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Histoire de Sexe

Parcours croisés Chapitre 27 & 28

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27
Parcours croisés – Jeudi
Chapitre 27
Jonathan – Nelly

(Jonathan)
Hier soir, quand il m’a ramené chez moi, Christophe m’a engueulé : parce que j’ai beaucoup bu, parce que j’ai été avec Véronique toute le soirée, et que c’est pas bien d’être comme ça chez des amis … j’ai rien dit, ça sert à rien, et puis j’avais pas bu tant que ça ; j’ai fait semblant de dormir, sinon pour le coup, il m’aurait encore plus engueulé … et puis c’est les autres filles qui nous ont trouvés dans l’herbe avec Véro et je crois qu’elles ont rien dit à Alain et à Christophe … ça aurait été mal … quand elles sont arrivées j’ai eu peur … alors j’ai joué l’ivrogne … et quand une, je sais pas qui, m’a rhabillé en mettant ma queue dans le slip, j’ai failli me mettre à bander encore. Véro, elle, elle ne faisait pas semblant ; elle était bien bourrée. Déjà pendant tout le repas je mettais ma main sur sa cuisse et elle disait rien … la première fois, c’était sans faire exprès : j’avais fait tomber la fourchette sur ses genoux et ça l’a fait rire, alors j’ai continué et elle a rien dit … alors Christophe il devrait aussi l’engueuler à elle, parce que c’est aussi un peu sa faute.
Après j’ai mis la main sous sa robe et elle voulait bien, même qu’elle a remis la robe par-dessus ma main pour que les autres voient rien. Je ne croyais pas qu’une fille comme Véro elle me laisserait lui toucher la chatte devant tout le monde … bon je me cachais, mais quand même … ils auraient pu voir ! Dans le canapé, après, quand ils continuaient à se raconter des histoires dehors, j’ai aussi mis ma main à l’intérieur de la culotte, mais là elle dormait un peu ! J’ai senti qu’elle n’avait presque pas de poils, sauf un peu en haut … moi ça me faisait bander, mais j’ai attendu qu’ils rentrent dans le salon, ils s’occupaient plus de nous, ils étaient occupés à danser. Là, Véro, il fallait que je la porte, elle savait même plus marcher toute seule … et quand j’ai mis ma queue dans sa bouche, elle ne bougeait presque pas ; elle n’a pas bien sucé : je crois qu’elle dormait, mais c’était bien quand même. Après j’ai giclé mais j’ai vite essuyé sa bouche avec ma chemise quand j’ai entendu que les filles me cherchaient, et j’ai fait semblant de dormir … Je ne sais pas si Véro va se rappeler …

Il était bientôt midi, mais je n’avais pas trop envie de me lever ; j’ai mangé des Choco Pops directement dans la boîte avec du jus d’orange et je suis descendu prendre ma douche. J’étais à peine rentré de la douche et je m’habillais quand Nelly a frappé à la porte. Elle a pas voulu me faire la bise et elle a un peu fermé les volets pendant que je m’habillais. Le pantalon était tâché de noir sur le côté et derrière, mais je l’ai mis quand même, les autres étaient dans le panier du linge sale pour la laverie :
– Ma tante m’a appelée ce matin. Elle veut qu’on aille chez elle. Elle m’a dit de venir te chercher.
– Encore aujourd’hui ?
– Oui ! Aujourd’hui … dépêche-toi ! Et tu devrais te changer, elle ne veut pas que tu mettes un caleçon ; elle te l’a déjà dit !
– Oh lala ! Qu’est-ce que ça peut faire …
– Tu ferais mieux d’obéir !
– T’obéis toujours, toi ?
– Bien sûr que oui ! Je fais ce qu’elle ordonne ! Et tu ferais bien d’en faire autant !
– Bon ça va … tourne-toi alors …
– Non, je regarde ! Vas-y, dépêche-toi ! Elle m’a dit de surveiller !
Je me suis rhabillé avec la culotte que j’avais prise au magasin lundi.

Pendant qu’on traversait le parc, Nelly marchait devant moi. Elle avait la même jupe plissée que la dernière fois et elle n’avait pas mis de soutien-gorge : j’avais vu ses tétons à travers le t-shirt. J’avais voulu toucher son bras avant de sortir de la chambre, mais elle m’avait donné une gifle. Je l’ai rattrapée :
– Ça fait longtemps que tu vas chez elle ?
– …
– Allez … ça fait longtemps ?
– C’est ma tante … depuis toujours …
– Oui, mais … tu sais … des trucs de sexe, quoi !
– Quatre ans …
– Waouh … c’est beaucoup … t’avais quel âge ?
– 17 …
– Moi j’en ai vingt !
– Je sais ! Tais-toi !
On a fini le chemin sans parler. Quand on est arrivé, Nelly a sorti une clé de son petit sac et elle a ouvert la porte. Je l’ai suivie dans le salon ; il n’y avait personne ; Nelly a tiré les volets pour cacher le soleil et m’a dit de la suivre. Elle est allée dans la salle de bains et m’a dit d’enlever mes habits, sauf la culotte et puis elle s’est déshabillée aussi : elle s’est mise toute nue. Elle m’a dit qu’il fallait que je la lave ; elle a mis un peu de lait sur le gant de toilette et elle s’est assise au bord de la baignoire en écartant les jambes et puis avec ses mains, elle aussi écarté son sexe :
– Lave-moi ! Elle vérifiera !
Elle ne me regardait pas et elle était toute rouge. Je l’ai lavée et j’ai reposé le gant.
Après, c’est elle qui m’a lavé aussi. Elle a baissé ma culotte sur mes genoux et m’a frotté aussi avec le gant. Après, elle a pris une crème dans un pot en verre et elle en a mis sur le gland et juste en-dessous et puis partout sur les couilles et mon trou du cul. Elle a remis la peau sur le gland en tenant le bout serré et j’ai senti que ça commençait à chauffer fort. J’ai voulu me reculer mais elle tenait serré la peau au-dessous du gland et elle m’a retenu.
– Ne bouge pas ! Tu vas t’habituer !
Je sentais que j’avais des larmes dans les yeux tellement ça brûlait. Elle a remonté ma culotte et s’est encore assise sur la baignoire :
– Tu dois m’en mettre aussi ! Fais attention, t’en prends juste un peu au bout du doigt !
Elle a écarté son sexe comme quand je la lavais, en tirant sur les lèvres avec ses deux mains. J’ai étalé à l’intérieur du sexe et puis sur son cul aussi.
– Sur mes seins aussi, les tétons et le dessous !
Après avoir étalé, ça me brûlait encore plus parce que je bandais un peu ; j’ai rangé le pot et je me suis lavé les mains. Elle était penchée en avant et elle pleurait aussi.
On est allé dans le salon, sur le canapé, et on a attendu. J’avais l’impression que mes couilles avaient doublées de volume et le cul brûlait. Nelly ne bougeait pas ; elle avait fermé les yeux et je voyais que ses seins étaient très rouges avec les tétons tout dressés et presque violets.
Au bout d’une demi-heure, j’ai entendu une porte s’ouvrir au fond du couloir et sa tante est arrivée. Elle avait une guêpière qui finissait en pointe sur le ventre en-dessous du nombril et qui lui serrait la poitrine, des bas et des talons hauts, mais elle n’avait pas de culotte ; c’était la première fois que je la voyais sans culotte et elle avait les poils gris. Elle avait des gants noirs et une espèce de badine dans une main qu’elle faisait claquer sur l’autre main …

paragraphe 4 rose

(Nelly)
– Nelly ?
– Oui, ma tante ?
– Tu as obéi ?
– Nous sommes lavés, nous avons mis la crème …
– Bien !
J’ai fait bien attention à respecter toutes les consignes qu’elle m’avait données ce matin. Je craignais un peu que Jonathan ne fasse des difficultés, qu’il ne veuille pas m’obéir … mais tout c’est bien passé : ma tante avait raison … il est toujours prêt à obéir. Je le trouve plutôt gentil, mais elle m’a dit de ne pas le montrer ; il n’est pas très futé … un peu simple, même, mais gentil. Elle m’a dit que si tout se passait bien, il pourrait assez vite devenir comme moi.
Moi, ça fait quatre ans … quatre ans qu’elle m’éduque. Je sais qu’elle est fière de moi. C’est elle qui a voulu que j’ai un petit ami « officiel » ; c’est elle qui a choisi le fils de Christophe ; j’ai le droit de le caresser mais lui ne doit pas me toucher ou me déshabiller ; il verrait les traces de cravaches sur mes seins ou mes fesses … elle fait exprès de me marquer pour que je me cache … et puis il croit que je suis encore pucelle, s’il savait ! Je ne l’aime pas … j’obéis à ma tante et je continue à le voir, mais il m’agace … je préfère encore Jonathan …
Elle a voulu vérifier … elle m’a dit d’ouvrir les cuisses pour vérifier si Jonathan m’avait mis du baume à l’intérieur de la vulve, entre les petites et les grandes lèvres, sur toute la hauteur de la fente. Elle a vu mes lèvres toutes gonflées et elle a fait un signe de satisfaction. Jonathan en a trop mis … ça brûle vraiment beaucoup, mais je suis contente …
Elle s’est retournée vers Jonathan et lui a fait enlever cette culotte de femme avec les petites dentelles ; il est un peu ridicule avec ça … Moi aussi j’ai dû lui mettre trop de baume : la peau des testicules et le gland sont tellement rouges qu’ils en sont presque violets, ça doit le brûler autant qu’à moi, mais il ne dit rien … son sexe est un peu redressé … Elle m’a dit qu’elle était très contente d’avoir trouvé un jeune homme comme lui, parce qu’il obéit naturellement, et aussi parce qu’il « était une nature », toujours prêt à bander, même si elle aurait préféré qu’il ait un plus gros sexe.
Elle m’a tendu les cordes qu’on avait préparées et j’ai attaché Jonathan comme elle me l’avait expliqué. Je l’ai fait coucher sur la table du salon avec un gros coussin replié sous les reins qui lui soulevait les fesses, les pieds sur la table et les chevilles attachées par les descentes de cordes aux pieds de la table, maintenant ces jambes très écartées. Ensuite j’ai attaché ses poignets et relié les cordes aux deux autres pieds de la table. Elle a vérifié que les cordes étaient bien tendues et m’a fait signe de continuer. Je me souviens que la toute première fois où elle m’avait attachée, j’avais très peur, elle ne m’avait pas expliqué pourquoi elle m’attachait … et Jonathan, lui, n’a pas l’air d’avoir peur, c’est étonnant … Ce jour-là, après m’avoir attachée exactement dans la même position, j’avais quatorze ans, elle m’a dit « on va se débarrasser d’un détail » ; elle a mis un doigts de chaque main à l’entrée de mon vagin, les a poussés à l’intérieur, et en les écartant tout d’un coup, elle a déchiré mon hymen, avec ses doigts, et m’a dit : « voilà jeune dame, tu n’es plus une innocente pucelle » ; j’ai pleuré, pas vraiment de douleur, je ne sais plus pourquoi mais je pleurais … Je lui ai enfoncé sa culotte dans la bouche ; j’ai pris la dernière corde, repliée en deux ; j’ai passé les extrémités dans la boucle, pour faire comme un lasso que j’ai enfilé sur mon poignet. J’ai refermé le pouce et l’index en anneau au-dessus des testicules et fait glisser l’anneau de corde avec l’autre main et j’ai tiré sur la corde pour refermer la boucle ; j’ai levé la tête et elle fronçait les sourcils ; j’ai fait glisser la peau du scrotum sous la corde, en tirant vers le bas, pour laisser plus d’espace aux testicules, et j’ai resserré la boucle plus fort ; cette fois elle fait signe « oui » avec la tête. Je voyais les narines de Jonathan palpiter très vite, et son sexe tout droit, bandé au maximum. En tirant les testicules vers le bas, j’ai enroulé les deux brins de cordes : deux tours au-dessus de la boucle, bien serrés, qui ont tendus encore plus la peau sur sa verge, et deux tours sous la boucle, qui ont tendus la peau du scrotum sur les boules, le dernier tour moins tendu sous les testicules pour y passer les brins de cordes dessous, et j’ai tiré un coup sec pour que les cordes se bloquent. Les tours de cordes formaient comme un tube de deux ou trois centimètres éloignant ses testicules de son corps. J’ai attaché les brins de cordes aux pieds de la table.
Elle m’a repoussé de sa cravache et s’est placée entre les jambes de Jonathan.

(Jonathan)
Elle me regardait et elle a mis sa main sous mes couilles et puis elle a tapé dessus avec sa badine. Je me suis tordu sur la table tellement j’avais mal et je criais dans la culotte, mais les cordes étaient trop bien attachées, et je ne pouvais pas bouger. Elle a relevé encore la badine et a cinglé ma cuisse ; elle a soulevé mes couilles dans sa main et a donné la badine à Nelly :
– A toi, Nelly !
Nelly m’a regardé et j’ai eu peur, parce qu’elle pleurait et qu’elle souriait en même temps ; et elle a tapé, moins fort que sa tante, mais je me suis encore tordu sur la table tellement ça faisait mal.
– Branle-le ! et prends ça !
Nelly a pris la bouteille que sa tante lui tendait. Elle en a renversé dans sa main et puis elle a fait couler du liquide sur ma queue et mes couilles ; c’était froid. Et puis elle m’a branlé en allant vite et en serrant les doigts et le liquide faisait glisser. Avec l’autre main elle tenait mes couilles en les pressant un peu et en tirant vers le bas, mais sans me faire mal. Elle m’a branlé jusqu’à ce que je gicle et elle a desserré un peu la corde autour de mes couilles, mais en me laissant attaché sur la table.
En face de moi pour que je voie ce qu’elle faisait, sa tante a passé des cordes en croix entre les seins de Nelly et en nouant d’autres cordes, elle a attaché les seins ; ça faisait deux grosses boules un peu violettes qui dépassaient tout droit et les tétons étaient encore plus gros et plus longs qu’avant. Nelly se mordait les lèvres. Elle l’a aussi frappé avec la badine, sur les seins et sur les fesses ; Nelly serrait les dents et gémissait mais elle ne bougeait pas et elle gardait les bras repliés dans le dos. Elle est plus courageuse que moi, Nelly ; quand elle m’a tapé, si je n’avais pas été attaché je me serais enfui … mais elle, elle ne bouge pas et elle ne crie pas non plus …
– Va chercher les plugs dans la chambre ! Et ramènes le coffret bleu aussi !
Nelly est partie dans le couloir et sa tante s’est approchée de moi, elle a enlevé la culotte de ma bouche et elle s’en est servi pour m’essuyer le ventre :
– Tu as vu ! Nelly ne bouge pas ! Elle est plus forte que toi ! … je vais te détacher et tu feras exactement ce que je te dis ! C’est compris ?
– Oui madame, j’ai compris … je peux être fort moi aussi …
– On verra ça !
Elle a détaché mes mains et mes pieds et elle m’a tendu la main pour me relever. Elle a cinglé fort sa badine sur mes fesses, deux fois, et je n’ai pas bougé, mais j’avais des larmes dans les yeux. Elle a mis le bout de la badine sur mes couilles et elle les faisait bouger :
– Tu vas faire ce que je te dis ! et regarde-moi ! … alors ?
– … oui madame …
– Plus fort !
– Oui madame !
Nelly a posé un petit coffre sur la table. Sur le couvercle il y avait un cône en plastique noir : c’était comme quatre boules de plus en plus grosses en descendant :
– Fixe-le sur un coin de table ! Donne-moi le pot de lubrifiant … sur le buffet !
Elle m’a fait pencher sur la table, les deux mains appuyées et elle m’a fait écarter les cuisses avec la badine :
– Ce que tu as sous les yeux s’appelle un plug ! Le premier étage mesure trois centimètres de diamètre, et ensuite quatre, cinq et six centimètres ! Regarde-le bien ! tu vas t’asseoir dessus quand je te le dirais ! … Nelly, prépare-le !
Nelly s’est mise derrière moi et elle m’a mis une crème froide dans la raie des fesses et puis dedans aussi en rentrant un doigt, et elle m’a fait redresser.
– Prépare le plug aussi !
Elle a encore trempé le bout des doigts dans le pot et elle en a mis partout sur le truc. Elle partait pour poser le pot, mais sa tante l’a retenue par le bras :
– Montre-lui !
Nelly a posé le pot en poussant un soupir. Elle a respiré fort deux ou trois fois et puis elle s’est mise au-dessus du truc fixé avec une ventouse sur le coin de table et elle s‘est accroupie au-dessus en pliant les genoux et puis elle est descendue un peu par petits coups :
– Ça suffit ! … Jonathan …

(Nelly)
Il n’avait pas l’air très fier. Je l’ai guidé :
– Tourne-toi … dos à la table, baisse-toi un peu … appuie tes mains derrière … recule les pieds, un peu … voilà, descends doucement …
J’ai mis les deux mains entre ses jambes, les paumes à plat sur ses fesses pour bien les écarter pendant qu’il se baissait …
– Arrête-toi comme ça ! Nelly enlève cette corde !
J’ai dénoué la corde autour de ses testicules pendant qu’elle sortait deux gros anneaux du coffret. Avec une petite clé, elle a défait une vis sur chacun et ils se sont ouverts en deux. Elle a placé un demi-anneau sous les testicules de Jonathan, l’autre au-dessus, a revissé ; elle a recommencé avec le second en le mettant au dessus du premier. Quand elle a lâché ses testicules qu’elle soulevait de sa main, elles sont descendues plus bas que d’habitude, la peau étirée vers le poids des deux anneaux en acier. Les jambes de Jonathan à demi-pliées et ses bras rejetés en arrière tremblaient un peu sous l’effort qu’il faisait pour se maintenir au-dessus du plug.
– Soupèse Nelly !
Je me suis agenouillée entre ses jambes et j’ai soulevé ses bourses dans la paume de ma main : les anneaux étaient lourds et j’ai senti la chaleur des testicules sur ma main :
– Elles sont très chaudes !
– C’est l’afflux de sang qui fait ça !
J’ai relâché les testicules qui se sont mises à pendre devant l’angle de la table. Jonathan s’était remis à bander, son sexe horizontal à hauteur de mes yeux.
– Jonathan ! Il faut recommencer ! … Aide-le Nelly !
J’ai remis mes mains sous ses fesses en étirant la peau vers ses hanches, par saccades, mais il restait arcbouté sur ses bras et la pointe de ses pieds. Un coup de cravache sur son gland, une saccade de mes mains, et il est descendu d’un cran, absorbant le second diamètre dans l’anus. Il n’a pas crié mais de grosses gouttes de transpiration coulaient de son front et des larmes noyaient ses yeux.
J’ai massé d’un doigt les chairs étirées autour du plug et j’ai rajouté du lubrifiant sur la boule suivante : je savais qu’elle n’accepterait pas de s’arrêter là … Elle a tendu vers la bouche de Jonathan le bâton de bois que je connaissais bien pour l’avoir très souvent mordu. Il avait toute la détresse du monde dans les yeux quand il a fermé les dents dessus.
– Nelly … tu sais comment faire !
J’ai regardé Jonathan dans les yeux, durcissant mon regard. Je me suis redressée sur les genoux et me suis approchée à toucher l’angle de la table. Son gland butait sur mes seins gonflés par les cordes et je sentais le froid des anneaux sur mon nombril :
– Il faut que tu m’obéisses, maintenant … passe tes deux mains autour de mon cou … tout de suite …
Un bras après l’autre il s’est accroché à moi en passant ses mains derrière mon cou. Je sentais ses cuisses trembler de plus en plus. J’ai passé mes avant-bras sous ses cuisses, au creux des genoux, repassant mes mains au dessus de ses jambes :
– Mords !
Et en même temps que je lui disais de mordre, j’ai soulevé ses genoux d’un coup, lui faisant perdre l’appui de ses pieds au sol. Il est descendu d’un coup en arquant le dos avec un profond grognement au fond de la gorge. Il se tenait fermement derrière mon cou, bras contractés, yeux écarquillés de la pointe de douleur qui avait étiré ses sphincters d’un coup. Il cherchait le sol des pieds mais je tenais fermement ses genoux levés ; il s’est relâché contre moi détendant ses jambes ; j’ai glissé mes bras plus loin sous les genoux, les relevant presque à hauteur de mes épaules et je me suis plaquée à lui, passant mes bras dans son dos et en le serrant fort contre moi. Je le tenais serré contre moi et il me regardait, le regard suppliant. Je me souvenais d’avoir avant lui été dans la même situation, serrée dans les bras de ma tante au-dessus du même objet … et j’ai eu envie de lui faire mal, qu’il éprouve ce que j’avais éprouvé … je le portais, bras serrés sous ses cuisses et mains nouées dans son dos, ses tibias autour de mes seins gonflés et douloureux… j’attendais qu’il se détende qu’il s’habitue à l’étirement de son anus … je sentais les contractions de son sexe entre mes seins ; je l’ai soulevé un peu dans mes bras et j’ai vu le soulagement dans ses yeux … et je l’ai tiré vers le bas, me suspendant à lui de tout mon poids. Il s’est brusquement raidi dans mes bras serrés, hurlant dents fermés et j’ai reconnu le moment exact où il glissait sur le dernier cran au frisson qui l’a parcouru, au changement de son cri, et à la giclée chaude sur mes seins. J’ai relâché mes bras, le laissant reposer complètement assis sur le plug, les pieds au sol, et après un bref coup d’œil à ma tante, qui nous regardait d’un air satisfait, j’ai pris le sexe dans ma bouche et je l’ai sucé de mes lèvres et de ma langue, soulevant et laissant retomber les testicules sous le poids des anneaux. Après quelques soubresauts, il a commencé à débander. Sans attendre, je savais d’expérience qu’il ne fallait pas attendre, je l’ai fait se relever et s’arracher au plug. Il a crié à nouveau sur les deux premières boules avant de s’écrouler sur le tapis, couché en chien de fusil.
J’ai pris la serviette de toilette sur la table et épongé le mince filet de sang autour de son anus, essuyant aussi quelques traces d’excréments sur ses fesses et ses cuisses.
Je l’ai accompagné dans la salle de bains, et je l’ai lavé dans la baignoire avec la douchette. Il était parfois secoué de profonds frissons et semblait reconnaissant que je m’occupe de lui. Ma tante nous observait depuis la porte appuyée au lavabo :
– Je ne m’attendais pas à ce que tu l’entraînes sur le dernier! Tu as été vraiment dure avec lui ! C’est bien ! Je vous attends au salon …

(Jonathan)
Nelly m’a lavé et m’a mis de la pommade entre les fesses et sur les couilles ; elle faisait doucement. Ses seins entourés par des cordes étaient très rouges et on voyait les veines violettes sous la peau.
J’ai voulu toucher ses tétons mais elle s’est reculée et m’a donné une gifle ; je l’ai suivie dans le salon. Sa tante était assise au bord de la table du salon et elle était en train de se mettre de la crème sur la chatte. Nelly a mis une serviette sur le canapé avant que je m’assois et m’a dit de plus bouger. Elle s’est mise à genoux entre les jambes de sa tante et a versé de la crème sur toute sa main et elle l’a mise sur la chatte de sa tante qui me regardait :
– Approche !
Elle a pris ma queue dans sa main et elle me serait sans branler :
– Nelly …
Elle a rentré trois doigts dans la chatte et l’a branlée en tournant sa main dans tous les sens, et après elle amis tous les doigts ensembles et elle poussait fort en tournant un peu et puis toute sa main est rentrée dans la chatte jusqu’au poignet. Je croyais pas que c’était possible … et Nelly faisait comme si sa main était un gode et elle branlait sa tante, de plus en plus vite. J’ai su quand elle a joui parce qu’elle m’a serré encore plus fort qu’avant et puis elle m’a lâché et Nelly a retiré sa main. Sa tante l’a attiré et l’a embrassée sur la bouche avec la langue. J’aimerais bien qu’un jour elle m’embrasse aussi …
Nelly a démonté les anneaux de mes couilles et j’ai détaché les cordes qui attachaient ses seins. On voyait les traces de la corde tout autour et les traces de la badine sur ses fesses aussi ; je comprends pourquoi elle ne veut pas que son copain la déshabille.
Avant qu’on parte, sa tante nous a montré un plateau sur la table de la cuisine :
– Demain, c’est de toi que nous nous occuperons, Nelly … 14 heures !
Nelly est devenue très pâle et elle serrait les poings en respirant vite. J’ai regardé dans le plateau. C’était une pince bizarre et puis des aiguilles emballées dans des papiers comme chez le docteur et puis aussi une grosse boucle d’oreille fermée par une boule.
28
Parcours croisés – Jeudi
Chapitre 28
Véronique

Je me suis réveillée en pleine forme ; plus de mal de tête. J’ai renoué mon paréo qui s’était défait pendant ma sieste et après un bref passage par la salle de bains, je suis allée me servir un verre de jus de fruit. Sur la terrasse, Jérémy lisait, allongé sur un transat et a levé les yeux de son livre :
– Bonjour Véro. Tu vas mieux ?
– Ouais, ça m’a fait du bien de dormir … T’es tout seul ?
– Alain m’a abandonné il y a une heure, je crois qu’il est parti rejoindre Martina.
– … et Annie ! Il va être épuisé, ton copain !
– Oh ! Tu crois ?
– Je crois … T’en veux ?
Je lui ai tendu mon verre de jus de fruit. Il s’est redressé pour tendre la main. Au lieu de lui donner le verre, j’ai lâché le paréo dont je tenais les deux pans serrés dans ma main gauche, pris sa main, et me suis assise d’une fesse face à lui sur le transat, ma cuisse collée à la sienne, sa main toujours dans la mienne se reposant sur mes genoux découverts. Il a posé son livre et m’a tendu l’autre main :
– Je veux connaître tes pensées … donne !
Il a bu en me regardant, à fait claquer sa langue sur son palais et a hoché la tête :
– Je vois, je vois …
– Et tu vois quoi ?
– Tes cuisses ! Jolies d’ailleurs !
– J’avais peur que t’aies pas remarqué …
– Difficile … Annie tout à l’heure, toi maintenant … vous avez décidé de me mettre dans tous mes états ?
– Et lesquelles tu préfères ?
– Euh … Annie a mis la barre très haut … des orteils au nombril … tu es plus timide …
Je me suis retournée en le poussant et me suis assise à son côté, passant son bras sur mes épaules et me blottissant contre son épaule. Mon paréo s’était largement ouvert dans le mouvement :
– Et comme ça ?
– Et comme ça … j’ai tous les éléments pour comparer … dis-moi … c’est un pari entre vous ?
J’ai remis mon paréo en place, me couvrant les jambes, et je me suis encore blottie plus près, une main sur ses pectoraux :
– Mais non, pas de pari, excuse-moi, ce n’est pas sympa !
– C’est rien … de quoi je me plaindrais … tu es très jolie … et ça ne me laisse pas indifférent …
Il m’a embrassé dans les cheveux en caressant mon bras de sa main autour de mon épaule. Il avait enfilé un short de bain après sa douche et je voyais bien que je ne le laissais pas indifférent :
– C’est un week-end un peu spécial … on se lâche un peu … encore pardon … reprends ton livre, je vais finir ma sieste …
Il ne s’est pas remis à lire. Il caressait doucement mon bras en finissant mon verre de jus de fruit pendant que mes doigts jouaient sur ses pectoraux … je me suis endormie …

C’est la voix de Jérémy raisonnant dans sa poitrine contre mon oreille qui m’a réveillée. Annie et Alain étaient assis sur le second transat et discutaient doucement avec Jérémy, un verre à la main. Martina est arrivée du salon :
– Réveillée ? Tu bois quelque chose ?
– Il est quelle heure ?
– Sept heures et quart …
– Waouh … j’ai dormi longtemps …
Jérémy a retiré son bras de mon épaule :
– Une heure, je commençais à m’ankyloser !
– Fallait me réveiller !
– Non, t’avais l’air bien … et puis on m’a dit que t’avais eu une nuit compliquée …
– T’es gentil toi ! Vous buvez quoi ?
– Martini, whisky … tu veux peut-être un jus de fruit ?
– Ben non ! Martini, ça me va …
En dormant, j’avais passé une jambe sur les jambes de Jérémy et ma main était posée sur ses abdos. Physique impressionnant, le monsieur … je me sentais toute petite à côté de lui. Annie m’a fait un clin d’œil en souriant. Martina m’a tendu mon verre :
– Vous avez de la chance, la dernière fois qu’on s’est mis à deux sur un transat avec Alain, on l’a cassé et on s’est retrouvé par terre !
– Oui mais nous, on a été sage, c’est pas comme vous deux … enfin je crois … Eh ! t’as pas profité de mon sommeil, quand même, Jérémy?
– Pas trop …
J’ai fais semblant de vérifier :
– Hey ! Il m’a enlevé ma culotte !
– Pas vrai … t’en avais pas quand t’es arrivée … On dirait que vous avez toutes décidé d’exposer vos charmes … Martina, Annie, toi … c’est un traitement spécial que vous me destinez ?
Annie qui était debout à côté du transat s’est penchée et a déposé un bisou sur son front :
– Pardonne-moi pour tout à l’heure … c’était idiot … disons que ce week-end est très particulier …
J’ai continué à lui expliquer :
– Je viens de retrouver Alain que j’ai … très bien connu, il a dû t’expliquer (il a hoché la tête), nous avons fait la connaissance d’Annie … nous avons passé notre soirée à nous raconter nos petits secrets … et j’ai passé la fin de la soirée suffisamment saoule pour m’être laissée tripoter, sans me souvenir de rien … week-end très particulier, non ?
– Du peu que j’en sais, vous n’imaginez pas à quel point je regrette de ne pas avoir été là …
J’ai posé mon verre glacé sur son ventre, et passé ma main sur ses pectoraux, en remontant dans son cou :
– Après tout, on n’est que jeudi, il nous reste trois jours …
Alain s’est pris la tête entre les mains :
– … trois jours à ce rythme … aide-moi, Jérémy, je ne tiendrais pas le coup … tu les connais pas bien ! Des folles furieuses !
– C’est bien parce que c’est toi ! En attendant, un bain, ça vous dirait ?
J’ai repris mon verre :
– T’as une grande baignoire ?
Martina et Alain ont éclaté de rire. Alain s’est levé et a tapé dans ses mains :
– Allez, les filles, bonne idée ! Ça nous rafraîchira ! hop ! hop ! Debout ! On y va ! J’amène des grillades ou t’as ce qu’il faut ?
– T’inquiète pas, mon congélateur est plein ! Des ribs, à manger avec les doigts, ça vous dit ?
J’ai aidé Martina et Annie à ranger les bouteilles et les verres dans la lave-vaisselle, et je me suis brusquement inquiétée d’un léger détail :
– Martina, t’as un maillot pour moi ?
Elle m’a regardé en haussant les sourcils. Elle a un peu écarté du doigt un pan de mon paréo en penchant la tête :
– Tu as tout ce qu’il faut sur toi, chérie … après tout, les unes comme les autres, il ne nous reste pas grand-chose à cacher … et t’inquiète pas pour les voisins, c’est isolé !
Le front d’Annie était barré d’un pli d’anxiété :
– J’n’ai jamais fait ça, moi !
– Oh, les filles ! On se balade à moitié nue ou complètement nue depuis ce matin ! Vous n’exagérez pas un peu, vous croyez ? Et puis vous êtes très présentables ! N’oubliez pas que j’ai soigné la présentation de vos petits ventres ce matin ! J’ai pas travaillé pour rien quand même ! … allez, venez …
Elle nous a pris par la taille toutes les deux pour nous accompagner jusqu’à la voiture d’Alain qui nous attendait devant le portail.

Le portail était ouvert, la voiture de Jérémy déjà garée sous un passage couvert attenant au corps principal d’une ancienne ferme. De chaque côté, deux bâtiments complétaient un large U ouvert plein ouest sur les champs et un bosquet. Le centre était occupé d’une grande piscine entourée de pelouse. A droite, une terrasse empierrée avec parasols et transats donnait sur les portes fenêtres du corps d’habitation. Tous les murs, pierres meulières et poutres, avaient été rénovés, et c’est d’un œil très professionnel que j’observais tous les détails. Martina a reconnu mon regard et m’a pris par le bras :
– Tu t’imagines déjà en train de l’évaluer ? Quelle commission ça représenterait ?
– Mmm mm, … très jolie commission … je suppose qu’il ne vend pas ?
– Aucune chance … maison familiale … ça fait plusieurs années qu’il y travaille, et il a bon goût, il te fera visiter, tu verras …
– Je ne savais pas que les profs gagnaient si bien leur vie !
– Il en a hérité de ses parents, fils unique ; il a vendu les champs et les bâtiments qui allaient avec, sauf le champ en face et le petit bois, pour rester au calme. Tout le fric passe dans la restauration … et il bricole bien aussi …
– La maison d’Annie est déjà un petit bijou, mais là, c’est carrément la grande classe …
Jérémy nous a fait visiter : une énorme pièce à vivre au rez-de chaussée, aucun mur, les différentes parties simplement isolées par les poutres de soutènement, cuisine, salon, grande table à manger, bureau, trois chambres à l’étage desservies par une galerie ouvrant sur toute la longueur de la pièce du bas. Le corps de façade ouvert par l’appentis où les voitures étaient garées comprenait un grand garage et un atelier. Face au corps d’habitation, le bâtiment bas, sans étage était en cours de travaux.
Jérémy nous a fait visiter, nous tenant Annie et moi d’un bras autour de notre taille, expliquant ce qu’il avait fait lui-même, ce qu’il ferait bientôt. Alain et Martina qui connaissaient déjà, s’étaient installés au soleil de la fin de soirée sur les transats, nus tous les deux. Quand on les a rejoints, j’ai eu un moment d’hésitation et Annie ne savait pas trop quoi faire non plus. Jérémy nous voyant hésiter a commencé par enlever son bermuda, s’est approché d’Annie et a dénoué son paréo, le jetant sur un transat, a fait de même du mien, sans nous demander notre avis, et nous a pris par la main pour nous amener au bord de la piscine ; il a sauté dans l’eau en nous entraînant à sa suite. Il nous tenait toujours la main, et nous a embrassé l’une après l’autre, d’un petit baiser droit sur nos lèvres, nous regardant tour à tour en souriant :
– Vous vous rendez compte qu’à vous deux, vous représentez le rêve de tout homme normalement constitué ?
– Et pourquoi ça, monsieur ?
Nous étions debout dans l’eau, Jérémy adossé au bord de la piscine. Il nous tenait une main à chacune et Annie et moi nous tenions par la taille. Parce qu’on était dans l’eau, un peu cachées, et que la situation s’y prêtait … j’ai laissé descendre ma main des hanches d’Annie sur ses fesses, les caressant du bout des doigts. Je voulais la provoquer et la présence de Jérémy me donnait cette opportunité. Dans sa chambre aux trésors déjà, dans le lit de Martina ce matin, j’avais eu envie de m’approcher d’elle … Et puis Jérémy … cette situation m’excitait. D’une poussée dans mon dos, Annie m’a poussée contre Jérémy … un message ? Elle me repoussait gentiment ? Jérémy a dû penser que c’était moi qui me collais à lui et il a cherché mes lèvres, lâchant ma main pour me prendre par le cou. A l’instant où j’ai répondu à son baiser, ouvrant ma bouche sous la sienne, la main d’Annie est descendue à son tour sur mes fesses, sans ambigüité, un doigt parcourant la raie de mes fesses. J’ai rendu son baiser à Jérémy, remontant mes jambes autour de sa taille. Je me suis écartée de lui quand il a interrompu notre baiser. Annie s’est écartée aussi en nageant vers l’autre bord de la piscine. Jérémy s’est accoudé des deux bras au bord de la piscine, sourire aux lèvres, tournant la tête vers Martina qui l’a rejoint et s’est assise à côté de lui, jambes dans l’eau. Alain a plongé, nous éclaboussant tous, et revenant sous l’eau m’a soulevé dans ses bras en remontant :
– Tu vas mieux ? Plus de gueule de bois ?
– Non, plus une trace …
– Parfait …
Il m’a soulevée hors de l’eau, soulevée comme une plume et m’a projetée au milieu de la piscine. Et ça a dégénéré : tout le monde arrosait tout le monde, on essayait de se faire couler, les trois filles unies contre les deux brutes, jambes emmêlées, regards complices, éclats de rires ! On a joué comme des gamins … enfin de grands gamins … les mains traînaient un peu, s’attardaient, sur un sein, des fesses, à qui ? Je ne sais pas qui je touchais, qui me touchait, peu importe …
Les garçons ne se sont pas rhabillés pour préparer le barbecue et mettre les ribs à griller. Nous non plus, on a suivi leur exemple … il était huit heures passées, il faisait toujours chaud, mais c’était autre chose … je crois que tous apprécions cet état …
On a mangé avec les doigts, rongeant les ribs debout autour du barbecue. Quand la nuit est tombée, nous nous sommes installés dans le salon, seulement éclairé par le petit néon au fond de la pièce, au dessus du plan de travail de la cuisine. Martina s’est allongée sur un canapé, le visage sur les jambes d’Alain. Sur le canapé en vis-à-vis, Jérémy avait passé un bras sur mes épaules, et Annie était allongée elle aussi, visage sur la main qu’elle avait posé sur ma cuisse.
Jérémy nous a raconté ses projets pour le bâtiment qui faisait face, les travaux, le temps, ses recherches de décoration. Mes doigts jouaient dans les cheveux d’Annie et la main de Jérémy caressait mon épaule. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de la main d’Alain qui, machinalement, jouait avec les seins de Martina, tout en discutant de carrelage avec Jérémy. Il roulait entre ses doigts un téton de Martina, l’abandonnait, y revenait sans arrêt. Martina avait les yeux fermés, respirait régulièrement, bouche entrouverte. J’ai fait un signe pour attirer l’attention d’Alain :
– Elle dort ?
– Oui, chhht … elle n’est pas la seule …
Je me suis penchée sur Annie. Effectivement, elle aussi s’était endormie ; allongée sur le dos, la tête sur mes genoux, un genou replié à l’équerre contre le dossier du canapé, l’autre pendant dans le vide ; belle et impudique au possible … son étonnante toison noire envahissant haut son ventre, les deux mains jointes sous ses seins. Nous la regardions tous les trois, souriant de sa charmante impudeur. Alain a raconté à Jérémy dans quelle circonstance Martina d’abord, lui ensuite, avaient fait sa connaissance, et puis nous a raconté ce que Martina lui avait dit de ses problèmes avec son mari, d’une probable rapide rupture. En se penchant pour regarder Annie, Jérémy avait laissé glisser sa main, son index lissant le haut de mon sein. En essayant de ne pas bouger pour ne pas réveiller Annie, j’ai tourné le visage vers lui, cherchant ses yeux, et passant le dos de ma main sur sa cuisse chaude contre la mienne … Sa main s’est faite plus lourde …
– Jérem, je peux la coucher là-haut ?
– Oui, pas de problème, première chambre, tu connais …
Alain s’est dégagée de Martina et l’a prise dans ses bras pour la porter à l’étage. Quelques minutes plus tard il est redescendu et a pris Annie aussi dans ses bras, sans qu’elle ne se réveille totalement :
– Je vous laisse, bonne nuit …
Il nous a laissé seuls. Pendant de longues minutes, ni lui ni moi n’avons bougé.
– Tu veux aller dormir aussi ? Il reste une chambre …
– … d’accord …
Je n’avais pas envie de dormir … Il m’a pris par la main pour me relever. Il a monté l’escalier à côté de moi, et sur la galerie s’est arrêté devant la seconde porte :
– … la dernière porte … c’est ta chambre ?
– Oui.
Je me suis mise sur la pointe des pieds pour l’embrasser, et puis le prenant par la main, je suis partie vers sa chambre, le tirant derrière moi …
Nous n’avons pas échangé un seul mot. La porte fermée dans mon dos, il m’a soulevé très haut dans ses bras et j’ai refermé mes jambes sur ses reins ; je me cramponnais de deux mains derrière son cou pendant qu’on s’embrassait à pleine bouche. Il n’a même pas pris le temps de me porter jusqu’au lit. De ses deux mains sous mes fesses, il m’a laissée descendre lentement sur son sexe, sans à-coup, jusqu’à ce que je sois complètement empalée. J’ai retenu ma respiration tout le temps où il me pénétrait, et j’ai poussé un soupir quand mon pubis s’est écrasé contre le sien. J’ai laissé glisser mes jambes le long des siennes, cuisses contre cuisses, toujours pendue à son cou, ses mains plaquées à mes fesses. Il a marché jusqu’au lit où il s‘est agenouillé. Il s’est couché sur moi sans se désemboîter de mon sexe …
Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit … il semblait inépuisable et … j’avais terriblement envie de sexe …
Ce matin j’ai le ventre et les seins douloureux, un goût de sexe dans la bouche… en ouvrant les volets alors que Jérémy dormait à plat ventre en travers du lit, j’ai fait un signe de la main à Martina, une tasse à la main au bord de la piscine, enveloppée de son paréo. Annie faisait des longueurs, d’une longue brasse …
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  • Stan Riff

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