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Histoire de Sexe

Marie-Claude ma nouvelle voisine Chapitre 39 Fin

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Final !

Régis et Béatrice arrivent vers 19 heures chez Éric. Il les accueille cordialement vêtu d’un bermuda et d’un polo. Régis porte une chemisette et un jean, et Béatrice est vêtue d’une robe très courte et très décolletée, achetée dans le magasin où Marie-Claude travaille le samedi. Elle a pris soin bien entendu de mettre un imper sur ses épaules pour sortir de chez elle et parcourir les quelques mètres de la voiture à la maison de son hôte.

Régis ne voyant pas Marie-Claude demande :

« Marie-Claude n’est pas là? »

Éric : « Si, elle est dans son bureau à faire de la couture. C’est une grande pièce que je lui ai aménagée, mais venez je vais vous montrer ».

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Ils empruntent le couloir et Éric entre dans la pièce où Marie-Claude nue, confectionne un second costume de danseuse pour son amie.

Si Marie-Claude n’est nullement surprise de les voir arriver dans son bureau, Béatrice et surtout Régis restent stupéfaits en apercevant les 3 tableaux grandeur nature de Marie-Claude nue.

Régis: « Cela ne te gêne pas d’afficher ainsi ses tableaux ? »

Marie-Claude : « Absolument pas, je suis une salope et j’assume complètement ».

Et s’adressant à Béatrice, Marie-Claude lui demande :

« Mais toi, ma chérie, tu n’aimerais pas avoir un beau portrait de toi, grandeur nature, chez toi ? »

Béatrice étonnée par la question hésite avant de répondre :

« … Oui… C’est vrai que j’aimerais bien mais… dans une pièce, où peu de monde ne vient ».

Régis: « Quoi ! Mais il n’en a pas question, tu te rends compte de ce que tu dis ».

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Béatrice : « Ben oui … J’aime m’exhiber alors comme Marie-Claude, pourquoi ne pas assumer ? »

Marie-Claude : « A ce propos, mets-toi à l’aise ma belle »

Béatrice retire sa robe et se retrouve dans la même tenue que son amie. Le quatuor regagne le séjour et après quelque temps de discussion sans intérêt, Éric propose un punch avec des acras cuisinés par Marie-Claude. Elle a pris soin de mettre qu’une petite dose de rhum dans les verres des femmes, une dose ordinaire pour son amant et une dose plus forte pour Régis.

Après l’apéritif, Éric demande de l’excuser, mais il souhaite fumer une cigarette avant de passer à table. Bien évidemment Béatrice le suit sous le même prétexte, alors que Marie-Claude reste dans le séjour à tenir compagnie à Régis.

Éric n’a allumé que deux des huit spots qui éclairent la terrasse, les laissant ainsi dans la pénombre et peu visible du séjour. Béatrice s’assied dans un fauteuil, dos au séjour et Éric reste debout à côté d’elle. Il ouvre sa braguette, sort son sexe et ordonne à Béatrice :

« Suce-moi salope ! »

Béatrice : « Mais Monsieur Éric, mon mari…. »

Éric : « Il ne peut nous voir. Dépêche-toi ma petite pute »

Béatrice se tourne vers son ami et commence à le lécher avant de le prendre en bouche et de le pomper goulûment sachant qu’elle doit faire jouir son amant rapidement. Il allume une seconde cigarette avant de remplir le gosier de la brune, qui avale la semence de l’homme, puis elle essuie ses lèvres avec un mouchoir que lui tend Éric. Et allume à son tour une cigarette, pour que son mari perçoive plus l’odeur de tabac que celui de sperme.

Il lui dit :

« Tu sais ce que j’ai prévu après le dessert ».

Béatrice : « … Je ne sais pas Monsieur Éric, une danse du ventre ? »

Éric : « Non ma chérie, j’ai prévu te baiser et t’enculer devant ton mari ».

Béatrice : « Mais vous êtes fous Monsieur Éric, il va me mettre dehors et je vais me retrouver à la rue ».

Éric : « Tu ne seras pas à la rue, tu pourras venir vivre avec nous »

Et il rentre dans le séjour, retrouver Marie-Claude et l’époux de Béatrice. Celle-ci, suit Éric un peu gêné vis-à-vis de son homme. Marie-Claude place Béatrice près d’elle, Éric à un bout de la table près de Béatrice et Régis à l’autre bout. Puis Marie-Claude apporte sur un plateau les demi-melons contenant du pinot des Charentes.

Régis: « Oh quel beau melon »

Marie-Claude : « Oui, ils sont de la même grosseur que ceux de Béatrice »

Régis : « hum ! C’est très bon Marie-Claude ».

Marie-Claude : « Je me demande si les melons de Béatrice sont aussi bons avec du pinot ».

Elle met du vin dans sa cuillère, elle verse celui-ci sur le sein gauche de son amie et lèche aussitôt le téton.

Régis ouvre de grands yeux, étonné de l’attitude de Marie-Claude, connaissant pourtant les mœurs légères de la blonde. Marie-Claude recommence l’opération et dit en versant le vin sur son sein droit :

« Monsieur Éric, vous voulez goûter ? »

Éric se penche alors sur le sein droit de Béatrice et commence à lécher le téton de la brune. Régis réellement choqué s’adresse à sa femme et lui lance :

« Tu ne dis rien ! Tu te laisses faire ! Tu devrais avoir honte ! »

Béatrice ; « Mais chéri, nous ne faisons rien de mal, et puis c’est super agréable de se faire lécher les nichons ».

Éric : « Vous avez raison Béatrice, il n’y a rien de mal à se faire téter, et vos seins avec du pinot, c’est très très bon » .

Régis déçu par l’attitude de son épouse et de ses amis, se taire dans le silence tout en dégustant son melon et buvant un verre de pinot.

Marie-Claude se lève pour débarrasser la table et apporter le second plat. En posant le plateau sur la table, elle annonce :

« Morue et sa purée maison, attention la morue est très chaude ».

Dit-elle en mettant une cassolette dans chacune des assiettes. Les convives se régalent et Régis félicite Marie-Claude pour ses talents de cuisinière. Éric, qui a servi un riesling avec le plat, rétorque :

« Je savais que tu aimais la morue, contrairement à ce que tu veux nous faire croire ».

Une fois les cassolettes vident, Marie-Claude se lève pour faire la suite du service. Béatrice l’imite pour l’aider. Pendant que Marie-Claude va à la cuisine pour préparer la suite, Béatrice met les cassolettes sur le plateau. Pour cela, au lieu de rester devant sa chaise, elle se décale tout près de Éric, ce qui l’oblige à se pencher pour prendre les cassolettes vides, ainsi elle permet à son nouvel amant de la caresser.

Éric profite de cette situation pour caresser les fesses de la brune, sachant que son mari peut le voir. Il ne tarde pas à réagir :

Régis: « Éric, tu caresses les fesses de ma femme ? »

Éric : « Oui bien sûr, elle a tellement un joli cul et sa peau est très douce et chaude , comment résister ? »

Régis : « Oui mais j’aimerais bien que tu arrêtes de peloter Béatrice, et toi, tu le laisses faire ? »

Béatrice : « … Ben… C’est plutôt agréable, d’autant plus qu’Éric a les mains douces et chaudes ».

Éric n’a toujours pas cessé de caresser le postérieur de la brune, sous les yeux de Régis, qui regarde sa femme appréciée le pelotage de son ami, se sert un verre de vin blanc qu’il boit rapidement.

Marie-Claude revient de la cuisine et Béatrice regagne sa place et s’assied. Régis reprend sa respiration, satisfait que cette petite comédie est enfin prise fin.

Marie-Claude en déposant le plateau avec 4 verrines annonce :

« Un trou et un doigt »

Avant de sourire et d’expliquer qu’il s’agit d’un trou normand avec un doigt de calvados avec une boule de glace à la pomme et quelques allumettes de pommes pour donner un peu de consistance.

Les amis rigolent et complimentent Marie-Claude pour l’intitulé de ses verrines.

Régis qui a repris ses esprits dit :

« Sacré Marie-Claude, toujours les idées au-dessous de la ceinture ! »

Éric : « Oui elle ne pense qu’à cela, et bientôt ta jolie petite femme sera comme elle ».

Cette remarque a pour conséquence de supprimer le sourire de Régis, qui tombe de nouveau dans le mutisme. Le trou normand servi, Éric propose à Béatrice de faire une danse du ventre pendant l’intermède réussit de Marie-Claude.

Béatrice trop contente de s’exhiber, quitte sa chaise et commence à danser. Elle se trémousse et se tortille en se caressant les seins, les cuisses, les fesses pour finir par se masturber sans retenue. Elle se fait jouir jusqu’à s’écrouler sur le sol. Éric l’aide à se relever et à s’asseoir à table.

Quand Éric tient Béatrice dans ses bras, elle lui murmure à l’oreille :

« Je suis prête ! »

Il comprend ce que veut dire sa nouvelle maîtresse, et dépose un baiser sur ses lèvres avant de regagner lui-même sa place.

Marie-Claude, qui ne cesse de s’activer pour une soirée réussie, revient avec le dernier plat. Il s’agit d’un confit de cuisses de dinde et de carottes et en supplément des croupions de dinde. Elle serre une cuisse avec des carottes à chaque convive. Éric débouche une bonne bouteille de bordeaux rouge et verse du vin à chaque personne. Tous ne tarissent pas d’éloges sur la réussite du plat et quand Marie-Claude propose un croupion de dinde, Régis accepte ce supplément, Béatrice décline l’offre et quand elle fait la proposition à Éric, avant de se servir, celui-ci répond :

« Non merci ma chérie, mais je préfère manger le croupion de Béatrice »

Il se lève, saisit la main de la brune pour la faire se mettre debout, et celle-ci obéissante, se penche les cuisses ouvertes, écarte ses fesses avec ses mains offrant sa rondelle à son amant sous le regard de son mari, qui, bien imbibé par l’alcool, reste sans réaction. Éric s’agenouille derrière Béatrice et plonge son visage entre les globes de sa maîtresse, léchant sa raie culière, puis titillant sa rondelle avant de la pénétrer de sa langue. Après de longues minutes de dégustation, sous les gémissements de Béatrice, il se relève et dit :

« Ça, c’est du croupion comme j’aime ! ».

Marie-Claude en riant rétorque :

« Prochaine fois, au lieu de vous faire à dîner, je vous offrirais le cul de cette salope avec une carotte ».

Éric sur le même ton de la plaisanterie répond :

« Ne sois pas jalouse, promis je te laisserais ma part de dessert ».

Marie-Claude : « Alors je vais me dépêcher de préparer vos assiettes »

Elle s’absente une dizaine de minutes, le temps de dresser les gourmandises sur les assiettes
Pendant ce temps, Éric sent la main de Béatrice caresser sa cuisse puis son entrejambe. Marie-Claude revient et dépose les desserts en annonçant :

« Abricot miellé et sa crème de banane. Ce sont des oreillons d’abricot légèrement rôtis dans le miel avec une crème de banane ». ».

Le dessert est apprécié par tout le monde et Éric met sa main sur la chatte de Béatrice et la pénètre de deux doigts avant de comparer :

« L’abricot de Béatrice est peut-être un peu moins sucré, mais il est plus juteux, mais comme promis je te le laisse ma chère Marie-Claude, tu l’as bien mérité avec tout le travail que tu as eu pour élaborer un aussi bon repas ».

Marie-Claude : « Merci Monsieur Éric ».

Elle se glisse sous la table, écarte les cuisses de sa copine, et colle sa bouche sur la vulve de sa copine. Des bruits de succions se font très vite entendre, alors que Béatrice émet des ;

« Hum ! Hum ! Oh oui ! Encore ma chérie ! Oui enfonce bien ta langue ! »

Régis : « Ça continue les saloperies, vous êtes deux traînées »

Marie-Claude fait jouir son amie sous sa langue et ses doigts, puis elle sort de dessous la table, fait se lever Béatrice et celle-ci s’assied à califourchon sur Éric qui a sorti son sexe de son bermuda. La brune s’empale sur la grosse bite de son amant sous les yeux de son mari. Elle va et vient sur le membre de Éric, pendant que celui-ci la tenant pat les mamelles, malaxe les nichons durement, pinçant et étirant les tétons durcis parla plaisir.

Il demande ensuite à Béatrice de se placer face à lui, et dirige sa queue sur la rondelle de la brune, qui se laisse enculer avec plaisir. Après avoir joui plusieurs fois, et qu’Éric est éjaculé dans son fondement, elle se retire pour nettoyer de sa langue le membre de Éric, qui vient de sortir de son anus.

Régis se lève :

« J’en ai assez vu, on rentre » dit-il en s’adressant à sa femme.

Béatrice : « Moi je ne rentre pas avec toi. Tu as trop bu. Je reste ici »

Régis : « Tu en as pris assez dans ton cul de putain ? »

Éric : « S’il te plaît, ne soit pas vulgaire. Je te prie de rester correct. Béatrice a raison, tu as trop bu pour conduire ».

Pendant l’altercation, les femmes ont rangé le séjour et mirent la vaisselle dans le lave-vaisselle.

Régis n’écoute rien, alcoolisé et humilié et s’en va. Marie-Claude lui arrache les clés de voiture des mains et lui dit :
« Pars si tu veux, mais j’appelle un taxi ».

Ils sortent tous les 4 dehors pour attendre le taxi, et Éric propose aux deux femelles en chaleur d’aller jusqu’au carrefour, qui est situé à une cinquantaine de mètres, et de revenir après s’être embrassée et caressée pendant quelques minutes. Excitées par le challenge que leur propose Éric, elles partent main dans la main en direction du carrefour.

Arrivées à l’endroit prévu, elles s’arrêtent, s’embrassent, se caressent et frottent leurs corps l’un contre l’autre avant de revenir main dans la main.

Alors qu’elles sont sur le chemin du retour, elles sont doublées par le taxi, qui met ses feux en plein phare et klaxonne. En arrivant devant chez Éric, et alors que Régis monte dans le véhicule, le chauffeur de taxi dit :

« Je ne savais pas qu’il y avait des putes dans ce quartier ».

Éric : « Ce ne sont pas des putains, les putains ne sont jamais totalement nues pour faire le tapin, je pense que ce sont deux filles qui relèvent un défi ».

Le taximan : « Oui vous avez probablement raison »

Le taxi s’éloigne en compagnie de Régis, alors que les deux femmes reviennent devant chez Éric.

En arrivant près de Éric, Marie-Claude s’exclame :

« Alors qu’on se frottait l’une contre l’autre, cette salope m’a pissé dessus, j’en ai pleins la chatte et les cuisses ».

Éric : « hé bien ma petite Béatrice, tu sais ce qu’il te reste à faire? »

Béatrice : « ….Heu… Non Monsieur Éric ! »

Éric : « Tu la nettoies avec la langue et lorsqu’elle sera propre, vous pourrez rentrer dans la maison »
Et il rentre, laissant les deux soumises dehors devant chez lui.

Lorsque les deux femmes entrent dans la maison, Éric propose alors d’aller se coucher. Béatrice demande :

« Je dors où ? »

Éric répond sèchement et sérieusement :

« Ben dehors ! Il n’y a pas de place pour toi ici »

Béatrice blêmie et fond en larme.

Éric et Marie-Claude éclatent de rire en prenant leur amie dans leurs bras, et lui disent que c’est une plaisanterie, et ils l’entraînent dans la chambre de Éric, où elle dormira entre son amant et Marie-Claude.

Fin…

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