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Histoire de Sexe

Parcours croisés Chapitre 5 & 6

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5 : Jonathan
Parcours croisés – Lundi
Chapitre 5
Jonathan

J’ai dormi tard, et j’ai la tête embrumée. J’aime bien faire la grasse matinée le lundi. Le magasin est fermé, alors je prends mon temps. Le temps, ce n’est pas ce qui me manque, c’est plutôt que je ne sais pas comment l’occuper.
Mon assiette et mes couverts sont toujours sur la table, j’ai rien rangé hier soir ; j’étais pressé de retourner sur internet.
Il est 11 heures et il fait déjà chaud. Toutes les fenêtres sont ouvertes, mais il n’y a pas d’air. J’en ai marre de cet appartement. C’était pratique au début d’habiter au-dessus du magasin, mais j’aimerais bien que Martina me trouve autre chose. C’est vrai que je suis difficile :
… elle me fait visiter un appartement la semaine dernière : trop loin …
… un autre la semaine d’avant, trop petit …
… et je parie que le prochain sera trop cher … même si j’ai plus d’argent tous les mois depuis que je vais chez la prof de français.
Elle dit que je suis trop difficile pour «les petits moyens » de son agence. C’est compliqué. Bon, je sais qu’elle continue à chercher … et puis ça me plaît bien de partir en visite avec elle. On ne passe pas inaperçu, avec elle ! Enfin, inutile de me faire un film, ce n’est pas une fille pour moi, ça non! En plus elle a déjà quelqu’un ! Elle l’a d’ailleurs connu parce qu’il cherchait un appart, et finalement ils ont trouvé une maison et y vivent ensemble ! Ce n’est pas à moi que ça arriverait ! Ou alors qui sait ? Il faudrait que j’aille visiter avec sa copine, celle qui vient tous les lundis ! C’est un super canon ! Une petite blonde, bien ronde partout où il faut … mais elle ne fait pas attention à moi … et je n’ose pas lui parler … Ah sur internet, je suis intarissable ! Je tchate comme personne ! … mais quand Véronique est en face de moi, pas un mot … quel imbécile !
J’ai toujours été timide avec les filles. Quand j’étais au lycée, pourtant, j’ai eu une copine, mais ça n’a pas duré. Je sais même plus comment on s’était retrouvés ensemble, et puis elle m’a largué. Bon vent ! Elle critiquait tout, de toute façon ! Et puis franchement, elle serrait mes copains, enfin les siens, d’un peu trop près ! Bien fait de partir … ça pouvait plus durer ! Des fois on faisait des choses dans sa chambre, mais on n’a pas fait l’amour. J’aurais bien voulu, mais comme elle commençait toujours en me branlant, après c’était fini !
Avec Véronique … qu’est-ce que ça serait bien ! Je sais qu’elle est plus vieille que moi, et alors ? La prof aussi c’est une vieille, ça gêne pas, je m’en fous, moi, au contraire ! Et puis belle comme elle est, elle a déjà dû avoir des mecs, elle doit savoir faire des trucs pas possibles … et puis elle allume un peu, quand même !
Quand elle vient à l’Oasis avec Martina, je m’arrange pour être en face d’elle, surtout depuis que la terrasse d’été est ouverte ! Dans les fauteuils bas que Jacques a installé, elle a le cul plus bas que les genoux, et on voit ses cuisses. Et puis quand elle se penche vers la table, on voit ses seins.
La semaine dernière, à un moment, j’ai même cru qu’elle n’avait pas de culotte, je me suis mis à bander et y’a fallu que j’aille aux toilettes pour me calmer ! Et en fait si, après, j’ai vu sa culotte en gros plan ! Elle s’était tournée vers Martina pour lui dire quelque chose et elle avait les cuisses grandes ouvertes ! … et je suis retourné aux toilettes … Christophe m’a regardé de travers, mais je suis sûr qu’elle, elle a rien vu … elle ne fait pas attention à moi. Quand je suis revenu, Christophe et Martina parlaient ensembles, mais ils se sont arrêtés, et Christophe rigolait. Toujours à se foutre de moi, celui-là, mais ils parlaient peut-être pas de moi, parce que Martina m’a regardé en souriant gentiment.
Ce n’est pas souvent qu’il faut que j’aille comme ça me branler aux toilettes, mais là, j’en pouvais plus. Et l’autre qui continuait à faire des ciseaux avec ses jambes !
Enfin, c’est comme ça ! Je ne dois pas être le seul ! Tout le monde n’a pas une femme à la maison !
Une fois, je suis allé avec une prostituée. Quand je reviens de Paris, y’a des camionnettes partout au bord de la route. Plusieurs fois j’avais voulu m’arrêter, mais y’avait des voitures qui arrivaient et je n’ai pas osé. Un jour je l’ai fait quand même ! C’était une fille noire un peu grosse, mais bon, ça allait, alors je suis monté dans la camionnette par la porte du côté qu’elle tenait ouverte. Elle m’a demandé ce que je voulais, j’ai dit « une pipe » et puis je l’ai payée tout de suite. Elle m’a dit de baisser mon pantalon et mon slip ; j’étais déjà bien excité, elle a mis le préservatif juste à temps, sinon elle en aurait eu plein la main ! C’est dommage que c’est parti vite parce qu’elle avait commencé à me prendre dans sa main pour me branler. Mais elle a été gentille, elle m’a appelé son petit oiseau ! Je ne suis pas retourné avec une pute depuis. J’ai envie des fois, mais c’est mieux de me branler en pensant à Véronique ; elle le sait pas de toute façon, alors je lui fais pas de mal.

J’ai rangé mon assiette et mes couverts dans l’évier, je me suis habillé, et je suis parti chercher Christophe. Il m’aime bien et je l’aime bien aussi. Il me donne des livres de sa librairie, Mais je les lis pas tous, je préfère internet. Il habite tout seul juste en face de la librairie qui fait le coin, et il me dit qu’il est content de me voir, de passer quand je veux. Depuis que son fils est parti à la fac, je crois qu’il s’ennuie un peu, et puis il dit qu’il faut que quelqu’un fasse mon éducation et qu’il a le temps pour ça.
Son fils je le vois des fois avec sa copine, mais il m’aime pas trop. Il se moque de moi. Nelly, sa copine, est plus sympa que lui, je crois qu’elle m’aime bien, et puis elle est assez mignonne et elle rigole tout le temps. Elle n’est pas aussi bien que Véronique, mais des fois je pense à elle aussi. Elle est en fac avec Kévin mais elle ne veut pas habiter avec lui. Une fois, ils s’engueulaient en criant quand je suis arrivé ; Christophe n’était pas là. J’ai voulu repartir pour les laisser ensemble mais elle m’a dit de rester, que je ne la gênais pas, mais j’ai bien vu que Kévin n’était pas content. Après, je l’ai raconté à Christophe, et il m’a expliqué : lui, il veut faire l’amour, mais elle, elle ne veut pas : alors ils s’engueulent ! Au début, je n’avais pas compris, mais il m’a réexpliqué et puis j’ai compris. Il a de la patience avec moi, Christophe, il est sympa.

On est allé à l’Oasis vers midi. Christophe a pris un Pastis et le patron m’a amené un diabolo menthe, comme d’habitude. Comme il faisait beau, on s’est installés sur la terrasse, et on a attendu les filles. On s’était arrêtés à l’agence et la vieille bique nous a dit qu’elles étaient en visite mais qu’elles allaient revenir. Je me suis mis à côté de Christophe, pour que les filles prennent les fauteuils en face, et Christophe a lu son journal, et puis on a mangé en les attendant. On avait presque fini quand elles sont arrivées et Christophe et Martina ont plaisanté. C’était bien, parce que Véronique était en face de moi. Elle a arrangé le coussin au bord du fauteuil et je voyais bien ses jambes jusqu’à sa culotte pendant qu’elle mangeait, et ça m’a fait de l’effet. Après elle s’est reculée dans le fauteuil et je voyais moins bien parce que la carte du menu des glaces me gênait. Je l’ai prise pour faire semblant de la lire :
– Mon jeune ami, je crois qu’en effet une glace te conviendrait à merveille !
– Tu as chaud, Jonathan ?
… Martina est toujours gentille avec moi, elle aussi …
– Non, je regarde, c’est tout …
– Regarde, regarde ! Il n’y a pas de mal à regarder, mon ami, mais je crains que ça ne te rafraichisse pas !
J’ai reposé la carte et Martina a ri :
– Tu ne te lasses jamais, hein, Christophe, il faut toujours que tu le tortures !
– Mais non, voyons, je prends seulement soin de sa santé !
– Je ne suis pas sûre que ce soit très bon pour sa santé …
– Bien sûr que si ! C’est très naturel, voyons !
Je le savais que c’est naturel, les glaces, pourquoi ils rigolaient avec ça ?
– Alors, tu veux y goûter ou pas ?
– Christophe, voyons …
– Mais il faudra faire attention, tu sais, ça coule sur les doigts, parfois …
– Christophe, arrête !
Martina a fait comme si elle était fâchée, mais je voyais bien qu’elle s’amusait. Elle a sorti des dossiers de son sac, les a étalés sur la table basse et a commencé a discuter avec Véronique de leur travail. Véronique c’est approchée de la table en s’asseyant sur le bord du fauteuil comme quand elle mangeait. Elle avait les jambes un peu écartées et j’ai regardé ses cuisses toutes bronzées pendant qu’elles travaillaient. Plusieurs fois j’ai vu sa culotte aussi et au bout d’un moment il a fallu que je parte aux toilettes pour me faire gicler tellement ça m’avait excité.
– Vous appréciez, j’espère à sa juste valeur, mesdames, que votre travail, … réjouisse … ceux qui vous observent ! … ET LAVE-TOI LES MAINS !
– Tu es décidemment incorrigible, … pauvre garçon …
– Ce n’est pas un pauvre garçon, détrompe-toi, il est heureux en ce moment !
… comme si je ne le savais pas, qu’il faut se laver les mains après être allé aux toilettes …

On est parti ensemble quand les filles sont reparties au travail. Christophe non plus ne travaille pas le lundi et il m’a raccompagné en traversant le parc. On s’est assis un moment sur un banc :
– Qu’est-ce que tu fais cet après-midi ?
– Je vais préparer les livraisons de demain, et puis je ne sais pas …
– Tu devrais te promener, aller à la piscine, tu ne vas pas encore rester enfermé dans ta chambre avec ce beau temps ! Profite !
– Je ne sais pas … et toi, tu fais quoi ?
– Je vais rester ici quelques temps …
Il avait sorti un livre de sa poche. Il lit tous le temps. Je crois qu’il a lu tous les livres de sa librairie.
– C’est bien qu’on soit invité, non ?
– Oui, c’est bien … Jonathan … tu te tiendras bien, n’est-ce pas ?
– …
– Bon, va donc travailler ! Ces livraisons … c’est aussi pour ta prof de français ?
– … oui … y a un sac pour elle que je dois livrer demain …
– Tout va bien avec elle ? Tu m’en parlerais si … Tout va bien, c’est sûr ?
– Oui oui ! Ça va …
Je suis rentré au magasin. Je passe par derrière, avec la même clé que pour aller à ma chambre. Le patron vient presque jamais le lundi alors il laisse la liste des livraisons sur le petit bureau de la réserve. J’ai mis une heure, un peu plus, à tout bien préparer. Les livraisons, je les fais tous les mardis en fin d’après-midi, sauf la prof : elle c’est le midi.
Au début, je trouvais qu’elle était bizarre. Elle travaille dans le même lycée qu’Alain, le petit ami de Martina ; elle vient à la librairie des fois et elle a dit à Christophe que s’il voulait, elle pouvait m’aider à mieux lire. Christophe m’en a parlé. J’avais pas trop envie, mais il a dit que ça serait bien pour moi. Alors quand je fais sa livraison, je reste un peu et elle me fait lire.
Au début, c’était comme au lycée, et après elle m’a donné des livres un peu cochons : elle dit qu’on apprend mieux quand ça intéresse.
Au début, elle s’asseyait sur le divan à côté de moi et elle me faisait lire à haute voix. Elle mettait sa main derrière ma tête et quand je me trompais elle me tirait les cheveux alors je faisais attention. Y’a quatre ou cinq semaines, elle m’a donné un livre qui était très cochon ; ça m’a fait de l’effet en lisant et elle s’en est aperçue. Elle m’a fait mettre à genoux devant la petite table où elle avait posé le livre. Elle était assise derrière moi et elle m’a dit de continuer à lire. Elle tenait mes cheveux dans sa main tout le temps et tirait un peu quand je me trompais. C’est elle qui tournait les pages et à un moment elle m’a touché à travers le pantalon et elle a dit qu’elle vérifiait si je comprenais ce que je lisais. J’étais tout dur et elle a dit que c’était bien.
La fois d’après quand je suis arrivé, elle a demandé que je me mette comme la dernière fois. Je pensais que peut-être elle me toucherait encore alors je me suis mis à bander et elle l’a vue. Elle m’a pas fait lire ; elle voulait que je lui raconte la même histoire que j’avais lue la semaine d’avant et si j’y avais repensé depuis la dernière fois. J’ai dit oui et elle avait l’air contente. Elle est partie un moment et quand elle est revenue elle était plus habillée pareil : elle était tout en noir avec une robe courte et quand elle marchait, j’ai vu la dentelle des Dim’Up que j’avais amené dans le sac de sa livraison.
Elle s’est assise derrière moi et j’ai commencé à raconter toute l’histoire de la semaine d’avant. A un moment elle a bougé et puis elle a posé sa robe sur la table à côté de moi ; elle a dit qu’elle ne voulait pas que je me retourne sinon elle me punirait et que je devais continuer à raconter. A un moment, j’ai entendu qu’elle respirait fort comme les filles sur les films de cul que je regarde sur internet, et j’ai été étonné parce que je ne croyais pas que c’était pareil pour des femmes de son âge. Je crois qu’elle a plus de cinquante comme Christophe et elle a les cheveux tout blancs.
Maintenant quand j’arrive elle est toujours habillée pareil. La dernière fois elle a dit de me mettre en slip avant de me mettre à genoux et elle n’a pas été contente que ce fût un caleçon. Elle a dit qu’elle voulait un slip, que c’était mieux pour les garçons. J’ai demandé à Christophe un soir pourquoi c’était mieux les slips et il a froncé les sourcils quand je lui ai dit que c’était la prof qui me l’avait dit ; je ne lui ai pas raconté ce qu’elle faisait parce que c’est le secret entre nous.
Demain j’en mettrai un pour aller chez elle.
Toutes les semaines elle me donne 40 euros en plus de l’argent des courses. Elle dit que je fais des progrès et qu’il faut m’encourager…
6 Martina
Parcours croisés – Lundi
Chapitre 6
Martina

paragraphe 4 ia porn

En sortant de la salle de bains, je suis allée dans notre chambre, et je suis restée quelques minutes dans la pénombre, assise au bord du lit, vidée. J’ai repensé, honteuse, à toutes ces horreurs que j’avais dites à Alain. Qu’est-ce qui m’a pris ? Que va-t-il penser ? Le surprendre dans un tel moment d’intimité ne m’autorise pas à le traiter de la sorte ! J’étais en colère ! C‘est ça … j’étais en colère de le trouver comme ça, en train de se caresser … mais de quel droit, mon Dieu ! après la journée que moi ! j’ai passée avec Véro … et puis j’étais frustrée, comme s’il me volait le plaisir que j’attendais de lui ce soir … j’attendais qu’il me donne, lui ! le plaisir que je n’avais pas eu dans la journée … je suis allée trop loin !
Je me suis déshabillée et j’ai enfilée un short en coton et un petit T-shirt à fine bretelle, tenue décontractée que je mets à la maison depuis qu’il fait chaud comme ce soir. L’eau de la douche coulait toujours dans la salle de bains.

Une petite brise froisse les pages du catalogue « Voyages » que je feuillette sans y prêter une véritable attention. Le lit-brouette dans lequel je me suis installée est à l’ombre de l’érable, me protégeant du soleil qui a surchauffé le ciment de la terrasse. La courte de nuit de sommeil, la chaleur de la journée, me plongent dans un état de douce somnolence. Images décousues qui se superposent et s’entrecroisent … Alain dans la salle de bains d’un hôtel de Djerba … Véronique nue sur une plage de Bali … Annie prenant le thé les fesses à l’air à l’île Maurice, … Christophe lisant le journal au bord d’une immense piscine à Hawaï, 3959 Euros par personne, sept jours, voyage compris !

Alain apparaît dans l’encadrement de la porte, quelques gouttelettes d’eau glissent lentement sur ses pectoraux, viennent se perdre dans son nombril, débordent et coulent sur la serviette qu’il a nouée autour de ses reins. Il reste immobile sur le pas de la porte, regarde le jardin, yeux dans le vague, mains sur les hanches, puis il vient s’asseoir face à moi, au bord du lit-brouette qui craque un peu sous son poids. Il pose une main sur mon genou et nous échangeons un long regard silencieux. Et puis, doucement :
– Tu as vu, j’ai tout tondu et j’ai taillé les bordures …
– Mmm mmm …
– J’ai trouvé la liste des travaux à côté de mon bol ce matin …
Le ton se fait plus tendre et des plis rieurs se forment aux bords des yeux :
– …. Et je suis un garçon obéissant … enfin … si on ne m’en demande pas trop …
Je pose ma main sur la sienne, mêle nos doigts :
– Je ne « demande » rien, mon chéri, je ne veux que ce que toi, tu veux … pardonne-moi … j’étais … surprise … tu sais, je dis n’importe quoi, parfois …
Je lâche sa main, j’efface d’un revers de doigt les gouttes qui perlent sur sa cuisse :
– … tu sais … c’est la première fois que je te voyais …
Il veut parler, mais je m’avance vers lui, et pose un doigt sur sa bouche :
– Chhh… attends … tu m’as terriblement excitée … et j’ai dit n’importe quoi …
Il me prend dans ses bras, et je colle ma joue à son épaule, la bouche dans son cou :
– … je t’aime… T’es tout mouillé et je t’aime !
– Je t’aime, ma chérie … et je t’aime aussi quand tu dis des horreurs … mais tu ne m’as pas habitué à un tel langage !
Je me redresse, et lui donne un petit coup sur la poitrine :
– Toi non plus tu ne m’as pas habitué à ça …
– Désolé Tina … ça ne se produira plus …
– Euh … j’espère bien que si … mais … tu me laisseras faire aussi, de temps en temps ?
Je ris et je l’embrasse en même temps, et il rit aussi en me serrant dans ses bras, glisse sa main sous mon t-shirt et caresse mon dos …
CRAACCCC
… et nous nous retrouvons par terre : le lit- brouette n’a pas résisté !

Moment de stupeur ! Nous restons strictement immobiles, toujours enlacés :
– … ça va ?
– Je crois … et toi ?
Alain se relève, rattrape la serviette qui s‘est dénouée et pend le long de sa jambe :
– Pas de mal pour moi … tu es sûre, tout va bien ?
Toujours assise par terre, je lève la tête et vois son sexe à dix centimètres au- dessus de moi . J’avance la main, passe mon index sur la longueur d’une légère caresse :
– Bonjour, toi … oui, sûre, tout va bien !
Il me prend la main et m’aide à me relever, passe un bras dans mon dos et l’autre sous mes genoux, me soulève d’un mouvement souple. Il se retourne pousse la porte du pied, entre dans le salon et me dépose doucement sur le canapé …

La première fois que je l’ai vu, je revenais de la réserve au fond de la boutique ; il était de dos et discutait avec Bertrand, mon adjoint à l’agence. Il portait un pantalon de toile beige qui moulait ses fesses, un polo sous lequel se devinaient les muscles de son dos. Ses cheveux blonds bouclés, plutôt cours, partaient dans tous les sens. Je n’entendais pas leur conversation, mais je le voyais s’expliquer à grands gestes.
Le contraste avec Bertrand, veste ouverte sur un ventre généreux débordant sur sa ceinture et cravate en bataille était tellement comique que je restais à distance à les observer. Pour une fois, Mireille n’était pas plongée sur son clavier en train de le massacrer à doigts méchants : elle fixait le client, doigts suspendus et bouche ouverte. Je l’ai détaillé à nouveau en prenant mon temps : grand, plus grand que moi, c’est un bon point … solide, de belles épaules, c’est bien… des fesses … dont on sentait la fermeté d’un seul regard ! Important les fesses d’un homme … je ne porte jamais de jugement définitif avant de voir un homme de dos ! Je me suis surprise à l’évaluer comme on juge un cheval … seule depuis trop longtemps ma fille, arrête ça … et puis Bertrand l’a pris par le bras en me montrant du doigt et l’a conduit vers moi.
Mon Dieu qu’il était beau ! Mes yeux zappait des pectoraux à ses yeux, de ses yeux à ses pectoraux, et puis … il était là devant moi et me tendait la main. Bertrand est retourné vers son bureau et je continuais à lui secouer la main, à lui secouer la main … réveille-toi, idiote, vite … J’ai retiré ma main, l’ai prié de s’asseoir, j’ai fait le tour de mon bureau, me suis assise, les jambes un peu molles, et … il était toujours debout devant le bureau, bras demi tendu, et légèrement rougissant. Il m’a dit plus tard qu’il était amoureux de moi dès le premier regard. Je ne lui ai pas dit que j’étais déjà accrochée avant même qu’il ne se retourne ! Je pourrais le lui dire maintenant, mais je n’y étais pas prête quand il m’a fait cet aveu : on ne dit pas si facilement à un homme qu’on a commencé à l’aimer en voyant ses fesses ! Je ne sais pas trop de quoi on a parlé, je ne m’en souviens plus. Je me souviens seulement du vide au creux de mon estomac quand il est parti. Sur mon agenda, au vendredi suivant, 10 heures, j’avais écrit : Alain, appartement F2. J’ai compté : 3 jours, et j’ai entouré en rouge d’une dizaine de cercles.
Pendant les deux semaines qui ont suivies, je lui ai fait visiter sept ou huit appartements, dont aucun ne lui convenait : je trichais! Quand j’ai eu épuisé les trucs les plus moches de l’agence, je suis allée en chercher chez la concurrence ! Une seule chose m’importait, un autre rendez-vous, le revoir.
Au bout de deux semaines, au pied d’un immeuble, avant de descendre de voiture pour une nouvelle visite, il a posé la main sur mon bras :
– Inutile de le visiter ! Ecoutez-moi, s’il vous plaît … je suis assez maladroit et ce que je voudrais vous dire n’est pas facile pour moi … voilà … ce n’est pas très honnête de ma part de continuer à vous faire chercher pour rien … je dirai non à tout pour le seul plaisir d’un nouveau rendez-vous … ne vous fâchez pas … dites quelque chose … je suis mal à l’aise, là …
Sa main sur mon bras me faisait trembler. Je me suis penchée vers lui, et j’ai déposé un baiser sur sa joue.
Son regard, oh ! Son regard … Il ne parlait plus, il me regardait dans les yeux, ne faisait pas un geste.
On est resté longtemps comme ça, et puis il a retiré sa main, a regardé droit devant lui, a poussé un soupir, et s’est lancé :
– Je t’ai aimée dès que je t’ai vu … depuis deux semaines je pense à toi sans arrêt … je ne veux pas être te mettre mal à l’aise … alors dis-moi d’arrêter, de te laisser en paix si tu le veux …
Je n’ai pas réfléchi une seule seconde :
– On pourrait se voir ce week-end, et mieux faire connaissance … tu ne sais rien de moi …
– Ce soir ?
– … oui, ce soir …
J’ai démarré, je me suis garé en ville, et on a passé le reste de la journée dans un café à discuter, à nous raconter, nos vies, nos passés, à nous caresser les mains au-dessus de la table, à ne rien dire pour finir, inquiets de la suite. J’ai téléphoné à l’agence pour prévenir que je n’y repasserais pas, sans donner la moindre raison à Bertrand qui s’inquiétait.
Main dans la main, nous sommes allés à pied jusqu’à l’appartement de ville qu’il occupait encore, trop grand pour lui depuis que son amie l’avait quitté.
Je l’ai accompagné jusqu’à sa porte en lui tenant la main, montant avec lui les deux étages.
Je suis entrée avec lui dans son appartement presque vide de tout meuble et j’ai lâché sa main quand il a posé ses mains sur mes hanches.
J’ai glissé une main dans ses cheveux quand il a dégrafé ma jupe.
Il m’a mise nue dans son salon vide, lentement, m’effleurant à peine, m’a soulevée dans ses bras, déposé sur le lit d’une chambre où ne restait que ce lit. Il s’est mis à nu au pied du lit sans qu’un instant je ne quitte ses yeux du regard.
Et sans caresses, sans paroles, il s’est allongé sur moi. J’ai ouvert mes jambes sous les siennes, avancé le bassin à sa rencontre, refermé mes bras dans son dos, et pour la première fois depuis huit mois j’ai accueilli en moi le sexe d’un homme. Il est entré en moi d’une seule et lente poussée jusqu’ à ce que nos ventres se touchent, ne rencontrant aucune résistance à son envahissement, et n’a plus bougé, si ce n’est de légères contractions que je ressentais au plus profond de mon ventre. Il a soulevé légèrement ses reins et j’ai commencé à onduler des hanches sous lui, très lentement, et en quelques secondes, j’ai crié mon plaisir dans son cou, et crié encore quand j’ai senti sa jouissance m’inonder, et crié encore quand il m’a plaqué sur les draps de deux puissants coups de reins.
C’était un moment rare qui est resté gravé en moi.
J’avais 30 ans, une certaine expérience du sexe, mais je n’avais jamais joui aussi vite et aussi fort d’une simple pénétration, sans caresses ni préliminaires et j’en restais étourdie et émerveillée. Je jouis rarement pendant une pénétration de la seule pénétration. Il faut le plus souvent que mon partenaire ou moi-même, le plus souvent moi, excite mon clitoris pour que j’aie un orgasme. Et, là tout de suite, comme ça, j’ai joui très fort, à me couper le souffle sous la montée des contractions de mon ventre, les muscles raidis de tremblements, les seins lourds et tendus. Aussi fort et violent, je n’avais jamais connu avec mes partenaires précédents.
Nous n’avions pas déjeuné à midi, et nous n’avons pas dîné ce premier soir de notre amour non plus.
Nous sommes restés longtemps couchés face-à-face, à nous caresser doucement de nos mains, de nos jambes, à nous embrasser.
Et puis est venu le temps de la découverte. Nous nous étions vu nus l’un l’autre, mais sans nous y attarder, comme pressés d’une urgence plus forte. Et là, nous avons pris notre temps, chacun s’offrant totalement, chacun explorant l’autre, tour à tour, chacun notre tour, pour profiter pleinement de l’apprentissage des mains de l’autre, du corps de l’autre, du sexe de l’autre.
Ses yeux, ses mains, sa bouche, ont tout appris de moi, m’ont à nouveau donnés du plaisir, couverts mon corps de transpiration, provoqués des orgasmes plus connus, rendant presque mon sexe et mes seins douloureux.
Et puis mes yeux, mes mains, ma bouche, ont tout appris de lui, et se sont attardés. Sur son torse lisse et ses tétons durcis sous ma morsure, sur son ventre dur de muscles qui roulaient d’attentes, sur ses cuisses couvertes d’un fin duvet blond disparaissant à l’approche des fesses, si dures sous mes doigts qui écartaient, contractées de mon regard ; et son sexe, long et lourd au repos, couché à demi entre sa cuisse ouverte et les testicules, bougeant de mon souffle, roulant sous mes doigts qui soupesaient, doigts glissés dans les fins poils frisés à la racine de la verge, langue qui joue de son prépuce à moitié retroussé, lèvre qui aspire le méat et langue qui le fouille ; et le réveil, la verge qui se gonfle et se redresse lentement, par petites saccades, glissant et tournant jusqu’à glisser sur le ventre tendu, pointant au-dessus du nombril, veine gonflée, palpitante de soubresauts qui la redressent et la décollent du ventre, le gland découvert, ourlé d’un boursouflure à sa base, frein tendu de désir, et qui gonfle et se gorge sous la pointe de ma langue ; comment ce sexe a-t-il pu me pénétrer ? il est si épais, droit et tendu, gland gorgé qui étire le frein translucide de tension ; ni mon mari, ni aucun de mes amants ne lui ont ressemblé ; j’aurais pu craindre, et me refuser de l’avoir connu ainsi avant, alors qu’il me fait si envie maintenant; mes lèvres s’étirent et enveloppent, et c’est mon ventre qui ressent la caresse et coule d’envie ; ma langue masse et tourne, et c’est mon clitoris qui se gonfle et se découvre ; et la semence chaude, épaisse, âcre et salée coule entre mes lèvres et je jouis à nouveau du plaisir que je donne, jouissance toute neuve, jamais obtenue de la sorte auparavant.
Pourquoi on ne c’est plus quitté depuis ce jour ? Parce que ma peau sur la sienne est une évidence, une simple évidence.

… entre dans le salon et me dépose doucement sur le canapé …
Il baisse mon short ; je replis les jambes pour l’aider à le faire glisser et l’expédie loin du canapé d’un coup de pied. Il m’assoit, s’assoit par terre entre mes jambes, approche son visage de mon sexe et souffle doucement sur mes cuisses. Je renverse la tête sur le dossier et en me soulevant à deux mains je glisse vers le bord du siège, jusqu’à avoir les fesses à moitié dans le vide. Je lève mes jambes et prend mes genoux dans mes mains, je ferme les yeux. Son souffle frais remonte, s’attarde sur mes fesses, sur mon petit trou qui se contracte, remonte le long de la fente entrouverte de mon sexe. Le souffle s’arrête et ses lèvres se posent sur mon bouton, sa langue soulève le petit capuchon, contourne, soulève, lèche … et ses lèvres aspirent … et sa langue accélère … et le plaisir auquel j’ai renoncé l’après-midi dans les bras de Véronique, qui est presque venu dans la salle de bains, arrive enfin, libérateur, coule sur la bouche d’Alain qui boit, lape, aspire. J’emprisonne sa tête entre mes jambes que je repose sur ses épaules, le plaquant à moi, longtemps … jusqu’à la dernière contraction. Ses mains sur mes hanches glissent et viennent se poser sur mon ventre, chaudes et légères. Je voudrais m’endormir comme ça, ne plus bouger …
Je passe une main dans ses cheveux :
– Chéri ? … tu respires encore ?
Il lève la tête, bouche barbouillé, se lèche les lèvres :
– C’était bien … j’avais soif … de toi …
– Mon chéri, j’ai oublié de te dire … on a des invités mercredi soir … barbecue !

— Stan Riff

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