et mets la douche en marche. L’eau chaude ruisselle sur ton corps tandis que tu commences à te savonner. Tes mains caressent tes seins et tes doigts pincent les mamelons puis glissent, telles des gouttes d’eau, se perdre dans ton buisson blond. Cela m’excite et, ayant sorti ma queue, je me branle lentement en te regardant. Tes doigts s’activent et entrent régulièrement dans ta chatte, se perdant dans tes entrailles à la recherche du plaisir. Tu as coupé l’eau mais c’est maintenant le plaisir qui mouille ton petit chat :

« Oh Éric, c’est bon et ça m’excite que tu me regardes me masturber devant toi. C’est si bon, je coule, viens, lèche-moi ! »

Je m’avance vers toi et m’agenouille sur le sol devant toi. Posant un pied sur le rebord qui nous sépare, tu avances les hanches et offres à mes yeux ta fleur épanouie. Ta liqueur suinte entre tes lèvres et délicatement, ma langue se tend pour récolter le nectar odorant et mielleux qui s’en écoule. Ton miel excite les papilles de ma langue tandis que ton parfum intime emplit mes narines. Ma langue fraye son chemin entre tes lèvres, se nappant de ton jus, pour atteindre à leur sommet ; le tendre bouton qui se cache au fond de son écrin. Lorsque ma langue s’enroule autour de ton clitoris, ton bassin est pris de mouvements désordonnés. Alors que tes doigts pincent tes tétons, de petits cris, telles des plaintes, s’échappent de ta bouche, annonçant l’orgasme qui monte en toi. Soudain tes cuisses se contractent et tu exploses, inondant ma bouche de ton plaisir. Alors que ma langue parcourt tes moindres recoins, tu poses une main sur ma tête et tu me repousses fermement en me disant :

« Laisse encore un peu pour après, allons sur le lit »

Marie-Claude et Eric Chapitre 1
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Après t’être séchées, nous allons dans la chambre et nous sirotons notre verre afin de calmer un peu le feu qui nous brûle. Tu regardes l’heure. Il est près de 22 h 30.

« Ça t’a plu ? Mais maintenant, c’est à mon tour. C’est moi qui mène le jeu. Je vais t’attacher. J’ai envie que tu sois à ma merci »

Tirant de ton tiroir les vieilles cravates qui servent de temps en temps à nos jeux, tu m’attaches aux quatre pieds du lit. Je suis nu et complètement à ta merci.

« Attends, je reviens dans quelques minutes »

Les minutes passent et je commence à me poser des questions.

Finalement, près de quinze minutes plus tard, la porte s’ouvre et entre… Mais pas seule. Tu tiens par la main une ravissante jeune femme. Des cheveux châtains, des yeux marron en amande, un chemisier saumon tendus par une poitrine provocante surmontant une jupe courte d’où sortent deux cuisses fuselées et bronzées. Devant mon étonnement, tu m’expliquas.

*******

Je te présente Camille, nous nous sommes rencontrées pendant ton absence. Tu sais, au centre de détente dont je t’ai parlé. J’en avais marre, car c’était très long sans toi alors, comme je te l’ai dit, je suis allée me détendre aux thermes. Après avoir fait un sauna et prit un jacuzzi, je suis allée me faire masser. J’étais couchée sur le ventre, sur la table de la loge, quand Camille est entrée, elle est masseuse esthéticienne. Je l’ai trouvée tout de suite très jolie. Elle s’est présentée, m’a demandé si c’était la première fois que je venais au centre et nous avons sympathisé en quelques minutes. Elle a ôté l’essuie éponge pour me masser. Ses mains étaient très douces et glissaient sur ma peau comme des papillons. C’était très agréable et lorsqu’elle m’a demandé de me retourner, je n’ai pas eu de gêne. Ses mains ont caressé mes seins, mes épaules puis sont descendues lentement vers mes cuisses en massant tous mes muscles. C’était divin. Je la regardais faire et elle me plaisait, mais je n’aurais jamais pu imaginer que cela puisse aller plus loin, car je n’avais jamais fait l’amour avec une femme. J’avais eu quelques attouchements avec une collègue, quand j’étais monitrice en colonie de vacances, il y a plus de vingt ans, mais cela n’avait pas été bien loin.

Pourtant quelques instants plus tard, nos regards se sont croisés et elle a lu mon envie dans mes yeux. Lentement, sa main est remontée le long de ma cuisse, sans lâcher mon regard, et pendant qu’elle me souriait, ses doigts se sont insinués entre mes lèvres de ma chatte. Ce fut sans surprise qu’elle la trouva trempée de mon jus. Son doigt trouva mon clitoris et le branla doucement. La chaleur montait en moi et des éclairs de plaisir jaillissaient de mon ventre. Avec une infinie tendresse, elle approcha son visage et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Leur contact était doux, son haleine chaude et parfumée ravissait mes narines. Je n’osais pas bouger de peur de rompre le charme, et de me réveiller, seule.

Mais ce n’était pas un rêve et comme pour me le prouver, ses lèvres s’ouvrirent, écartant les miennes aussi. Sa langue s’avança, glissant sur mes lèvres, les écartant davantage pour finalement s’élancer à la recherche de la mienne. Troublée par cette langue féminine qui parcourait ma bouche, je suis restée passive quelques secondes, ne sachant que faire. L’envie et sa douceur l’emportèrent rapidement et ma langue s’enroula autour de la sienne, dans un ballet langoureux, tandis que nos salives se mêlaient.

Son baiser était doux et soyeux et je sentais ma liqueur couler le long de mes cuisses. Son doigt glissa et pénétra ma fente pour s’enfoncer en moi. Je n’en pouvais plus et le plaisir coulait de moi comme de l’eau d’une source. N’y tenant plus, ma main, remonta sous son uniforme et se nicha entre ses cuisses. Sa culotte, le seul sous vêtement qu’elle portait sous sa blouse blanche, était trempée de son jus. Je massais son petit chat à travers ce fin rempart de dentelle puis mon doigt se glissa sous l’élastique pour pénétrer sa chatte. Elle s’arrêta pour enlever sa blouse et sa culotte. Camille était nue devant moi et je crevais d’envie d’elle.

Elle s’étendit sur moi, tête bêche, et je tendis les lèvres vers sa grotte inondée d’une liqueur au parfum suave. Ma langue glissa entre ses lèvres pour y laper, pour la première fois, toute la liqueur féminine qu’elle pouvait y trouver, tandis que sa langue s’enroulait autour de mon clitoris. Je ne pensais plus qu’à boire à cette source féminine dont j’avais si souvent rêvé la nuit, tout en culpabilisant le matin. Nous avons joui très vite et, comme le temps imparti était terminé, je lui ai demandé son numéro de téléphone afin de la recontacter en privé si elle le désirait.

Nous nous sommes revues deux fois depuis, mais aujourd’hui elle est d’accord pour que tu sois présent, puisque c’est ton anniversaire. Je lui avais donné rendez-vous à 22h30, c’est pour cela que je t’ai mis en forme en te donnant un avant-goût, tout à l’heure.

*******
Ton histoire m’a excité et je bande comme un cerf. Avoir ma femme et une autre femme dans mon lit en plus du spectacle précédent… Qui a dit que les rêves ne se réalisent jamais ?

« Détache-moi, maintenant, ce sera plus confortable »

« Je t’ai dit que Camille était d’accord que tu sois là, mais pas forcément pour que tu participes ».

À ce moment, tu te retournes vers elle et, tandis que l’une de tes mains emprisonne un sein, tes lèvres se posent sur les siennes. Vos langues s’enroulent et vos salives se mêlent. Ma queue semble sur le point d’éclater.

« Marie-Claude, détache-moi. Tu ne vas pas me laisser comme cela ! »

Mais déjà tu n’entends plus et tes mains déboutonnent son chemisier et dévoilent un ravissant soutien-gorge de dentelle rose remplit à souhait. Passant derrière elle, tes doigts dégrafent l’attache puis, glissant sous ses aisselles, tes mains s’insinuent sous les poches pour enserrer les deux magnifiques globes qu’elles contiennent. Ses seins sont fermes et aussi gros que les tiens. Ses mamelons sont turgescents, roses et durs. Elle se cambre en arrière sous l’effet de tes caresses et sa nuque vient se poser dans le creux de ton cou. Tes lèvres déposent des baisers furtifs sur son cou alors que tes doigts se crispent sur ses mamelons.

Soudain elle se retourne et unit ses lèvres aux tiennes, tout en faisant glisser les bretelles de ton déshabillé qui tombe en corolle à tes pieds et tu te retrouves nue face à elle. Je vois sa main qui glisse entre tes cuisses et s’y enfonce pendant que tu t’attaques à sa jupe. Vous êtes belles, vos chevelures se mêlent, vos mains virevoltent l’une sur l’autre, passant de vos seins à vos entrecuisses. Tu te laisses aller à genoux devant elle et tu fais glisser sa culotte, ou une tache plus foncée est apparue entre ses cuisses. Sa culotte roule en boule à ses pieds. Tu t’arrêtes un instant et, ramassant sa culotte, tu t’approches et me le mets en bouche :

« Tiens, comme cela, tu ne pourras pas dire que nous sommes égoïstes, tu en auras un peu ».

Tandis que je suce le jus odorant qui imprègne le tissu, tu enfonces ta tête entre ses cuisses.

« Oh oui, Marie-Claude, suce-moi la chatte, bouffe-moi, c’est bon, je coule »

Ta langue disparaît dans son buisson parfumé. La tête rejetée en arrière, elle pince les tétons et étire les bouts. Son corps est tendu et tout offert à tes caresses. Ayant goûté son goût sucré en suçant la culotte, je ne m’étonne pas de te voir te régaler de sa liqueur pour apaiser ta soif. Ta main est enfoncée entre tes cuisses et tes doigts vont et viennent dans ta chatte. Ne pouvant plus rester debout, elle se couche sur le lit à mes côtés. Je voudrais la toucher mais mes liens m’en empêchent. Ce n’est pas possible c’est une torture !

Tu relèves la tête et je vois tes lèvres brillantes de son jus.

« Tu sais que j’aime être garce et en plus… Tu aimes ça, alors tu ne vas pas te plaindre. On verra plus tard ce qu’on peut faire. Tu auras peut-être un supplément, qui sait ? »

Tu replonges la tête entre ses cuisses, tout en te tournant sur elle. Sa tête est sur ton oreiller et je vois ton sexe luisant de plaisir qui descend non pas vers moi mais vers sa bouche. Un instant elle tourne la tête vers moi et me dit avec un sourire :

« Ta femme est délicieuse, j’adore quand elle me lèche et qu’elle me bouffe la chatte. Moi aussi j’aime le goût de sa liqueur. Regarde comme sa chatte brille de son jus. Mais aujourd’hui, c’est tout pour moi, enfin… On verra bien tout à l’heure »

Tu abaisses alors ta croupe sur son visage et ses cheveux châtains disparaissent entre tes cuisses tandis que sa langue s’insinue en toi à la recherche de ta sève. Ma queue me fait mal tellement elle est dure. Votre 69 m’excite terriblement. La langue de Camille lèche avidement ta chatte pour y récolter tout le jus qui en coule. Son visage trempé est à peine à trente centimètres du mien et seule ta jambe nous sépare. Malicieusement, elle tourne son visage vers moi et, avec un sourire, me demande si j’en veux un peu…

« Oui, à voir l’état dans lequel tu te trouves, tu mérites bien un petit quelque chose. Retourne-toi, Marie-Claude chérie, que je te suce bien la chatte »

Consciencieusement, elle lèche toute sa liqueur qui s’écoule de toi. Se glissant entre tes jambes, elle avance son visage au-dessus du mien et approche ses lèvres à quelques centimètres de mon visage. Je tends le cou pour pouvoir l’embrasser mais elle reste hors de portée, toujours le sourire aux lèvres. J’entends alors ta voix qui me dit :

« Non, mon chéri, pas de contact physique, si tu veux mon jus, il te faut mendier ».

Voyant sa langue racler ses joues à l’intérieur de sa bouche, je comprends ce qu’elle veut et je tends la langue vers elle. Ses yeux brillent de plaisir et elle laisse alors s’écouler, sur ma langue, sa salive mêlée à ton jus.

« Voilà c’est tout pour le moment. Maintenant, je m’occupe de ta femme »

Alors que je goûte le mélange onctueux que Camille a déversé dans ma bouche, elle se lève et fouille dans son sac. Tu es étendue à mes côtés et ta main caresse ma poitrine.

« Alors ça te plaît ? Oui, je sais que ce n’est pas tout à fait ce que tu voudrais, mais c’est déjà ça ».

Que tu es garce, ma garce, ma vicieuse à moi, mais je te tordrais bien le cou, car je suis là, la queue en l’air, sans savoir rien faire, alors que j’ai deux superbes femmes dans mon lit. Camille a attaché un sexe artificiel, fixé par des sangles, qui surmonte fièrement son buisson brun. S’avançant vers toi, elle te dit :

« Écarte tes jambes, ma chérie, et ouvre ton sexe que je puisse te baiser, mais avant il faut le lubrifier ».

Elle s’avance vers moi et me l’enfonce dans la bouche. Je suce ce pénis et je vois ton regard qui brille d’excitation. Camille s’arrache à ma bouche et, se glissant entre tes jambes, elle t’enfile comme j’aurais voulu le faire. Son pénis s’enfonce dans ta chatte et tu cries de plaisir. Elle accélère son mouvement et ton souffle devient plus rauque :

« Oui Camille, bourre-moi avec ta queue, fais-moi jouir. Oh, oui continue c’est si bon, je coule, je mouille c’est si excitant que tu me baises devant Éric. Et toi chéri, ça te plaît de voir ta femme se faire baiser par une autre à côté de toi ? Tu as envie de nous baiser, n’est-ce pas ? Regarde-moi, regarde-moi dans les yeux, Éric, je viens, je vais jouir devant toi »

Camille va-et-vient de plus en plus vite et tout à coup, sans que nos yeux se quittent, ton corps se tend comme un arc et tu cries de plaisir tout en serrant ton amante contre toi.

Impuissant, je reste sans voix. Quel spectacle merveilleux ! Reprenant ta respiration, tu tournes la tête vers moi, reprenant conscience de ma présence. Ta main se tend et se referme autour de mon membre. Lentement tu me branles tout en suçant les tétons de Camille. Ensemble, vous vous étendez sur le lit et vos langues se mêlent autour de mon gland. C’est délicieux. Soudain, tu m’enjambes et tu t’empales sur moi tout en disant à ton amie :

« C’est quand même meilleur qu’un gode »

Camille se place au-dessus de mon visage, face à toi. Je vois à quelques centimètres son buisson trempé de sa liqueur et de ta salive. Lentement, elle abaisse sa croupe et ma langue peut enfin s’enfoncer en elle à ma recherche de son plaisir. Tandis que je fouille sa grotte, elle avance son visage vers toi et vos langues s’enroulent l’une l’autre dans un baiser fougueux. Vos mains ne sont pas inactives et pendant que tu continues ton mouvement de va-et-vient sur ma bite, vos doigts pincent les tétons turgescents de vos seins. Je sens ta chatte qui mouille de plaisir et ton jus coule le long de ma queue tandis que la liqueur intime de Camille s’écoule, sans discontinuer, dans ma bouche. Le plaisir monte et sentant ma jouissance toute proche, tu te retires en disant à Camille :

« Viens, il va jouir. C’est pour toi, mais n’oublie pas ce que tu m’as promis »

Pendant que tu branles ma queue, Camille enfonce mon gland dans sa bouche. C’en est trop et je décharge tout mon jus entre ses lèvres. Camille pompe jusqu’à la dernière goutte puis, se redressant, elle joint ses lèvres aux tiennes et vous vous partagez ma semence dans un tendre baiser.

Après m’avoir détaché, nous descendons prendre un verre au salon pour faire plus ample connaissance (si l’on peut dire). Vous êtes rapidement rassurées sur le fait que je n’ai aucun obstacle à votre liaison. Aujourd’hui, j’ai découvert de toi une facette que j’ignorais et que tu t’étais cachée à toi-même pendant longtemps : ta bisexualité. À vrai dire, cela ne me dérange et ce n’est pas pour me déplaire. Encore moins si tu me fais l’honneur, à l’occasion, de partager avec moi ces instants d’amour si particuliers.

À suivre !!!

Histoire rédigée par Éric et Marie-Claude avec la collaboration de Camille !

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