Je me présente, je m’appelle Luna 25 ans plutôt bien foutue si j’en crois les hommes de mon entourage et les regards des autres femmes. Je suis étudiante et surtout j’adore le sexe et provoquer. Provoquer le désir. Provoquer les hommes à mes heures perdues. Aujourd’hui j’ai décidé de partir à la chasse.
La chasse à l’adrénaline. C’est mon nouveau jeu depuis quelque temps afin de pimenter ma vie d’étudiante. Je cherche les regards et les mains baladeuses d’inconnus dans la rue. Mon terrain de chasse aujourd’hui sera le métro à l’heure de pointe. Pour l’occasion j’ai revêtu la mini-jupe plissée la plus courte de ma garde-robe, un teeshirt très près du corps et une petite paire d’escarpin a talon qui donne une cambrure parfaite à ma chute de rein.
Lorsque je rentre dans le métro, je suis tout de suite submergée par la chaleur de ce mois de juillet et par l’énervement qui se dégage de cette foule déjà trop serrée pour supporter plus de confinement dans cet espace clos déjà surpeuplé. Je me faufile directement jusqu’au fond du wagon.
Je reste debout accrochant mes mains au plus haut de la barre afin de faire sensiblement monter le bas ma jupe et attirer le plus de regards masculins possible. La foule se balance au gré des mouvement du métro et je suis le mouvement avec eux. Soudain je sens un corps se coller contre moi un peu plus que la normale dans mon dos. Je ne dis rien souriant intérieurement. Je ne sais pas à quoi il ressemble à mon poisson. J’observe les femmes. En général un beau poisson attire leurs regards. Pas de bol, aucune n’est jalouse. C’est mieux comme ça on est tranquille. Il profite d’un mouvement un peu plus fort du métro pour poser sa main sur ma hanche. Je m’appuie discrètement contre lui pour lui montrer que je ne suis pas farouche.
Puis il colle. Je sens son membre se tendre et durcir contre mes fesses. D’après ce que je sens à travers ma jupette il est bien monté. Mes tétons commencent à pointer avec cette sourde et vicieuse excitation qui monte en moi. Je me laisse aller contre lui afin de mieux sentir son sexe contre moi. Il doit prendre cela pour une invitation car il glisse sa main le long de ma hanche jusqu’à mes fesses puis il passe sous la jupe pour remonter discrètement.
Excitée comme une salope en chaleur, je commence à mouiller énormément je sens mes humeurs déjà abondantes qui coulent le long de mes cuisses. Il a un moment d’hésitation au moment où il se rend compte que je ne porte pas de sous vêtement. Son hésitation est de courte durée puisqu’il fouille ma fente et lance son pouce à la recherche de mon bouton, qu’il trouve rapidement. Alors que je mouillais déjà énormément, excité par mon phantasme de baise en public, je suis au bord de la jouissance. Je retiens mes gémissements tout en collant mon corps au plus près du sien.
Je suis au comble de mon excitation c’est la première fois que je laisse une de mes séances de chasse aller aussi loin. En temps normal je joue les allumeuses mais ne vais pas plus loin.
Soudain il se décolle de moi et retire sa main. Je suis soulagée que ça n’est pas été plus loin mais en même temps super déçue. A peine le temps de réfléchir à l’évolution de ma partie de chasse du jour que mon inconnu se colle contre moi de nouveau mais cette fois je sens un léger changement.
En effet le doigt que je sens pousser contre mon intimité n’a plus la même forme. Puis je comprends qu’il s’est décollé de moi pour pouvoir sortir son sexe que j’avais senti dans mon dos et qu’il cherche à me pénétrer à présent. Le temps que je comprenne ça il a réussi à me pénétrer jusqu’à la garde dans un métro rempli d’une foule inconnue. Je ne pensai pas pouvoir faire rentrer un sexe de son gabarit à l’intérieur de mon vagin. Je me sens entièrement remplie. Je sens qu’il pose son doigt sur mon bouton d’or et qu’il continue son massage en bougeant les hanches au rythme du métro.
Mon excitation n’a plus de limite. Il arrive à me faire jouir avec seulement deux aller-retour en moi. Je suis obligée de me mordre la main pour éviter de gémir mon plaisir. La situation a dû l’exciter aussi pas mal puisque lui aussi joui en moi au même moment.
Il se décolle de moi et me glisse un ‘’merci’’ a l’oreille et range son sexe. Je reprends mes esprits en appuyant mon front contre la barre fraîche durant une minute. Le métro s’arrête. Je me retourne pour voir à quoi ressemble mon inconnu mais ne voit qu’une foule de dos qui descend du métro. On est arrivés au terminus.
Je ne saurai jamais à quoi ressemble mon inconnu du métro. Et – moins drôle – je suis obligé de rentrer chez moi dégoulinante de nos jus mélangés.
René

























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