- Pauline, t’es déjà debout ? Il est quelle heure ?
- A peu prêt huit heures, je crois. Je vais me dégourdir les jambes.
- Ok. Protège-toi bien, il fait certainement froid dehors… Tu trouveras ton écharpe dans mon sac, tu l’avais oubliée.
- Ha… Je l’avais laissée pour la laver. Mais du coup, c’est une bonne idée.
Il faisait effectivement froid. Je portais mon leggings de sport, un débardeur avec un pull dessous, une veste de running chaude, des gants, un bonnet, mon écharpe… Et ce n’était pas de trop. Je suis donc partie, mon corps se réchauffait à chaque foulée, mais mon nez était de plus en plus gelé. J’ai attaché mon écharpe de façon à protéger le bas de mon visage. Elle ne sentait pas très bon, mais c’était indispensable.
J’ai emprunté une petite allée qui longeait un bois, j’avançais, je commençais à avoir des pensées… Des fantasmes… Avec cet homme dans le train… Ca devenait puissant, j’étais de plus en plus excitée. Je ne comprenais pas pourquoi ça arrivait là, comme ça… A cause de mon cousin et sa copine, ou de mon père ? Mais, ça ne m’avait fait aucun effet pourtant.
Je continuais à courir, c’était censé me vider l’esprit. Mais non, ça ne se passait pas comme ça. Mon esprit divaguait, l’homme du train était là, il m’embrassait, me caressait, me touchait de partout. Il m’enfonçait dans le bois, me déshabillait, me prit contre un arbre. C’était si bon, ça me faisait tellement de bien. Je jouis… Je jouis…
Et je repris mes esprits. Je regardais autour de moi, j’étais dans le bois, entre les arbres, assise sur un tapis de feuilles mortes, mon legging descendu jusqu’aux chevilles, ma veste ouverte, mon pull et mon haut remontés au-dessus de la poitrine. Je regardais autour de moi, personne, et heureusement. Je me suis rhabillée précipitamment et ai regardé l’heure… Presque dix heures… Ce n’était pas possible, j’avais couru à peine trente minutes avant cette subite envie… Je me serais masturbée pendant près d’une heure ?
Je suis repartie dans le sens inverse, il était temps que je rentre. Je ne comprenais pas ce qu’il s’était passé, je me souvenais juste de mon fantasme et des orgasmes multiples que l’inconnu m’avait offerte. Je restais cependant consciente que seuls mes doigts et mes mains avaient touché mon corps.
En approchant de la maison, j’ai croisé mon père, ma tante, mon oncle et mes grands-parents qui partaient se faire une petite balade.
- Pauline, tu viens avec nous ? On va jusqu’à l’église et on revient.
- Je vais surtout me prendre une bonne douche. Et les amoureux ?
- Ils se levaient à peine lorsqu’on est parti… Bon, ben à tout à l’heure.
Mon père m’interpella avant de se quitter :
- T’es sortie sans être plus couverte ?
- Hein… Heu… T’inquiètes, mon bonnet et mes gants sont dans mes poches. Mais, t’as raison, je vais les remettre.
- T’avais pas pris l’écharpe ?
- … Ha, je crois l’avoir perdue.
- Rentre vite pour te mettre au chaud. Je n’ai pas envie que tu tombes malade.
- Yes, sir !
La maison de ma tante est bien protégée de la rue grâce à sa haie. Mais, une fois dans le jardin, les grandes baies vitrées ne dissimulent rien de ce qu’il se passe l’intérieur. Et justement, je vis Charlotte à poil sur le canapé, et mon cousin à genoux devant elle entrain de lui brouter la chatte.
Mais, j’avais froid, j’avais envie de prendre une douche, et ils m’avaient déjà emmerdée une bonne partie de la nuit. Alors, je m’en fichais, et je suis entrée. J’entendis se précipiter, je savais que Charlotte s’était cachée, et mon cousin se tenait debout bien droit comme un piquet avec son tee-shirt de nuit et en caleçon, les mains devant son sexe, certainement pour cacher son érection. Et je leur dis “je vous signale qu’on voit tout de dehors”.
Là, la tête de Charlotte sortit de derrière le dossier du canapé, les pommettes rouges. Et elle me demanda
- On voit vraiment tout ?
- Jusqu’à ton grain de beauté à côté de ton nombril.
- … Et ben, c’est peut-être le moment de te dire merci alors.
- Pardon ?
- Oui, namour m’a dit que c’est toi qui lui a appris à lécher aussi bien et plein d’autres trucs aussi, je ne m’en lasse pas.
- Ha… Il t’en a parlé.
Je fusillais mon cousin du regard. Ca devait rester un secret. Et j’ai ajouté
- C’est gênant.
- Super excitant tu veux dire.
“De plus en plus gênant”, me suis-je dit. Surtout qu’elle s’était mise debout à me montrer sa nudité totale, ses petits seins, ses hanches larges, son air niais. Et elle ajouta “Depuis qu’il m’en a parlée, je fantasme à mort sur vous deux. J’ai envie de vous voir faire l’amour, et puis je pourrais participer aussi…”.
Je ne l’écoutais même plus, je retirais mes chaussures, enlevais ma veste et leur dit “faites ce que vous voulez, mais sans moi. Je vais me prendre une bonne douche”. Je partis, j’entendis juste Charlotte dire “ben, elle est pas aussi cochonne que tu disais…”.
Chapitre 13
Je me réveillais doucement, j’étais dans la voiture, mon père conduisait. Je regardais un peu le paysage et lui ai demandé
- On est loin ? J’ai envie d’arriver.
- Encore dix minutes.
- Ha oui ? J’ai dormi longtemps ?
- Tout le trajet, trois heures… Bon, t’étais contente de revoir ton cousin ?
- On s’est à peine parlé. Il était toujours avec l’autre niaise.
- Tu n’as pas l’air de beaucoup l’aimer, ta tante non plus d’ailleurs.
- De toute façon, ça ne durera pas longtemps leur histoire.
- C’est ce que je pense aussi. Ce n’est basé que sur le cul.
- … Même les histoires d’amour ne durent jamais.
Mon père me caressa la joue tendrement et me fit
- Ben si, regarde tes grands-parents. Ils n’ont pas l’intention de se séparer.
- Pfff, papy a tout de même trompé mamie dans sa jeunesse.
- … Il ne l’a jamais dit… Ta tante te trouve de plus en plus belle, mais ça l’étonne que tu sois si calme… Je m’inquiète aussi.
- … Il s’est passé quelque chose…
- C’est grave ?
- Non… Mais… Lorsque je suis allée courir ce matin, j’ai été prise par une pulsion… Je n’ai pas pu me contrôler.
- Comment ça ?
- Je ne sais pas… Mais quand j’ai repris conscience, j’étais quasiment nue dans les bois. Je m’étais masturbée comme une folle… J’ai peur que ça me reprenne sans prévenir.
- … C’est arrivé sans raison ?
- Non, vraiment aucune.
- Il s’est passé beaucoup de choses pour toi dernièrement, et vu comme tu es fatiguée aujourd’hui… Enfin, je ne sais pas. Tu pensais à quelque chose en particulier ?
- … Je fantasme sur quelqu’un, je n’arrête pas de penser à lui.
- C’est qui ?
- Tu ne le connais pas… Moi non plus d’ailleurs… Je ne connais même pas le son de sa voix… Je commence même à oublier son visage.
- As-tu envie de m’en dire plus ?
- Non…J’ai envie d’arriver.
Deux minutes plus tard, nous étions à la maison. Je suis montée dans ma chambre pour m’allonger sur mon lit. Mon père monta peu après et me demanda
- Tu voudras manger quelque chose ce soir ?
- J’ai un peu faim, mais je ne sais pas.
- Tiens, ton cadeau de Noël… T’as raison, il faut que je me trouve quelqu’un. En passant commande, je suis parti dans un petit délire… Enfin, tu verras bien… Je redescends, je préfère que tu regardes sans que je sois là… Ca me gêne finalement.
- Non, un cadeau s’ouvre avec celui qui l’offre.
J’ai ouvert le paquet, il restait au coin de la porte. Je sortis un vibromasseur, et pour se justifier, il me dit “il a de très bonnes critiques… T’as une partie qui s’insère dans le… Et l’autre qui frotte le clitoris en même temps… Enfin, je te laisse continuer”.
J’ai sorti un autre sextoy, et j’ai regardé mon père avec étonnement
- Heu… Ben, c’est un plug anal.
- Avec une queue ?
- … J’ai vu une vidéo d’une fille qui marchait à quatre pattes avec un truc comme ça, et… j’ai bien aimé… C’est là où j’ai déliré…
- Ho, trop mignon le serre-tête avec oreilles de chat. T’as même pensé au collier avec le petit grelot.
- T’es pas entrain de te moquer de moi ?
- J’imagine lorsque tout le monde me demandera ce que j’ai eu à noël alors que des filles parlerons de bijoux, de fringues ou maquillage, et moi je répondrai : “Mon père m’a offerte des sextoys. J’ai maintenant tout ce qu’il faut pour jouer les chattes en chaleur”.
- … Désolé.
- C’est pas grave. Je te remercie pour ces cadeaux. Je ne les utiliserai peut-être pas tout de suite.
- Ok… Je descends.
Il partit, je n’avais pourtant pas envie de rester seule. Il était temps que je rappelle JC qui m’avait laissée une bonne vingtaine de messages inquiets suite à l’appel de la police et de mon silence après. Et puis, je voulais lui demander quelque chose aussi.
- Bonjour JC, c’est Pauline. Je ne te dérange pas ?
- Non pas du tout. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi la police m’a demandé si tu étais bien avec moi…
- Rien de grave, je t’assure. Juste des cons qui se croient les plus forts sans savoir enquêter correctement. Au passage, joyeux Noël.
- Merci, à toi aussi. J’espère que tu as été gâtée.
- Plus que nécessaire… Il se passerait quoi si tu disais la vérité à tes deux copains sur moi ?
- Ben, je t’avoue que je ne sais pas trop. Mais, dans le doute…
- Et il se passerait quoi si quelqu’un d’un peu trop jaloux le découvre ?
- Tu penses à Amandine ?
- Oui, elle connait celui dont c’était l’anniversaire.
- Fred ? Oui, mais je crois qu’ils ne se parlent plus… C’est un risque, elle peut être manipulatrice par moment.
- Vaut-il mieux qu’elle me fasse passer pour une salope auprès des autres élèves ou une pute ?
Il y eu un silence. Nous réfléchissions chacun de notre côté, et JC reprit :
- Mon père me disait toujours que ça ne sert à rien de mentir sinon la vérité t’explosera à la gueule.
- Ha oui ? Il disait ça ?
- Ben, pas exactement dans ces termes, c’est vrai. Par contre, il ne m’a jamais rien dit sur le fait de cacher les choses.
- C’est quoi ton idée ?
- Dire la vérité à mes copains et leur demander de ne jamais en parler. Et pour les photos, j’essaierai de convaincre Fred de les supprimer ou au moins de les garder rien que pour lui, si ce n’est pas trop tard.
- Si tu pouvais éviter de dire que j’étais venue parce que j’étais en manque…
- Je le tournerai d’une autre façon. Je dirai que tu es venu pour me faire chier et que ça a poursuivi en défi qui a dérapé.
- Merci JC, c’est parfait. Et toi, t’as eu de beaux cadeaux ?
- De l’argent de la part de mes parents et un cadeau personnalisé de la part de ma grand-mère : un pull horrible qui me fait passer pour un gamin de 10 ans.
- Tu lui as dit ?
- Je porte le pull sur moi pour lui faire plaisir. Pour moi, c’est ça le plus important à Noël, faire plaisir à ses proches.
- Tu as raison. Merci encore et à bientôt.
- A bientôt Pauline, merci pour ton appel.
Lorsque je suis descendue un peu plus tard dans la soirée, mon père était en train de nettoyer la cuisine. Il m’avait entendue descendre grâce aux marches qui grincent. Sans se retourner, il me dit
- Je nous ai préparé des assiettes légères pour ce soir. Tu veux qu’on se regarde un film en mangeant ?
- Miaou.
- Quoi ?
J’ai lâché le grelot que je tenais dans ma main pour éviter qu’il l’entende avant, et se tournant vers moi, il resta planté un moment, la bouche ouverte sans rien dire. Je me suis léchée le dos de la main pour frotter les oreilles de chat que j’avais mises. Le contour de mes yeux portait un maquillage noir, mes lèvres couvertes d’un rouge à lèvres foncé, j’en profitait pour faire bouger le grelot accroché au collier qui me serrait la gorge. Et je me suis mise à quatre pattes, déjà nue, jouant avec la queue coincée dans mon anus, la montant pour lui montrer mes lèvres intimes, la descendant pour le frustrer.
Je n’avais pas plus envie que ça de jouer cette comédie. Je suivais les conseils de JC, à savoir faire plaisir à ses proches. Et mon père le méritait plus que personne d’autre.
Je me suis avancée vers lui, marchant à quatre pattes, ondulant des fesses. Les poils de la queue me chatouillaient le minou, c’était plutôt agréable. Je me suis frottée tel un chat contre ses jambes en ronronnant, il me caressa la tête en me disant “tu arriveras toujours à me surprendre”. Et il entra dans le jeu aussi, me versant une coupelle de lait qu’il posa sur le sol et que j’ai léchée.
Le jeu devint rapidement plus sensuel… Des caresses osées… Une envie forte d’aller plus loin pour lui. Il était logique que je lui offre une fellation, dont il lâcha “depuis le temps que j’en rêve…”. Quelques minutes plus tard, il me prit par derrière, gardant en même temps le plug bien enfoncé dans mon anus. Il semblait d’ailleurs lui faire beaucoup d’effets, à moins que j’étais alors plus serrée et moins humide que d’habitude. Quoi qu’il en soit, Il n’a pas tardé à jouir en moi, son sperme brûlant réchauffait mes entrailles.
Il me prit dans ses bras, nous nous sommes embrassés et je lui ai glissé à l’oreille “Joyeux noël mon papa chéri”. Je suis remontée après dans ma chambre, j’ai enlevé ce déguisement, je me suis démaquillée, j’ai pris une douche et je me suis couchée en prenant un livre, fière de moi, heureuse de lui avoir fait plaisir.
Mon père est monté plusieurs minutes après :
- Je venais voir si tu dormais. Ca va ? Tu as besoin de quelque chose ?
- Non. Tu veux dormir avec moi cette nuit ?
- Oui, je veux bien. Je finis un truc en bas et je monte après.
Le temps qu’il revienne, j’avais éteint la lumière et je commençais à m’endormir. Il rentra, se déshabilla, et se glissa dans le lit. Je me suis blottie contre lui, il me serra dans les bras, me caressa le dos, les fesses. Je sentais sa verge grossir sous mon ventre. Je lui demandais alors
- Tu as encore envie ?
- On dirait bien. Mais, ne t’inquiète pas, je ne te demande rien.
- Tu n’as pas besoin de demander. Tant que je suis là, je suis à ta disposition, profites-en.
- Pauline ?
- Papa, c’est ton cadeau de Noël, moi rien que pour toi. Qu’on s’engueule, qu’on soit complice, que j’ai envie ou non, si toi tu as envie, c’est d’accord pour moi. De toute façon, t’avais prévu un grand tube de lubrifiant avec le plug, faut bien l’utiliser. Alors, tu veux me prendre comment ?
- T’es sûr de ce que tu me proposes ?
- A cent pour cent. T’es resté frustré bien trop longtemps.
- … D’accord. Monte sur moi.
J’ai pris le lubrifiant pour enduire mon vagin et sa verge. Elle a glissé en moi doucement, plutôt agréablement, et il m’a fait l’amour alors que j’imaginais être prise par l’inconnu du train, tentant ainsi de m’exciter un peu.
Chapitre 14
Troisième fois que j’ai traversé ce train de long en large. J’espérais retrouver l’inconnu, même si mes chances étaient minces, mais non… Je ne l’ai pas vu. Je me suis rassise à ma place frustrée et triste. J’avais désiré ce moment depuis quinze jours.
Je repensais à mon père, j’espérais du fond du cœur qu’il se trouve quelqu’un jusqu’au moins ma prochaine venue. Je n’avais pas vu en arrivant dans quel état de manque sexuel il était. J’ai compris qu’il perdait certains repères. Il passait certainement trop de temps à regarder de la pornographie. J’ai tout de même été soumise à ses volontés, et j’y ai éprouvé de temps à autres du plaisir.
Cependant, ça m’a fait bizarre lorsqu’il me demanda de poser pour des photos rien que pour lui, alors que je m’étais déguisée en chatte à sa demande en y ajouter un porte-jarretelles et des bas résilles. Il me dit
- Ca m’aidera à passer ces longues nuits d’hiver seul.
- T’as pas peur qu’on tombe dessus un jour ?
- Je ferai très attention.
J’ai tout de même accepté, mais en gardant en crainte qu’un jour elles soient volées, ou même que mon père les mette sur internet après un moment de folie. Je l’en sentais bien capable.
De petites poses coquines, je suis passée à d’autres plus chaudes, et je dois dire que ça a été certainement le moment le plus excitant que j’ai eu avec mon père durant ces vacances, me prenant entièrement au jeu. Quelques centaines de photos plus tard, je me sentais l’âme d’un modèle porno avec mon plug dans le cul et mon vibromasseur dans la chatte. Il était des plus logiques qu’il continue à me photographier lorsque je l’ai sucée comme une sauvage en manque de bite ou lorsqu’il me prit dans des positions les plus extravagantes.
Mais, avec mon père, il n’y a pas eu que des moments sexuels, même s’il me prenait le matin avant d’aller à son travail et le soir en rentrant. Il y eu aussi des moments doux, des moments complices, et une méga dispute concernant mon appartement. Je comprenais le fait qu’il n’ait pas les moyens de tout payer. Mais je lui en voulais de ne pas avoir su convaincre ma mère de régler ses dettes.
- Et bien, appelle-la toi ! On verra si t’as plus de chance que moi. Elle s’en fout ta mère.
- Oui, je vais l’appeler ! Et tu verras bien, sale connard !
- Je t’interdis de m’insulter, sale petit conne !
- Couille molle, p’tite bite… Haaa…
Il me gifla, m’attrapa par les cheveux, relava ma jupe, arracha mon string en me disant « Je vais t’apprendre à bien te comporter avec moi ! ». Il m’avait pénétrée sauvagement, me faisant mal, me faisant du bien en même temps, puis lâcha son emprise après avoir éjaculé en moi. Histoire d’avoir le dernier mot, il me dit
- … Ne recommence pas !
- Pfff… Un vrai mec aurait tenu bien plus longtemps… Bon, j’appelle ma mère.
Je ne l’avais pas eu, juste son répondeur. Un peu plus tard dans la soirée, je reçus d’elle un MMS, une photo d’elle en maillot de bain à la plage avec comme message : « J’espère que tu as passé un bon Noël. Moi, je m’éclate comme une folle. Bisous ma fille, ta mère qui t’aime ». J’étais énervée, je suis allée voir mon père, je l’ai giflé en lui disant « Alors couille molle, pas capable de me donner une autre leçon ? ». Il me sourit, me caressa tendrement la joue et me dit « Je suis désolée ma fille. Ta mère est … On ne peut pas changer de parent. Va chercher ton vibromasseur, je vais te réconfoter avec ».
Voilà, mon père ne pouvait pas payer, je ne voulais pas lâcher mon appartement et ma mère était et restait qu’une sale grosse conne égoïste.
Je repensais aux appels à répétition de la police. Le dernier, c’était un des chefs, un responsable. Il tenta de m’intimider, et il réussit. Mais j’ai gardé mon calme et je lui ai dit qu’au prochain appel, je prendrai un avocat pour porter plainte pour harcèlement, et également pour maltraitance. Je lui ai rappelé que j’avais été arrêtée, menottée, interrogée comme si j’étais coupable de quoi que ce soit.
Stanriff
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