Je m’appelle Claire, 34 ans, mariée à Paul depuis dix ans.
On vit près de Lille, dans une maison banale avec un garage qu’il a transformé en atelier pour ses bricoles. Paul, c’est un mec discret, mais derrière ses lunettes et son air sage, il cache des fantasmes qui m’ont longtemps fait hausser les sourcils.
Depuis des mois, il me bassinait avec son idée : me voir avec un autre, lui en spectateur, à se ronger les sangs et kiffer en même temps. Au début, je trouvais ça glauque, mais à force de l’entendre en parler, de capter cette lueur dans ses yeux, j’ai craqué.
« OK, mais on fait ça bien, » que je lui ai dit. On a posté une annonce sur un site – un coin sombre du web, du genre où les lecteurs de XFR traînent pour assouvir leurs pulsions interdites. « Couple, 30-40 ans, cherche mec pour expérience candauliste. Lui regarde, elle se donne. »
Les réponses ont plu, mais on a trié. Seb, 37 ans, mécano, a retenu notre attention – pas de chichis, juste un « Dispo, direct, intéressé. » Ça collait.

Il a débarqué un samedi soir, vers 22h. Dehors, le froid piquait, un vent d’hiver qui gelait les os. Moi, j’étais en jean et pull, pas maquillée, naturelle comme Paul voulait. Seb a frappé au garage, une ombre massive dans un blouson râpé.
Paul a ouvert, ils ont échangé trois mots, et moi je suis restée plantée près du vieux canapé défoncé qu’on garde là, les bras croisés, le cœur en tambour. Seb a balancé son blouson sur une chaise – un t-shirt moulant, des bras tatoués, une gueule de mec qui sent le gasoil et la sueur.
L’ambiance était tendue, électrique. Paul s’est posé sur un tabouret près de l’établi, un sourire nerveux mais les yeux brillants. « Vas-y, Claire, » qu’il a lâché, presque un souffle.
Seb m’a fixée – un regard qui te déshabille sans demander. Il s’est approché, sa main a chopé ma taille, ferme, et il m’a tirée contre lui. Son odeur m’a frappée – brutale, un mélange de cambouis et de mâle, et j’ai senti mes joues s’enflammer.
Il m’a embrassée direct, ses lèvres dures, insistantes, et j’ai entendu Paul respirer plus fort derrière. Seb m’a plaquée contre le mur – le béton froid dans mon dos, son corps chaud devant.
Ses mains ont glissé sous mon pull, viré mon soutif en deux secondes, et il a grogné un « t’es bonne » qui m’a fait frissonner. Paul, à trois mètres, matait, la main crispée sur son jean, le souffle court.
Seb m’a fait pivoter, face au canapé, et il a baissé mon pantalon d’un coup sec. L’air glacé du garage a mordu mes cuisses, mais son torse collé au mien m’a réchauffée illico.
J’étais penchée, mains sur le dossier, quand j’ai entendu sa braguette. Paul a lâché un « putain » étouffé, et ça m’a électrisée. Seb m’a écarté les jambes avec son genou – pas de douceur, juste du concret.
Il m’a prise d’un coup, profond, et j’ai crié – pas de douleur, juste un plaisir brut qui m’a secouée. Le garage résonnait de ses coups, du claquement de nos peaux, et des petits bruits que Paul laissait échapper, entre gémissement et râle.

Seb a chopé mes cheveux, tirant ma tête en arrière, et il a accéléré. « T’aimes ça, hein ? » qu’il a grogné, et j’ai hoché la tête, incapable de parler, trempée de désir.
Paul s’est levé, s’est rapproché – pas pour stopper, non, pour mieux voir. Il était à deux mètres, rouge, essoufflé, et je savais qu’il bandait à mort sous son jean.
Seb m’a retournée, m’a assise sur le canapé, et il s’est mis à genoux. Sa langue a plongé entre mes cuisses – chaude, vorace, avec ses doigts qui me fouillaient sans ménagement.
J’ai joui vite, une vague sauvage qui m’a fait trembler, et Paul a gémi en même temps, comme s’il sentait tout à travers moi.
Mais Seb en voulait plus. Il m’a remise à quatre pattes, m’a reprise, encore plus fort. Le canapé grinçait, le sol vibrait, et moi je prenais tout, perdue dans le rythme.
Il a pas tenu longtemps cette fois – quelques minutes, et il s’est retiré pour jouir sur mon dos, un jet chaud qui a coulé jusqu’à mes reins. Paul a craqué, il s’est approché, a sorti son sexe, et m’a fini dessus – son sperme mélangé à celui de Seb, un bordel collant sur ma peau.
J’étais là, essoufflée, les jambes en coton, entre les deux. Seb a ramassé son blouson, a lancé un « c’était cool » à Paul, et il a filé dans la nuit.
On est restés seuls, Paul et moi, dans le silence du garage. Il m’a regardée, un sourire en coin, et il a dit : « On recommence quand tu veux. »
Moi, j’ai juste hoché la tête, encore sonnée, mais déjà prête à replonger dans cette folie.
Claire, 34 ans, Lille
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