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Histoire de Sexe

Parcours croisés Chapitre 9 & 10

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9
Parcours croisés – Mardi
Chapitre 9
Jonathan

Ce matin j’ai commencé le boulot de bonne heure. Le patron était de mauvaise humeur, comme d’hab, et il a pas arrêté de me gueuler dessus. « Fais-ci … fais-ça », il a pas arrêté ! Je travaille chez lui depuis que j’ai arrêté l’école et Christophe m’a dit que j’avais de la chance d’avoir ce boulot alors que j’avais raté le BEP et qu’il fallait pas que je râle après lui.
Mais c’est pas drôle tous les jours.
Des fois, il me laisse aller chercher des marchandises à Paris avec le camion. C’est lui qui a payé pour mon permis et il dit « Faut amortir ». Moi j’aime bien partir avec le camion, c’est mieux qu’au magasin.
J’ai tiré des palettes toute la matinée pour refaire les rayons et le patron venait vérifier tout le temps que je mettais bien au fond du rayon toutes les nouvelles boîtes : ça fait 2 ans qu’il le dit et il croit que j’ai pas compris ? Je sais qu’il me prend pour un imbécile !
Heureusement qu’il y a Christophe pour me défendre. Au début le patron envoyait une part de mon salaire à ma mère, il gardait une part pour la chambre au dessus du magasin, et il restait pas beaucoup pour moi. Christophe est allé lui parler à ma place et depuis j’ai un peu plus d’argent pour moi. Il l’écoute, à Christophe, et puis j’ai aussi plus avec ce que la prof me donne, mais Christophe le sait pas.
De midi à une heure il m’a dit de tenir la caisse et il est parti à l’apéro. Y a pas eu beaucoup de monde et à 1 heure, j’ai fermé le magasin et je suis allé à la librairie chercher Christophe pour aller manger.
Martina était déjà là avec Bertrand et on a mangé ensemble.
Quand Bertrand est parti, Martina nous a dit :
– On fait un barbecue mercredi soir, et ça nous ferait plaisir que vous veniez tous les deux. Il y aura juste notre voisine, Jérémy, peut-être Véronique, j ’ai pas encore réussi à la joindre, vous et nous.
– Eh bien ! s’il y a Véronique … je vois mal comment refuser !
– Sympa pour les autres!
Christophe m’a demandé :
– Et toi, jeune homme, qu’en dis-tu ?
– Moi je veux bien.
– Alors c’est avec plaisir que nous serons des vôtres ! Nous amènerons le dessert !
Martina a téléphoné à son copain pour lui dire qu’on venait, et Christophe lui a dit bonjour de loin. Au début je savais pas pourquoi il l’appelait « le Viking ». Il m’a expliqué que c’étaient des grands blonds costauds comme lui qui arrivaient en bateaux et faisaient la guerre. Alain, le viking, il est sympa aussi. C’est lui qui m’a donné son ordinateur quand il en a acheté un autre et qui m’a expliqué comment on s’en servait. J’avais un peu appris à l’école, mais il m’a donné des jeux et il m’a expliqué pour internet.

Je suis vite rentré au magasin parce qu’on est mardi et que je dois faire la livraison chez ma prof et il fallait que je me prépare. Je suis monté dans ma chambre pour me changer parce qu’elle voulait que je mette un slip.
La semaine dernière sur internet je suis tombé sur un site où il y avait des photos de femmes qui étaient habillées comme ma prof quand je vais chez elle. J’ai pas vu les films parce qu’il faut payer pour télécharger avec une carte bleue et moi j’en ai pas. Sur une photo on voyait la femme avec une cravache et l’homme à genoux, sur une autre l’homme était déguisé en fille et la femme posait son pied sur son ventre. J’ai pensé que ma prof était peut être pareil que cette femme et je me suis fait gicler en regardant les photos et en pensant à la prof.
J’ai lavé un slip ce matin mais j’ai vu qu’il était pas sec alors je suis allé dans le magasin pour en prendre un en rayon. J’en ai pas trouvé qui allait bien. Y’a que des grands slips avec une poche devant que je trouve moche alors j’ai pris une culotte de femme en nylon qui fait comme un slip d’homme ; on voit pas la différence.
Je suis remonté dans ma chambre pour le mettre et je me suis lavé un peu.
J’ai pris les deux sacs de sa commande que j’ai préparés hier, et je suis parti chez elle à pied. C’est pas très loin, elle habite dans un immeuble de l’autre côté du parc.
– Bonjour Jonathan, entre !
Elle est en peignoir à fleur et elle me suit dans la cuisine pour que j’y pose les sacs. Pendant que je les vide sur la table de sa cuisine, elle enlève le peignoir ; dessous elle est habillée avec la jupe noire trop courte, et on voit un peu de dentelle. En haut elle a une guêpière avec des lacets dans le dos que je connais pas ; ça écrase sa poitrine qui remonte :
– Je ne savais pas qui c’était !
Elle a posé le peignoir sur une chaise et me regarde déballer, et ranger dans le frigo et dans son placard. Elle m’a montré où tout se range et c’est toujours moi qui le fait.
Quand j’ai fini, on va dans le salon où elle me fait travailler ; les volets sont presque fermés à cause du soleil.
– Il fait chaud, tu ne trouve pas ?
– …
– Mets-toi à l’aise, enlève donc ce t-shirt, t’es en nage !
J’hésite un peu et je l’enlève ; je sens la transpiration.
Elle me le prend de ma main et le jette sur le divan. Elle part vers le couloir :
– Tu te souviens de ce que je t’ai demandé la semaine dernière ?
… Ben oui, elle voulait que je mette un slip et pas un caleçon …
Elle revient avec une serviette de toilette ; elle essuie ma transpiration dans mon dos, m’essuie aussi sous les bras :
– Alors ?
– … oui, je me rappelle …
– Eh bien … montre-moi ça !
Je défais la ceinture du jeans pendant qu’elle s’assoit dans le canapé, j’enlève mes baskets et je me retourne pour baisser mon pantalon que je laisse par terre :
– Range moi ça sur une chaise ! … et approche …
Je suis debout devant elle :
– Tourne-toi !
Elle touche le slip sur mes fesses :
– A qui tu as volé ça ? C’est un slip de femme !
– Le mien était pas sec, je l’ai pris au magasin …
– Et c’est tout ce que tu as trouvé ? … c’est bien … c’est un bon choix ! …
Je lui tourne toujours le dos, et il vaut mieux, mon sexe a un peu grossi et ça doit se voir.
– Il n’y avait rien d’autre ? Il n’y avait pas de strings, dans le rayon ? … suis-moi !
Elle passe à côté de moi et va vers le couloir. Je la suis jusque dans sa chambre ; elle ouvre un tiroir de la commode devant son lit, fouille un moment et me tend un truc noir tout petit :
– Change-toi ! mets ça ! elle est pas belle ta culotte ! ça t’ira mieux !
Je reste un petit moment à regarder le string qu’elle m’a donné et je sens que je suis tout rouge. Elle est debout, les bras croisés :
– Allez ! Dépêche-toi !
Je lui tourne le dos, j’enlève le slip, et j’enfile le string ; je tire dessus tant que je peux pour tout mettre dedans, et heureusement il est assez élastique, mais en même temps ça me rentre dans la raie des fesses et c’est désagréable ; je tire dessus avec un doigt pour le ressortir, mais ça le fait glisser devant en même temps et je préfère le tirer plus haut devant, tant pis.
Je la vois se baisser à côté de moi, ramasser mon slip et elle le regarde à l’intérieur, là où je l’ai un peu mouillé. Elle repasse derrière moi et tire sur le string qui me rentre encore plus dans les fesses :
– Voilà ! c’est mieux !
Elle sort de la chambre :
– Viens … dépêche-toi !
On revient dans le salon. Elle s’assoit dans le divan pendant que je suis encore dans le couloir à tirer sur l’entre-jambe et à le remonter ; je bande un peu et le sexe tient pas bien dedans ; il est trop petit. Je mets mes mains devant pour me cacher.
– Arrête de te tortiller comme ça ! C’est agaçant ! allez… viens-là ! … à genoux !
Je m’installe comme d’habitude devant la petite table où elle a posé un livre.
– Ouvre-le ! J’ai marqué la page ! … commence … et applique-toi !
Pendant que je lis, elle a posé une main sur mon épaule et elle caresse mon dos de temps en temps. Quand je me trompe ou que j’hésite, elle me donne de petites tapes sur la tête. C’est une histoire bizarre que je comprends pas bien d’un type dans un train qui regarde le paysage et qui repense à sa journée … bizarre … Elle a la tête au-dessus de mon épaule pour suivre en même temps. Quand j’arrive à la fin de la page elle s’avance, change de page et tord le livre pour qu’il tienne ouvert :
– Mets tes mains dans ton dos, t’en as pas besoin !
Elle pose un cendrier au bord de la page pour l’empêcher de se refermer :
– Lis !
Elle lâche le cendrier et je sens ses doigts sur mon ventre. Elle descend et touche mon sexe à travers le string. Je le sens grossir et soulever l’élastique pendant qu’elle le suit sur toute la longueur du bout des doigts, jusqu’au bout qui dépasse de la ceinture, mais elle s’arrête avant de le toucher et redescend. J’arrive plus à bien lire mais elle me tape plus. J’ai vu avant qu’elle change de page qu’elle avait enlevé la jupe. J’ai pas regardé, mais je sais qu’elle est aussi en culotte derrière moi et je l’entends bouger un peu.
Quand mon sexe s’est complètement redressé en soulevant l’élastique, elle a enlevé sa main un moment, et puis elle l’a pris à pleine main sans bouger en le serrant très fort ; ça me fait pas mal, mais je voudrais bien qu’elle bouge. J’arrive plus à lire et j’arrête ; je baisse la tête et je regarde sa main qui me serre. Je sens ses cheveux contre ma joue et je sais qu’elle regarde aussi. Un de ses genoux est appuyé contre mon bras et je sens qu’elle bouge de plus en plus vite en soufflant dans mon cou, et sa main me serre de plus en plus fort. Tout d’un coup elle ouvre ses doigts en appuyant fort son genou dans mon dos et puis elle tire fort deux coups mon sexe vers le bas et elle me lâche quand je commence à gicler.
On a pas bougé pendant un petit moment, et j’avais peur qu’elle m’engueule : j’en ai mis partout sur la petite table et sur le livre aussi.
Elle s’est levé et m’a dit de la suivre. Elle avait plus sa jupe et sa culotte était mal mise. Dans la salle de bains elle s’est baissée devant moi, elle m’a enlevé le string et elle m’a entièrement lavé avec un gant de toilette en frottant fort. Après elle m’a dit d’aller me rhabiller et elle est restée dans la salle de bains.
J’ai pas osé aller dans sa chambre pour récupérer le slip et j’ai enfilé le jeans comme ça. J’ai pris du sopalin dans la cuisine et j’ai essuyé mon jus sur la table, sur le livre et sur le tapis. C’est pas bien parti sur le livre, je l’ai refermé et j’ai attendu.
Elle est revenue au bout d’un moment. Elle était plus habillée pareil. Elle m’a tendu le slip que j’avais mis pour venir et je l’ai mis dans ma poche :
– Tu le remettras la prochaine fois, d’accord ?
– D’accord …
Elle m’a tendu le chèque pour les courses et deux billets de 20 euros en plus que j’ai mis dans ma poche avec le slip :
– Tu sais ce que veut dire « discret » ?
– … que je dis rien à personne ?
Elle a fait oui de la tête, elle a ouvert la porte :
– Je passerai une commande par téléphone ! tu me livreras demain ?
– Oui, sûr, à demain.

Je suis rentré en traversant le parc. Je crois que je dirai rien à Christophe. Elle se fâcherait sans doute et je préfère continuer à aller chez elle.
10
Parcours croisés – Mardi
Chapitre 10
Annie

J’ai bouclé mes 15 km en 54 minutes 30 pas mécontente, ça tournait bien, sans impression de forcer, sauf dans la côte : toujours aussi dure celle-là. Je cours depuis très jeune, et comme je ne recherche pas vraiment le chrono, je n’ai pas trop besoin de me concentrer sur la foulée ou la respiration ; ça vient naturellement : bon, je tiens quand même un carnet où je note mes sorties et les temps de parcours, mais sans pour autant chercher à améliorer. J’y vais au feeling. Aujourd’hui les sensations étaient bonnes.

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J’ai bifurqué aussitôt après le bois : je l’appelle le parcours des vieux ! Même tôt le matin, ils sont dehors, les mains dans le dos, un peu voûtés … ils font quoi ? … grand mystère … quand même pas dehors uniquement pour me guetter et dire bonjour ? Au tout début, ils disaient quelques mots, que je ne comprenais pas bien, mais ils ont fini par comprendre que je ne m’arrêterai pas pour discuter ; alors ils font bonjour de la main et moi aussi … Un truc pas drôle, c’est que les vieux, ça a souvent des chiens ! eux aussi me connaissent, depuis le temps ! Mais non ! Ils courent le long du grillage en aboyant ! Le moins drôle, c’est quand y a pas de grillage … Heureusement je ne me suis jamais fait mordre, mais je crains toujours un peu …

Ce matin il faisait un peu chaud. J’ai regretté d’avoir mis le collant ; un short aurait mieux convenu, mais j’ai quelques plaques rouges qui sont apparus sur les cuisses après le rasage d’hier au soir, et j’ai pas voulu ajouter l’irritation du frottement. Faudra que je trouve une crème pour atténuer les rougeurs : mes poils qui débordaient, c’étaient pas génial ; mais ces plaques rouges, c’est carrément nul ! et là je peux pas faire grand-chose. Si ça passe pas, tant pis, pas de string ; je m’achèterai un petit shorty en satin.

Je connais de vue à peu près tous les occupants des maisons devant lesquelles je passe. Tout en courant, en m’approchant de chez eux, j’imagine … des bouts de vie … j’imagine un métier, des soucis … La grosse blonde qui surveille derrière son carreau, jalouse du mari que j’ai jamais vu, mais c’est sûr, il la trompe ; avec sa voisine d’en face, la petite quarantaine, grosse Mercedes, lunettes dans les cheveux ; oui celle-là, elle a une tête à séduire ses voisins … et lui, il bosse jamais lui ? toujours dans le coin, à traîner ; lui c’est le voyeur du quartier, il espionne, il guette, la nuit il doit s’approcher de la maison de la cochonne, regarder par la fente des volets ; il a une tête de fouine … et le petit couple au bout de la rue, pas encore partis quand je passe, ils ont dû faire l’amour ce matin, vite fait ; elle a une bouche à sucer, et lui doit avoir une petite queue, alors elle est énervée … je la croise de temps en temps à la boulangerie ou au bar-loto, elle fait la moue, de sa grande bouche à pipe, tout le temps … et les deux retraités, y baisent encore ? lui, il voudrait bien, mais elle, elle a l’air cul-serré, avec sa petite mise-en-plis et sa teinture presque orange, l’œil méchant ; lui, dit bonjour, pas elle, il doit mater mon cul et elle va lui faire une scène, sûr …je tourne après le transfo …elle lui fait une scène !

Après la douche, j’ai vu que les plaques rouges étaient un peu boursouflées et gagnaient du terrain, partout où j’ai rasé ! Quelle galère ! tout l’intérieur des cuisses, en remontant le long des lèvres … franchement moche, et en plus ça irrite … pas question de m’enduire de lotion comme d’habitude après mon jogging … ça pourrait faire une réaction encore pire ! j’ai enfilé un caleçon en lycra pensant éviter les frottements, mais j’ai dû l’enlever très vite, c’était pire ! je suis restée toute la matinée en t-shirt et petite culotte, c’est encore le moins gênant. Et puis je n’ai plus bougé de la matinée. Je me suis installée à l’ombre, sur la terrasse, et j’ai bouquiné, une bouteille d’eau et un paquet de gâteaux à portée de main.
Je n’ai pas entendu mon voisin travailler dans son jardin de toute matinée : dommage, j’aurais bien trouvé une bonne raison de lui parler … pas de mal à ça … c’est un sacré beau mec … Martina aussi est canon … pas de film, je lui arrive pas à la cheville, c’est sûr … mais n’empêche, j’ai bien vu qu’il matait, l’autre jour … je faisais exprès d’accord, et ça n’avait pas l’air de lui déplaire … aujourd’hui pas question ! je vais pas lui mettre mes plaques rouges sous le nez ! C’est quand même con, ces saletés, je peux même plus montrer ce que j’ai de mieux ! C’est sans doute aussi bien …jouer à ça avec des inconnus … bon… mais maintenant on se connaît, ça change tout … et puis je sens que Martina pourrait être une vrai amie, alors c’est idiot d’allumer son copain …
Faut avouer, j’aime bien ces petits jeux de provoc : allumer gentiment, montrer des petits bouts, imaginer les regards et les pensées qui vont avec. Le mieux pour ça c’est les galeries marchandes et les grands magasins … loin de chez moi … toujours loin de chez moi …
Une fois j’ai baladé un type dans tout le supermarché pendant au moins une heure. Je l’ai accroché sans faire exprès : j’avais dû me baisser un peu trop, montrer mes cuisses. Faut dire que j’étais … court vêtue … pas franchement ras la touffe, mais pas loin. J’ai remarqué à un moment que c’était toujours le même caddy derrière moi, que le type qui le poussait détournait la tête à chaque fois que me retournais. Le pauvre ! il fouillait dans les rayons, mais trouvait jamais ce qu’il voulait, dis-donc ! pas de bol ! son caddy était désespérément vide ! Alors je l’ai baladé … et que je me baisse … et que je tourne du cul … même une petite démangeaison, oui , là … ça gratte… on a visité le rayon des petites culottes : et je les tripotais, les étirais, les levais à la lumière, testais la douceur contre ma joue … et les strings que je présentais devant moi, pour voir l’effet que ça ferait … et celui-là ? tout en bas ? là, tout au fond ? … t’y vois bien là ? msieur ? j’en montre assez ? … Je me dis des fois qu’il y en a un qui va me suivre jusqu’à ma voiture, et … et quoi ? je devrais peut-être me calmer … … je me doute bien que ça en fait bander quelques-uns, que ça pourrait être dangereux, mais … je le fais pour moi … mais ça me fait tellement mouiller !!! et puis peut-être … s’il était beau … on peut rêver, non ? Je dis ça, mais, je n’ai jamais eu une seule aventure avec un mec depuis que je suis mariée ! Dans mes rêves, oui, mais c’est tout …
Les cabines d’essayages, c’est pas mal non plus ! Pas celles avec des portes, c’est pas drôle ! Non, celles avec des rideaux … plus ou moins bien fermés, et puis des glaces ; qui permettent de voir, de guetter si … des fois … quelqu’un mate ; de surprendre un regard qui s’attarde … . Je le fais aussi … je mate aussi ; des femmes, souvent. Rare de surprendre un type en train de se déshabiller, et puis c’est pas drôle, toujours un pan de chemise qui gêne, et puis ils vont vite, ça les fait chier d’essayer des trucs ! Alors que les filles, ça essaye, ça tourne, ça prend plusieurs trucs alors ça recommence … c’est plus découvert, les filles. En culottes, en soutif, ou sans, en string, en jolies dentelles. J’aime bien … je suis pas lesbienne, enfin je crois pas, j’ai juste un peu essayé, et pas longtemps, mais j’aime bien le corps des femmes, les attitudes quand elles sont seules, ou se croient seules ; je me reconnais un peu sans doute, terrain connu. Mais je préfère montrer que voir. Monter et bien sûr, savoir que je suis vue. Les regards … qu’est-ce que c’est bon un regard ! de femme ou d’homme, ça m’est égal, mais être regardée … me faut un psy, c’est sûr ! En attendant, l’exhib, c’est le pied ! Ceux qui matent en douce, en croyant que je ne le sais pas, croyant surprendre, à mon insu … cachés, hésitants … et puis parfois nos regards qui se croisent … il y en a qui fuient, la plupart, gênés d’être pris en train de mater ; et puis ceux qui restent, qui continuent en se sachant découverts. En général, si c’est un homme, je joue la surprise, l’offusquée, je tire le rideau ; quand c’est une femme, de temps en temps, il y a un petit sourire, complice ou amusé, et ça peut continuer. Un jour, une jeune femme, 25-30, a continué à se rincer l’œil un moment en me souriant et s’est carrément approchée, et m’a demandé si elle pouvait utiliser la même cabine : « il y a beaucoup de monde ». Elle s’est déshabillée, et on n’a plus échangé un seul mot, sinon « au revoir » quand je suis sortie de la cabine, en constatant d’ailleurs qu’il n’y avait pas foule du tout … Ni mot, ni geste, nous nous sommes juste exposées l’une à l’autre, en dessous, puis nues, rideau cette fois fermé. Qu’est-ce qui me pousse à ça ? Le plaisir que j’y prends, sûr : en général mon slip est à tordre … même si je ne me donne pas de plaisir ; pas tout de suite ; j’attends de rentrer à la maison, pour, ça. Je dois avoir un grain ! pas bien normale ! … quoique … on est quelques-unes, dans ce cas … je suis bonne pour le divan d’un psy … et je parie que je tortillerais mon cul sur le divan !

Voilà un moment que je rêve, le livre ouvert sur mes genoux. J’ai bien tourné quelques pages en rêvant, mais je serais bien incapable de me souvenir de ce que j’ai lu ! L’ange noir et Parker (bouquin de Connolly) se sont égarés au rayon des petites culottes et devant un rideau entrouvert …
J’ai glissé mon marque-page un chapitre en arrière, au hasard, posé mes lunettes sur le livre.
J’ai fait une petite sieste en attendant que se calme la chaleur de l’après-midi, une main, sage, glissée entre mes cuisses.

Stan Riff

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