chapitre 15
Parcours croisés – Mercredi
Chapitre 15
Jonathan
– Tu diras rien … faut pas …
Elle est assise sur le banc, à côté de moi. Elle serre ses bras autour d’elle, comme si elle avait froid. Elle baisse la tête et me parle tout doucement, sans me regarder.
Quand on est arrivé dans le parc, je voyais bien qu’elle était pas bien ; elle marchait loin de moi, les bras serrés, regardant loin devant elle.
On s’est assis sur un banc. J’avais pas envie de retourner au magasin. Elle disait rien ; et moi je savais pas quoi lui dire. J’ai mis mon bras sur ses épaules mais elle m’a repoussé.
– Tu diras rien … faut pas …
Elle a parlé tout doucement, j’ai presque pas entendu.
– … d’accord … je dirai à personne …
– Ni à Christophe, surtout pas à lui … tu parles beaucoup avec lui … faut pas … promet !
– … c’est promis … je te jure … je dirai rien …
Elle s’est levée. Elle attendait que je la suive.
En arrivant sur la rue, elle s’est arrêtée, m’a regardé, et elle est partie sans rien dire.
J’ai attendu un peu en la regardant partir, mais elle s’est pas retournée.
Tout le matin, j’ai nettoyé la resserre. J’avais pas fait depuis une semaine et le patron était pas content. J’ai écrasé les cagettes et les cartons et j’ai tout empilé dans le camion. Après j’ai balayé et tout lavé au jet d’eau. Le patron est venu vérifier et il m’a dit d’aller me changer parce que j’étais tout mouillé et que je devais faire deux livraisons : une au Café des Sports, avant midi, et l’autre chez ma prof au début d’après-midi.
Je savais déjà qu’il fallait aller chez elle ; elle me l’avait dit.
J’y suis arrivé vers deux heures. Elle m’a ouvert en peignoir, comme hier. Elle m’a amené dans la cuisine et elle a surveillé ce que je sortais des sacs et comment je rangeais.
– Tu sens la transpiration ! As-tu pris une douche, aujourd’hui ?
– Ce matin, oui … mais j’ai travaillé et y fait chaud …
– Suis-moi !
Je l’ai suivie dans le couloir. Le salon était presque dans le noir quand on est passé devant. Elle m’a amené dans la salle de bain et elle a fermé la porte. Elle est restée debout les bras croisés devant la porte et elle a dit de me déshabiller. J’ai enlevé les baskets, le polo et le jean’s. Quand elle a vu que j’avais mon caleçon, elle a secoué la tête : j’avais oublié … j’ai pensé ce matin à mettre la culotte comme elle avait dit, et puis j’ai oublié.
– Enlève cette chose immonde !
Elle a pris un gant sur le lavabo et m’a dit de me laver. Elle a surveillé tout le temps pour voir si je faisais bien. Quand j’ai fini, elle a sorti un foulard de la poche de son peignoir et elle l’a attaché sur mes yeux. Elle a pris ma main et on est sortis de la salle de bain ; j’étais encore tout nu.
J’ai reconnu que j’étais dans le salon quand elle m’a fait mettre à genoux sur un tapis et qu’elle m’a fait pencher en avant, comme à quatre pattes, mais en appuyant les épaules et la tête sur le canapé.
Je l’ai entendue bouger et marcher un petit moment et puis elle s’est mise à parler. C’était une histoire qu’elle m’avait fait déjà lire mais que j’avais pas finie : une histoire très cochonne où un vieux torturait une fille et la faisait baiser par plusieurs autres types. Elle lisait et à un moment elle m’a fait écarter les genoux avec son pied.
De savoir qu’elle pouvait voir mon cul et mes couilles depuis derrière, et puis l’histoire qu’elle lisait, ça m’a fait bander. Après elle a pris ma main qui était posée sur le canapé à côté de ma tête. Elle me tenait par le poignet. Elle l’a fait glisser vers la droite et j’ai senti des cheveux sous mes doigts. Elle a soulevé ma main et l’a reposée sur le haut d’une tête et a fait glisser en arrière. J’ai senti le dos sous ma main et puis des fesses. Y avait quelqu’un à côté de moi et tout nu aussi. Elle a encore tiré mon poignet sur le dos et puis l’a fait descendre et j’ai sentie sur le dos de ma main quelque chose de doux qui pendait et bougeait ; j’ai tourné la main pour la toucher avec les doigts et j’ai deviné que je touchais le sein d’une fille qui devait être dans la même position que moi. Elle a lâché ma main et j’ai continué à caresser, c’était doux et chaud et je bandais encore plus.
Au bout d’un moment la fille s’est redressée et je pouvais plus la toucher. J’ai senti que la prof s’asseyait à côté de moi et elle a pris mes mains pour que je les pose de chaque côté de ma tête. Sa cuisse était contre ma main et je sentais le tissu de ses bas contre mes doigts. Elle a un peu bougé. Une main s’est posée sur une de mes fesses et une autre a bougé sur la raie des fesses, a touché le trou de mon cul et puis est allée toucher mes couilles et les serrant entre les doigts ; l’autre main a glissé de sur ma fesse et m’a touché la queue et puis est remontée et j’ai senti un doigt appuyer sur le trou de mon cul. Au bout d’un moment j’ai senti deux autres mains se poser sur mon dos en me griffant un peu. Une est partie vers mes fesses et je l’ai plus sentie ; l’autre est descendue vers mon ventre et s’est mise à me tirer les poils au-dessus de la queue. Le doigt qui appuyait sur mon trou du cul a poussé fort et il rentré d’un coup. On m’a branlé la queue et la main sur mes couilles a serré plus fort. Le doigt bougeait dans mon cul et j’ai explosé. J’ai giclé longtemps et j’ai serré la cuisse de ma prof en appuyant ma joue contre elle. Elle a continué à me branler longtemps même quand je jouissais plus, et je débandais pas. Le doigt est sorti de mon cul et l’autre main a lâché mes couilles. Je sentais plus que les ongles qui me griffaient le dos et la main qui me branlait encore.
C’était forcément l’autre fille qui m’avait mis un doigt.
La prof m’a lâché la queue et s’est levée. J’ai pas bougé.
Au bout d’un moment, elle a dénoué le foulard. Je me suis relevé et j’ai regardé autour de moi. Elle était debout juste devant moi, un doigt sur les lèvres pour me dire de me taire. Elle était en petite culotte noire avec des bas Dim’up et une guêpière qui lui serrait la poitrine. La culotte était mal mise et y avait des poils gris qui dépassaient d’un côté. Il faisait presque noir. Elle m’a fait lever et m’a poussé jusqu’au fauteuil devant la fenêtre. La fille était là, les jambes écartées en grand et posées sur les accoudoirs ; elle avait un foulard sur les yeux, comme moi avant. En m’approchant, j’ai reconnu Nelly, la copine de Kévin !
La prof m’a fait mettre à genoux entre ses jambes et puis elle a mis les mains de Nelly sur sa chatte, et lui a fait écarter la fente en grand avec ses doigts. Elle est revenue derrière moi et m’a poussé jusqu’à ce que j’embrasse la fente grande ouverte. Elle sentait bon. Je l’ai embrassé et j’ai léché, en rentrant la langue au maximum. La prof m’a tiré en arrière par les cheveux et avec un doigt, elle m’a montré le petit bouton en haut de la fente, et puis elle m’a repoussé en avant. Quand j’ai commencé à lécher le bouton, Nelly s’est mise à remuer les hanches et à onduler. J’ai aspiré le bouton et la peau autour et je sentais qu’elle tremblait un peu et bougeait plus vite. Pour qu’elle sente comme elle m’avait fait à moi, j’ai mis un doigt dans son cul. La prof tenait ma tête appuyée contre sa chatte en me tenant les cheveux. Tout d’un coup, j’ai senti gicler dans ma bouche ; j’ai voulu reculer mais la prof me tenait fort et j’ai bu un peu du pipi qui giclait dans ma bouche ; Nelly criait en plaquant son ventre contre ma bouche ; elle tremblait beaucoup et donnait des coups de reins ; elle a repoussé ma tête à deux mains et je l’ai regardée se caresser et se faire jouir encore pendant que la prof lui serrait les seins très fort et tordait ses tétons.
La prof m’a fait asseoir dans le canapé et m’a fait signe de pas bouger. Elle est partie au moins cinq minutes. Nelly non plus avait pas bougé. J’en revenais pas de la voir toute nue comme ça, ici. Je bandais encore à fond mais j’osais pas me toucher.
La prof est revenue, elle s’était recoiffée. Elle avait un truc rose dans la main qu’elle a posé sur la table devant moi. Elle est allée chercher Nelly. Elle l’a faite mettre à quatre pattes sur le tapis et puis poser la tête sur le tapis, le cul en l’air. Elle a pris le truc en plastique sur la table ; c’était comme un gros sexe avec de grosses veines et un bouton noir au bout ; c’était plus gros et plus long que ma queue.
Elle s’est approchée de moi et l’a promené sur ma bouche ; elle l’a pris aussi dans sa bouche à elle et a mis plein de salive dessus et puis l’a encore avancé vers ma bouche ; j’ai aussi craché dessus et elle a étalé la salive avec un doigt. Elle m’a tiré par un bras jusque derrière le cul de Nelly. Elle a passé le gode dans sa raie et d’un coup, elle l’a rentré dans son cul. Nelly a crié et elle a serré les poings sur le tapis, mais elle s’est pas échappée ; la prof a retiré l’engin et l’a replanté aussi fort tout de suite en le rentrant plus loin ; Nelly a encore crié en se mordant une main. La prof l’a laissé planté sans y toucher et a pris ma queue dans sa main ; elle m’a branlé plusieurs fois en tirant très fort vers le bas et ça m’a fait mal, mais j’ai rien dit. Le gode est sorti du cul de Nelly et il est tombé sur le tapis entre ses jambes.
La prof m’a fait mettre debout derrière Nelly, les jambes très écartées de chaque côté de son cul et m’a fait plier les genoux en tirant ma queue vers le cul de Nelly. Je me suis appuyé sur son dos et la prof a posé mon gland sur la rondelle du cul ; après elle s’est mise derrière moi, elle a passé une main entre mes jambes pour tenir ma queue contre le trou de son cul ; en même temps, elle a posé le gode sur mon cul à moi et elle a poussé. Je serrais le cul parce que j’avais peur qu’elle me rentre ce gros truc. Elle a branlé ma queue et j’ai senti le cul de Nelly s’ouvrir un peu ; j’ai commencé à pousser plus fort et d’un coup, les deux sont rentrés en même temps, dans son cul et dans le mien. J’ai eu très mal, comme si on me déchirait quelque chose, et ça brûlait ; ma queue est rentrée à fond et Nelly a gémi ; je poussais fort ; j’avais envie de lui faire mal comme moi j’avais mal ; le gode a commencé à bouger dans mon cul et ça me brûlait vraiment beaucoup; il rentrait de plus en plus loin et je me suis mis à bouger aussi entre les fesses de Nelly de plus en plus fort et j’ai giclé au fond de son cul tout chaud qui me serrait presque plus et je sentais les secousses aussi sur mon cul qui se serrait sur le gode pendant que je giclais.
Elle m’a laissé le gode dans le cul enfoncé à fond et m’a pris une main pour que je le tienne dedans.
Elle a fait relever Nelly, l’a fait mettre debout en face de moi et elle lui a enlevé le foulard.
Quand elle m’a reconnu, Nelly s’est mise à pleurer en mettant la main devant sa bouche. La prof l’a prise par les cheveux et l’a fait se baisser devant moi :
– Suce-le ! tout de suite ! … et branle-lui le cul !
Nelly a ouvert la bouche et a pris ma queue dans sa bouche. Elle a mis une main entre mes jambes, J’ai lâché le gode et elle l’a pris dans la main ; j’ai senti qu’il se mettait à vibrer à l’intérieur de mon cul. Je sentais sa langue chaude et ses dents sur mon gland ; elle bougeait presque pas le gode ; quand j’ai senti que j’allais gicler encore, j’ai voulu sortir de sa bouche, mais elle m’a avalé complè-tement au fond de la gorge, le nez dans mes poils et pendant que je jouissais elle a enlevé le gode de mon cul. Elle m’a gardé dans sa bouche sans bouger jusqu’à ce que je débande.
Elle s’est relevée et on osait pas se regarder. La prof était dans le canapé et nous regardait en sou-riant. Elle avait les joues très rouges et ses yeux brillaient.
Elle nous amené dans la salle de bain. Elle s’est assise sur la baignoire et nous a dit de nous laver l’un l’autre, partout. Je savais pas trop comment m’y prendre pour laver Nelly alors elle m’a guidé. Et puis elle m’a lavé partout, lentement, et je me suis remis à bander. Elle gardait les yeux baissés et elle avait l’air un peu triste.
On s’est rhabillés.
La prof avait renfilé son peignoir à fleurs ; elle nous a servi un coca …
On est parti en même temps … elle marche loin de moi, les bras serrés autour d’elle, et regarde loin devant elle.
Je ne sais pas quoi lui dire ; je sens qu’elle va pas trop bien :
– Tu la connais depuis longtemps ?
Je me suis arrêté et je la regarde. Elle continue à marcher, et s’assoit sur un banc :
– C’est ma tante …
Je me suis assis à côté d’elle. J’ai mis mon bras sur ses épaules mais elle m’a repoussé. Elle a parlé tout doucement, j’ai presque pas entendu :
– Tu diras rien … faut pas …
chapitre 16
Parcours croisés – Mercredi
Chapitre 16
Alain
En allant chercher le courrier, j’ai aperçue Annie qui revenait de son jogging. J’ai attendu qu’elle arrive à ma hauteur. Elle s ‘est penchée en avant, mains sur les genoux pour reprendre son souffle:
– Bonjour ! Bonne balade ?
– …ça … va … dur …
Elle s’est redressée et comme hier soir, elle a passé une main derrière mon cou pour me faire baisser, s’est mise sur la pointes des pieds pour m’embrasser sur la joue. Je l’ai retenue d’une main dans son dos pour l’embrasser à mon tour.
Elle a essuyée en riant ma joue trempée de sa transpiration.
– Et toi ? ça va ?
– Fatigué …
– Le rosé, c’est traître !
– Mmm mmm … le rosé ça passe encore … c’est Tina qui m’épuise !
– Oh ! … tu t’en plains ?
– Non non … je ne me plains pas … je constate ! et puis tu verrais la liste de courses qu’elle m’a laissé !
– T’y vas quand ? Tu veux de l’aide ?
– Ah ça ! avec plaisir ! moi, les courses … avant midi ? ça t’embêtes pas ?
– Mais non ! je prends une douche et on y va, si tu veux … laisse moi une heure …
– Ok, je passe te prendre !
Elle est repartie en petites foulées jusqu’à chez elle, et je suis resté au bord de la rue à regarder ses fesses … t’as de la chance, Martina … jolie femme, fine et musclée, grands yeux un peu tristes … je la consolerais bien, même si je sais pas de quoi … elle donne envie de câlins …
Elle s’est retournée en arrivant devant son portail et m’a fait une petit signe en riant.
… elle savait que je matais ses fesses, la coquine …
Une heure plus tard je me suis garé devant sa maison. J’ai longé l’allée de rosiers jusqu’à l’entrée, frappé à sa porte, et je suis entré :
– Hello ! C’est moi !
Sa voix m’est arrivée de la pièce au bout du couloir :
– Attends un peu, j’suis pas prête !
Je me suis avancé ; elle était de dos devant une planche à repasser, torse nu et en culotte blanche qui mordait sur ses fesses et remontait haut sur sa taille. Son dos et ses jambes sont très bronzées, les attaches fines ; les boucles brunes en désordre lui donnent une allure de gamine :
– Charmant tableau !
Elle s’est retournée brusquement et a failli lâcher son fer à repasser.
– T’es mignonne avec tes lunettes ! Désolé … je pensais pas …
Elle me tourne le dos et finit son repassage :
– Décidément, j’arrête pas d’exposer mon anatomie …
– Tu fais bien … j’apprécie …
– Espèce de voyeur !
– Exhibitionniste !
– … désolée …
Sans se retourner, elle repose son fer, enfile la petite robe bleu ciel qu’elle repassait :
– Rends-toi utile !
Je me suis approché et j’ai remonté la fermeture éclair dans son dos.
– Jolie robe … aussi courte que je les aime …
Elle a enlevé ses lunettes, s’est assise sur le canapé et enfilé une paire de tennis blanches, sans les délacer :
– Je suis prête ! on y va ?
On a roulé vitres ouvertes, bras à la portière. Je ne pouvais pas m’empêcher de jeter de temps en temps un coup d’œil à ses jambes.
– J’ai menti …
Je tourne la tête vers elle. Elle regarde droit devant elle :
– J’ai menti, j’ai fait exprès …
– Exprès de quoi ?
– … d’être en petite tenue … Je suis désolée …
– … ne le sois pas … j’ai apprécié …
Elle ne me regarde pas et secoue ses boucles de cheveux :
– J’ai jamais mis aussi longtemps à repasser une robe !
Elle met une main devant sa bouche pour étouffer un fou-rire :
– Pardon …
– T’étais pas obligée de me le dire …
– Si … c’est mieux …
Nous avons fini la route sans rien dire, en riant à chaque fois qu’on se regardait.
J’ai finalement pris beaucoup de plaisir à pousser le caddy entre les rayons à la poursuite de la petite robe bleue.
On est rentré vers 13 heures. Martina était déjà rentrée. Elle avait décidé de rentrer très tôt pour faire un gâteau et préparer les entrées.
Quand on est arrivés chargés de sacs, elle a posé les poings sur ses hanches :
– T’as pas pu t’empêcher de l’embaucher ! On l’invite et tu la fais travailler !
– Elle s’est proposée ! … et tu me connais, j’ai pas voulu la vexer !
– Ouais …
– Laissez-moi faire ! allez sur la terrasse, je vous prépare des sandwich ! allez … dispa-raissez !
Quand je les ai rejointes, elles étaient toutes les deux secouées d’un grand fou-rire. Tina en pleurait et Annie s’appuyait à la table, la tête dans les bras, le dos tressautant de ses éclats de rire :
– Qu’est-ce qu’il y a ?
Elles se sont tournées vers moi et ont éclaté de rire de plus belle. J’ai posé les assiettes sur la table, et suis retourné chercher du soda et des verres.
Leur fou-rire semblait un peu calmé. Martina s’est essuyé les yeux :
– Mon pauvre chéri !
– Quoi ?
Aucune des deux ne répondant, je me suis assis et ai commencé à manger mon sandwich. Martina est venue s’assoir sur mes genoux, et je lui ai donné une bouchée de mon sandwich :
– Alors … raconte …
– Annie m’a raconté comment elle t’avait accueillie …
– C’était … inattendu … et charmant …
– On va t’épuiser mon chéri ! Entre Annie et moi, tes retrouvailles avec Véro … je crains pour ta santé !
– … mmm …
Je dormais quand Tina est rentrée hier soir de chez Annie. Elle s’est couchée sur moi et m’a embrassé. Comment résister ! Elle s’est un peu soulevée, a passé un main entre nos deux corps et a redressé mon sexe bien droit sur mon ventre. Elle a ondulé, frottant son pubis à mon sexe jusqu’à provoquer une belle érection.
Cramponnée à mon cou, elle a soulevé le bassin, et après quelques hésitations et tâtonnements elle s’est empalée sur moi, d’une lente descente sans à-coups.
Elle a soulevé ses fesses jusqu’à presque me sortir de son ventre et a attendu que je bouge, et j’ai pris le relais, agrippé des deux mains sur ses fesses aux muscles durcis, tendues.
Elle a sans doute senti mon souffle s’accélérer, j’étais prêt à exploser, et s’est détachée de moi. Elle s’est redressée, assise sur mes cuisses, et a calé ses pieds sous mes bras.
Assise au-dessus de moi, elle a pris appui dans son dos d’un bras sur mes genoux et de l’autre main a redressé mon sexe à la verticale et abaissé ses fesses, mon gland appuyé au creux de ses fesses, puis les deux mains dans son dos sur mes genoux, elle s’est appuyée un peu plus fort.
Elle plissait les yeux et se mordait la lèvre inférieure, une expression de douleur sur le visage, mais appuyait son petit trou de plus en plus fort … et j’ai senti l’anneau se relâcher, se resserrer, se relâ-cher encore et s’ouvrir … avalant d’un coup mon gland … elle s’est arrêtée. Elle a ouvert grand les yeux, soufflé deux ou trois fois, a repris sa lèvre entre ses dents et a recommencé à descendre sur ma verge, à petits coups, s’empalant sur la partie la plus renflée et dure de la verge … et a glissé à fond, accompagnant la descente d’un grognement profond venant du fond de la gorge, dents serrées, jusqu’à poser ses fesses sur mes cuisses … « … attends … bouge pas … attends … ».
Elle a commencé à monter et descendre à petits coups de reins et j’ai bougé avec elle, décollant mes reins du lit, la soulevant à chaque coups de reins …
Quand elle a senti mon sexe étirer plus fort son sphincter et commencer à palpiter, elle a posé une main sur son clitoris et s’est caressé très vite, presque violemment. Elle a crié bouche ouverte au moment même j’ai commencé à jouir, la soulevant à grands coups de reins.
Sans me laisser sortir de ses fesses, elle a ramené ses jambes en arrière et s’est couchée sur mon torse, couverte de transpiration.
Elle dormait déjà quand j’ai senti mon sexe ramolli sortir de ses fesses, sur une dernière contraction de son petit trou.
– J’aurais dû savoir que j’avais aucune chance … il me l’avait dit …
– Oh oh ! Tu lui as raconté notre nuit, mon chéri ?
– Non !
– Il m’a seulement dit qu’il était fatigué … pas plus ! juré !
Tina s’est penché vers Annie et lui a parlé à l’oreille. Elle chuchotait et je n’entendais rien :
– Qu’est-ce que tu racontes, encore !
Elle se redresse, me regarde et dit :
– Ben … la vérité ! Que tu m’as enculée comme une bête !
– OH ! C’est pas vrai ! Elle a pas dit ça !
Annie pliée de rire a ajouté :
– C’est vrai ?
– C’est comme je dis ! Il m’a littéralement défoncée !
Je l’ai repoussée de mes genoux :
– Vous êtes grossière, madame !
– Ehhh ! Ce matin, tu m’a pas repoussée !
Annie ouvrait grand les yeux, prenait un air horrifié :
– Il a recommencé ?
J’ai répondu le premier :
– Non, j’ai rien recommencé du tout … c’est elle … Elle m’a pompé le nœud ! Elle m’a sucé jusqu’à la moelle ! Asséché !
Elles sont restées bouche ouverte, toutes les deux, surprises de ma sortie. Et le fou-rire les a repris ; elles pleuraient de rire dans les bras l’une de l’autre :
– Arrrr.. rrête ! arr … arrê…te ! je vais … fai … pipi … d … a … culo …ootte …
Elles riaient encore quand je suis revenu avec trois tasses de café.
Annie est rentrée chez elle vers 3 heures, en promettant de revenir aider Martina à tout préparer.
— Stan Riff
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