Histoire de Sexe

Pauline – Années étudiantes – Chapitre 2

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En entrant dans la cuisine, je vis André en train de faire la vaisselle devant sa fenêtre. JC alluma la lumière, celle-ci se refléta dans la vitre et m’empêchait de savoir si mon cher voisin s’était mis à regarder.

JC choisit la plus grosse banane, et tapotant sur ma machine à laver, me dit :

  • Vas-y, assis-toi là.
  • Tu ne veux pas retourner dans le salon ?
  • Ben, on ne sait jamais si je dois trouver une nouvelle idée, autant éviter les allers-retours.

Et il m’attrapa par la taille et me porta pour m’asseoir sur la machine. J’ai tourné la tête vers la fenêtre, de cet angle, la lumière se reflétait moins. Je distinguais André qui me fit un petit signe de la main, et JC m’ouvrit les cuisses. Il caressa mon minou avec le fruit avant de l’enfoncer dans mon vagin. J’ai tout de suite commencé à gémir…

  • La vache, t’es super chaude là. C’est de te faire baiser par ça qui t’excite autant ?
  • … On dirait bien…

Ou, c’est plutôt le fait de m’exhiber devant mon voisin. Mais, il était hors de question de l’avouer à JC. « Continue un peu toute seule, j’ai besoin de pisser ». J’ai continué, en regardant André. Je lui ai fait un petit coucou de la main à mon tour. Je voulais qu’il sache que je le voyais aussi.

JC revint, il me regarda me branler toute seule un moment avant d’ouvrir le frigo. Il en sortit une carotte « Pour sodomie ? ». J’ai répondu en me penchant sur le côté et en écartant les fesses. Ce ne sont pas les seuls objets qui m’ont pénétrée durant cette soirée. Il a joué avec mon corps, l’a pénétré avec tout ce qui lui passait sous la main : concombre, courgette, bouteille, télécommande… et j’en passe et des meilleurs.

Pauline - Années étudiantes - Chapitre 2
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A un moment, il s’est mis à rebander, et il m’a baisée à nouveau, s’arrangeant toujours pour qu’au moins deux de mes orifices soient pris. Et nous nous sommes à nouveau retrouvés sur le tapis du salon. Il était allongé sur le dos, il venait d’éjaculer sur son ventre. J’étais contre lui, à nettoyer avec ma langue, à avaler son nectar.

  • Ok Pauline, pour ma part, je n’en peux plus.
  • Tant mieux, je suis exténuée. T’as l’heure ?
  • Heu… Attends… T’as une horloge quelque part ? Ha oui, je vois à l’entrée… Putain, plus de deux heures du mat.
  • Merde, on va être frais pour les cours.
  • Ca te dérange si je dors ici cette nuit ? J’ai un peu la flemme de rentrer chez moi là. Je dormirai sur le canapé.
  • Tu peux dormir dans mon lit. Il est grand.
  • Nan… Je serai dans le canapé. Je devrai déjà être parti… Tu te souviens ? Juste de la baise.
  • Ca marche.
  • Je vais te dire un truc que je n’ai jamais dit à aucune fille : avec toi, dès que t’as envie, c’est où tu veux, quand tu veux.
  • Ok, maintenant !
  • Ha ha ha, très drôle. Au fait, tu devrais refaire ta couleur de cheveux, le bleu te va super bien.

Lorsque je me suis levée, ayant pourtant besoin de plusieurs heures de sommeil supplémentaires, JC était parti, sans prévenir, sans me réveiller. Je me suis dépêchée, j’étais déjà en retard.

En quittant mon appartement, j’ai trouvé un petit mot glissé sans ma porte. J’ai profité l’attente de l’ascenseur pour le lire :

« Ma très chère Pauline,

Je sais à présent qu’il ne me sera pas nécessaire de vous suggérer à nouveau d’installer des voilages à votre fenêtre. Je suis heureux que vous ayez trouvé un nouvel ami qui a visiblement su combler vos envies.

Vous êtes une femme étonnante et merveilleuse à la foi. Je ne jouerai plus le voyeur qui guette chacunes de vos apparitions, impatient de revoir la beauté que vous êtes. J’observerai simplement ce que vous voudrez bien me montrer.

Je vous remercie très chaleureusement pour hier. Vous avez su faire renaitre en moi mon ancienne passion longtemps oubliée. Je dessinais, je peignais, principalement des natures mortes. Je n’ai jamais eu la possibilité de m’offrir un modèle qui poserait pour moi. Mais, c’est-ce que vous avez été sans le savoir.

Je vous ai laissé dans votre boîte aux lettres quelques croquis que j’ai fait hier. Il n’y a rien d’exceptionnel, j’ai perdu la main avec toutes ses années passées.

A très bientôt,

Pauline - Années étudiantes - Chapitre 2
Nouveaux profils

André, votre vieux voisin. »

J’aurai aimé prendre le temps de faire le détour pour aller jusqu’aux boîtes aux lettres, mais j’étais vraiment très en retard. Je suis passée par la sortie secondaire qui était le plus court chemin pour aller à l’école, et j’ai couru le plus rapidement possible.

Il y avait un rassemblement dans le hall principal, et Amandine debout sur une chaise en train de parler fortement à tout le monde. J’arrivais juste au début de son discours :

« Ecoutez-moi bien… Un peu de silence s’il vous plait !! Ok… J’ai largué Thomas car c’est un sale connard. Si je vous dis ça c’est pour mettre en garde toutes les filles de l’école et n’hésitez pas à en parler au tour de vous. S’il a la possibilité, il vous filmera en cachette dans votre intimité ! ».

Là, j’ai eu un petit stress qui est monté. J’espérais qu’elle ne parle pas de moi et de ce qu’il avait fait. Je n’avais pas envie que l’attention soit portée sur moi et qu’on demande des détails sur ce qu’il s’était réellement passé.

« … Pauline en a été sa victime, j’en ai été sa victime, Marine aussi, et Hanna, Anaïs, Isa, Flo ! J’ai découvert hier qu’il cachait une petite caméra dans la salle de bain. Oui mes chères amies, il a filmé chacune d’entre vous en train de faire son petit pissou à notre soirée de samedi dernier !

Thomas ! Je ne sais pas où tu te caches, mais je suis certaine que tu m’entends ! Sache que j’ai supprimé tout ce que tu sauvegardes sur ton drive ! Ton ordinateur est en miette ! Et si je découvre que tu as des sauvegardes ailleurs, ce ne sera pas qu’un simple œil au beurre noir que tu auras, je t’exploserai tes petites couilles inutiles !

Merci de m’avoir écoutée. »

Alors que la veille j’ai eu peur de devenir la risée de l’école, c’est Thomas qui se faisait bousculer, insulter. J’avais de la pitié pour lui, je savais ce que ça faisait. Je savais aussi qu’il le méritait largement, mais pas encore à quel point.

Amandine vint me parler durant la journée

  • Ca s’est bien passé avec JC après que je sois parti ?
  • Oui, ça va. Il est plutôt sympa en fait. Il joue les gros lourds devant les autres, mais je pense que c’est un type bien.
  • Il l’est, je te l’assure. Mais, fais gaffe, il voudra te sauter… A moins que… Une de plus sur son tableau de chasse ?
  • … Bon, et si on parlait d’autre chose ? Au fait, bravo pour ton discours de tout à l’heure. Et comment t’as su ? Je n’ai jamais rien vu sur son ordinateur.
  • Je n’ai pas eu besoin d’y toucher, fallait juste accéder à son disque dur et surtout attendre qu’il dorme. L’un de mes ex était plutôt très doué en informatique, il m’a appris quelques petits trucs… Et paf, tous les fichiers visibles sur le mien…
  • Et il a vraiment caché une caméra dans ta salle de bain ?
  • Oui, ce n’est pas du pipo, mais ce n’était pas son coup d’essai…
  • Il l’a fait à moi aussi ?
  • Et pas que dans la salle de bain. Il y avait des centaines et des centaines de vidéos de toi.

Je la vis se mettre à sourire légèrement avant d’ajouter « j’ai pas tout regardé, mais le peu… T’es une sacrée branleuse toi. Toutes celles que j’ai ouvertes, t’étais en train de te toucher… Enfin… Je suis tombée sur un fichier… Trop con le mec, il y a mis tous ses mots de passes de ses différents comptes internet ». Un petit silence, et je lui dis :

  • Bon, ben je pense que je te dois des remerciements.
  • Ca ne sera pas utile. Disons que les compteurs sont à zéro.
  • Pas vraiment, tu n’as pas mis sur internet mes vidéos, tu les as même détruites…
  • J’ai couché avec Thomas en Mai pendant que tu étais dans tes révisions.
  • … Tu… Quoi ?
  • Ben, ça faisait un moment que j’avais envie de sortir avec lui, et puis ça m’amusait de te rendre cocu pour être franche.
  • … Ok pour les compteurs à zéro. Putain, je n’arrive même pas à croire que je n’ai jamais rien vu…

Amandine partit, et me dit d’un peu plus loin « Ca serait sympa que tu viennes à une de nos soirées un jour. T’es finalement peut-être plus cool que ce que tu en as l’air. »

Et enfin la fin des cours. Je suis rentrée chez moi à marche rapide. J’étais pressée de découvrir ce qui m’attendait dans la boîte aux lettres. Et je n’ai pas été déçue : cinq feuilles d’un bloc-notes. Il n’y avait rien de cru, de hard, tout était dans la suggestion, seul mon visage était dessiné. C’était sous différents angles, toujours avec la bouche entre-ouverte, montrant que je prenais du plaisir.

Je suis allée sonner à sa porte sans même passer par chez moi avant.

  • Oui ? C’est pour quoi ?
  • Bonjour André, c’est Pauline.
  • Ha… Pauline. Attendez, j’ouvre.

Quelques tours de verrous après, et je l’embrasse sur la joue.

  • Que me vaut cet honneur ?
  • Vos dessins sont trop beaux. Merci beaucoup.
  • Ho… Mais non. N’importe qui est capable d’en faire autant.
  • Pas moi en tout cas.
  • Bon, je vous l’avais dit que vous trouverez facilement un nouvel amoureux.
  • Ha… Heu non, ce n’est pas un amoureux, c’est juste un ami.
  • Un ami… Et bien, cette notion d’amitié a bien changé avec le temps. Bon, je ne vais pas vous retarder plus que ça. J’imagine que vous avez beaucoup de choses à faire.
  • Non en fait. Je vais être toute seule ce soir. Et puis, ça serait bien qu’on fasse plus connaissance. Ca vous dirait de passer chez moi pour discuter ?
  • Et bien, on va faire quelque chose. Je vous invite pour dîner. Nous pourrons discuter librement.
  • D’accord pour moi.
  • Vers 19h00 ?
  • Je ne serai pas en retard.
  • Ca sera juste un petit repas tout simple, sans fioriture. Et si vous changez d’avis, ça ne sera pas grave.
  • A tout à l’heure André.

J’avais deux heures devant moi. Mais, le temps que j’aille courir un peu, que je prenne ma douche, que je me prépare, ce n’était pas de trop.

André m’amusa dès mon arrivée. Il avait beau avoir précisé qu’il s’agissait d’un repas tout simple, il avait mis les petits plats dans les grands, s’était fait beau pour me recevoir. Et pourtant, il me dit que je n’avais pas besoin d’arriver aussi élégante. Je m’étais effectivement maquillée, un peu coiffée, et je portais une robe légère blanche. Je voulais être belle pour notre premier repas ensemble.

Il me posa beaucoup de questions sur moi, ma vie. Je ne lui parlais que de ce qui était racontable. Et puis, j’ai réussi à le faire parler de lui.

  • A bon ? Vous avez 79 ans ? Je n’aurais pas dit autant. Et vous êtes veuf depuis longtemps ?
  • Quelques années maintenant.
  • Je peux vous demander de quoi votre femme est morte ?
  • Ho oui, ce n’est pas un secret, elle est morte de chagrin… Mon fils cadet travaillait dans les tours jumelles de New York, et il y était lors des attentats du 11 Septembre 2001. Elle n’a jamais réussi à s’en remettre.
  • Ha… Je comprends. Et vous avez combien d’enfants ?
  • Plus qu’un, et deux petits enfants.
  • Comment était-ce votre vie avec votre femme ?
  • Tumultueux. C’était une femme de caractère, mais je l’aimais et elle m’aimait aussi. Et pourtant, je n’ai pas toujours été le mari parfait.
  • Comment ça ? Vous l’avez trompé ?
  • J’ai fauté sept fois pour être exact.
  • Elle l’a su ?
  • Je le lui ai dit à chaque fois.
  • Ho… J’imagine… Cris, pleurs…
  • Pas du tout en fait. A chaque fois, elle ne disait rien, partait dans la chambre, et en sortait toute jolie. Elle prenait ses affaires et ne revenait que le lendemain matin. Elle venait contre moi afin que je puisse bien sentir l’odeur d’un autre homme. C’était sa façon de se venger.
  • Effectivement, ce n’était pas banal.
  • Ca me mettait en rage. Je sais bien que de nos jours, ça aurait fini par un divorce. Mais, ça ne se faisait pas vraiment à notre époque. Et, étrangement, après sa mort, j’ai arrêté de regarder les autres femmes.
  • Vous me regardez pourtant.
  • Vous ne me laissez pas vraiment le choix, mais vous êtes la seule.

Ca nous fit rire, la soirée se déroulait paisiblement. J’aimais ce temps passé avec cet homme. Il me montra quelques peintures qu’il avait fait il y a bien longtemps. Elles étaient tout simplement magnifiques, vives, colorées. J’étais loin de connaitre quoi que ce soit en art, mais elles me donnaient des sensations agréables.

  • Ca me ferait plaisir de poser pour vous.
  • Poser pour moi ? Ho, mais non, j’ai arrêté tout ça.
  • Mais, vos dessins…
  • Juste quelques traits de crayon sur un bout de papier. Vraiment rien de compliqué. Je ne serais plus capable de faire ce genre de choses.
  • Je suis certaine que si. C’est comme le vélo, ça ne se perd pas. Il vous faut juste un peu d’entrainement.
  • Oui, mais ça prend du temps.
  • Et bien dans ces conditions, je passerai la journée de samedi avec vous, et nous travaillerons ensemble. Vous n’avez pas le droit de dire non.
  • Alors, ça sera oui.

Il ne voulut pas que je l’aide à nettoyer, je suis rentrée chez moi. Il n’est pas encore 22 heures, mais nous étions tous les deux fatigués. Je suis allée dans ma cuisine, j’ai allumé la lumière, et ouvert la fenêtre afin de voir André sans le reflet de la lumière. Il était en train de faire la vaisselle, il me fit un petit coucou.

La température hivernale pénétrait dans la pièce, mais je n’avais pas froid. Je me suis déshabillée devant cette fenêtre. Nue, je me suis assise sur la table de ma cuisine. Tout en le fixant, j’ai commencé à me toucher doucement. André s’est absenté un court instant, et revint avec un carnet et un crayon.

Nous nous sommes à nouveau dit au-revoir quelques minutes plus tard pour aller nous coucher, juste après mon orgasme.

Chapitre 7

Je n’avais pas oublié mon rendez-vous avec André. Mais, je devais aussi rendre un devoir important pour l’école le lundi matin et nous avions été prévenu que le vendredi après-midi. J’ai travaillé ce vendredi soir. J’ai juste pris un peu de temps pour refaire ma couleur, fortement motivée par plusieurs personnes qui aiment mes cheveux bleus.

Je suis tout de même allée chez André, mais avec mon ordinateur, et mes affaires de cours. De toute façon, un modèle ne bouge pas beaucoup. Il croquait mon visage, qui devenait de plus en plus ressemblant au fur et à mesure de ses dessins. Il rentrait de plus en plus dans les détails, c’était de plus en plus joli.

  • Vous ne dessinez que les visages ?
  • C’est souvent le plus compliqué à reproduire pour réussir à faire ressortir les émotions. Mais non, la dernière fois, je vous ai dessinée en entier.
  • D’ailleurs, vous ne m’avez pas montrée.
  • Il est un peu coquin.
  • J’étais un peu coquine. S’il vous plait, j’aimerai le voir.

Oui, j’étais en entier, assise, cuisses écartées, une main sur mon vagin, une autre empoignant un sein. J’avais la tête un peu baissée avec les cheveux qui tombaient vers l’avant, et ma bouche entre-ouverte. J’adorais ce dessin, il me ressemblait tellement.

  • Savez-vous qu’il est presque midi ? Je vais préparer un petit repas.
  • Ho non, ne vous embêtez pas, je vais rentrer chez moi. Je vois que vous avez bien progressé, vous reprenez du doigter.
  • Hors de question. J’aime beaucoup votre présence. Voulez-vous un verre d’eau pendant que je prépare le repas ? Vous n’avez pas arrêté de travailler, vous devez avoir soif.
  • … Je veux bien, merci. Ca vous dérange si je me mets un peu plus à mon aise ?
  • Je vous en prie, faite comme chez vous.

La raison pour laquelle je voulais rentrer chez moi était toute autre. Lorsque je travaille comme ça, concentrée, à ne pas compter les heures, j’ai souvent besoin d’une petite pause, d’un petit moment rien qu’à moi. Il voulait que je reste, je n’avais pas non plus envie de partir, j’étais bien ici… Et puis, après tout, avec tout ce que je lui avais déjà montré…

Lorsqu’il revint, j’étais nue, assise sur ma chaise, derrière mon ordinateur. Il eut un temps d’arrêt et me dit

  • Voyons, lorsque vous m’avez dit que vous aimeriez vous mettre plus à l’aise, je ne m’attendais pas à ça. Rhabillez-vous, ça sera plus convenable.
  • J’aime être nue. Vraiment, je travaille mieux ainsi. Et puis, ce n’est pas la première fois que vous me voyez.
  • Non, enfin… Pas comme ça…
  • Je comprends que ça puisse vous étonner. Mais, si ça vous gêne vraiment, dites-le-moi, et je vous laisserai tranquille.

Il ne dit rien, s’installa à côté de moi et repris son carnet et son crayon. Cette fois, il ne dessina pas mon visage, mais mon sein droit, rentrant dans les moindres détails, les moindres bosses, les moindres creux. J’ai dû faire une drôle de tête un moment car il me demanda « ça vous gêne que je dessine votre poitrine ? ». Non, ce n’était pas ça. J’avais besoin de faire ma pause…

Ma main glissa entre mes cuisses et j’ai commencé à me caresser. Je ne me suis pas exhibée en écartant les jambes devant lui. Je me suis juste touchée, comme si je l’aurai fait en étant seule. Le plaisir est monté, ma jouissance est arrivée, et je me suis sentie mieux.

  • Désolée si je vous ai choquée, mais lorsque je travaille comme ça, j’ai toujours besoin de faire redescendre la pression un moment ou à un autre. Je ne vous promets pas que ça ne se reproduira pas.
  • Je vois. Je vous ai dit tout à l’heure de faire comme chez vous, alors, ne vous gênez pas. Vous me surprenez de plus en plus.
  • En mal ?
  • Ne dites pas de bêtises. Bon, j’avais dit que j’allais préparer un petit quelque chose à grignoter.

J’ai continué à travailler en mangeant. Après avoir fini son repas, André est parti faire une sieste. Il n’a alors pas assisté à une nouvelle masturbation de ma part. Lorsqu’il revient deux heures après, j’avais rangé mes affaires et étais en train d’enfiler mon jeans. Il me demanda

  • Vous partez ?
  • J’ai bien avancé. Il ne me reste presque plus rien à faire, mais je garde ça pour demain. Je n’en peux plus, j’ai besoin de prendre l’air… Vous semblez déçu. Je peux revenir demain si vous voulez.
  • Ca ne sera pas possible. Mon fils vient me chercher demain matin et je ne reviendrai que dans la soirée. Est-ce que le week-end prochain…
  • Non. Je prendrai le train pour aller chez mon père. Je vais y passer les vacances de Noël. Voulez-vous que je reste encore un peu et que je pose pour vous ?
  • Ca me ferait effectivement plaisir. Je ne vous ai pas encore dessiné de dos.
  • Je me mets nue ?
  • Si cela ne vous dérange pas.

J’ai tenu la pose qu’il me demanda pendant plusieurs longues minutes. Je me suis rendue compte que ce n’était pas si facile que ça, et pourtant, je n’avais rien de compliqué à faire : tenir mes cheveux au niveau de la nuque, et rester debout légèrement cambrée.

Durant ce temps, il ne dessina que les traits principaux, sans rentrer dans les détails. Puis, j’étais libre de me mouvoir comme bon me semblait. Il avait juste besoin de voir mon corps de temps à autre pour peaufiner, mettre au bon endroit un grand de beauté. Et le résultat final était quasiment photo réaliste.

  • Bon, puisque vous l’aimez tant, je vous le donne.
  • Merci beaucoup André.

Je l’ai pris dans mes bras, collant ton mon corps nu contre le sien. J’éprouvais une grande affection pour cet homme. Je me sentais libre d’être qui je voulais avec lui. Mais je me suis rendue compte que je lui procurais quelque chose de plus. J’ai bien senti un truc durcir contre mon bas ventre. J’ai été surprise, je ne pensais pas qu’à son âge la machine fonctionnait encore.

Je l’ai relâché, il était tout rouge et visiblement gêné. Je ne savais pas trop quoi penser non plus, mes idées étaient confuses. Alors, je me suis rhabillée. Il me dit

  • Si vous êtes libre lundi soir…
  • Je finis les cours vers 17h00. Si je n’ai pas d’empêchement, je pourrai passer.
  • Bon, et bien, je vous souhaite une bonne soirée et un bon dimanche.
  • Merci, à vous aussi.

Je suis rentrée chez moi, je me suis changée pour aller courir une petite heure. Et je n’ai pas arrêté de me demander s’il était capable de plus que bander. Je n’avais pas envie de coucher avec lui, mais j’avais envie d’expérimenter. Et c’est tout excitée que je suis rentrée chez moi. J’avais besoin de sexe, j’avais besoin d’une bonne queue. Je savais qui appeler pour me satisfaire. Et au téléphone

  • JC ? C’est Pauline. Je me demandais si tu étais libre ce soir pour passer chez moi ou pour que je vienne.
  • Ha… Ce soir, je suis pris.
  • Et tu ne peux pas décommander ?
  • Tu as tant envie que ça ?
  • Faut croire.
  • Mais, désolé, non, c’est pas possible. C’est mes deux meilleurs potes du lycée qui débarquent et qui vont passer la nuit. Petite soirée entre mecs. Mais, tu peux passer demain après-midi.
  • Bon… Ok pour demain après-midi. C’est quoi ton adresse ?

Chapitre 7

Je n’avais pas oublié mon rendez-vous avec André. Mais, je devais aussi rendre un devoir important pour l’école le lundi matin et nous avions été prévenu que le vendredi après-midi. J’ai travaillé ce vendredi soir. J’ai juste pris un peu de temps pour refaire ma couleur, fortement motivée par plusieurs personnes qui aiment mes cheveux bleus.

Je suis tout de même allée chez André, mais avec mon ordinateur, et mes affaires de cours. De toute façon, un modèle ne bouge pas beaucoup. Il croquait mon visage, qui devenait de plus en plus ressemblant au fur et à mesure de ses dessins. Il rentrait de plus en plus dans les détails, c’était de plus en plus joli.

  • Vous ne dessinez que les visages ?
  • C’est souvent le plus compliqué à reproduire pour réussir à faire ressortir les émotions. Mais non, la dernière fois, je vous ai dessinée en entier.
  • D’ailleurs, vous ne m’avez pas montrée.
  • Il est un peu coquin.
  • J’étais un peu coquine. S’il vous plait, j’aimerai le voir.

Oui, j’étais en entier, assise, cuisses écartées, une main sur mon vagin, une autre empoignant un sein. J’avais la tête un peu baissée avec les cheveux qui tombaient vers l’avant, et ma bouche entre-ouverte. J’adorais ce dessin, il me ressemblait tellement.

  • Savez-vous qu’il est presque midi ? Je vais préparer un petit repas.
  • Ho non, ne vous embêtez pas, je vais rentrer chez moi. Je vois que vous avez bien progressé, vous reprenez du doigter.
  • Hors de question. J’aime beaucoup votre présence. Voulez-vous un verre d’eau pendant que je prépare le repas ? Vous n’avez pas arrêté de travailler, vous devez avoir soif.
  • … Je veux bien, merci. Ca vous dérange si je me mets un peu plus à mon aise ?
  • Je vous en prie, faite comme chez vous.

La raison pour laquelle je voulais rentrer chez moi était toute autre. Lorsque je travaille comme ça, concentrée, à ne pas compter les heures, j’ai souvent besoin d’une petite pause, d’un petit moment rien qu’à moi. Il voulait que je reste, je n’avais pas non plus envie de partir, j’étais bien ici… Et puis, après tout, avec tout ce que je lui avais déjà montré…

Lorsqu’il revint, j’étais nue, assise sur ma chaise, derrière mon ordinateur. Il eut un temps d’arrêt et me dit

  • Voyons, lorsque vous m’avez dit que vous aimeriez vous mettre plus à l’aise, je ne m’attendais pas à ça. Rhabillez-vous, ça sera plus convenable.
  • J’aime être nue. Vraiment, je travaille mieux ainsi. Et puis, ce n’est pas la première fois que vous me voyez.
  • Non, enfin… Pas comme ça…
  • Je comprends que ça puisse vous étonner. Mais, si ça vous gêne vraiment, dites-le-moi, et je vous laisserai tranquille.

Il ne dit rien, s’installa à côté de moi et repris son carnet et son crayon. Cette fois, il ne dessina pas mon visage, mais mon sein droit, rentrant dans les moindres détails, les moindres bosses, les moindres creux. J’ai dû faire une drôle de tête un moment car il me demanda « ça vous gêne que je dessine votre poitrine ? ». Non, ce n’était pas ça. J’avais besoin de faire ma pause…

Ma main glissa entre mes cuisses et j’ai commencé à me caresser. Je ne me suis pas exhibée en écartant les jambes devant lui. Je me suis juste touchée, comme si je l’aurai fait en étant seule. Le plaisir est monté, ma jouissance est arrivée, et je me suis sentie mieux.

  • Désolée si je vous ai choquée, mais lorsque je travaille comme ça, j’ai toujours besoin de faire redescendre la pression un moment ou à un autre. Je ne vous promets pas que ça ne se reproduira pas.
  • Je vois. Je vous ai dit tout à l’heure de faire comme chez vous, alors, ne vous gênez pas. Vous me surprenez de plus en plus.
  • En mal ?
  • Ne dites pas de bêtises. Bon, j’avais dit que j’allais préparer un petit quelque chose à grignoter.

J’ai continué à travailler en mangeant. Après avoir fini son repas, André est parti faire une sieste. Il n’a alors pas assisté à une nouvelle masturbation de ma part. Lorsqu’il revient deux heures après, j’avais rangé mes affaires et étais en train d’enfiler mon jeans. Il me demanda

  • Vous partez ?
  • J’ai bien avancé. Il ne me reste presque plus rien à faire, mais je garde ça pour demain. Je n’en peux plus, j’ai besoin de prendre l’air… Vous semblez déçu. Je peux revenir demain si vous voulez.
  • Ca ne sera pas possible. Mon fils vient me chercher demain matin et je ne reviendrai que dans la soirée. Est-ce que le week-end prochain…
  • Non. Je prendrai le train pour aller chez mon père. Je vais y passer les vacances de Noël. Voulez-vous que je reste encore un peu et que je pose pour vous ?
  • Ca me ferait effectivement plaisir. Je ne vous ai pas encore dessiné de dos.
  • Je me mets nue ?
  • Si cela ne vous dérange pas.

J’ai tenu la pose qu’il me demanda pendant plusieurs longues minutes. Je me suis rendue compte que ce n’était pas si facile que ça, et pourtant, je n’avais rien de compliqué à faire : tenir mes cheveux au niveau de la nuque, et rester debout légèrement cambrée.

Durant ce temps, il ne dessina que les traits principaux, sans rentrer dans les détails. Puis, j’étais libre de me mouvoir comme bon me semblait. Il avait juste besoin de voir mon corps de temps à autre pour peaufiner, mettre au bon endroit un grand de beauté. Et le résultat final était quasiment photo réaliste.

  • Bon, puisque vous l’aimez tant, je vous le donne.
  • Merci beaucoup André.

Je l’ai pris dans mes bras, collant ton mon corps nu contre le sien. J’éprouvais une grande affection pour cet homme. Je me sentais libre d’être qui je voulais avec lui. Mais je me suis rendue compte que je lui procurais quelque chose de plus. J’ai bien senti un truc durcir contre mon bas ventre. J’ai été surprise, je ne pensais pas qu’à son âge la machine fonctionnait encore.

Je l’ai relâché, il était tout rouge et visiblement gêné. Je ne savais pas trop quoi penser non plus, mes idées étaient confuses. Alors, je me suis rhabillée. Il me dit

  • Si vous êtes libre lundi soir…
  • Je finis les cours vers 17h00. Si je n’ai pas d’empêchement, je pourrai passer.
  • Bon, et bien, je vous souhaite une bonne soirée et un bon dimanche.
  • Merci, à vous aussi.

Je suis rentrée chez moi, je me suis changée pour aller courir une petite heure. Et je n’ai pas arrêté de me demander s’il était capable de plus que bander. Je n’avais pas envie de coucher avec lui, mais j’avais envie d’expérimenter. Et c’est tout excitée que je suis rentrée chez moi. J’avais besoin de sexe, j’avais besoin d’une bonne queue. Je savais qui appeler pour me satisfaire. Et au téléphone

  • JC ? C’est Pauline. Je me demandais si tu étais libre ce soir pour passer chez moi ou pour que je vienne.
  • Ha… Ce soir, je suis pris.
  • Et tu ne peux pas décommander ?
  • Tu as tant envie que ça ?
  • Faut croire.
  • Mais, désolé, non, c’est pas possible. C’est mes deux meilleurs potes du lycée qui débarquent et qui vont passer la nuit. Petite soirée entre mecs. Mais, tu peux passer demain après-midi.
  • Bon… Ok pour demain après-midi. C’est quoi ton adresse ?

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