Histoire de Sexe

Pauline – années adulte – Chapitre 7

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Privée de tous mes poils, je me sentais encore bien plus nue. J’étais à genoux, les mains derrière la tête. Il avait posé sur le sol à ma gauche mes vêtements de vagabonde, et à ma droite sa ceinture. La punition était simple : soit je repartais, sois j’acceptais de nouveau d’être frappée et je pourrai alors manger. Il m’avait dit dix coups. Les autres que j’avais reçus m’avaient fait très mal, mais rien d’insurmontable. J’avais tellement faim…

J’eu l’impression qu’il m’avait fouettée bien plus fortement que la première fois. Mes fesses étaient peut-être plus sensibles aussi. Lorsque sa ceinture claqua sur ma peau pour la dixième fois, je souffrais vraiment. Mes yeux étaient en larmes, je ne contenais plus mes cris… Et un onzième…

— Mais… Nous avions dit dix.

— Dix par mensonge Tu n’avais pas compris ça ? Tu as menti sur ton nom et ton âge. Il en reste donc 9. Mais, tu peux toujours décider d’en rester là et partir d’ici.

— … J’ai juste été surprise… Vous pouvez continuer.

Pauline - années adulte - Chapitre 7
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Je n’avais pas subi tout ceci pour m’arrêter et abandonner maintenant. Je l’ai donc laissé continuer à me faire mal. Et enfin, c’était fini. Il jeta alors du poisson et du riz sur le parquet. Je l’ai regardé étonnée : « sans les mains ! Allez chienne, tu peux manger ». Sans les mains ? « Chienne » ?… Je n’en étais plus à une humiliation prête. J’avais l’impression que mes oreilles bourdonnaient… J’ai léché le sol jusqu’à ce qu’il ne reste plus le moindre grain de riz.

L’homme, toujours installé sur son canapé, me demanda

— Tu en veux encore ?

— Merci, j’en ai déjà beaucoup mangé. Ça va aller comme ça.

— Bon, tu peux partir maintenant.

— … Il pleut beaucoup dehors…

— Je disais ça pour toi. Ton petit cul m’excite beaucoup et ta belle paire de nichon bien volumineuse me donne de sacrées envies.

Il baissa son pantalon et prit en main son sexe qu’il commença à masturber. Je n’avais plus faim, les picotements étaient terriblement là. Moi aussi, j’avais envie de me toucher, mais je n’osais pas. Cependant, mes yeux n’arrivaient pas à se détacher de cette main qui montait et descendait le long de sa verge.

— Dis voir, le spectacle à l’air de te plaire. Tu veux me la toucher ?

Pauline - années adulte - Chapitre 7
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— … Je n’ai jamais fait ça.

— Il faut bien commencer un jour. Approche.

Il me demanda de rester debout devant lui, jambes légèrement écartées, suffisamment penchée pour tenir sa verge. Il m’expliqua comment faire… C’était doux et chaud au touché… Vraiment agréable à tenir…

— Est-ce que je fais ça bien ?

— Vas moins vite, on a tout notre temps.

— … Comme ça ?

— Oui… Ça te plait, pas vrai ?

— …

— Non, pas besoin de répondre, ça se voit. Laisse-moi caresser tes seins.

— Oui… Si vous voulez.

Il y allait doucement, j’aimais… J’aimais… J’aimais même lorsqu’il tirait un peu sur mes tétons. C‘était une sorte de massage qui me faisait du bien alors que ma poitrine trop gonflée avait commencé à me faire un peu mal.

Après plusieurs minutes, sans demander mon autorisation, il glissa une main entre mes jambes, sur mon minou. J’ai poussé un petit gémissement de surprise, puis d’autres de plaisir alors qu’il massait cette zone que je savais très humide.

— Continue à me branler en même temps. Tu aimes, n’est-ce pas ?

— Oui, Monsieur… Pourquoi vous arrêtez ?

— Tu aimerais que je continue ?

— C’est très agréable.

— Aimerais-tu que je lèche ta petite chatte ?

— Je ne sais pas… Ce n’est pas dégoûtant ?

— Je jouerai avec ta chatte plus tard, si j’en ai encore envie. Maintenant, mets-toi à genoux, et emprisonne ma queue entre tes seins… Oui, comme ça. Fais des mouvements de vas-et-viens.

Puis, sans rien dire, il se leva, se masturba juste devant moi. Du liquide sortit de sa verge, frappa mon visage, tomba sur ma poitrine, mon corps. J’avais été étonnée sur le moment… Je comprenais ce que c’était. J’étais souillée, mais fière en même temps d’avoir su lui offrir un certain plaisir. Je savais que c’était du sperme et c’était loin d’être dégoutant.

Les picotements se calmèrent, sans que je fasse quoi que ce soit. J’ai eu l’impression d’entendre la voix de mon père lorsque je le surprenais dans des moments intimes avec ma mère, lui disant alors « je n’arrive à prendre du plaisir que si tu en as ». C’était peut-être la même chose pour moi.

Cet homme fut mon premier, s’occupant tour à tour de chacun de mes orifices pouvant servir de façon sexuelle. J’ai à chaque fois aimé. Il sut s’y prendre, il devait avoir beaucoup d’expérience. J’étais restée, j’avais au moins un toit chaud et de quoi manger à ma faim. Il y avait cependant certaines contraintes comme devoir l’attendre le soir à genoux devant la porte d’entrée, totalement nue, les mains derrière la tête. Il m’appelait « chienne », m’avait même achetée un collier en cuir sur lequel on pouvait attacher une laisse. Je devais l’appeler « maitre »… Il me fouettait régulièrement, parfois parce que j’avais fait une bêtise, souvent parce qu’il en avait envie.

Je pouvais supporter tout cela. Ses coups n’étaient rien, ses insultent passaient largement au-dessus de ma tête. Les moments sexuels étaient quasiment une délivrance. J’aimais lorsqu’il m’offrait à d’autres, par plaisir, ou pour l’aider dans son travail. Ça me permettait de m’évader un peu. Je ne savais même pas quel boulot il faisait, je m’en fichais totalement. Il était riche, bien plus que ce que j’avais pensé en pénétrant dans cet appartement la première fois. Tout l’immeuble lui appartenait, dont nous étions pratiquement les seuls habitants, et il devait certainement posséder bien plus encore.

Je n’aimais pas forcément la situation dans laquelle j’étais. J’aurais pu partir, m’enfuir des milliers de fois. Il n’avait aucune tendresse ni d’affection pour moi, ni moi pour lui. Mais, je restais là. Il me permettait d’oublier un peu ma véritable souffrance. Je ne lui ai jamais dit que j’avais tué mon père.

— Je sais pourquoi tu es ici, Jade.

— … Monsieur ? Vous connaissez mon nom ?

— Je te connais, oui. Tu pourras lui dire que quoi qu’il fasse, je refuse. Je n’aime pas ses manières et sa façon de faire. J’ai bien compris que pour lui ce n’est qu’une question d’argent. Et même si l’ordre vient de bien plus haut que moi, je refuse, prêt à en assumer les conséquences. Rhabille-toi, s’il te plait.

— … Vous me connaissez comment ?

— Sais-tu pourquoi il t’a envoyée ?

— Non. Je ne m’intéresse pas à ses affaires.

— Il tente d’imposer une solution low cost pour les cantines de la région, favorisant des produits industriels bas de gamme tout en se faisant des marges inadmissibles. Vois-tu de quoi je parle ?

— … Pas vraiment…

— En gros, il veut détruire tout ce que ta mère a mis en place durant des années et que je peine à maintenir depuis son départ.

— Vous connaissez ma mère ?

— Tu ne te souviens vraiment pas de moi ?

J’ai regardé cet homme, un député… Il me disait vaguement quelque chose, mais je ne savais pas si j’avais vu sa photo dans un magazine ou ailleurs. Je me suis sentie stupide ainsi nue devant lui. J’étais là pour « l’attendrir », j’ai eu l’impression à ce moment-là de n’être qu’une pute. J’ai remonté cette robe trop sexy pour tenter de cacher ma nudité.

— S’il vous plait, dites-moi comment vous avez connu ma mère.

— A l’époque, elle venait d’intégrer la mairie. Elle ne connaissait pas grand-chose aux méandres bureaucratiques, mais elle avait déjà la tête bien ancrée sur ses épaules. Elle savait ce qu’elle faisait et où elle voulait aller. Elle avait la meilleure des motivations pour aller jusqu’au bout : sa propre fille.

— … Vous dites ça d’une façon… Avez-vous eu une relation intime avec elle ?

— J’en ai rêvé plus d’une fois pour être franc. Mais, lorsque j’ai rencontré ton père, auquel tu étais toujours accrochée d’ailleurs, j’ai bien compris que je n’avais aucune raison d’espérer… Je ne t’ai pas vue à son enterrement.

— Je n’y suis pas allée.

— … Chacun a ses raisons… Comme disparaitre du jour au lendemain.

— J’imagine que vous allez lui dire que vous m’avez vue…

— Je m’occupe d’affaires politiques, pas d’affaires familiales. Cependant…

— Je ne peux pas aller la voir.

— Pourquoi ? Qu’as-tu fait de si grave pour ne plus oser parler à ta propre mère ?

— … Je l’ai tué… C’est moi qui ai tué mon père.

— Ce n’est pas ce que j’ai vu dans le rapport…

— Ça n’a rien à voir avec la réalité !

Et je suis partie. J’avais presque envie de recevoir ces coups de cravaches sur mes fesses, mon dos et mes seins parce que je n’avais pas réussi à convaincre ce député. La douleur physique était tellement plus douce que toutes les autres.

Chapitre 19

Suite à la discussion avec ce député, j’ai voulu aller voir Pauline, ma mère. J’ai pris beaucoup de temps à me décider, des mois étaient passés. Mais, elle était partie : elle avait vendu l’appartement, d’autres l’habitaient depuis plusieurs semaines déjà.

Ça m’a fait un coup… J’ai eu l’impression qu’elle m’avait abandonnée. Quelque part, elle était un peu ma bouée de sauvetage, me disant que si les choses allaient vraiment mal, je pourrais toujours revenir. Elle n’était plus là… Je ne voulais pas être seule… Peut-être qu’une personne pourrait m’entendre… me comprendre ?

— Veuillez patienter, je vais voir s’il peut vous recevoir.

— Merci…

— Il demande quel est le sujet de votre visite.

— Dites-lui que j’ai voulu aller la voir, mais elle est partie.

— Je ne suis pas certaine de comprendre.

— Dites-lui juste ça.

— … D’accord.

Le député accepta de me recevoir. Il me fit entrer dans son bureau. Je n’ai pas réussi à parler, je me suis mise à pleurer. Mais lui, ne se gêna pas : il me raconta sa rencontre avec ma mère, les fois où nous avions été invités chez lui… Lorsque j’avais cassé un vase ancien parce que j’étais en colère que mon père ait pu embrasser ma mère devant moi… Quel âge avais-je à l’époque ? 7 ou 8 ans ? Mais, je me souvenais pourtant de ce moment.

Elle s’était coupée les veines ? Je ne l’avais jamais su… Je me suis sentie plus mal, bien plus coupable encore. Et en même temps, je respirais beaucoup mieux en la compagnie de cet homme. Il semblait strict, mais gentil, comme mon père. Il me donnait un peu l’impression d’être à nouveau en famille.

Et j’ai arrêté de pleuré, nous avons un peu discuté, puis il me dit

— Allez, Pauline, rentres chez toi maintenant, il commence à être tard.

— Comment m’avez-vous appelée ?

— … Pardon… Je voulais dire Jade… Tu lui ressembles beaucoup, à part tes yeux que tu tiens de ton père.

— Merci monsieur de m’avoir reçue.

— Marc, appelle-moi Marc.

— Merci Marc.

— Reviens quand tu veux si tu as besoin de parler… Ou si tu as juste envie de passer.

Et je suis repassée quelques jours plus tard. Nous nous sommes revus encore un peu après… Une fois, deux fois… Vingt fois… Bien plus encore.

— Si je pose ma main là, ça te fait mal ?

— Ça picote un peu.

— Je n’aime pas voir toutes ces traces sur ton corps.

— Ce n’est que superficiel.

— Pourquoi le laisses-tu faire ?

— Je dois avoir un côté maso… Je me sens mieux après qu’il m’ait frappée, et ça m’excite beaucoup aussi. Mais, lorsque je suis avec toi, j’ai juste envie de tendresse. Sers-moi fort dans tes bras… Oui… J’aime lorsque tu me fais des bisous derrière l’oreille…

— C’était quoi sa raison cette fois ?

— Je ne sais pas. Il est arrivé de mauvaise humeur, je ne lui ai rien demandé, je suis juste allée chercher la cravache.

— Je crois que c’est de ma faute. J’ai refusé de le recevoir hier.

— Ça n’a aucune importance…. Hoooo… Continue, oui… Tout doucement comme ça…

— Je sens bien que tu aimes, tu mouilles de plus en plus… Je ne crois pas que je vais tenir très longtemps.

— Ce n’est pas grave… Ça me va comme ça… Hoooo… J’adore sentir ton sperme chaud envahir mon antre… Si tu n’étais pas marié…

— Si seulement ma fille était comme toi… Enfin, je ne parle pas niveau sexuel, évidemment. Mais, indépendante… Elle a 24 ans, et squatte toujours à la maison en faisant des crises d’ado. Je lui ai payé des études pour rien… Pardon, j’arrête d’en parler… Je serais en déplacement jusqu’à la semaine prochaine.

— Et bien, j’attendrai ton retour…

— En attendant, j’aimerai beaucoup que tu ailles rencontrer ta mère.

— … Je n’y arrive pas… Je l’ai vue la semaine dernière… de loin. Elle a sa petite vie et semble heureuse.

— Qu’est-ce qui te boque ainsi ? Tu as honte de quoi ?

— Ce qui me bloque ? Je ne sais pas… Peut-être que je me sens encore coupable pour la mort de mon père ; peut-être que j’ai honte de la vie que je mène. Qu’est-ce que je dois lui dire ? « salut maman. J’adore me faire baiser par des mecs pour faire plaisir à un type que je dois appeler maitre et qui me traite comme une chienne » ?…

Marc se releva et commença à s’habiller. Je sentais qu’il était vexé ; mes mots avaient dépassé ma pensée. Je me suis blottie contre son dos, il me prit dans ses bras et je lui ai murmuré :

— Je n’adore pas tant que ça. Tu sais que je préfère largement être dans tes bras, mais t’es marié…

— Pourquoi tu ne lui dirais pas directement ça finalement ?

— T’es sérieux ? Je n’ai aucune envie qu’elle me regarde comme si j’étais un monstre !

— Elle comprendra et elle t’aidera mieux que n’importe qui.

— Tu dis ça comme si tu la connaissais mieux que moi. Elle ne comprendrait rien du tout. Elle n’a eu qu’un seul amour dans la vie et c’est mon père.

— Elle a eu un passé avant lui…

— Attends, je ne me sens pas très bien là… Lâche-moi… J’ai envie de vomir…

Les jours passèrent. Je devais annoncer quelque chose à Marc, mais je ne savais pas comment le faire. Ça allait tout changer entre nous, c’était certain.

— Tu es encore malade ?

— … Non… Je suis enceinte.

Nous étions dans son bureau. Il lâcha ma main qu’il tenait depuis que j’étais arrivée, et alla s’assoir sur son fauteuil, l’air soucieux. Je me suis mise à genoux, implorante

— Je suis vraiment désolée, ce n’était pas voulu.

— Relève-toi ! Je n’accepterai jamais qu’une femme s’agenouille devant moi. Debout !

— … J’ai pensé à me faire avorter.

— … Non… Tu sais que ce n’est pas dans mes principes. Mais, je ne reconnaitrai pas l’enfant. Plein de portes sont en train de s’ouvrir pour ma carrière, ce n’est vraiment pas…

— Je ne te demande rien… Il est au courant…

Marc ne dit alors plus un mot. Il réfléchissait, il était un homme intelligent, et devait déjà comprendre les conséquences. Je n’avais aucun doute sur le fait que Marc était le père. « Maitre » n’éjaculait jamais dans mon vagin. En ce qui concerne les autres hommes avec qui je couchais pour aider « Maitre », ils utilisaient toujours des préservatifs.

— Tu lui as dit ?

— Il a compris tout seul.

— Il t’a fait du mal en l’apprenant ?

— … Il était fou de joie.

— Et merde ! Parts ! Quitte-le !

— Mais… Pour aller où ? Je suis complètement dépendante de lui, tu le sais. Je n’ai même pas le bac. Et tu te souviens de ce qu’il a fait lorsque j’avais enfin trouvé un petit boulot ?

— A la boulangerie ?

— Oui. Je n’ai même pas tenue une demi-journée… Rappelle-toi le haut trop transparent qu’il m’avait obligée à mettre. Tout le monde voyait mes seins. Il savait très bien qu’humiliée ainsi l’excitation monterait en moi… La patronne n’avait pas apprécié mes habits et encore moins le fait que je sois obligée d’aller me masturber pour me calmer…

— … Lorsque je t’ai connue encore gamine, même ado, tu étais combative. Tu ne te laissais jamais faire.

— J’ai changé.

— Non ! Je refuse de le croire !

— Tu te trompes. Je suis désolée… Soit clair avec moi : on arrête tout et on ne se voit plus ?

— C’est le mieux que nous puissions faire. J’espère que les choses s’arrangeront pour toi.

— Merci… Adieu.

« Maitre »… Patrice… commença à me laisser tranquille. Je restais son esclave, devant tenir en ordre l’appartement, me fouettant lorsqu’il avait passé une mauvaise journée, m’habiller sexy lorsqu’il invitait du monde et faire semblant que nous étions un véritable couple. Mais c’était tout. Fini les contraintes sexuelles. Fini de devoir dormir nue sur le parquet du salon. Fini de devoir l’attendre nue devant la porte, à genoux, les mains derrière la tête. Il me laissait m’occupait de ma fille.

Patrice trouvait que le nom que je lui avais donnée était ridicule : Yvana… Elle le portait si bien pourtant. Elle et moi étions inséparables et complices. Et il y eu ce jour, m’étant enfin décidée à aller sur la tombe de mon père… Pauline, ma mère… Elle était comme dans mes souvenirs, aussi jolie… Trop de sentiments m’envahirent alors ; j’ai laissé Yvana passer devant. J’avais tellement honte de ce que j’avais fait, de ce que j’étais devenue…

Même à elle, je ne lui ai jamais dit qui était le véritable père d’Yvana. De toute façon, en quoi ça avait une importance ? Je n’aimais pas l’homme avec qui je vivais, mais mon existence était devenue confortable, en partie en tout cas.

Yvana passa de nombreuses vacances chez sa grand-mère. Patrice… « Maitre »… profitait alors de ma « disponibilité » pour que je redevienne la chienne qui sommeillait en moi. Le salaud savait encore comment me rendre folle d’envies. Que ce soit pour lui ou pour un autre n’avait aucune importance. Je m’offrais pour sentir le plaisir que l’autre avait, calmant ainsi mes envies lorsqu’il se déchargeait.

Les années passèrent. Je n’ai eu aucunes nouvelles de Marc, je n’ai jamais essayé de le recontacter, je regardais tout de même dans les médias si on parlait de lui. Yvana poussait comme une jolie fleur. On avait dit que je ressemblais beaucoup à ma mère, mais ma fille était son portrait craché. Elle était belle et intelligente, j’étais si fière d’elle. Mais…

— Patrice ? Qu’est-ce que tu fais ?

— Je vais me raser.

— Mais… Yvana est en train de prendre une douche…

— Et alors ? T’as peur que je matte son beau petit cul et ses seins qui poussent de jour en jour ?

— … Elle n’a que quatorze ans !

— Et dans deux mois, elle aura la majorité sexuelle. Pour une fois, je serai là pour son anniversaire.

— Arrête… Elle n’est pas comme ça.

— Comme quoi ? Comme toi ? Une sale petite chienne ? Mais, elle le deviendra. Regarde là, elle est déjà accroc à ma carte bleue. Elle le sera à ma bite, comme tu l’as été.

— … Je vais l’éloigner de toi.

— Tu comptes aller chez ta sale folle de mère ? Même Yvana ne veut plus y aller ; de toute façon j’irais la chercher quoi qu’il en soit. Tu te rends compte que ta mère parle tous les jours à la photo d’un mort ?

— … Elle parle à mon père !… Utilise-moi à sa place.

— T’es trop vieille.

— J’ai à peine 38 ans, et je suis encore bien faite… Tu le sais. Je peux encore te servir. Laisse-là… Demande-moi ce que tu veux, mais laisse-là !

— … D’accord. C’est ton choix. Pour commencer, tu coupes les ponts avec ta mère. Ensuite, je ne veux plus jamais que tu m’adresses la parole sans commencer ta phrase par « maitre ».

— Mais, Yvana…

— Mes conditions ne sont pas discutables ! Je t’en donnerai d’autres en fonction de mes envies. En voilà déjà une : tu n’es plus autorisée à porter le moindre sous-vêtement.

J’espérais qu’Yvana soit outrée de ce qu’elle verrait. Ça lui ferait prendre conscience de qui était cet homme, et elle s’éloignerait encore plus de lui qu’actuellement, nous offrant alors la possibilité de nous échapper. Je me sacrifiais pour elle. Elle était intelligente, je savais qu’elle comprendra… J’espérais.

Stanriff

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