Histoire de Sexe

Pauline – Années étudiantes – Chapitre 3

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Je me regardais dans le miroir : jupe courte cachant mon string, mon porte-jarretelles et le haut de mes bas résilles. En haut, chemisier blanc légèrement transparent sur un soutien-gorge push-up. Ma poitrine était bien mise en valeur, je déboutonnai un bouton pour que mon décolleté soit plus saisissant. Il me restait à travailler mon maquillage et enfiler mes talons aiguilles pour aller chez JC.

Nous n’étions pourtant pas le dimanche après-midi, mais toujours ce samedi soir. Ce n’était pas le lendemain que j’avais envie qu’il me baise, mais bien à ce moment précis. Je me fichais qu’il soit avec des copains ou non, qu’il me baise devant eux ou non, mais je voulais sa queue.

Bien emmitouflée dans mon manteau, j’ai marché vingt minutes dans le froid pour aller jusque chez lui. Je n’ai pas eu besoin de connaitre son code d’interphone ou de l’appeler, un couple sortait de son immeuble au moment où j’arrivai.

Il m’avait dit premier étage, j’ai trouvé tout de suite sa porte. J’ai retiré mon manteau, j’ai vérifié et retouché mon maquillage avec mon petit miroir, puis j’ai sonné. La porte s’ouvrit, un homme que je ne connaissais pas me fit face l’air étonné

  • Heu… Bonsoir… Je suis bien chez JC ?
  • Oui… Entrez.

Il me fit passer devant, prit mon manteau qu’il accrocha avant de me déshabiller du regard. Dans le petit salon, il y avait un autre homme que je ne connaissais pas non plus et JC un verre à la main. Il ne dit rien, me scruta fixement, je le défiais du regard.

Pauline - Années étudiantes - Chapitre 3
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Celui qui m’a ouvert la porte demanda alors à JC

  • Ne me dit pas que c’est ce que je pense que c’est… Enfoiré… Tu m’offres une strip-teaseuse pour mon anniversaire ?
  • Heu… Ben ouais.
  • Mais t’es un dieu toi !

Il prit JC dans les bras. C’est alors lui qui se mit à me défier du regard. J’aurai dû dire qu’il y avait un mal entendu et partir, mais je n’avais pas fait tout ce chemin pour rien. J’avais encore plus envie qu’il me prenne maintenant qu’il était en face de moi. Et puis, j’imaginais que ça n’irait pas très loin, qu’un moment ou un autre lui ou moi allait arrêter cette plaisanterie. Il me demanda

  • Vous voulez boire quelque chose avant de commencer le show ?
  • Oui, je veux bien une vodka orange.

A peine m’avait-on donné le verre que je l’ai vidé. On m’en resservit un autre que je n’ai pas touché. J’avais déjà la tête qui commençait à tourner. Une chaise fut mise au milieu de la pièce sur laquelle s’installa l’ami de JC, les lumières ont été baissées, une musique lancée. Mal à l’aise, je leur ai dit « Je n’ai pas beaucoup d’expérience », mais ils s’enfichaient, ils voulaient tout de même le spectacle.

J’ai commencé à bouger devant celui dont c’était l’anniversaire, il y eut un flash. JC tenait un appareil photo dans la main et dit « c’est compris dans le forfait de l’agence ». Encore un défi qu’il me lançait, tant pis, j’allai régler cette affaire plus tard.

J’ai d’abord fait tomber mon chemisier, puis ma jupe. J’ai posé un pied sur la chaise, entre les jambes du type qui me défit mon premier bas, le faisant glisser doucement le long de ma jambe, dans une douce caresse qui me stimulait. Il s’occupa ensuite de la seconde jambe et je me suis assise sur lui afin qu’il dégrafe mon soutien-gorge.

Je commençais à perdre tout contrôle, j’étais de plus en plus excitée. A califourchon sur lui, j’avais la tête dans son cou à lui offrir un petit suçon tout en déboutonnant sa chemise. Il n’osait pas me toucher, j’avais pourtant furieusement envie qu’il le fasse. Mais il tenait le rôle de client qui n’a pas le droit de mettre ses mains sur une strip-teaseuse.

Une fois torse nu, j’ai frotté mes seins contre sa poitrine, j’ai ondulé du bassin sur ses cuisses, j’ai commencé à frotter mon entre-jambe contre l’une des siennes. Alors que mon plaisir grimpait, il me fit revenir à la raison en me disant « la vache, t’es super chaude ». Alors, je me suis levée, se fixant l’un l’autre dans les yeux, il me demanda

  • Heu… Le forfait comprend le nu intégral ?
  • Vas y, retire-le si tu en as envie.

Pendant qu’il faisait glisser mon dernier vêtement le long de mes jambes, je reprenais conscience que nous n’étions pas que tous les deux. Mon excitation grimpa d’un degré supérieur. Je n’avais plus de limite.

Je pris la place sur la chaise, tournant le dos aux deux autres, mais bien en face du premier. J’ai écarté les jambes, et je me suis caressée sans pudeur, devant lui. Il observait sans bouger, mais sa bosse dans le pantalon indiquait toute l’excitation que je lui procurais.

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Je ne pouvais pas en rester là. Je me suis levée, me suis collée à lui et lui ai dit, en mettant mes mains sur sa ceinture, commençant déjà à l’ouvrir

  • Je ne sais pas si t’as une copine, mais tu crois que ça la dérangerait qu’on s’amuse un peu ?
  • Je crois surtout que t’en as rien à foutre que j’en ai une ou pas.

Nous étions sur la même longueur d’onde. J’ai baissé son pantalon en m’agenouillant devant lui, lui ai sorti sa verge que j’ai mis dans ma bouche. Je l’ai avalé, le plus possible, de toute sa longueur, l’enfonçant dans ma gorge. Et j’ai senti deux mains se poser sur mes épaules, descendre le long de mon dos, glisser et m’attraper la poitrine. J’ai lâché cette verge pour tourner la tête, c’était l’autre copain de JC. Il me demanda

  • Je peux en profiter aussi ?
  • Quand il y a de la place pour un, il y en a pour deux.
  • J’aime bien connaitre le nom des filles que je baise.
  • Je m’appelle comme tu veux.
  • … Heu… Deep, vu comme tu avales les bites, et blue pour la couleur de tes cheveux. Ca te va ?
  • Tout me va.

Ho oui, tout m’allait : leur bite dans ma bouche, leur bite dans mon cul, leur bite dans ma chatte. Elle était d’ailleurs tellement humide et ouverte que leur tentative de double pénétration vaginale passa sans problème.

Seul JC ne participa pas. Il regardait, sans rien dire, à boire des verres. Et je les ai finis, l’un en le suçant et avalant son sperme, l’autre en le masturbant en même temps et le faisant éjaculer sur mon visage et ma poitrine.

Dix minutes plus tard, j’étais dans le hall d’entrée de l’immeuble, raccompagnée par JC. Je ne portais que ma jupe, mon chemisier, mon manteau. Mes autres vêtements étaient glissés dans les poches de celui-ci.

  • Ca aurait été sympa que tu me laisses prendre une douche. Je pue le sperme.
  • Je préfère que tu ne t’éternise pas. Tu n’aurais déjà pas dû être là.
  • Mais au final, vous avez bien aimé. Tu ne voulais pas participer ? Lorsqu’il y a de la place pour deux…
  • Non, ça ne m’intéresse pas.
  • Pourquoi ? L’autre fois s’était sympa, non ?
  • Oui, ben, ça a changé… Pauline, je n’ai pas envie d’être méchant avec toi mais… les filles qui m’attirent sont celles qui viennent de plaquer leur mec, ou qui sont encore avec d’ailleurs, qui ont envie de découvrir quelque chose d’autre que la monotonie dans laquelle elles se sont installées. J’aime découvrir quelles sont leurs limites. Mais toi, non c’est pas ça, t’as aucune limite. T’es venu juste parce que tu voulais de la bite, et j’étais le choix facile. Au moins, tu as eu ce que tu voulais.
  • … T’es en train de me traiter de salope, non ? Et tes potes pensent que je suis une pute…
  • T’as tout fait pour.
  • Tu vas leur dire la vérité ?
  • Pour qu’ils sachent que t’es une étudiante de mon école ? Pour qu’ils me demandent ton nom, ton adresse, ton numéro de téléphone ? Je ne crois pas que tu veuilles de ça. Mais si tu préfères…
  • Non, c’est bon… Pour les photos que t’as prises, peux-tu me donner la carte mémoire ou les effacer devant moi ?
  • Non.

Je me suis sentie blêmir, mes jambes se sont mises à flageoler, mes larmes sont montées aux yeux.

  • Pourquoi non ?
  • Je vais les filer à mon copain en souvenir de son anniversaire.
  • Putain, t’es un enfoiré. Ca t’amuse que je puisse me retrouver sur internet ?
  • Hey, tu savais bien que je photographiais, mais c’est toi qui a continué. Tu pouvais tout arrêter à n’importe quel moment ! Assume les conséquences de tes actes !… Si ça peut te rassurer, je n’ai photographié que le strip-tease, pas la suite… Pauline, pleure pas… Je t’aime bien, mais…
  • C’est normal… J’ai joué la salope, et on me traite comme tel. Bonne fin de soirée JC.

Je suis partie dans le froid, frigorifiée, fatiguée. Une bonne douche chaude m’aurait fait du bien, mais je n’ai pas eu le courage, ni celui de me déshabiller avant de me coucher. Et pourtant, je n’ai pas réussi à dormir de la nuit… Je n’assumais pas ce que j’avais fait.

Chapitre 9

Ce lundi matin, Amandine s’est assise à côté de moi avant que le cours ne commence.

  • Pauline, t’as pu avancer sur le devoir ? C’était chaud.
  • Oui, j’ai pas mal galéré. J’espère ne pas avoir écrit trop de conneries. Pondre vingt pages en un week-end…
  • Vingt ? J’ai bossé comme une malade et je n’en suis qu’à 7. Comment tu fais ? En plus, tu étais de sortie samedi soir.
  • Qui t’a dit ça ?
  • Je t’ai vue sur la page facebook de Fred.
  • … Fred ?
  • Ben oui, le pote de JC. Je ne savais pas qu’il t’avait invitée. Tiens, regarde…

Elle me montra sur son téléphone. Il y avait une photo de JC et de son autre copain ensemble, et une autre de moi, alors que j’étais encore habillée. En dessous, il avait mis en commentaire « Merci à mes deux meilleurs potes pour ce super anniversaire. Et un grand merci à la fabuleuse Deep Blue que je recommande chaudement ».

  • Ca s’est passé comment la soirée ?
  • … Bien… Je ne suis pas restée longtemps… A peine une heure.
  • A oui ? T’étais habillée sexy, ils devaient baver sur toi. Deep Blue ? « Que je recommande chaudement » ?
  • … Rien, un délire c’est tout.
  • Ok. Alors, il n’y a aucune raison d’être aussi nerveuse.
  • C’est juste que je n’ai pas beaucoup dormi à cause de ce devoir. Pardon, je suis un peu à cran.

J’avais surtout des sueurs froides et les mains moites. L’interrogatoire d’Amandine ne me plaisait pas. Elle voulait trop en savoir et je ne sais pas mentir sans que ça se voit.

Plus tard, je vis Amandine discuter avec JC. Ca semblait houleux. Je n’y ai pas plus prêté attention que ça, j’ai préféré continuer mon chemin. Cependant, JC me rattrapa

  • Pauline, attends… Je voulais te prévenir que mon pote a mis une photo de toi sur son compte facebook, mais rien de osé…
  • Je sais, Amandine m’a montrée.
  • … Elle a fait quoi ? Putain, j’avais oublié qu’il l’avait mise dans sa liste d’amis… Je comprends mieux son caca nerveux.
  • Elle t’a fait une crise de jalousie ?
  • Ben oui. Elle aussi voulait qu’on se voit samedi soir et je lui ai dit non. Elle m’a dit qu’elle savait qu’il y avait une fille sans me dire qui.
  • Ha… Je ne savais pas que vous couchiez ensemble.
  • C’est arrivé qu’une fois et il n’y aura pas d’autres fois. Je sais qu’elle espère plus, et ça ne m’intéresse pas. Et vue comme elle est jalouse alors qu’on ne sort même pas ensemble, je n’ose pas imaginer ce que ça serait.
  • T’es en train de me dire de me méfier d’elle…
  • Je ne pense pas qu’elle soit méchante, mais reste sur tes gardes tout de même. LA réputation d’Alexandra n’est pas connue de tous par hasard…
  • … Qu’elle se tape un mec à chaque soirée ?
  • Oui, parce qu’elle était en concurrence avec Amandine sur Lucas à un moment. Et pourtant, je connais quelques autres filles qui font bien plus de choses…
  • Mais, tu ne me diras pas.
  • Non… J’organise une petite teuf privée le samedi juste avant la reprise des cours. Si tu veux venir, histoire de découvrir…
  • Je ne sais pas encore. Je reviendrais tout juste de chez mon père, je serais peut-être fatiguée. Tu veux tout de même m’inviter malgré ce week-end ?
  • Je t’ai dit, je t’aime bien, et tu t’entendras avec les autres. Mais si t’espères qu’il se passera quelque chose entre nous, laisse tomber.
  • Non, c’est bon, j’ai parfaitement compris.

Après les cours, alors que je sortais de l’ascenseur pour rentrer chez moi, André ouvrit la porte. J’avais oublié… Je n’en avais pas vraiment envie, j’étais fatiguée. Mais, d’un autre côté, je ne désirais pas être seule. Et la présence d’André m’était bien agréable et apaisante.

J’ai déposé mes affaires de cours chez moi et suis allée chez lui. Il commença par me demander comment s’était passé mon week-end. Je ne lui ai rien dit à part « studieux ». Lorsque par politesse je lui ai demandé pour son dimanche, il me répondit « ennuyeux ». Nous n’avions envie ni l’un ni l’autre de s’étaler sur ce que nous avions fait. Alors, je me suis déshabillée et lui ai demandé

  • Quelle pose voulez-vous que je prenne ?
  • Allongée sur le canapé, s’il vous plait.

Je me suis mise comme il voulait, les jambes serrées et un peu pliées, les bras au-dessus de ma tête, cette dernière légèrement tournée sur le côté.

  • Etes-vous bien installée ?
  • Oui, ça va.
  • Tant mieux, ça risque de prendre un peu de temps.

Il ne dit plus rien, moi non plus. Seul raisonnait dans toute la pièce le bruit du crayon gratter le papier. C’était comme une berceuse. Je me sentais calme et détendue. Je me suis assoupie.

Mes yeux se sont ouverts dans une pièce sombre. J’étais toujours sur le même canapé, recouverte par une couverture. André n’était pas là. Je ne savais pas l’heure qu’il était, mais il était certainement tard, et André devait dormir.

Je me suis levée sans faire de bruit. J’ai récupéré mes habits et marchant sur la pointe des pieds, je suis allée vers la porte d’entrée. Et j’ai sursauté lorsque j’entendis derrière moi

  • Avez-vous bien dormi ?
  • … Vous m’avez fait peur. Je croyais que vous dormiez.
  • Ho, je me réveille toujours tôt le matin.
  • Tôt ? Il est quelle heure ?
  • Presque six heures trente.
  • … Je m’excuse pour hier soir.
  • Allons, ne vous excusez pas. Vous aviez besoin de vous reposer et c’est tout. Et d’ailleurs, je suis plutôt fier du résultat. Voulez-vous que je vous le montre en prenant un petit déjeuner ?
  • Je dois arrêter d’abuser de votre gentillesse, André. Je vais rentrer chez moi. Mais, je passerai ce soir si vous voulez bien.
  • Ho… Disons demain soir alors. Ce soir, c’est la réunion du syndic de copropriété. On sait lorsqu’il commence, mais jamais lorsque ça se finit.
  • Ok pour demain soir. Bonne journée, André.
  • Bonne journée Pauline… Vous ne vous habillez pas avant de partir ?

Sa question me fit sourire. Et je lui répondis

  • Si c’est pour les enlever dès que je serais chez moi, ça n’en vaut pas la peine. Je n’ai que quelques mètres à faire et nous ne sommes que deux sur le palier.
  • Il est l’ordre du jour pour la réunion de ce soir d’installer des caméras de surveillance à chaque étage, idée pour laquelle j’étais plutôt pour, bien que coûteuse… Je vais peut-être réviser mon jugement.
  • Je suis certaine que vous me préviendrez si c’est voté.

Je suis donc rentrée chez moi. Il était bien plus tôt que l’heure à laquelle je me lève d’habitude. J’avais le temps de me faire couler un bain bien chaud dans lequel je suis restée de longues minutes bien agréables.

Je suis allée en cours, une journée normale. J’avais juste l’impression qu’Amandine me surveillait en permanence. Mais rien de spécial sinon, comme le lendemain et les jours suivants. Les vacances, bien méritées, approchaient à grand pas.

Mais, pour le moment, j’étais chez André ce mercredi soir. Il me raconta d’abord comment s’était passée sa réunion. Ca ne semblait vraiment pas palpitant. Des caméras ont été votées, mais uniquement mises aux entrées de l’immeuble. Et alors que nous n’en avions jamais parlé, il me précisa « dans le parking aussi » d’une façon pleine de sous-entendus.

D’ailleurs, je le trouvais coquin ce soir-là. Pendant que je retirai mes vêtements, il me demanda

  • Vous m’avez déjà démontré que vous êtes une charmante jeune femme qui n’a pas peur de montrer ses atouts. Puis-je vous demander quelque chose d’intime ?
  • … Demandez toujours.
  • J’aimerai que vous preniez une position plus érotique que d’habitude.
  • Je pense que ça peut se faire.

Il m’expliqua son projet. J’étais folle, je lui dis que j’acceptais. Je suis même allée chercher des accessoires chez moi.

  • C’est très coquin ce que vous voulez. Comment l’idée vous est venue ?
  • Hier soir lors de la réunion. Un moment, je me suis souvenue de vous dans le parking. Dites-moi dès que vous êtes prêtes.
  • … Je suis prête.

Stanriff

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