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Histoire de Sexe

Parcours croisés Chapitre 3 & 4

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3 – Véronique
Véronique

– Bonjour à tous !
Premier bureau à droite, panneau « ACCUEIL » :
– Bonjour,
… jamais un sourire, celle-là ! Elle n’a même pas levé la tête … et si c’avait été un client ! Faudrait virer de l’accueil les vieilles filles ménopausées …
Debout à côté du panneau d’affichage des annonces :
– T’es matinale, dis-donc, t’es tombée du lit ?
… quel âne, ce Bertrand, autant d‘humour que de sex-appeal …
Martina se lève, grand sourire :
– Bonjour Véro, … t’es toute belle dis-donc !
… je me suis habillée en pensant à toi …
Je pose la main sur son bras, on s’embrasse, une bise, une habitude prise depuis peu.
– Toi aussi, t’es toute belle, et toute fraîche aussi !
Je passe doucement la main sur son bras, comme pour réchauffer sa peau. Elle a un petit tailleur, jupe noire près du corps, chemisier blanc ouvert jusqu’à la naissance des seins, boléro noir manches courtes, petit collier ras de cou, boucles d’oreilles assorties avec des brillants. Qu’elle est belle ! Malgré ses escarpins sans talons, elle me dépasse de dix bons centimètres, un vrai mannequin ! Et ses yeux ! Je veux me noyer dans ces lacs noirs …
J’ai tout de suite été sous le charme.
J’ai fait sa connaissance il y a deux mois, quand j’ai été chargée d’assurer la liaison entre nos trois agences. Un sourire, et … amoureuse !
– Qu’est-ce tu nous amènes ? Vous avez rentré de bonnes affaires ?
Elle m’entraîne vers son bureau et s’assoit sur une des deux chaises de réception. Je m’installe à côté d’elle, contente qu’il n’y ait pas de bureau entre nous. Ma robe remonte un peu et je ne fais aucun effort pour la rabaisser. Je pose ma mallette au sol et me penche pour en extraire les fiches de présentation des trois villas qui seront mises en vente dans l’agence. Mon caraco baille largement et ne cache rien de ma poitrine dans cette position. Je le sais. J’ai vérifié avant de partir. Quand je lui tends les fiches, elle avance la main en me regardant droit dans les yeux, un sourire aux lèvres, et à voix basse :
– Vraiment très en beauté, ma douce …
Elle ne me lâche pas du regard et je sens le rouge me monter aux joues. Qu’est-ce que j’aime qu’elle m’appelle « ma douce » !
Pendant quelques minutes, elle lit les fiches, l’une après l’autre, concentrée, puis revient sur les photos :
– Tu les as visitées ?
– Non, c’est le patron qui a reçu les vendeurs. Vu le secteur, il a mis de côté pour vous. A vous de reprendre contact soit pour une pré-visite, soit directement avec un acquéreur.
Elle reprend les fiches et s’attarde sur les photos. Elle passe la main dans ses cheveux cours, soulevant quelques mèches : un styliste rechercherait l’effet obtenu !
– J’irais les voir avant affichage. Pour ces deux là, je prendrais sous doute d’autres photos ; pas assez mises en valeur. Tu veux un café ?
– Oui ! Je veux bien.
La petite pièce située au fond du hall contient quatre grands rayonnages d’archives et dans le recoin à droite, trois tabourets de bars, un table haute, et contre le mur, une petite table avec une Senseo. Profitant que Martina me tourne le dos et prépare nos cafés, je me perche sur un tabouret en remontant ma jupe.
– Tu iras prendre les photos aujourd’hui ?
– Pourquoi pas … je n’ai pas de rendez-vous. Si les proprios veulent bien, je peux y aller ce matin. Tu viendrais avec moi ?
– Oui ! Il fait beau, en plus, autant se balader un peu !
Martina pose les deux tasses sur la table, s’installe sur le tabouret en face de moi, soulevant carrément sa jupe sur ses fesses et croise les jambes :
– Je ne veux pas la froisser ! …
La jambe qu’elle a croisée est entièrement découverte, jusqu’à la fossette de sa hanche, sa peau est mate est bronzée. Je n’arrive pas à détacher le regard de sa cuisse.
– J’ai bronzé, non ? Il faisait tellement beau dimanche ! … Véro ?
Je sursaute et relève enfin les yeux :
– Mmm ?
– Tu rêvais ?
– Euh … oui NON !
Elle sourit, lèvres pincées, tête inclinée sur l’épaule. Je me sens rougir et renverse à moitié ma tasse en la prenant.
– Toi aussi t’as bronzée, t’es toute dorée …
Elle baisse les yeux sur mes jambes largement découvertes, passe l’ongle de son index sur ma cuisse, en remontant lentement du genou jusqu’à la lisière de ma jupe, glissant vers l’intérieur de ma cuisse. Un grand frisson me secoue et la moitié de mon café se renverse parterre.
– Bouge pas ! C’est rien !
Martina descend du tabouret, déchire une feuille de papier essuie-tout et s’accroupit pour éponger le café qui imbibe la moquette. Toujours accroupie devant moi, elle pose une main sur mon genou, lève la tête. Son regard s’attarde de longues secondes sur l’entrebâillement de mes cuisses. Ses lèvres s’étirent en sourire, et lentement elle se relève, sa main toujours appuyée sur mon genou. Elle me regarde dans les yeux, se penche vers moi et dépose un baiser au coin de mes lèvres :
– … tu portes de très jolis dessous …

Je n’avais même pas osé en espérer autant ! J’ai tout fait pour ! Mais j’espérais pas autant, si vite !
Ce matin, j’ai essayé quatre ou cinq tenues différentes avant de me décider pour cette jupe beige moulante en strech, assortie à mon petit haut col rond en satin. J’ ai mis mon ensemble soutien-gorge et slip rose en dentelle qui met en valeur ma peau dorée … idiote … comme si j’allais me déshabiller… J’ai presque passé une heure à mes essayages devant la glace en pied dans ma chambre, prenant des poses, d’abord avec mes seuls dessous, ensuite avec différentes tenues, essayant de deviner celle qui lui plairait, celle qui me mettrait en valeur. Je me baissais pour voir comment mes seins se découvraient, soulevant ma jupe … je suis même allée chercher une chaise dans le salon pour étudier comment croiser mes jambes, écarter un peu les cuisses … Martina n’est jamais maquillée, alors j’ai juste mis un peu de blush, léger . Et j’ai imaginé le regard de Martina sur moi … et pris à nouveau des poses devant mon miroir. Je sentais mon ventre se contracter, je me sentais humide. Je suis allée faire pipi avant de partir et j’ai essuyé un peu de mouille sur mon slip.

Et tout est mieux que j’espérais … elle a caressé ma cuisse, elle m’a embrassée.
… je n’ai même pas osé un geste ! Imbécile ! Paralysée ou quoi ? Réveille-toi ! …
Elle pose sa main sur ma joue :
– … un petit bonbon rose …
Je tourne la tête et embrasse sa main.
Elle recule lentement et prend un air sévère :
– Attention à toi, quand même! Si un jour Bertrand te propose un café et que tu tiens comme ça, il te viole sur la moquette !
On éclate de rire.
Nous avons chacune pris contact avec les propriétaires des deux maisons à visiter : un seul rendez-vous possible. Martina prépare un dossier, les fiches de prises de notes, son appareil photo, programme son GPS :
– Bertrand, on en a pour la matinée. S’il y a une catastrophe tu m’appelles, sinon tu gères … à cet aprèm, bye !
– Salut les filles ! Ne draguez pas trop !
Il fait vraiment très beau, et bien qu’il ne soit que 10 heures, il fait déjà chaud. Le GPS nous guide sur de petites routes étroites. Ni Martina ni moi n’avons échangé un mot. Elle conduit calmement, sans heurts et nous roulons vitres baissées. A la sortie d’un village, des ouvriers nous font signe d’arrêter. Ils sont en train d’élaguer des arbres. Martina se gare et coupe le moteur. La route est jonchée de branches et nous ne pourrons pas passer avant quelques minutes. Un ouvrier, panneau sens interdit en main, nous fait un petit signe de la main, quelques mètres devant la voiture. Martina avance la main, coupe le son de l’autoradio et serre le frein à main. Nous nous regardons en souriant :
– On a le temps, pas vrai ? Et il fait si beau !
Avant que je réponde, je sens la main de Martina se poser légèrement sur la peau nue de ma cuisse. Elle tourne la tête et regarde droit devant elles vers les ouvriers au travail.
Le bout de ses doigts effleure l’intérieur de ma cuisse, remonte lentement depuis mon genou , redescend vers le genou quand ces doigts butent sur l’ourlet de ma jupe, répète inlassablement ce lent va et vient. Martina regarde toujours droit devant elle, comme perdue dans ses pensées, tandis que je la dévore des yeux. Lentement je m’avance sur le siège et bascule un peu le dossier. La main a arrêté le mouvement. J’appuie mon dos au siège abaissé. La main reprend son va et vient lent. Je soulève un peu le bassin, remonte ma jupe sous mes fesses. La main profite du terrain gagné et remonte jusqu’à frôler mon sexe.
J’ai fermé les yeux. Je n’existe plus que de la caresse de ses doigts que j’espère à chaque fois plus près de mon sexe. J’appuie le genou gauche à la console centrale et j’écarte la jambe droite à toucher la portière. Mes cuisses largement écartées appellent sa main. Je gémis doucement de l’attente exacerbée à chaque fois déçue quand sa main redescend. Je ressens le gonflement de mes lèvres à la pression accrue de la dentelle sur mon sexe et à l’irritation grandissante des élastiques. Tout ce que je ressens est concentré entre mes jambes, dans l’humidité et la moiteur croissante de mon sexe, dont je crois même sentir l’odeur musquée.
La main me quitte, je gémis de frustration et d’envie, de besoin d’amour, de contact, je veux que ses doigts pétrissent et malaxent ma chatte, je veux inonder sa main écrasée sur mes lèvres béantes …
Starter, moteur, la voiture qui démarre. J’ouvre les yeux, perdue, envie de pleurer, malheureuse, les joues en feu, … le petit signe de la main de l’ouvrier qu’on dépasse, entr’aperçu dans le brouillard qui me noie.
Je referme les jambes, bascule vers l’épaule de Martina, ma joue contre son bras, une larme qui coule de ma joue sur sa peau si douce. Je caresse son bras, sa main posée sur le levier de vitesse, pique son bras de baisers, embrasse, lèche, mord, mêle mes doigts aux siens qui changent les vitesses. Je garde la joue sur son bras et ferme les yeux, concentrée sur le souvenir, si proche, images d’une main qui me caresse … mémoire de ma peau … frissons … douce chaleur au creux de ventre …

Je suis perdue dans mes rêves et je me rends compte que plus rien ne bouge : bruissement de feuillages, brise sur ma peau. Son épaule se dégage, ses deux mains sur mon visage me redressent, son souffle sur ma bouche, ses lèvres sur les miennes, si chaudes, sa langue qui m’ouvre.
Je la serre dans mes bras, me colle à elle autant que je peux, larmes et frustration oubliées. Je me sens envahie, soulevée.
Elle s’écarte de moi.
Ses mains glissent sur mon visage, ses doigts se glissent dans mes cheveux, elle me repousse dans mon siège. Du dos de sa main droite elle caresse ma joue, mes lèvres, glisse un doigt replié entre mes lèvres qui s’ouvrent, embrassent et mordent. Sa main gauche se glisse entre mes jambes, se glisse au pli du genou, soulève et tire ma jambe vers elle, colle mon genou à ses seins.
Elle repousse l’autre jambe du dos de la main, m’écartant grand les cuisses, me laissant béante et offerte.
Sa main me quitte.
Elle m’abandonne encore … affolement qui revient.
Je gémis et mords son doigt … et sa main se presse fort sur mon sexe, écrase de la paume, écrase de ses doigts. Sa main s’ouvre et se ferme, paume plaqué au mont se Vénus, doigts durs, … s’ouvre et se ferme, …m’emprisonne, déforme la dentelle détrempée de mon slip que ses doigts enfoncent entre mes lèvres.
Son doigt s’arrache à ma bouche, descend sur mon menton, mon cou, glisse sous le satin, la main empaume un sein, aussi légère et caressante que l’autre est rude et dure. Mes reins se creusent, mon torse monte au devant d’une main qui s’échappe, mes seins attendent douloureusement le même écrasement que mon sexe … ses quatre doigts à plats, d’un grand mouvement tournant ont ouverts grands les lèvres, me tiennent béante, accélèrent …
Un éclatement et je jouis à longs élancements accompagnant ses doigts, mon ventre secoué de saccades. Mes cuisses se referment très fort sur sa main qui ralentit sa rotation presque douloureuse, se fait plus légère, s’arrête, luttent contre mes cuisses serrées.
Je me redresse et me serre contre elle à pleins bras, haletante comme après une folle course, transpirante comme au sortir d’un hammam. La tension se relâche par vagues moins aigües et plus profondes, mon souffle s’apaise, mes muscles se détendent, les contractions s’espacent.
J e colle mes lèvres au creux de son cou, donne de petits baisers mouillés,. Je me noie dans son parfum … encore … ne plus bouger … rester là longtemps … longtemps…
Sa main glisse sous la dentelle du slip, mes cuisses s’ouvrent à nouveau, offrent un passage, appellent sa caresse.
Les doigts se font légers.
De son majeur tendu elle effleure … caresse doucement … du clitoris tendu au périné … parcourt lentement ma fente de haut en bas … lentement … s’attarde en remontant à l’entrée du vagin … pousse à peine … comme timide alors qu’inondé comme il est il l’accueillerait si bien … petits bruits mouillés … odeur sucrée … mes reins se creusent … avancent au-devant de sa caresse … le majeur remonte sur le clitoris … bouton gonflé et palpitant … joue avec le capuchon en tournant doucement … agace … évite le bouton … contourne … tourne … impatiente … je veux, je veux , plus fort, plus vite.
Je pose ma main sur la sienne, appuie, la presse, réclame. La main me repousse, écarte ma main, revient sur moi.
– Chhuuut … laisse-toi faire, ma douce, mon petit bonbon rose, laisse-moi …
Sa bouche contre ma bouche, son souffle dans ma bouche. Je gémis doucement, d’attente, du plaisir que je sens monter et s’échapper, monter encore. Je suis tendue vers lui, froid plissé, poings serrés, muscles tétanisée, tremblante.
Le doigt se fait plus pressant, plus rapide … et s’arrête brusquement, me quitte … se glisse à l’entrée de ma fontaine … deux fois, trois fois, pénètre, plus profondément à chaque fois, appuie et fouille … et remonte, et reprend sa danse affolante sur le clitoris gonflé, ne l’évitant plus … et les sensations se mélangent, se diluent … je sais plus … ce qui se passe … où … je ne suis plus qu’une boule qui monte, que des nerfs vrillés, qu’une angoisse, qu’une vague qui monte … plus forte et plus profonde … et je sais, je sais que la main qui m’a portée là, qui m’accompagne, est là pour moi, qu’elle me connaît si bien, aussi bien que moi, et mieux en même temps, qu’elle m’amène plus haut et plus loin, parce qu’elle est autre, imprévue et connue tout à la fois, et pour la deuxième fois mes cuisses se tendent, se contractent, tremblent de toute la tension de la montée inéluctable de la vague de plaisir qui monte, monte … ses doigts se plantent dans mon sein, serrent, pincent, écrasent le bouton durci qui s’étire … et le plaisir éclate, violent, et libérateur, me projette en avant au rythme des élancements, me secoue de contractions, et je crie mon plaisir dans sa bouche, cogne ses lèvres de mes lèvres crispées.
Mes cuisses se referment violemment … calmer et renforcer et protéger et prolonger cet éclatement de jouissance, plus fort, plus accompli que le premier. Son doigt arrête sa danse folle, posé, inerte, et reprends brusquement, une, deux secondes d’affolement supplémentaires, et une nouvelle pointe de plaisir, douloureuse et attendue, voulue, et sa main se calme, se pose index et majeur de part et d’autre de mon clito, tout doucement, attentifs aux palpitations saccadées qui s’apaisent, massent tendrement en petit va et vient léger.
Je me détends lentement, agitée encore de cours frissons, et je deviens molle, liquide, heureuse, consciente à l’extrême et confiante en cette main qui s’est posée à plat sur mon sexe ravagé et le protège, l’enveloppe, le console et promet, promet tellement de plaisirs futurs.
Je voudrais lui dire … tellement … comment dire qu’on est perdue de bonheur ?
Je reste blottie dans ses bras, et encore, je pleure doucement, parce que je suis si bien, parce que j’ai envie de rire et de crier du plaisir reçu, et je pleure…
Elle me tient dans ses bras, je me serre contre elle, et ma bouche blottie dans sous cou, je murmure :
– … je t’aime …
Elle relève ma tête d’un doigt sous le menton, du pouce de l’autre main efface mes larmes, dépose un baiser sur mes yeux, un baiser sur mes lèvres, et me berce …
– Tu pleures toujours ?
– … c’est si bon …
4 : Martina
Parcours croisés – Lundi
Chapitre 4
Martina

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J’avais la tête un peu lourde ce matin. Me lever tôt ne m’a jamais beaucoup plu, et ce matin c’était vraiment dur. Alain a été très gentil : il ne travaille pas cette semaine, mais il s’est quand même levé, et a préparé mon thé pendant que je prenais ma douche. Bien sûr, il a dû se recoucher après mon départ, mais il a été mignon tout plein, il a attendu que je parte.
Le week-end a été dur pour tous les deux. Nous avons sacrifié aux obligations familiales ! Longs repas, histoires ressassées (toujours les mêmes), ma sœur qui fait la tête (comme toujours), quelques engueulades (spécialité familiale)… et puis les silences parfois gênés : Alain et moi sommes ensembles depuis seulement trois mois, et bien sûr, j’ai un passé ! Dimanche après-midi les enfants ont sortis les albums photos : et forcément mon ex y est souvent ! Crise de ma sœur après les enfants ! Comme si Alain ne savait pas que j’ai été mariée !
Et puis deux heures de route pour rentrer … Alain conduisait, et j’ai dormi tout le long de la route. Il m’a réveillé en arrivant, vers 1h du matin.
L a maison était restée fermée tout le week-end, et il y faisait chaud malgré l’heure.
Et ce matin, levé 5h30. J’en étais malade en réglant mon réveil !
J’avais quelques dossiers à traiter, et il fallait absolument que j’arrive de bonne heure pour en finir avant l’arrivée de Véronique.
Elle vient tous les lundis faire le point sur les en-cours et nous transmettre les offres de vente dispatchées par l’agence centrale.
Véronique …

Elle a un an de plus que moi, 31 ans. On s’est connues il y a six mois à peu près, et dès le premier jour il s’est passé quelque chose entre nous.
J’ai vu arriver un jour une jolie fille, blonde, toute en fossettes et en rondeurs. Elle a parlé un moment avec Bertrand, mon adjoint, et puis est venue à mon bureau pour se présenter. Elle a secoué ma main pendant un temps infini, bouche ouverte et yeux perdus. Je me suis bien rendue compte qu’elle n’entendait rien de ce que je lui disais. Je me suis arrêtée et elle est redescendue sur terre en devenant rouge comme une pivoine. Au cours de toute la journée elle m’a mangé des yeux !
Et puis, bien sûr, on s’est revues tous les lundis.
Petits gestes, tenues provocantes, tout y est passé, sans qu’à aucun moment elle ne dise quoi que ce soit de ce qu’elle ressentait : mais c’était si évident !
J’étais divorcée depuis six mois et j’étais restée seule pendant ces six mois, sans aucune envie de m’engager dans une autre relation. Mais elle était si mignonne … et si timide en même temps !
J’avais déjà eu quelques aventures (deux en fait) avec une autre femme. Je n’étais donc pas particulièrement étonnée, surprise, ni choquée, bien sûr, de ce que je voyais dans ses yeux. Bien au contraire. La situation m’amusait et me plaisait, mais je restais distante les premiers temps, me gardant bien de la décourager, (surtout pas !). Je sais que mon physique impressionne parfois et je sais parfaitement en jouer pour tenir les gens à distance. Et puis … et puis … je lui donne parfois (et je reçois) ce qu’elle attend avec tellement d’intensité, quelques intermèdes de plaisir partagé, sans que jamais on n’en parle, sans que jamais ça ne devienne une vraie relation.
C’est ma douce Véro, mon bonbon sucré … une parenthèse qui s’ouvre et se ferme, des instants volés qui ne regardent personne que nous.
J’en ai un peu parlé avec Alain, en pointillés. Je ne veux rien lui cacher, mais je ne suis pas encore décidée à vraiment tout lui dire. Notre relation se construit, elle est très forte, et je ne veux pas qu’un nuage vienne la perturber. Je me donne du temps. Je renoncerais tout de suite si ça devait remettre en cause notre amour et notre vie ensemble. Mais … ça ne change rien à mes sentiments pour lui, alors …

J’allais partir ce matin quand le gros camion de nos voisins s’est mis à reculer dans la rue. Je suis donc descendue de voiture, pour lui faire signe : pas question qu’il emboutisse ma voiture ! Il s’est arrêté devant chez lui, a ouvert sa portière, et j’ai vu arriver sa femme en courant, une casquette à la main. Elle a escaladé le camion pour se hisser d’un pied vers la cabine, l’autre jambe écartée pour s‘équilibrer. Une main a soulevé son t-shirt jusqu’à la taille pour lui palper les fesses. J’ai eu une vue imprenable sur ses fesses écartées et sur un sillon noir s’épaississant en ses jambes, deux jolies fesses ma foi, mais vraiment très rougies d’un coup de soleil récent ! Tout ça en un temps très court, mais suffisamment net et inattendu pour que j’en garde un excellent et très précis souvenir …
Nous habitons le village depuis peu, et bien que voisins, nous n’avons pas encore lié connaissance. Son chauffeur de mari ne m’a pas fait l’impression de quelqu’un que j’ai envie de connaître, et elle, je n’ai jamais eu l’occasion de lui parler. Je l’ai juste croisée une fois ou deux quand elle faisait son jogging et que je partais au travail. Une jolie femme, petite et mince … et j’en sais plus aujourd’hui ! … elle a un joli derrière, elle ne s’épile pas (vraiment pas !) et elle bronze toute nue … Pour quelqu’un que je ne connais pas, je sais déjà beaucoup de choses … et beaucoup plus intimes que je n’en connais de gens que je vois souvent !
Elle a attendu sur le trottoir que le camion disparaisse :
– Bonjour !
Elle s’est retournée et a eu l’air surprise. Elle ne m’avait pas vue.
– Ah ! Bonjour … on vous empêchait de partir ?
– Pas grave. Il part longtemps ?
– … euh… 4 jours, la Roumanie et retour.
– C’est pour ça … c’est long quatre jours …
Elle n’a pas eu l’air de comprendre tout de suite pourquoi je lui disais ça, et je m’en suis voulu de mon ironie. Je n’ai pas su m’empêcher d’ajouter :
– Il va encore faire beau aujourd’hui, alors attention … vous avez déjà un bon coup de soleil ! Bonne journée !
Je l’ai vue porter une main à sa bouche pendant que de l’autre elle tirait sur son t-shirt et je l’ai vue rougir.
Alors, pour m’excuser, je lui ai fait mon plus gentil sourire, et un petit signe de la main en partant.
Dès que j’en aurais l’occasion, il faudra que je m’excuse de l’avoir mise mal à l’aise. Si elle a un peu d’humour, c’est un bon moyen d’être complices assez vite.

En tout cas, la journée commençait bien. L’épisode m’avait réconciliée avec mon lever aux aurores, et c’est de bonne humeur et avec entrain que je me suis plongée dans mes dossiers au bureau, l’image de fesses exposées et de toison fournie me trottant dans la tête.
Véro est arrivée vers 9 heures. Mignonne comme un cœur ! Sa petite jupe moulait ses hanches bien rondes, et quel décolleté ! Elle a des seins magnifiques : ronds, chauds, avec des tétons qui gonflent et s’étirent … un vrai pousse-au-crime ! Elle plus petite que moi (normal en fait : 1m82, c’est rare chez une femme !), et toute en rondeur et en courbes, alors que je suis fine et toute en angles.
Elle se montre avenante, et très à l’aise avec tout le monde, et devient timide et empruntée quand elle est seule avec moi. Toute sa confiance en soi semble l’abandonner et elle devient muette. Heureusement, elle reprend son aplomb dès que nous ne sommes plus seules ! C’est touchant et charmant ! Je me sens flattée de tous ces efforts qu’elle déploie pour me plaire, et c’est excitant aussi … ce que j’essaie de ne pas trop lui montrer. Notre relation telle qu’elle est ne la satisfait sûrement pas, mais je ne peux pas lui offrir plus. C’est égoïste sans doute … je ne veux pas qu’elle en souffre, en aucune façon. Ce que je lui donne et ce que je reçois d’elle n’est pas calculé. C’est sans mensonges, sans promesses.
Ce matin, elle a déployé beaucoup d’efforts et j’ai tout fait pour trouver un moment d’intimité avec elle. La visite d’une maison à mettre en vente dans notre agence était un excellent prétexte pour nous retrouver seules : prétexte de photos plus attractives à faire, alors que les photos au dossier étaient parfaites. Je ne sais pas si elle a été dupe. Comme d’habitude, elle n’a rien dit, et a sauté sur l’occasion en acceptant de m’accompagner.
J’imaginais que nous aurions un moment tranquille pendant la visite ou après, mais je n’ai pas pu attendre. Il y avait des travaux sur la route et je n’ai pu résister plus longtemps à caresser ses cuisses dorées, que sa jupe dévoilaient. Mon ventre était noué de devoir interrompre mes caresses quand les ouvriers nous ont cédé le passage et quelques kilomètres plus loin, j’ai pris le premier petit chemin menant à un bosquet à l’écart de la route. Elle s’était blottie contre mon épaule et posait de petits baisers mouillés sur mon bras.
Elle met tous ses atouts en balance pour éveiller mon attention ; elle s’offre ; sans conditions, sans fards ; elle me laisse entièrement l’initiative. Si elle savait … si elle savait à quel point je guette ses visites, combien j’aimerais qu’elle prenne les devants. Je suis persuadée que ce n’est pas un calcul de sa part, mais en agissant ainsi, elle m’enchaîne sans doute plus sûrement, et me rend plus dépendante du moindre de ses gestes.
Je sais que mon allure, mon physique, mon attitude sans doute, met une distance entre les autres et moi. Je m’en rends bien compte et je m’en sers, bien sûr, pour me protéger d’attentions qui me dérangent.
Alain a percé la carapace assez vite, ou, je ne sais pas, peut-être qu’avec lui, j’ai baissé la garde. Même si parfois, le naturel revient, il n’est pas dupe, je le sais, et c’est lui qui décide ou non de rentrer dans le jeu, je le sais à son œil qui frise, et ça me plaît. C’est un jeu entre nous, un jeu dont il est le maître absolu, même s’il se plie en apparence à mes seuls désirs.
Véronique ne se rend pas compte à quel point elle m’affole, et je ne veux pas le lui laisser deviner.
Je l’ai caressée, dans la voiture, incapable d’attendre plus longtemps, et elle m’a offert son plaisir, aussi violent qu’elle est tendre, aussi fort qu’elle est douce et fondante.
Je n’ai pas tant d’éléments de comparaison que ça, et ça paraît sans doute bête, mais elle a un si joli petit minou ! Un mont de Vénus très marqué, une fente qui remonte haut sur le ventre, de grandes lèvres qui gonflent délicieusement quand le désir lui vient, et des petites lèvres toutes fines et toutes roses … c’est mon bonbon sucré.
Elle a joui très fort et très vite et m’a serré contre elle, et elle a pleuré dans mon cou. Elle me ressemble. Elle pleure de bonheur. Et pour la première fois, elle a dit « je t’aime » d’un souffle chaud dans mon cou … et j’ai fait semblant de ne pas avoir entendu … retenant mes larmes … le ventre serré.

Nous avons trouvé la maison sans souci. Le propriétaire nous attendait, l’air mécontent, mais il s’est très vite adouci quand Véronique a glissé son bras sous le sien en se dirigeant vers l’entrée. Il nous a guidé, nous a expliqué les travaux réalisés, et nous a laissé au bout de peu de temps, pressé de retourner à son travail.
Nous avons ouvert les volets pour prendre des photos d’une très belle cheminée dans le salon qui donne sur une grande terrasse carrelée, avec un terrain arboré en enfilade. Ce qui n’était qu’un prétexte a finalement trouvé une vraie justification. Je prenais les photos pendant que Véro choisissait les angles de prise de vue.
Au bout d’un moment, j’ai pris des photos de Véro : la main en visière pour voir le terrain, penchée vers la cheminée, doigt levé pour montrer les marques de tableaux absents sur un mur, surprise quand elle s’est aperçue que c’était elle que je mitraillais, rougissante l’instant suivant.
Elle s’est précipitée vers moi main tendue pour masquer l’objectif. J’ai caché l’appareil dans mon dos et elle s’est pressée contre moi, prétextant me le prendre des mains. Je sentais ses seins s’écraser contre moi, et je l’ai serrée plus fort encore contre moi de l’autre bras.
J’ai reculé jusqu’à la cheminée pour y poser l’appareil photo, je l’ai prise par la main, et nous sommes sorties sur la terrasse inondée de soleil où restait un banc de bois, abandonné là par les anciens occupants. Je me suis assise et l’ai attirée près de moi. Elle a enfoui sa tête dans l’échancrure de mon chemisier et je passais mes doigts dans ses cheveux épais. Nous nous sommes embrassées, longtemps, du bout des lèvres et à pleine bouche, à petits coups de langues gourmandes et en petites morsures. Elle caressait mes seins, chemisier ouvert, doigts glissés sous mon soutien-gorge pour rouler mon téton entre ses doigts, je caressais ses jambes ouvertes, cette peau si douce de l’intérieur des cuisses et leur petit duvet blond.
Nous sommes reparties main dans la main, heureuses de cette si belle matinée.

Il était presque 1 heure quand nous sommes rentrées. Je me suis garée devant l’agence et nous sommes allées déjeuner à l’Oasis, le bar qui fait le coin de notre rue et où je déjeune tous les midis. Je suis directement allée jusqu’à la terrasse d’été, au fond de la salle : privilège des habitués ! Jacques, le patron, garde toujours une place pour nous, quelle que soit l’heure. Véro et moi avons pris place dans les deux fauteuils bas en rotin restant libres autour de la grande table basse en verre, sous la tonnelle, rejoignant Christophe, le libraire, et Jonathan, qui travaille dans la superette mitoyenne de l’agence.
Christophe a à peine abaissé son journal pour nous saluer, et Jonathan a bredouillé un « B’jour » en plongeant le nez sur son sandwich :
– Eh bien ! Quel accueil, messieurs !
– Tant de beauté et de fraîcheur nous privent de nos moyens, tu le sais bien !
– Et ton article est trop passionnant pour l’abandonner et nous saluer dignement ?
– Vos … mérites … devraient nous faire nous prosterner à vos pieds, mais tu sais à quel point je cultive la discrétion et répugne de me donner en spectacle dans des lieux publics ! … Tu vas bien ? Et vous, charmante enfant ?
– J’aimerais assez qu’un jour tu te prosternes à nos pieds ! Mais tu aurais peut-être des difficultés à te relever … l’attention en deviendrait décevante !
– Si peu de respect me chafouine ! … Je délègue mes courbettes à mon compagnon qui y prendra le plus grand plaisir ! Il se morfondait de votre absence !
Jonathan est resté muet, à son habitude.
Nous avons commandé nos sandwichs, et Christophe nous a fait lecture et commentaires de son journal. Ni véronique ni Jonathan n’ont participé à nos échanges.

L’après-midi est calme. Un seul client a poussé notre porte vers 15 heures, peu avant le départ de Véronique. Bertrand était déjà parti et notre secrétaire terminait un enregistrement en massacrant son clavier à grands coups d’index rageurs et sonores.
– Au-revoir, ma belle, à très bientôt !
– A lundi, oui …
Elle hésite, les deux mains serrées sur la poignée de sa mallette. Je me penche vers elle et pose un baiser rapide droit sur sa bouche. Son visage s’éclaire d’un sourire lumineux.
– Je ne suis pas encore sûre, mais on fait peut-être un barbecue, un de ces soirs. Tu aimerais venir ?
Elle reste interdite quelques secondes, et :
– Chez toi ? Avec ton ami ?
– Ben, oui, avec mon ami … et d’autres amis aussi, on serait six ou sept, pas plus.
Je pose la main sur son bras :
– Tu viendrais ? … allez, s’il te plaît, dis oui … je t’appelle pour confirmer de toute façon … dis oui …
– Tu m’appelles, alors. On verra …
– Je t’appelle ! D’accord !
Elle est partie très vite.
Qu’est-ce qui m’a pris ? L’inviter à la maison ! Et ce barbecue, quelle invention ! me voilà bien ! Et j’invite qui, d’abord ?
La fatigue sans doute …
Je n’ai plus trop de raison de rester au bureau. Alain sera content de me voir rentrer plus tôt que prévu.

Pendant tout le retour, je n’ai pas fait très attention à la route. Je roulais doucement glaces ouvertes et les images de la journée tournaient dans ma tête : les baisers de Véro, son sexe chaud au creux de ma main, et cette invention de barbecue ! Comment m’en sortir ? Si j’annule … je la déçois … ou non … et puis c’est qui, ces six ou sept personnes ? Bon, Alain est en vacances, ça ne le dérangera pas, mais il en pensera quoi ? J’invite qui, bon sang ? Christophe ? … et … et je ne sais pas !
Quand j’arrive dans ma rue, je vois notre voisine en train de poser un gros sac en plastique au bord de la rue. Je me gare, et après une courte hésitation, je m’approche d’elle :
– Bonjour …
Elle lève la tête, et lève les sourcils, étonnée. Je me rapproche et lui tend la main :
– Je … suis désolée pour ce matin … j’ai peur d’avoir été impolie … c’était idiot de ma part !
Elle rit en me serrant la main :
– Mai non, je vous en prie, c’est rien …
– Eh bien, merci de ne pas m’en vouloir, mais … je n’aurais pas dû …
Elle rit franchement :
– Bon, on ne se connaissait pas, eh bien, c’est fait ! Mais entre nous … j’aurais préférée … me montrer sous un autre jour !
Elle éclate de rire et moi aussi :
– Vous savez, ne croyez pas que j’ai l’habitude de montrer mes fesses tous les matins !
– Oh, ça mettrait de l’animation dans le quartier !
– Bon, alors puisque j’ai déjà donné, je vous laisse le prochain tour !
– Mmm … j’y penserai …
– … j’ai fini de travailler, je peux vous offrir un thé glacé ?
– Pourquoi pas !
Je la suis le long de l’allée bordée de rosiers qui monte vers l’entrée de la maison.
Elle se retourne :
– Au fait, je m’appelle Annie…
– … Martina …
Sa maison est fraîche, volets à demi fermés pour protéger du soleil encore haut. Je la suis dans la cuisine où elle prend un pichet dans la réfrigérateur, et un assiette avec deux parts de tarte aux pommes :
– Vous voulez bien prendre deux verres dans le placard … oui … celui-là … vous me suivez ?
Elle traverse le salon, ouvre du pied la baie vitrée et me guide vers la terrasse.
Il y fait moins frais que dans la maison, mais l’ombre du rideau déroulant protège du soleil deux fauteuils « bain de soleil » séparés d’une petite table en teck.
– Asseyez-vous ! … euh … attention ! Prenez l’autre, celui-là va vous tâcher !
– C’n’est pas grave !
Je relève ma jupe suffisamment pour m’asseoir les fesses directement sur le fauteuil. Je frotte le plastique du bout du doigt, qui se couvre de poussière blanche :
– Effectivement, il a mal supporté le soleil ! J’ai peur que les nôtres soient dans le même état !
Annie me regarde, sourcil levé, petit sourire aux lèvres :
– … Oui ?
– Non, rien …
– Qu’est-ce que j’ai ?
– Non rien … enfin … je me disais seulement que pour deux femmes qui ne se connaissaient pas hier, on partage déjà des détails très intimes !
– Oh ! Ne m’en voulez pas pour ce matin …
Elle rit et baisse les yeux sur mes jambes :
– Je pensais plus à ça … enfin, aussi … mais je vois que vous avez de jolies jambes et que vous portez des dessous blancs ! … à ce point d’intimité, je crois qu’on pourrait se tutoyer …
Je baisse les yeux sur mes jambes et constate qu’en effet je les ai découvertes … très haut … et une nouvelle fois, nous éclatons de rire en même temps.
– … d’accord pour le tutoiement …
Nous avons bavardé en dégustant tarte et thé glacé : de son mari qui part toutes les semaines, de fleurs, du temps, du calme du village, de mon travail à l’agence.
– Je vais te laisser. Alain est en vacances et je lui ai préparé toute une liste de travaux. Je vais le féliciter d’avoir tondu, ça l’encouragera pour la suite !
– Oh ! Je suis déçue …
– Pardon ?
– Le beau jeune homme qui a tondu la pelouse est ton mari ?
– … ouuui … enfin on n’est pas marié, mais oui …
– Quel dommage ! J’espérais que ce soit un ouvrier et je me proposais de l’embaucher ! Tant pis …
Je prends l’air offusqué et me lève en me tortillant pour remettre ma jupe en place :
– Je ne veux pas en entendre plus …
Elle se lève en riant, me tend la main pour me guider vers les marches qui descendent de la terrasse vers le jardin :
– Pas la peine de faire le tour, tu vas voir …
Toujours me tenant la main, Annie contourne la maison et m’entraîne vers le mur bas qui sépare nos deux jardins :
– Regarde, tu peux enjamber, c’est plus court.
Effectivement, j’enjambe très facilement le muret, dans un espace entre les groseilliers qui bordent notre jardin.
Toujours tenant sa main, je me retourne vers elle :
– Tu fais quelque chose mercredi soir ? … deux trois amis viennent pour un barbecue … ça te dit ?
– …
– … comme ça tu feras la connaissance du « beau jeune homme » que tu voulais embaucher …
– … bon, peut-être …
– Je t’en reparle demain, d’accord ? … allez, bonne soirée … à demain !
– Au revoir.
Et voilà ! Une invitée de plus ! Ce barbecue est finalement une excellente idée ! Reste à l’annoncer à Alain !
Comme je rentre plus tôt que prévu, il devrait être de bonne humeur …
Je rentre dans la maison par la porte de la terrasse, enlève mes chaussures d’un coup de talons, jette ma veste sur le canapé. J’entends couler l’eau de la douche.
Je vais lui faire la surprise ….

— Stan Riff

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