Promenade à Sluis (Hollande)
Le printemps a enfin succédé à l’hiver et la journée s’annonçait superbe, ce qui nous a incités à prendre congé tous les deux pendant deux jours pour nous rendre chez des amis et visiter Sluis, petit village hollandais situé près de la frontière belge, bien connus pour ses sex-shops. Afin d’éviter la circulation trop intense, nous sommes partis de bonne heure. Marie-Claude porte un t-shirt moulant qui met ses seins en valeur et une jupe courte qui dévoile ses jambes jusqu’à mi-cuisses. Le soleil brille et, vu l’heure matinale, la route est dégagée comme nous l’espérions.
Cela fait près d’une heure et demie que nous roulons sur l’autoroute, et notre conversation s’oriente sur les objets que Marie-Claude espère trouver à Sluis : un godemiché pour remplacer celui qui accompagne parfois nos ébats mais qui ne vibre plus, ainsi qu’un plus fin qu’elle me destine tout particulièrement.
Sa main qui, comme d’habitude lorsque nous roulons en voiture, est posée sur ma cuisse, remonte lentement pour finalement atteindre son but et y débuter un savant massage. Je jette un coup d’oeil à Marie-Claude qui fait mine de rien, à part une esquisse de sourire sur ses lèvres. Rapidement, je sens ma queue durcir, ne laissant aucun doute sur l’efficacité de sa caresse. Les yeux fixés sur la route, je sens la fermeture de mon jean descendre. Sa main s’attaque alors au bouton qui le ferme et qui ne résiste pas bien longtemps à cet assaut.
La main s’insinue dans l’ouverture et s’arrête, surprise par le contact subit de mon membre. Prévoyance ou pressentiment ? J’avais préféré ne pas mettre de slip ce matin, trouvant cela plus excitant et plus pratique, vu notre destination. Les quelques secondes de surprise passées, sa main reprend sa progression et dégage ma queue facilement. Ses doigts se referment autour de la hampe et entament un lent mouvement de va-et-vient. Des voitures nous doublent sans savoir comme il peut être bon, parfois, de ne pas être pressé.
Marie-Claude tourne la tête vers moi et, sans dire un mot, détache sa ceinture de sécurité avant de se pencher pour m’engloutir. Lentement, ses lèvres vont et viennent le long de ma bite, s’arrêtant de temps en temps au sommet pour exciter l’ouverture de mon gland du bout de la langue ? Tout en me suçant, sa main enserre ma queue et me branle au rythme de sa bouche jusqu’à ce que, n’y tenant plus, j’éclate entre ses lèvres. Elle serre les lèvres autour de la hampe pour ne rien perdre et se régale de ma liqueur, léchant jusqu’à la dernière goutte. Lentement, elle se redresse et, rompant enfin le silence qui régnait depuis le début de son insidieuse attaque, elle me souffle, légèrement haletante :
« C’était très excitant, comme cela sur la route ».
Du coin de l’oeil, je me rends compte que son autre main est nichée entre ses cuisses et qu’elle n’était pas restée inactive pendant qu’elle me suçait. Lâchant le volant d’une main, je la glisse sous sa jupe pour y remplacer la sienne. Écartant l’élastique de sa culotte, je découvre sa chatte inondée. Pour me faciliter la tâche, elle se soulève légèrement et fait glisser sa culotte le long de ses jambes jusqu’au sol, puis elle s’avance sur son siège, écartant les cuisses pour mieux s’offrir à ma main. Sa respiration s’accélère au fur et à mesure que je la fouille de mes doigts et sa mouille inonde ma main d’un miel dont je connais si bien l’onctuosité et le délicat parfum. C’est la première fois que cela nous arrive en voiture et l’’excitation se voit sur son visage. Les pieds écartés sur le tableau de bord, elle pousse de petits cris de plaisir, agitant sa chatte contre mes doigts. Soudain son corps se tend et le plaisir éclate dans son ventre en feu.
Mais déjà nous arrivons à la bifurcation vers Zeebrugge et le trafic se fait plus intense. Marie-Claude se rajuste sans remettre sa culotte mouillée, qu’elle fourre dans le vide-poche.
« Ce sera plus excitant de me balader sans culotte ».
« C’est vrai, je te l’avais déjà demandé mais tu avais toujours hésité. Ça m’excite aussi de savoir que quelqu’un ou quelqu’une peut apercevoir ton petit minou ».
« Oui, je sais, j’y ai déjà pensé aussi, mais ce n’est pas toujours facile de passer à l’acte quand on est chez nous. On ne sait jamais qui on peut rencontrer et tu sais qu’il vaut souvent mieux éviter les commérages ».
« Au retour chez nous essaye de rester sans, tu n’as pas besoin de mettre une minijupe le temps que tu t’habitues à être sans, le principal est que je suis le seul à être au courant ».
« Oui, promit mon chéri, je te promets que je n’en mettrais plus ».
Une demi-heure plus tard, nous arrivons à Sluis et, après avoir garé la voiture à l’entrée du village, nous allons nous asseoir à une terrasse située face au canal bordé d’arbres qui serpente au milieu du village. Nous prenons place et, contrairement à son habitude, Marie-Claude s’installe face à moi. Il est tôt et il y a encore peu de gens. Nous commandons deux cafés qui nous sont rapidement servis.
« C’est calme et la vue est belle, ça te plaît ? »
Je me rends compte que sa jupe est remontée assez haut et que ses cuisses légèrement écartées ne cachent rien de la brousse blonde dans laquelle tranchent deux lèvres roses.
« Je ne sais pas si je pourrai attendre jusqu’à ce soir » me dit-elle en souriant. Allons faire quelques sex-shops, de toute façon, il y a des cinés et même des chambres, à l’intérieur.
Après avoir réglé notre addition, nous déambulons dans les rues de ce charmant village, visitant les magasins et les sex-shops qui se trouvent sur notre route. Dans le second sex-shop que nous explorons, je m’aperçois au bout d’une dizaine de minutes que ses yeux brillent d’excitation.
« Eh bien, on dirait que la vue des revues et de tous ces objets commence à te faire de l’effet ! »
« Non, ce n’est pas ça. Regarde discrètement derrière nous, dans la rangée du fond, il y a une superbe femme brune et je ne lui dirais pas non, d’autant plus que depuis que j’y ai goûté avec Camille, j’y ai pris goût. J’ai croisé son regard plusieurs fois, mais je n’ai pas l’impression que je l’intéresse, dommage. Allez, viens, tant pis, continuons plus loin, de toute façon, je ne sais pas si j’aurais osé tenter l’expérience, comme cela, avec une inconnue et avec toi à mes côtés, en plus ».
Après avoir parcouru les rues pendant plus d’une heure, nous entrons dans un dernier sex-shop afin d’y terminer nos achats. Après nous être mis d’accord sur le vibromasseur que nous désirons, je propose à Marie-Claude d’aller voir une séance de ciné, ce qu’elle accepte, aussi excité que moi par tout ce que nous avons vu au cours de notre promenade. Après m’être acquittés de mon entrée, vu que c’est gratuit pour les dames, nous pénétrons dans une salle obscure où, sur l’écran une blonde se fait enculer par un énorme noir tout en léchant avidement une rouquine flamboyante. Il n’y a pas grand monde et nous trouvons deux places en retrait qui conviennent à nos projets.
Quelques minutes plus tard, alors que nous sommes absorbés par les images qui défilent sous nos yeux, quelqu’un s’assied sur le siège, juste à côté de Marie-Claude. Tournant la tête, c’est avec étonnement qu’elle reconnaît la jeune femme de tout à l’heure. Elle fixe l’écran également sans un mot, tout naturellement, comme si elle était seule, sans un regard pour nous. Marie-Claude se penche vers moi et me souffle à l’oreille :
« Tu as vu ! C’est la femme que j’avais aperçue dans le sex-shop, tout à l’heure. C’est bizarre qu’elle soit ici et juste à côté de nous alors qu’il y a plein de places libres dans la salle. Tu crois qu’elle l’a fait exprès ? »
« Je n’en sais rien, mais ce serait vraiment un hasard exceptionnel qu’elle se retrouve dans la même salle que nous, et à côté de toi, de plus. Faisons semblant de rien, comme elle, et regardons le film, on verra bien ce qui se passera… Si quelque chose doit se passer ».
Quelques instants plus tard, je sens Marie-Claude qui sursaute.
« Éric, elle vient de poser sa main sur ma jambe », me murmure-t-elle à l’oreille. « Qu’est-ce que je fais ? Je n’ai pas osé la repousser ».
Tournant la tête vers elle, je l’embrasse doucement en lui conseillant de ne rien faire et de laisser faire. Encouragée par le manque de réaction, j’aperçois dans la pénombre, la main de l’inconnue remonter délicatement le long de la cuisse de Marie-Claude et j’entends sa respiration s’accélérer. Très lentement, elle caresse ses cuisses en dessinant des cercles de ses doigts.
« Oh ! Éric, je mouille, elle m’excite, c’est si bon ».
Sa main atteint son buisson et le découvre inhibé de jus, son doigt s’insinue facilement entre ses lèvres humides pour caresser son petit bouton. La respiration de Marie-Claude est saccadée et je la vois se mordre les lèvres pour ne pas crier. Souplement et sans un mot, la femme se laisse glisser au sol, écarte les genoux de mon épouse sans rencontrer la moindre résistance, soulève sa jupe sans m’accorder le moindre regard et enfouit son visage entre ses cuisses. Sa langue fouille ses lèvres et lape la liqueur qui s’en écoule.
« Oh ! Éric, c’est merveilleux, je voudrais qu’elle ne s’arrête jamais, c’est délicieux. Elle me lèche divinement bien ».
De sa main, Marie-Claude déboutonne mon jean et sort ma queue qui, vu le spectacle, a pris des proportions plus qu’honnêtes. De sa main, elle me branle fébrilement mais, son plaisir étant trop intense, elle me lâche pour se mordre la main afin de ne pas hurler son plaisir dans la salle. Sa liqueur coule de plus en plus fort, me souffle-t-elle à l’oreille et, tandis que la langue s’’enfonce et fouille sa chatte, l’inconnue attrape ma bite de sa main droite et se met à la branler. N’y tenant plus, Marie-Claude place ses deux mains dans les cheveux de la femme et appuie la tête de l’inconnue sur sa chatte, alors que dans un dernier spasme, son plaisir inonde la bouche qui la fouille. De mon côté, je me sens au bord de l’éclatement et je m’apprête à sortir un kleenex, mais Marie-Claude se penche sur moi et sa bouche vient coiffer ma queue alors que l’inconnue continue à l’agiter de plus en plus vite. Je jouis en longs jets dans sa bouche chaude et veloutée.
« N’avale pas, murmure l’inconnue, j’ai fait le travail j’y ai droit aussi ».
Marie-Claude se tourne alors vers l’inconnue à genoux devant elle, prend son visage tendrement entre ses deux mains et joint ses lèvres aux siennes, partageant ma semence dans un baiser langoureux. Alors que nous nous réajustons, l’inconnue reprend sa place à ses côtés et lui glisse à l’oreille :
« C’était bon mais je préfère ton jus, il était savoureux. Tu me plais depuis que je t’ai aperçue dans le sex-shop mais je reste un peu sur ma faim, j’aime donner mais aussi recevoir ».
Marie-Claude comprend au quart de tour et quelques secondes plus tard, sa tête s’insinue entre ses cuisses déjà bien humides par le jus odorant qui trempe son buisson. Sa langue agile lèche et s’enfonce entre ses lèvres pour y laper tout le jus qui s’en échappe. Déjà fort excitée, elle ne résiste pas longtemps à la langue qui s’enroule autour de son clitoris. Tressautant de plaisir, elle laisse s’écouler un flot de liqueur que Marie-Claude lape avidement. Une de ses mains se crispe sur l’accoudoir et l’autre sur la nuque nichée entre ses cuisses, comme si elle voulait l’enfoncer au plus profond de son ventre. Le plaisir éclate en elle et je vois ses yeux qui chavirent. Quelques secondes plus tard, Marie-Claude reprend souplement sa place à mes côtés et se tourne vers moi, me tendant ses lèvres encore humides et parfumées de la liqueur de l’inconnue. Je lèche ses lèvres puis l’embrasse doucement savourant le goût qui emplit sa bouche. Lorsque nos lèvres se séparent, nous ne pouvons que constater que la belle inconnue s’est volatilisée.
Nous sommes retournés plusieurs fois dans ce charmant village hollandais mais nous ne l’avons plus jamais rencontrée, pas plus que nous n’avons eu une autre aventure. Aujourd’hui, d’ailleurs, il ne reste que quatre ou cinq sex-shops, car la libéralisation des mœurs a permis d’en trouver un peu partout.
À suivre !!!
Marie-Claude et Eric
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