Histoire de Sexe

Pauline – années adulte – Chapitre 4

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Nous sommes rentrés, il faisait une chaleur excessive dans cette maison, contrastant avec la température de l’extérieur. Charline retira son manteau et enleva ses chaussures. Elle avait une tenue de serveuse, jupe, chemisier. Pauline avait raison, sa poitrine était énorme. Mais, ce qui m’attira l’œil était ce fauteuil roulant en bas des escaliers, des dizaines de boîtes de médicaments posés sur une table.

Une voix venue des escaliers, un peu faible, demanda

  • Charline, c’est toi ?
  • Oui, je suis rentrée.
  • J’ai entendu des bruits, t’es toute seule ?
  • … Non, c’est…
  • Je m’en fous de qui c’est, fais-le partir !
  • Martin ! Il est là pour Pauline !
  • Pauline ? Il ne faut pas qu’elle sache, elle est si fragile, fais-le partir.

J’ai alors regardé Charline de façon étonné, et je suis monté. Elle ne m’a pas retenu, je voulais voir qui était ce père. Je suis rentré dans la première chambre, un homme était allongé dans un lit. Seul son visage cadavérique sortait des couvertures. Il me regarda avec des yeux ronds comme des billes qui faisaient presque peur. Sur une table de chevet, une photo de Pauline à côté d’un homme. Etait-ce lui ? Il était méconnaissable. Il me dit alors

  • Je me fous de qui tu es, mais ne t’avise jamais de lui raconter ce que tu vois !
  • Sinon quoi ?
  • Tu ne sais pas ce que c’est lorsque j’ai une crise, je peux être extrêmement violent.
  • J’ai plutôt l’impression que vous êtes une loque qui va bientôt crever.
  • Tout le monde meurt un jour.
  • Ca fait longtemps que vous êtes malade ?
  • En quoi ça te concerne ?… Ca a été diagnostiqué il y a environ cinq ans… J’ai une tumeur au cerveau. Les médecins n’ont jamais rien pu faire à part me bourrer de médicaments.
  • Si je comprends bien, vous n’avez jamais eu l’occasion de l’annoncer à votre propre fille.
  • … Laisse Pauline en dehors de ça ! Tu ne sais pas tout ce qu’elle a vécu, je veux la protéger !
  • La protéger de quoi ? Vous allez mourir et elle ne saura même pas pourquoi. Ce n’est même pas vous qui lui annoncera, mais certainement Charline ! Alors que vous, vous serez tranquillement installé dans une tombe à vous faire bouffer par des vers. Ca c’est du courage ! Vous la protégez super bien ! Ca lui fera drôlement plaisir de savoir que son petit papa chéri lui a caché tout ça depuis si longtemps, juste pour la protéger !
  • Vas te faire foutre connard !
  • Vas te faire foutre toi-même ! Tu n’es qu’un sale con égoïste ! C’est toi que tu veux protéger ; t’as trop peur du regard qu’elle pourrait avoir sur toi ! Tu n’en as absolument rien à foutre d’elle, sauf lorsqu’elle écartait les jambes devant toi ! Ca t’aimais, avoue sale merdeux !
  • Tu ne sais pas de quoi tu parles. C’est elle qui est venue me chercher…
  • Au moment où elle était la plus fragile parce qu’elle se faisait baiser par ses profs… Elle avait certainement besoin d’une autre sorte de réconfort, non ?
  • Qu’est-ce que je pouvais faire lorsqu’elle se jetait sur moi ?
  • Lui donner une bonne gifle pour lui remettre les idées en place !

L’homme s’est mis à pleurer. J’y étais peut-être allé un peu durement. Ma vision des choses n’était peut-être pas juste. Je ne savais pas… Je suis descendu retrouver Charline, en pleurs elle aussi, assise sur le canapé ; elle me regarda en disant « je ne savais pas qu’il avait eu des relations sexuelles avec Pauline ». Etais-je en train de gâcher la vie de toutes ces personnes ? En tout cas, je commencer à culpabiliser sérieusement.

Peut-être est-ce pour cette raison que, après qu’elle m’ait aidé à changer mes bandages et passé de la crème sur mes brûlures, je l’ai laissée m’embrasser. Nous avions parlé longuement de sa situation. Cette révélation lui fit beaucoup de mal. Elle n’avait pas eu de relation sexuelle depuis longtemps, rêvait chaque nuit qu’un homme la prenne dans ses bras.

Pauline - années adulte - Chapitre 4
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Nous avons dormi ensemble, l’un contre l’autre, tous les deux nus. Je l’ai laissée guider ma main sur son corps. Elle avait besoin de tendresse, j’espère avoir été suffisamment doux et délicat avec elle.

Mais, le lendemain matin, les choses étaient très différentes. Les pompiers étaient venus chercher Martin qui convulsait. Charline l’avait accompagné jusqu’aux urgences. Je cherchais désespérément un moyen pour contacter Pauline.

Chapitre 10

  • Ca te fait mal ?
  • Ca picote un peu.
  • J’ai presque fini… Je m’en serais voulue à vie si ça avait été plus grave.
  • Tu n’y es pour rien. Je suis désolé pour ton père.
  • Je lui en veux de ne m’avoir rien dit avant… Merci de m’avoir permis d’être présente avant qu’il…
  • Je l’ai insulté.
  • Je sais, il me l’a dit. Il m’a raconté toute votre conversation… Il espère que ça va s’arranger entre nous… Il pense que tu es un homme bien.
  • Je ne crois pas… C’est peut-être à cause de moi que c’est arrivé… En plus, avec Charline…
  • Ce n’est pas grave… Au contraire… Tu lui as fait du bien. T’imagine tout ce qu’elle a enduré à ma place ? Alors, si elle a pu avoir un peu de bonheur… Merde… Je dois faire un discours pour son enterrement et je me rends compte que je ne le connais même pas.
  • Calme-toi… Tu vas y arriver. Je serai là pour te soutenir.
  • C’est vrai ? Tu ne vas pas partir malgré tout ce que je t’ai fait ?

Il prit ma main qu’il embrassa tendrement. Comme j’étais contente qu’il soit là, dans ma chambre, assis sur mon lit. J’avais tellement eu peur de le perdre à jamais. Seule la mort de mon père gâchait ce moment. Charline rentra pour m’annoncer « Pauline, juste pour te dire que ta tante et ton cousin arrivent dans une heure ». Je lui étais vraiment reconnaissante de s’être occupée de mon père, d’organiser l’enterrement. Cette femme était formidable.

J’ai changé de place, et je me suis mise à genoux sur le sol pour m’occuper de la cheville d’Yvan. Je lui ai demandé

  • Est-ce qu’il y a une chance entre nous, après tout ça ?
  • Oui, mais s’il n’y a plus de secrets, si on arrive à parler en toute franchise, même si l’autre ne réagit pas comme on le souhaiterait.
  • J’ai l’impression que tu en sais déjà pas mal sur moi maintenant.
  • Les grandes lignes.
  • … Je veux bien te parler de mon jardin secret… J’ai rencontré un homme il y a longtemps. Ca s’est passé dans un train…
  • Juste avant, si tu le permets, j’aimerai te raconter une histoire qui m’est arrivé et qui concerne cette fille qui m’a fait me sentir vraiment bien.
  • Tu sais, j’avais compris que tu parlais de ta première Pauline.
  • Non, il ne s’agit pas d’elle. Tu veux entendre mon histoire ? Je dois te préciser avant que c’est grâce à elle que j’ai pris le courage de quitter Elise.
  • Seulement si elle se finit bien, j’en ai marre des trucs qui finissent mal.
  • Je pense que ça va bien se finir, mais ça ne dépend pas que de moi.

Je l’ai alors écouté, n’ayant sur le coup pas compris le sens de sa dernière phrase.

« Il y a plusieurs années de ça, avant que je ne divorce, je devais rejoindre Elise et les enfants pour passer Noël avec sa famille. Ils avaient loué un truc perdu au milieu de nulle part. Je n’avais aucune envie d’y aller, mais j’avais fait la promesse à mes enfants de venir.

Je devais prendre un avion pour Bordeaux, mais il y a eu une grève surprise. Je ne sais plus si c’était les pilotes ou les contrôleurs aériens. Ca n’a de toute façon aucune d’importance, j’étais bloqué. J’ai voulu me rabattre sur le train. Evidemment, plus rien de libre. J’ai tout de même insisté fortement, et finalement, le guichetier m’a trouvé une place suite à une annulation qui venait d’être enregistrée pour un autre train qui n’allait pas vers Bordeaux, mais dont il y avait une gare qui n’était pas très éloignée de là où je devais aller.

J’ai donc pris le billet. Le train était bondé, tout le monde bousculait tout le monde, tout le monde était énervé. Et, j’ai eu le plaisir et la joie d’être assis à côté d’un vielle mémé aigrie. Elle râlait sur tout, c’était l’horreur. J’essayais de bosser sur mon ordinateur, mais avec elle à côté, c’était très compliqué.

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Et on s’est arrêté à une gare, la vieille y descendait. J’ai eu la chanson de la reine des neiges qui m’est venu en tête « délivré, libéré… ». Elle m’ordonna de l’aider à descendre ses bagages, je lui ai juste répondu « joyeux Noël ». Je n’en pouvais plus d’elle. J’espérais que personne ne prenne sa place.

Mais pourtant, une jeune femme est arrivée. J’ai eu instantanément le coup de foudre… Elle était magnifique, avait des cheveux bleus… »

De quoi parlait-il ? Je connaissais la suite… Mais… Il ne pouvait pas savoir, je n’en avais jamais parlé à qui que ce soit. C’était lui ? L’homme du train ? Mais non, ce n’était pas possible… De souvenir, cet homme était plus gros, avait plus de cheveux… Mais ses yeux et son regard… Et lorsqu’il était descendu du train avec ces deux enfants qui lui avaient sauté dessus, et sa femme à côté et son air pincé… Elise… Voilà pourquoi j’avais eu l’impression de l’avoir déjà vue.

  • Aïe, Pauline… Tu me tors la cheville là… Ca fait vachement mal…
  • Ho pardon… Désolée… Et donc, tu as eu un coup de foudre pour cette fille ?… Et, heu… Tu sais des choses sur elle ?
  • Très récemment, j’ai retrouvé sa trace.
  • Ha ? Comment ça ?
  • C’est en prenant le train pour venir jusqu’ici, mêlé à ce que j’ai entendu lorsque j’avais voulu passer chez toi au mauvais moment…
  • Deep Blue… J’imagine que tu as regardé sur internet…
  • Oui… Je regrette tellement de ne même pas avoir demandé ton prénom à cette époque. Je veux que notre histoire se finisse bien.
  • Moi aussi.

J’ai quitté sa cheville pour aller l’embrasser. Il était l’homme de ma vie. Je l’avais senti il y a cinq ans lorsque ce vide s’était installé en moi. Ca ne pouvait pas me faire plus plaisir que de savoir qu’Yvan était cet inconnu du train.

Charline rentra à nouveau dans la chambre pour me dire que ma tante était arrivée. Elle s’excusa de nous avoir dérangé alors qu’Yvan et moi étions en train de faire l’amour, au moment même où Yvan était en train d’éjaculer dans mon vagin. Ca avait été assez rapide, je n’ai pas eu d’orgasme, mais qu’est-ce que je me suis sentie bien et détendue après.

L’enterrement est passé. J’ai caché dans la veste de mon père le diamant qu’il m’avait offert pour mes dix-huit ans. Je ne l’avais pas porté depuis des années, il symbolisait trop la relation incestueuse que nous avions eu. Il a été enterré avec lui. Peut-être qu’un jour un chanceux le trouvera et qu’il saura quoi en faire.

L’avocat attendait de recevoir une nouvelle date pour la suite du procès. Yvan restait avec moi. Il n’avait pas d’obligation particulière, il était en arrêt de travail à cause de son accident de moto.

Je n’avais même pas essayé de prévenir ma mère pour la mort de son ex-mari. De toute façon, elle ne serait pas venue. Elle était certainement quelque part à l’autre bout du monde en train de souiller une magnifique plage de sable blanc.

Le procès reprit enfin. Les avocats ne s’étaient pas calmés entre temps. Je dirais même le contraire, ils m’attaquèrent comme des fous furieux. Mais, dès que la pression montait un peu trop, il me suffisait de regarder Yvan pour me calmer. Malgré tout ce qu’il put entendre ou voir, il restait prêt de moi.

Ce qui permit de prouver que le directeur mentait, alors qu’il avait juré qu’il n’était au courant de rien, n’était pas dû à mon témoignage, mais à la vidéo faite dans la bibliothèque. Sa femme, qui le croyait innocent jusque-là, se souvenait très bien d’être tombée dessus sur l’ordinateur de son mari. Elle avait, à l’époque, juste pensé qu’il s’agissait d’un porno quelconque, bien qu’étonnée qu’il puisse regarder ce genre de choses. Il était coupable.

Etait-ce à cause du contre coup de ces audiences ? En tout cas, juste après le verdict définitif, je me suis précipitée aux toilettes pour vomir…

  • Pauline ? Ca va ?
  • Beurp… Bof… Beurp.
  • Je peux entrer ?
  • T’es sûr de vouloir voir ta copine en train de… beurp… Gerber ?
  • Tu ne seras pas la première à qui je tiens les cheveux…
  • C’est bon, ça va mieux… beurp…
  • Ca en a tout l’air. Je rentre.

J’étais en sueur, je me sentais fiévreuse. Yvan rentra dans les toilettes alors que j’étais assise à côté de la cuvette. Je n’étais carrément pas à mon avantage. Il me sourit, j’ai vomi à nouveau, puis, je lui ai dis

  • J’ai dû choper un truc là.
  • On dirait bien. Encore quelques semaines et ça ira mieux.
  • Hein ?… Je ne comprends pas… Comment tu sais ?
  • Poitrine sensible, vomissements, tes règles sont en retard…
  • … Tu crois que je suis enceinte ?
  • Ca y ressemble bien… En tout cas, j’espère que je ne me trompe pas.
  • Ok… Je… Heu… Je crois que tu as raison… Si c’est un garçon, ça te dérange qu’on l’appelle Martin ?
  • Si c’est une fille, on ne l’appellera pas Martine par contre.
  • Ne me fais pas rire… beurp… Qu’on soit fixé, va acheter un test de grossesse.
  • J’y vais…
  • Si c’est une fille, j’adore le prénom…
  • Pas Camille, s’il te plait.
  • … Pourquoi ?… J’ai toujours adoré ce prénom et j’aurais aimé…
  • S’il te plait.
  • D’accord…. Pas Camille.

Chapitre 11

— Premier jour de reprise… Ça se fête mon grand accidenté.

— Pas de moquerie, s’il te plait Nathalie ! Je viens de passer une heure dans les transports en commun, je ne suis pas d’humeur. C’est l’horreur ce truc. Ça se bouscule dans tous les sens, ça pue, ça fait du bruit. Y’a même un mec qui m’a dit « dégage de mon chemin, l’handicapé ! », un sale petit con en costume. Je suis sûr qu’il se la pète alors qu’il n’est que vendeur de tapis dans une supérette de merde ! Et encore, je ne te parle pas de ces couloirs interminables et des horaires annoncés qui n’arrêtent pas de changer.

— Relaxe, beau gosse. Tu vas t’y habituer. Il y a des bons moments aussi.

— J’aimerai bien savoir lesquels.

— Parfois, tu en vois qui se mettent franchement sur la gueule, c’est plutôt amusant. Et, de plus en plus rarement, mais ça arrive encore, il y a un pervers qui se colle bien à toi et qui se frotte contre tes fesses.

— … Tu dis ça en prenant un air excité… Ça va toi sexuellement ?

— Moyen pour être franche. Mon homme a sa libido au point mort depuis que c’est fini entre nous deux. Ça l’excitait vraiment lorsque je lui racontais nos midis, avec tous les détails croustillants.

— Et tes autres amants ?

— Je fais une pause avec eux… Fais-moi fantasmer, et dis-moi comment c’est entre toi et Pauline.

— A une seule condition, que tu m’amènes dans n’importe quel concessionnaire deux roues ce midi ! Je n’en peux déjà plus, je suis même prêt à rouler en scooter.

Elle rit, elle me regardait avec des yeux pleins d’envies. Et elle s’approcha, m’enlaça pour me faire un câlin. Elle me serra fortement, elle commençait à me faire un peu mal et je lui ai dit « Je suis encore un peu sensible des côtes ». Elle se détacha alors de moi, me regarda en souriant avant de m’embrasser sur la joue, quasiment au coin des lèvres. Puis, elle s’éloigna pour sortir du bureau. Je lui dis alors

:

— Nathalie, j’aimerai beaucoup te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi.

— Mais, il n’y a qu’une seule façon dont j’ai envie que tu me remercies, et ce n’est pas possible.

— Autre chose, je suis sérieux lorsque je t’ai demandé de m’emmener chez un concessionnaire ce midi.

— Et moi, je suis très sérieuse lorsque je te dis que je suis en manque de toi. On n’a pas toujours ce qu’on veut. Et si tu remontes sur un deux roues, je te tue.

— Viens chez moi ce soir.

— Pardon ?… Que je comprenne bien… Pauline sera là ?

— Oui. Viens avec ton mari, on aimerait te demander quelque chose.

— … Tu éveilles ma curiosité. Ok, quelle heure ?

— 20 heures.

— Vaut mieux que je prévois une babysitteur pour mon fils ?

— Mes enfants ne sont pas là.

— A 20 heures, c’est noté.

Je ne sais pas vraiment ce que Nathalie avait compris ou espérait, mais elle arriva plus sexy que jamais. Elle portait un chemisier entièrement transparent montrant la guêpière que je trouvais si jolie sur elle, une jupe trop courte pour cacher ses bas, permettant de voir la peau de ses cuisses nues et les attaches. Elle ne portait ni culotte, ni string. Il suffisait d’être assis en face d’elle pour s’en apercevoir.

La tenue de Nathalie aurait pu inquiéter Pauline sur ses intentions, la rendre jalouse en voyant qu’une autre ose tenter de m’exciter. Mais non, Pauline prit aussitôt Nathalie dans les bras, l’embrassa chaleureusement sur les joues, la remerciant pour tout ce qu’elle avait fait pour moi… avant de se précipiter aux toilettes pour vomir, éveillant au passage la curiosité de Nathalie.

J’avais déjà rencontré le mari de Nathalie quelques années avant lors d’une soirée, celle-là même où Nathalie m’embrassa pour la première fois. J’avais trouvé à l’époque que c’était un curieux personnage, passionné par toutes les nouveautés technologiques. Ça n’avait clairement pas changé. Mais, il avait une autre passion également, dont il ne se priva pas de nous faire partager, surtout après avoir fait la connaissance de Pauline : la photographie. Il n’hésita pas à lui demander

:

— As-tu déjà été modèle photo ? Je suis certain que tu es très photogénique.

— … Je pose de temps en temps pour Yvan.

— Vraiment ? J’adorerai voir ce que ça donne.

— Heu… Ben… C’est plutôt… Intime…

— Ho… Mais, la pornographie est, à mon sens, un art. Mais, ce n’est pas du tout mon style. Je préfère le subjectif. Tu pourrais venir au studio de mon club pour faire un essai.

La proposition me laissa bouche bée. De quel type de photo imaginait il ? Si c’était dénudé, j’étais contre, où à la limite uniquement en ma présence. Nathalie regarda son mari perplexe. Pauline eut comme réaction de se précipiter aux toilettes, une nouvelle fois. Et là, Nathalie prit la parole en s’adressant à moi

:

— On est tous au champagne sauf Pauline, sans parler de ses nausées. Tu n’aurais pas quelque chose à annoncer ?

— De quoi parles-tu ?

— Tu veux un dessin ? J’ai bien remarqué sa poitrine plus gonflée que d’habitude. Encore quelques jours et ses soutiens gorges seront trop petits.

— Il y a une règle d’or, ne rien annoncer avant le troisième mois.

Nathalie sourit, son mari était toujours dans son trip photo : « c’est génial. Une séance par semaine jusqu’à la naissance. Ça fera un super souvenir, tout en suivant la transformation de son corps ». Nathalie ne l’écoutait plus, elle se leva en me demandant « tu as du gingembre ? », je lui ai dit où il était. Elle partit à la cuisine pendant quelques minutes, puis revint et donna une sorte de thé à Pauline en lui disant « avale, ça a été efficace pour moi ». Elle le but, elle n’eut pas besoin de retourner aux toilettes jusqu’à la fin de la soirée.

Alors que je discutais avec Nathalie, son mari et Pauline parlaient photo, jusqu’à ce qu’elle se mette à jouer les modèles pour lui, utilisant alors le téléphone de Pauline. Il n’y avait rien de méchant, un petit délire amusant. Mais, je surveillais qu’elle ne prenne pas de poses trop sexy.

Un peu plus tard, Pauline alla se changer en disant qu’elle voulait s’habiller de façon plus confortable. Je n’y ai pas trop prêté attention, avec Nathalie nous parlions justement d’elle et de la procédure de licenciement qui avait débuté à cause de son abandon de poste. Mais, lorsqu’elle revint de la chambre, je me suis mis en colère. Elle avait alors enfilé une des robes qu’elle portait lors de ses soirées libertines, rouge raz des fesses, décolleté jusqu’au nombril, et il ne fallait pas être fin observateur pour remarquer qu’elle ne portait plus de sous-vêtements. Je lui ai dit directement :

— Hors de question que tu te montres comme ça, vas te changer !

— Pardon ? Je te signale que tu mattes la chatte de Nathalie depuis une heure et que ça ne gêne personne. On va juste faire des photos, pas baiser. Regarde celles qu’il a déjà faites avec mon téléphone de merde, elles sont super jolies.

— Je ne rigole pas Pauline, vas te changer.

— Pourtant, j’ai eu l’impression que chacun pouvait faire ce qu’il voulait sans tenir compte de l’avis de l’autre. C’est con que je t’ai promis de ne rien dire à Nathalie. Je suis certaine qu’elle aimerait beaucoup savoir ce que tu es allé faire ce midi…

Je ne savais plus quoi dire. Je m’étais déjà pris une engueulade de la part de Pauline plus tôt, et là, Nathalie me regardait sévèrement. Elle avait tout de suite compris

:

— Tu t’es racheté une moto… Tu n’as pas compris la leçon ?

— Un scooter… Un petit 125 d’occasion qui ne va pas vite… Le temps de me remettre en selle.

— Yvan, ne me demande plus jamais rien de la vie ! Est-ce bien compris ?

Et Pauline qui en profita alors pour me dire « et bien, c’est peut-être le moment de lui proposer. On les a invités pour ça, non ? ». Nathalie prit un air interrogatif, je lui ai alors dit

:

— Je serais très honoré si tu acceptais d’être mon témoin.

— C’est une blague ?… Ça fait un mois et demi que vous êtes ensemble, sans parler de votre pause au début et vous allez vous marier ? C’est quoi ? Une caméra cachée ?

— Je n’ai jamais été aussi sûr de ma vie d’avoir pris la bonne décision.

Pauline choisit alors ce moment pour sortir la bague de fiançailles que je lui ai offerte. Nathalie me sauta dans les bras

:

— Bien sûr que je serai ton témoin.

— Natha… Mes côtes, tu me fais mal…

— Je m’en fous totalement… Viens là aussi Pauline que je te fasse un gros câlin. Et ça sera quand ?

— L’hiver prochain… On essaye de se caler sur notre première fois. Et comme ça, Pauline aura accouché.

Nathalie était déjà partie dans un gros délire sur le mariage, sur comment l’organiser. Elle me sortait toutes ses idées alors que Pauline se faisait photographier. Je n’ai rien dit lorsqu’elle fit tomber sa robe pour se montrer nue. Elle n’était pas du tout pudique ; j’étais à la fois contrarié et quelque part excité qu’elle s’exhibe devant nous. Elle était si jolie.

Lorsque la soirée fut finie, elle refusa que je la touche, même si elle en avait beaucoup envie. C’était ma punition pour avoir acheté ce scooter. Elle se masturba, je n’avais même pas le droit de regarder. Je n’entendais que ses gémissements.

Nathalie eut une fin de soirée plus agréable à ce qu’elle me raconta le lendemain. Son homme l’honora enfin. Il en avait eu tellement envie qu’ils n’ont pas attendu d’arriver chez eux pour évacuer cette tension sexuelle qui les avait gagnés. Le siège arrière de la voiture, garée au fond d’un parking, leur servit de nid d’amour.

Pauline avait un sacré caractère, je l’aimais aussi pour ça. Lorsqu’elle avait une idée en tête, il était impossible de la lui en faire sortir. Après une très longue discussion qui dura toute la nuit, j’ai cédé : j’ai accepté qu’elle aille une journée par semaine au club de photo du mari de Nathalie. J’y avais tout de même mis des conditions.

Chapitre 12

Je n’avais pas envie de devenir modèle professionnelle, mais ça me distrayait, ça me faisait sortir un peu et rencontrer de nouvelles personnes. Même si mon ancien travail me plaisait beaucoup, j’avais envie de voir autre chose, de changer d’air. La mort de mon père me fit prendre conscience qu’il fallait aussi avoir le temps de s’occuper de soi et des personnes qu’on aime.

J’avais quitté mon ancien appartement et j’avais emménagé définitivement chez Yvan. Il n’aimait pas que je dise ça, il me reprenait à chaque fois « chez nous ». Oui, c’était chez nous, mais j’aimais l’embêter. J’aimais lorsque nous étions juste nous deux, j’aimais lorsque ses enfants venaient. Je m’occupais de la maison, mais je n’étais pas pour autant une femme au foyer à ne faire que les corvées ménagères et regarder des conneries à la télévision en bouffant n’importe quoi. J’avais de quoi m’occuper.

Il y avait encore des trucs à régler par rapport au procès de mes anciens profs. Il y avait le mariage à préparer. Il fallait aussi que je vende la maison de mon père. Charline préférait ne plus y habiter, et pour ma part, je ne comptais plus y retourner. Charline… Nathalie… Lorsque j’y repense, elles ont toutes les deux couchées avec Yvan, et elles sont de loin les meilleures amies que j’ai pu avoir de toute ma vie. Yvan, lui, ne connait personne avec qui j’ai couché, à part mon père qu’il n’a qu’à peine vu ; et pourtant, beaucoup sont passés entre mes cuisses. J’avais arrêté de compter lorsque j’avais dépassé les deux cents.

Non, Yvan n’en connait aucun, même pas JC. Ce dernier avait souvent voulu reprendre contact avec moi. Mais ce n’était que pour de la baise parce que Maya ne le satisfaisait pas suffisamment. Ce n’était même plus un ami… Il me décevait de plus en plus, j’ai coupé tout contact avec lui.

Le temps passant, mes seins devenaient de plus en plus énormes, mon ventre commençait à s’arrondir. Des envies débiles apparaissaient, d’autres s’intensifiaient. J’arrivais cependant à me contrôler.

Nous devions être au quatrième mois de grossesse. Notre bébé n’allait pas s’appeler « Martin », nous venions d’apprendre que c’était une petite fille qui se nichait dans mon ventre. Lorsque je l’ai appris, j’étais super heureuse. Si on m’avait dit que c’était un garçon, je ne l’aurais pas été moins. Quoi qu’il en soit, je continuais à aller au club de photo.

Il n’y avait pas que le mari de Nathalie qui me photographiait ; je posais aussi pour d’autres du club. Parfois, ils étaient plusieurs à me prendre en même temps, avec leurs gros engins braqués sur moi. Je ne parle pas de trucs sexuels, même si certains semblaient être bien à l’étroit dans leur slip. Il y avait de toute façon une règle d’or : on ne touche pas au modèle, et tous la respectait.

Yvan avait imposé ses règles également : pas de nu, pas de poses trop subjectives. Pas de nu… dès la première fois, je ne l’ai pas respectée. Il avait été très contrarié :

— Je n’ai pas envie que d’autres te voient à poil, surtout si je ne suis pas là !

— Regarde au moins les photos. C’est juste artistique. Il n’y a rien d’érotique. Tu ne les trouves pas jolies ?

— Si… Non ! Tu fais chier ! Merde !

— Ne sois pas si jaloux. Mon corps et mon cœur ne sont rien que pour toi. Ça ne m’a même pas excité. Regarde, je n’ai pas les tétons qui pointent.

— … Mmmmh… Tu me fais tout de même chier.

Il s’y était habitué. Je finissais tout le temps entièrement nue. Mais, le temps passant, j’avais de plus en plus d’envies de bouffe et de sexe. Il parait que c’est fréquent chez les femmes enceintes. Quoi qu’il en soit, on voyait de plus en plus souvent mes tétons pointer franchement sur les photos. Yvan ne disait rien, mais l’avait bien remarqué… Jusqu’au jour où…

J’étais entre le quatrième et cinquième moi de grossesse. Mon ventre était un peu rond, mais ça allait, contrairement à mes seins qui étaient tout le temps tendus. J’avais des envies de plus en plus fréquentes. J’avais même forcé Yvan à rentrer un midi juste pour qu’il me fasse l’amour. Mais, le sujet n’était pas là, nous étions le soir à regarder les quelques photos qu’on m’avait donnée de la séance du jour. Yvan me dit

:

— Il y en a moins que d’habitude.

— Ha ? Tu trouves ?

— Tu vois bien… Par contre, certaines sont un peu limites…

— Ha oui ? Non, je ne trouve pas.

— Tout de même. Celle-là par exemple, la position à quatre pattes, même si c’est juste de profil, ça donne l’impression que tu veux te faire prendre par derrière.

— … Ben… Heu… T’as peut-être un peu raison, mais ça reste correcte tout de même.

— Tu peux me dire pourquoi on passe de la photo 28 à la 42 d’un coup ?

— … Je peux te le dire, mais tu risques de t’énerver.

— Je vais surtout m’énerver si tu ne me le dis pas.

— Je me suis peut-être un peu touchée.

— Tu te fous de ma gueule ?

— Mais on ne voit rien, tout a été pris de profil.

Je le vis passer du rouge au blanc. Il se leva, marcha de long en large, puis alla s’ouvrir une bière pour revenir s’assoir, mais pas à côté de moi, sur le fauteuil bien en face. Il me demanda alors, commençant un peu à se calmer :

— Ils étaient combien ?

— Trois.

— Et tu t’es branlée devant les trois…

— Je préfère le terme « masturber », et oui, devant ces trois photographes, plus la fille qui me maquille et l’autre qui me coiffe. Et ta nouvelle moto, elle roule bien ? Elle passe du 0 au 100 en combien de seconde ?

— Ne change pas de sujet de conversation !

— Je n’en change pas. C’est pareil. J’ai accepté que tu rachètes un bolide parce que tu as promis qu’il n’y aura plus d’accident. Je te fais confiance, alors, soit gentil, fais-moi confiance en retour. Même si j’ai envie de me branler avec un concombre devant la terre entière, je te promets qu’il n’y aura pas d’accident, je te promets que personne d’autre que toi me touchera.

Il ne dit alors plus rien. Il savait que son accident m’avait marquée à vie. Mais, je ne pouvais pas l’empêcher de refaire de la moto, il aimait bien trop ça, même si j’avais terriblement peur chaque jour qu’il lui arrive quelque chose.

Il est ensuite allé se coucher. Je l’ai rejoint quelques minutes après. Il ne dit rien, mais malgré sa contrariété, il me fit l’amour avec une extrême tendresse. Je n’ai jamais oublié ce moment.

Stanriff

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