...
Histoire de Sexe

Pauline – Années étudiantes – Chapitre 5

On t'offre 200 jetons et 1 semaine de test Ultimate sans conditions : Teste le générateur IA Photos & Vidéos !   

Il sortit une autre photo et me demanda

  • Et lui, le connais-tu ?
  • … Oui. C’était le surveillant général du lycée lorsque j’y étais.
  • Quelle relation entretiens-tu avec lui ?
  • Hein ? Mais, aucune.

Et là, l’homme posa une dizaine de photos sur la table. J’étais surprise, j’avai le souffle coupé… Il me les montra une par une et je lui ai demandé

  • Où avez-vous eu ça ?
  • C’est moi qui pose les questions. Est-ce vous ?
  • … Oui.
  • Ces photos proviennent de l’ordinateur de cet individu. Vu la qualité, c’est tiré d’une vidéo.

Il pointa alors la photo du surveillant général. Et, comme s’il y eut un flash, je me suis souvenue de la fellation que je lui avais fait dans le couloir du lycée, lorsque c’était encore le début de ce que j’ai vécu. Et le policier reprenit son interrogatoire :

  • Donc, je te repose la question : quelle relation entretiens-tu avec lui ?
  • Aucune, je vous le jure. Je ne l’ai pas revu depuis la fin de terminale.
  • Il y a combien de temps ?
  • Environ trois ans.
  • Et il était quoi pour toi ? Un petit copain ? Un amusement ?
  • … Juste quelqu’un avec qui j’ai eu des relations sexuelles.
  • Et tu sais quoi sur lui ?
  • … Rien en fait… Je ne me souviens même pas de son nom… Je ne sais même pas si je l’ai su un jour.
  • Et tu l’appelais comment alors ?
  • « Monsieur »

Le policier se mit en arrière pour réfléchir. Il ne dit plus rien pendant de très longues secondes. Puis, il se leva et me dit « ne bouge pas de là », et sortit de la pièce. Un autre policier, en uniforme, entra et se mit contre le mur à me surveiller… Que pensaient-ils ? Que j’essaierai de m’échapper ? J’étais terrorisée, j’avais froid, j’étais attachée, je ne comprenais toujours pas pourquoi j’étais là.

Il revint, quelques minutes s’étaient passées, mais il m’avait semblée que ça avait duré une éternité. Il étala les photos de moi sur la table, me fixant, il demanda :

paragraphe 4 ia porn
  • Quel genre de relation sexuelle aviez-vous ?
  • Heu… Je ne suis pas certaine de comprendre la question.
  • Douce, passionnée, violente… ? Qu’est-ce qui te faisait mouiller la chatte et qu’est-ce qu’il le faisait bander pour toi ?
  • … J’étais consentante.
  • Consentante ? C’est tout ce que tu as à répondre ?
  • Oui.

Et il continua, voulait savoir qui était au courant de cette relation. J’ai juste répondu que mon père l’a su après. Il voulait connaitre sa réaction, je ne pouvais que répondre qu’il était en colère contre cet homme. Et il me demanda quand le film avait été tourné. Je ne savais plus très bien… Décembre ? Janvier ?

  • Et c’était où ?
  • Dans le couloir du lycée, je crois.
  • Tu crois ?
  • C’était il y a longtemps, je ne me souviens plus.
  • Y’avait-quelqu’un d’autre ?
  • Non.

Il prit une liasse de papier qu’il feuilleta et levant les yeux vers moi

  • T’étais mineur à ce moment, non ?
  • … J’étais dans ma dix-huitième année. S’il vous plait, dites-moi ce qu’il se passe et pourquoi je suis là.

L’homme se leva. Alla regarder par la fenêtre. Et il me raconta :

« Un passant a vu de la lumière au lycée ce samedi soir. Il a dit qu’il a été étonné et a franchi les grilles pour aller voir de plus prêt. Il a alors vu votre ancien surveillant avoir un rapport sexuel sur une lycéenne. Quelqu’un d’autre était en train de filmer. Il n’a pas vu qui. Mais, le suspect et la fille, mineure, ont formellement été identifiés. Nous recherchons actuellement son complice. Vous êtes le seul indice que nous avons trouvé chez le suspect ».

Je tremblais comme une feuille. Ils avaient recommencé… Je n’étais plus la dernière. Peut-être même qu’il y en avait eu d’autres entre temps. J’avais fait l’autruche en me disant qu’ils avaient eu une bonne leçon, mais non…

  • Vous pensez que je suis la complice ?
  • L’enquête est en cours. Mais votre ami confirme votre présence chez lui.
  • Vous avez appelé JC ?… Et la fille ? Elle sait qui c’est…
  • Elle fait comme vous, elle dit qu’elle était consentante et ne va pas parler davantage. Elle a peur.

Il prit les clés des menottes et me détacha enfin. Une fois libre j’ai alors réalisé à quel point elles me serraient et me faisaient mal au poignet. Et le policier me dit

  • S’il vous plait, dites m’en plus.
  • Je suis libre ?
  • Je n’ai plus de raison de vous retenir. Votre père vous attend dans le hall d’entrée.
  • … Je suis désolée, mais je ne veux pas retomber dans cette histoire… J’ai été consentante, vraiment, et ils ont tout ce qu’il faut pour le prouver et surtout pour éviter qu’on parle. On ne nous croirait pas de toute façon.
  • « Ils » ? Qui ?
  • … Ce type, c’est le grouillot des autres.
  • … Le directeur du lycée est impliqué ?
  • Je suis désolée, mais je ne peux pas vous aider plus. Vous devez faire votre enquête.

Mon père était bien là à m’attendre. Il faisait jour dehors. Une horloge m’indiquait que j’étais resté prêt de quatre heures attachée à cette putain de chaise. J’étais énervée, stressée. Mon père vint vers moi, mais avant qu’il puisse prononcer le moindre mot, je lui dis « On dégage d’ici ! ».

Dans la voiture, j’ai crié, j’ai pleuré, j’ai tapé dans mon siège. Et arrivé à la maison, mon père me demanda

  • Pauline, veux-tu que je reste ?
  • Tu comptais te casser ?
  • J’ai des rendez-vous pour mon boulot… Je peux annuler.
  • Non, vas-y, mais baise-moi avant !

Il ne sut quoi dire, visiblement choqué par l’ordre que je lui avais donné. Je me suis déshabillée, je suis allée dans la cuisine en posant mes mains sur l’établi et j’ai tendu mes fesses en arrière. Il n’avait pas bougé.

paragraphe 2 candy
  • Viens !… Tu sais ce dont j’ai besoin lorsque je suis stressée.
  • Oui, je le sais trop bien.
  • Et là, je suis extrêmement stressée. Allez, viens, prends-moi.

Il déboutonna sa ceinture en avançant vers moi. Il se plaça derrière moi. Il frotta son sexe encore mou contre ma chatte… Il durcissait, il commençait à être prêt. Et il plaça sa verge à l’entrée de mon vagin

  • Non, pas par là. Vas-y d’un coup, j’en ai vraiment besoin.
  • … Mais, tu vas avoir…
  • Ta gueule ! Et encule-moi ! Vas-y, sale connard ! Montre que t’es un homme !

Son gland à peine à l’entrée de mon anus, il m’attrapa les hanches et s’enfonça d’un coup brusque. J’ai crié de douleur, mes yeux se sont remplis de larmes et pourtant, je me suis sentie en même temps plus détendue, plus sereine.

Il me sodomisait à vive allure, mes jambes tremblaient à cause de la douleur qui ne se calmait pas. Et il sortit brutalement, me tira par les cheveux me faisant tomber à genoux devant lui, et il enfonça sa verge dans ma bouche, jusque dans ma gorge, mes lèvres coincées contre son pubis. « Ne me traite plus jamais comme ça ! », et il me maintint dans cette position. Mes yeux ruisselaient, j’avais du mal à respirer, ma salive coulait sur mon menton. Et il relâcha d’un coup son emprise. Je savais qu’il regrettait déjà, qu’il allait s’excuser, mais avant qu’il ne parle, j’ai pris les devants en le léchant, suçant, l’aspirant jusqu’à ce que son sperme m’inonde la bouche.

  • Pauline, plus jamais comme ça, d’accord ?
  • Je ne te promets rien.

Il se réajusta et partit à son travail. Je n’arrivais pas à bouger, j’avais mal. Je sentais du sang couler le long de mes jambes provenant de mon anus. Je savais que j’allais déguster durant plusieurs jours, mais je me sentais bien mieux. C’était ça l’important.

Chapitre 12

  • Je t’ai dit que cette robe te va très bien ?
  • Pas moins de dix fois environ.
  • Tu ne veux pas me dire qui te l’a offerte ?
  • Un ami.
  • Elle a dû couter cher.
  • Je ne sais pas. Tu peux m’aider à enlever le nœud ?

Nous étions chez ma tante pour fêter Noël en famille. Mon père m’avait proposée de rester à sa nouvelle maison au cas où je ne me sentais pas trop, fatiguée que la police m’appelle 3 fois par jours pour que je fasse une déposition. Mais, je préférais m’éloigner un peu. Et puis, ça faisait longtemps que je n’avais pas vu mon cousin Adrien qui présentait enfin sa petite copine à la famille.

Mes grands-parents étaient de la partie aussi. Et du coup, faute de place dans la maison, je dormais avec mon père. Il était deux heures du matin, en pleine nuit de Noël, les paquets ouverts. Mon père sortit du lit, nu, défit la ficelle de la robe. C’était bien parce que j’avais fait une promesse à André que je la portais, parce que je n’en avais pas eu envie. Je n’avais pas envie de grand-chose d’ailleurs.

La robe glissa sur le sol, mon père me pris par les hanches et se colla à moi, sa verge était dure. Il m’embrassa dans le cou… Geste qui m’a plus d’une fois électrisée dans le passé, mais pas cette nuit. Ca ne me faisait ni chaud, ni froid. Je me suis doucement détachée de lui, je ne voulais pas le brusquer. J’ai ramassé ma robe que j’ai posée sur la chaise, il est allé m’attendre dans le lit. Je lui demandais

  • Qu’est-ce qui t’excite comme ça ?
  • Toi. Vraiment, tu étais très jolie.
  • Ce n’est pas plutôt la copine d’Adrien… Merde, elle s’appelle comment déjà ?
  • Charlotte… Heu, non. Disons qu’elle a de quoi exciter les mecs mais… Toi, c’était le raffinement, et elle… Le très bas de gamme.
  • Ha oui ? T’as pas aimé sa micro-jupe ultra moulante ? T’étais juste en face d’elle à l’apéro, tu devais avoir une vue parfaite sur sa petite chatte.
  • Comment sais-tu qu’elle n’avait pas de culotte ?
  • Tout le monde l’a vu, même papy qui commence à ne plus voir clair. Tu sais ce qu’il m’a dit ? “Qu’elle ne porte pas de culotte c’est une chose, mais elle n’est pas obligée de tout montrer à tout le monde…”

Ca le fit rire, mais pas longtemps lorsqu’il me vit enfiler un tee-shirt et un string pour dormir. Il ne dit alors rien, je me suis couchée dans ce petit lit, j’ai éteint la lumière en lui disant “bonne nuit”. Il a attendu quelques secondes avant de me demander

  • Tu m’en veux toujours ?
  • De quoi ?
  • Ben… D’avoir été aussi brutal l’autre fois. T’as encore mal ?
  • Je sens encore un peu, mais je ne t’en veux pas. C’est moi qui t’es demandée de le faire de toute façon.
  • Alors, qu’est-ce qui se passe ? Même lorsque t’étais avec Thomas tu n’étais pas si sage.
  • Je ne sais pas, je n’ai pas envie, c’est tout. Je n’ai même pas envie de me toucher.
  • … Ha… Bon, lorsqu’on sera à la maison, n’ouvre pas ton cadeau alors, il faut que je le change.
  • Celui que tu ne voulais pas amener ? Pourquoi, il y a quoi dedans ?
  • Je n’avais pas trop d’idées, j’avoue… Et comme l’autre fois au téléphone tu m’as dit que ça serait bien que tu ais quelques…
  • Sextoys ? Tu m’offres des sextoys ?… Je crois que tu as vraiment besoin d’une petite copine mon papa chérie. Tu ne baises pas assez.
  • Plus depuis plus de deux ans maintenant…
  • Pas besoin de changer le cadeau. Ca me reviendra, c’est juste passager.

Je me suis tournée de mon côté, je commençais à m’assoupir, mais des petits gémissements provenant de la chambre d’à côté me firent rouvrir les yeux. Ceux-ci devinrent plus fort, m’empêchant de dormir. Et après plusieurs minutes, je demandais :

  • Papa, tu dors ?
  • Non, pas vraiment.
  • Tu crois qu’ils en ont encore pour longtemps.
  • J’espère que non.
  • … C’est pas terrible en isolation phonique. Tu crois qu’elle peut encore monter dans les aigus ?
  • … Ha, on dirait bien que oui.

Il y eut quelques couinements qui ont dû réveiller toute la maison, pour peu que certains arrivaient à dormir. Elle venait de jouir, enfin, j’allais pouvoir dormir. “J’adore quand tu utilises ta langue comme ça. Enfonce là moi bien au fond maintenant”. Et mon père qui me chuchota

  • Bon… On n’a pas l’image, mais c’est tout comme on dirait.
  • Merde… Et c’est reparti pour un tour.

Je cherchais une position pour moins les entendre. En tournant dans le lit, ma jambe a touché mon père, un peu haut… J’ai cru que… J’ai vérifié avec ma main

  • Tu bandes ?
  • Ben, j’avais déjà bien envie tout à l’heure, alors c’est sûr que ça ne m’aide pas à me calmer.
  • Tu peux te masturber si tu veux.
  • J’y ai pensé, mais je préfère que tu sois endormie… Ca me gêne sinon.
  • Tu veux que je te masturbe ?
  • Je croyais que tu n’en avais pas envie.
  • Non, je n’ai pas envie de faire l’amour, mais ça ne me gêne pas de te branler… Comme ça, ça te va ?
  • Oui, c’est parfait.
  • Alors, laisse-toi faire.

Il alluma la lampe de chevet, il voulait me regarder en même temps. Et je l’ai masturbé, doucement, accélérant petit à petit… C’était vraiment que pour lui, car cela ne me donnait pas plus d’envies. Heureusement, il ne mit pas très longtemps à éjaculer, dont les premiers jets atteignirent sa poitrine.

Je l’ai essuyé avec mon tee-shirt que j’ai au préalable enlevé. On s’est remis dans le noir, il me prit dans ses bras et s’est endormi. A côté, les gémissements n’avaient pas encore cessés.

Je n’ai pas beaucoup dormi à cause de Charlotte et Damien. Malgré tout, je me suis levée tôt. J’avais envie de courir. Mon père ouvrit un œil alors que je finissais de me préparer

Stanriff

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. paragraphe 4 rosetelrose pas cher

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Bienvenue membre Premium!

premium logo

Les autres regardent