Finalement, seule ma bouche a servi. Ces sensations que j’avais lorsque sa verge la pénétrait entièrement étaient très fortes, dures. Mais j’adorais cette impression de revivre dès que je la retirai, j’adorais pouvoir à nouveau respirer.
Mon maillot de corps me servit pour essuyer mon visage et mon corps de toute cette bave et de mes larmes. Et après qu’il se soit fini dans ma gorge, je suis allée me prendre une bonne douche avant de rentrer chez moi.
Mes sous-vêtements n’étaient toujours pas secs, mon maillot de corps trempé. Je n’ai enfilé que mon jean’s et mon gilet. JC regardait ma poitrine non maintenue sous mon vêtement
- Je sais que tu aimes, mais je ne le fais pas pour toi.
- Je me doute bien, sinon tu aurais enlevé quelques boutons pour me faire plaisir. Laisse-moi te raccompagner.
- Non, c’est gentil, mais je vais me débrouiller seule.
- Il fait nuit, et en voiture ça ira plus vite, et tu auras moins froid.
- Bon, ben puisque tu n’as rien d’autre à faire, ok.
Il mit son manteau, pris les clés et eu un petit moment d’arrêt. Je lui ai demandé
- Il y a un problème ?
- Non… Mais, je ne me souvenais pas d’avoir repris le double des clés à Amandine.
- Ha ? Tu lui files les clés de chez toi ?
- C’était avant, lorsqu’on s’entendait super bien en ami… Ca malheureusement changé. Allez, on y va.
Il ne me déposa pas juste devant mon immeuble. Il m’accompagna jusqu’à mon appartement. Je ne pus m’empêcher de regarder la porte d’entrée d’André. Un sentiment de tristesse m’envahit. JC passa un bras sur mes épaules et me murmura “Allez, ça va passer”.
J’étais chez moi… J’ai regardé la fenêtre de la cuisine… Je n’avais aucune envie de rester là, aucune envie de rester toute seule. JC n’était pas encore parti, mais pas loin :
- Bon, on se voit demain Pauline ?
- Ouais…
- Ca va aller ?
- Je ne sais pas. Il faut que je déménage.
- … Ben, si tu veux squatter chez moi quelques temps, ça ne me gêne pas.
- Dis pas de bêtises.
- Je suis sérieux.
- Je n’ai pas trop envie de tenir la chandelle dès que tu ramèneras une nana.
- J’ai envie de faire une pause sur ça. Je me rends compte que ça n’apporte rien en fait.
Il me regardait comme je ne voulais pas qu’il le fasse. Coucher ensemble, ok, pas de problème. Mais…
- JC, je ne suis pas amoureuse de toi. Je n’ai même pas envie de tenter une relation avec toi, ou avec qui que ce soit d’autre.
- Bon… J’avoue que j’aurai espéré autre chose… Mais, je maintiens mon invitation. Et je vais voir avec mes parents, ils ont peut-être quelque chose de libre pour toi. Lorsqu’ils ont acheté mon appartement, à priori, il ne devait pas coûter assez chez à leurs yeux. Ils se sont amusés à en acheter d’autres dans mon quartier qu’ils mettent en location.
- Ok, c’est gentil. Et, tu me feras dormir où ?
- Dans mon lit, c’est tout de même plus confortable que le canapé. Promis, je ne te toucherai pas sauf si c’est toi qui le demande. Relation purement sexuelle.
- J’aime bien être toute nue chez moi, et dormir toute nue.
- Je devrai m’y faire. J’ai faim, pas toi ?
- Si… Mais, je n’ai pas fait les courses hier.
- Il y a une bonne pizzeria à côté.
- … Oui… Heu… Mon budget est un peu limité en ce moment, je ne peux pas me permettre.
- Je t’invite.
- Non. C’est bon, tu m’offres trop de trucs déjà. Cette fois, je n’accepte pas.
Il s’est avancé vers moi, a commencé à déboutonner mon gilet. Je ne comprenais pas ce qu’il comptait faire, mais je l’ai laissé continuer. Et lorsqu’il ne resta qu’un seul bouton, juste au milieu de ma poitrine, il me dit : “Pas chiche de venir au restau avec moi comme ça”. Un défi ? J’avais surtout très très faim. Tout ce que j’avais avalé sur les trente-six dernières heures étaient de l’alcool et du sperme.
Il ne me dit pas combien ça lui avait coûté, mais je ne m’étais pas retenue : entrée, plat et dessert pour moi, et je n’en ai pas laissé une miette. Beaucoup de regards se perdaient dans mon décolleté, je n’y prêtais pas attention, je ne voulais que manger.
Et nous sommes repassés par chez moi récupérer des affaires, puis nous sommes allés chez lui. Nous nous sommes couchés. J’ai senti qu’il avait envie, je lui ai fait croire que moi aussi. Et pour le motiver, qu’il finisse plus vite, j’ai simulé mon plaisir et ma jouissance.
Le lendemain, premier jour de cours de cette nouvelle année civile. Le fait d’arriver avec JC ne passa pas aperçu. Des ragots commençaient déjà. Je n’en avais rien à faire, contrairement à Amandine, qui, avec un sourire n’inspirant aucune confiance, vint me parler :
- Ca va Deep Blue ? Ton week-end a été bon ?
- Qu’est-ce que tu veux ?
- J’ai appris pour ton voisin, mais je vois que tu t’en ais vite remise. Tu baisais avec lui aussi ?
- Tu n’as rien d’autre à faire ?
- Ben non, justement. J’ai fait une bêtise en détruisant le disque dur de Thomas. Je suis certaine que JC aurait aimé voir à quel point t’es une petite branleuse.
- Je ne suis pas intéressée par les discutions d’ne sale conne jalouse. Et JC n’en a plus rien à foutre de toi.
- Pour le moment. Mais, je te réserve une jolie surprise, sale pute.
Durant toute la journée, elle m’appela devant les autres “Deep Blue”, ce qui éveillait une certaine curiosité alors qu’elle-même ne savait pas pourquoi.
En début de soirée, alors que je travaillais dans le salon de JC, je reçu un mail anonyme ayant pour sujet “Deep Blue en action avec JC”. Je l’ai ouvert, il n’y avait qu’un lien vers un fichier dropbox. J’ai appelé alors JC :
- Viens voir, j’ai reçu un mail bizarre, tu crois que c’est un virus ?
- Ben, je viens de recevoir le même. Attends avant de cliquer que je vérifie deux trois trucs… Il provient de l’adresse IP de l’école… Bon, rien ne semble louche sinon.
- J’y vais ?
- Non, je vais le faire de mon vieux PC. S’il se fait infecter, ce n’est pas grave.
Il a mis en marche son autre ordinateur, a transféré le lien dessus et nous avons regardé ce qu’il y avait derrière. Ce n’était pas un virus, mais une vidéo et elle nous a laissé sans voix. Quelqu’un nous avait filmé avec un portable la veille pendant que je lui offrais sa première gorge profonde.
Nous avons regardé la vidéo jusqu’au bout, sans bouger, sans rien dire, et qui s’arrêta après son éjaculation. Et je me suis tournée vers lui, il était blanc… J’avais des sueurs froides.
- JC… Dis-moi que t’y es pour rien.
- J’y suis pour rien…
Et nous avons tous les deux dit en même temps “Amandine”.
- Reste-là Pauline, je vais régler ça avec elle.
- Je viens aussi.
- Non, ça ne te concerne pas.
- Je crois bien que si.
Quelques minutes plus tard, nous étions devant la porte d’Amandine. JC devait parler, et moi ne pas intervenir. Il a frappé, elle a ouvert, avec un grand sourire
- Ho, JC et Deep Blue. C’est gentil de venir me voir. Je trouve que vous formez un très beau couple.
- Arrête ce cinéma, et vire la vidéo.
- La quoi ? Je ne comprends pas de quoi tu parles.
- Je sais que tu es venu chez moi hier soir, et je n’ai pas besoin de demander les enregistrements vidéos de l’immeuble pour le prouver ! Maintenant, tu vires ça avant que je me fâche.
- Ho… Tu me fais peur…
Et elle se mit à rire. JC a commencé à s’énerver. Je suis intervenue, parlant d’une voix calme cachant tout ce que j’avais envie de faire à cet instant, et le meurtre en faisait partie :
- Tu as envoyé le lien à qui ?
- Je pense n’avoir oublié personne, prof et direction compris.
- J’imagine que tu n’as pas peur de moi non plus.
- Pas plus que d’un petit chaton.
- Mettons les choses au clair : je suis plus intelligente que toi et ta cinquante neuvième place au classement contre ma première place le prouve, je suis plus réfléchie que toi, je suis plus sportive que toi, je sais être imprévisible, très méchante aussi…
- Ho, petit chaton Deep Blue, je suis en train de trembler comme une feuille.
- Réfléchis un peu à ce qui…
Et sans crier garde, je lui ai décroché un coup de poing en plein dans le nez. Elle est tombée à terre et s’est mise à pleurer en mettant ses mains sur son visage. Et j’ai fini ma phrase, toujours en gardant ce ton très calme
- … pourrait t’arrive, à n’importe quel moment, sans que tu t’y attendes. Je suis très patiente. Ca te tombera dessus demain, ou dans une semaine, ou encore dans un an, pendant un repas ou dans ton sommeil… Fais preuve d’intelligence, ais peur de moi.
- JC, tu as vu ce qu’elle a fait ? Défends-moi !
Elle releva la tête, son visage était en sang. Je n’étais pas fière de moi, je ne regrettais rien non plus. En fait, je m’en fichais, je ne ressentais rien. Et JC lui a répondu : “c’est la dernière fois que je t’autorise à m’adresser la parole”.
Le temps que nous retournions chez JC, le lien n’était plus valide. Mais, combien d’entre eux avaient eu le temps de regarder ? Combien avaient copié la vidéo pour la montrer à d’autres ? En tout cas, elle continua à circuler encore longtemps après, arrivant même sur des sites pornographiques à la vue du monde entier.
Le lendemain, j’ai certainement fait la chose la plus difficile de ma vie : affronter l’école toute entière. J’ai parlé à tous les élèves, certains ne sachant pas encore ce qu’il s’était passé, et j’ai mis les choses au clair, expliqué ce qu’avait fait Amandine. J’ai indiqué que je pouvais être très gentille avec ceux qui ne tenteraient pas de m’humilier ou se moquer, et très méchante avec les autres. J’ai commencé à noter les noms de ceux qui se sont mis dans la seconde catégorie. J’ai créé une liste noire et une liste blanche.
Chapitre 17
Je ne voulais pas de l’argent d’André. Ca me donnait l’impression de n’avoir été qu’une pute de luxe… Une pute qui facturait très très cher. J’ai donné le chèque à mon père. Il l’utilisa pour rembourser le prêt de sa nouvelle maison et payer une bonne partie des travaux restants. Il allait pouvoir respirer un peu mieux.
Mais, ma mère restait en dette vis-à-vis de lui, et indirectement avec moi. J’ai réussi à l’avoir au téléphone. Nous nous sommes engueulées. Elle avait d’abord voulu me faire croire que c’était mon père qui mentait. Puis, elle me dit qu’elle n’avait déjà pas assez d’argent pour elle-même. Ca énerve d’entendre ça :
- Tu n’es qu’une sale égoïste, maman !
- Comment oses-tu dire ça ? Je pense tout le temps à toi. Et ce n’est pas de ma faute si tu habites si loin et qu’on ne peut pas se voir. Ca fait des frais que je ne peux pas supporter.
- Tu penses toujours à moi ? Quel est la date de mon anniversaire ?
- Allons Pauline, ne joue pas à ça… Je la connais très bien.
- T’es en train de gagner du temps pour consulter ton agenda. Pourquoi m’as-tu appelée trois semaines après mon dernier anniversaire ?
- Mais, je te l’ai dit. Je ne pouvais pas, j’étais en Thaïlande à ce moment-là.
- Et Noël ? T’étais où ? Comment arrives-tu à te payer tous ces voyages ? On est début Février et c’est la première fois que j’arrive à te joindre au téléphone depuis Septembre dernier !
La conversation était devenue de plus en plus tendue et elle s’est finie par “N’essaie plus de me contacter tant que tu n’auras pas remboursé mon père jusqu’au dernier centime. En attendant, je ferais comme si je n’ai pas de mère !”. Elle versa 100 euros le premier mois, de même le mois suivant, puis, plus rien…
Nous étions ainsi début Février, et je venais d’emménager dans un petit studio de 15m² appartenant aux parents de JC. Il avait été en travaux pour remise à neuf, et les murs sentaient encore la peinture fraiche. Mon père avait moins de problèmes financiers, j’aurai pu prendre plus grand, il me le proposa même, mais ça me suffisait largement.
JC avait espéré que je reste chez lui. Il commençait à penser que nous étions un couple, comme tous les élèves de l’école d’ailleurs. Ca pouvait effectivement y ressembler : nous mangions toujours ensemble, nous nous occupions du linge de l’autre, nous partagions les courses et les frais, nous n’avions aucune pudeur l’un pour l’autre et nous baisions quasiment tous les jours.
Il respecta sa règle de ne pas me toucher tant que ce n’était pas moi qui le lui demandait. Je voyais bien dès qu’il en avait envie. Je lui faisais croire… Je simulais… C’était pour lui faire plaisir. Mais, je n’ai jamais eu réellement de besoin.
Malgré tout, sa présence allait me manquer. C’était tout de même agréable de l’avoir à mes côtés, qu’il ait des attentions pour moi tel que me préparer un bon petit repas de temps en temps ou me faire couler un bain avec plein de mousse. Ce n’était pourtant que superficiel, je pouvais jouer la comédie pendant un temps, mais pas à vie. Pourtant, plus d’une fille aurait aimé être à ma place.
JC m’avait aidée à emménager, à déballer les cartons. Et pendant que je rangeais mes livres de cours, il me demanda :
- Je t’ouvre celui-là aussi ?
- Lequel ? Heu… Non, pas la peine.
- Je l’ai vu trainé dans notr… ma chambre durant trois semaines et tu ne m’as jamais dit ce qu’il y avait dedans.
- Ben si, je t’avais dit des trucs perso.
- Oui, mais quoi en fait ?
- Je ne t’ai jamais empêché de regarder dedans.
- Oui… Mais il y a peut-être des trucs intimes que tu veux pas que je…
- Tu crois qu’il y a beaucoup de choses plus intimes que de laisser un mec qui n’est même pas son petit ami lui raser le minou ? Ou encore de le laisser regarder lorsqu’on fait pipi ?… Allez, tu meurs d’envie, ouvre-le.
Ce carton contenait tous les dessins qu’André avait fait de moi et une boîte à chaussures avec les cadeaux de Noël que m’avait offerte mon père. JC passa beaucoup de temps à contempler les dessins, délaissant pour le moment la boîte à chaussures, et n’hésitant pas à donner son avis de non expert en art. C’était d’ailleurs amusant.
- T’as vraiment posé comme ça ? Attachée, avec le truc SM dans la bouche et les yeux bandés ?
- Et oui. Je trouve d’ailleurs que c’est son plus beau dessin.
- Le plus cochon aussi. Sacré pervers ce papy. Tu crois qu’il bandait ?
- Ho que oui.
- Comment tu le sais ?… Non, t’es pas sérieuse ? Il t’a… ? Dans cette position ?
- Non, après qu’il m’ait détachée. J’en avais sacrément envie.
- Finalement, c’est toi la perverse… On a l’impression que tu te masturbais sur celui-là.
- C’est-ce que je faisais.
- Je ne t’ai jamais surpris en train de te toucher…
- Je n’en ai pas eu envie depuis longtemps.
- Fait chier d’être un si bon amant alors…
- Tu aurais aimé ?
- Pas grave, si t’as pas envie, t’as pas envie et c’est tout. Bon, y’a quoi dans cette boîte ?… Ho, tu m’avais dit que t’avais pas de joujoux…
- Ben, plus depuis les vacances de noël.
Et, avec un grand sourire, il me montra mes oreilles de chat et le plug anal
- C’était pour papy ça aussi ? Du coup, tu ne l’as jamais porté.
- Ben, fallait bien que je vérifie que la tenue était à la bonne taille.
Je ne sais pas ce qui lui a traversé la tête à ce moment, mais il a rougi et son pantalon s’est mis à se déformer d’un coup. Je lui ai repris les objets pour les mettre dans la boîte que j’ai emmenée avec moi dans la salle de bain après lui avoir dit “Bon, je vois que tu n’arrives plus à te concentrer sur le rangement. Attends-moi”.
Je suis revenue quelques minutes après, avec un maquillage de circonstance. Il resta un petit moment à m’observer nue, avec mon raz-du-cou, mes oreilles, ma queue. Il caressa cette dernière
- En plus, c’est super doux. Tu pourrais la teindre en bleu pour que ce soit assorti à tes cheveux.
- Ha oui, je n’y avais pas pensé.
- Tu me donnes envie d’être pervers moi aussi.
- Ok, ne te gène pas. Faut de toute façon baptiser cet endroit.
Il partit dans la salle de bain récupérer la boîte à chaussure. Il me menotta par devant, accrocha la boule à ma bouche, et me fit m’allonger de profil sur mon nouveau canapé lit. Il me mit ensuite le vibromasseur dans les mains et s’installa en face sur une chaise, ouvrit son pantalon, sortit sa belle grosse queue pas encore totalement en érection.
La situation a eu pour effet de m’exciter, sensation que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. Etait-ce lié au fait que j’étais menottée et soumise à lui ? Etait-ce parce que j’étais et j’allais m’exhiber d’une façon peu conventionnelle ?… Ce n’était pas au point de me faire perdre la tête, mais suffisamment pour que je me montre sans pudeur devant lui. Il me dit au bout de quelques secondes “ne va pas trop vite, prends ton temps”. Puis, un peu plus tard : “je crois comprendre ce qui t’excite vraiment”. Et il prit son téléphone. J’ai cru au début que c’était pour me filmer… Je l’aurai laissé faire de toute façon
“Bonsoir, ça serait pour commander une boîte duo… C’est celle qui a plus de sushi que de maki ?… Oui, celle-là… J’ai déjà un compte chez vous, mais ça sera pour livrer à une autre adresse, c’est possible ? … Parfait. Et ça pourra être livré d’ici combien de temps ?… Au plus tôt… 20 minutes ? Parfait… Oui, alors, c’est au nom de …”
Une fois raccroché, il me dit d’un ton assuré et franc “c’est toi qui ira ouvrir sans te rhabiller”. Il n’en fallait pas plus pour me faire bourdonner les oreilles et sentir cette vague de chaleur grimper tout le long de mon corps. Un orgasme allait se déclencher et il me retira d’un coup mon vibromasseur en me disant “pas si vite. On n’a pas fini de s’amuser “.
Le salaud me frustrait, je commençais à me déchainer. J’ai attrapé sa verge et me la frottais sur le visage. Il retira mon bâillon en disant “tu as drôlement fin ce soir”. Et je l’ai prise, l’ai sucée, l’ai léchée, l’ai dévorée. Il posa sa main sur ma tête… Ok, il voulait retenter l’expérience, et moi aussi. Elle s’enfonça dans ma bouche, dans ma gorge. Je commençais à avoir du mal à respirer, mais je continuais jusqu’au bout. Je pleurais, je bavais, je faisais de petits mouvements avec ma tête pour que ma gorge le branle.
Je continuais alors que j’étais en apnée depuis plusieurs secondes, n’arrivant plus du tout à respirer. Je commençais à manquer d’oxygène. J’avais l’impression que tout tournait autour de moi, et il me repoussa. J’ai toussé, j’ai repris de l’air. JC me dit alors
- T’es cinglée, mais j’aime quand tu es comme ça. Imagine les gros titres : une fille morte d’asphyxie à cause d’une bite coincée dans la gorge.
- Baise-moi ! Et surtout, ne soit pas doux.
- T’es pas du tout comme les fois où on a couché ensemble… T’es aussi chaude qu’à l’anniversaire de Fred ?
- Pas loin en tout cas… Tu peux m’appeler Deep Blue.
Plusieurs minutes plus tard, lorsqu’on sonna à la porte, sa queue était encore dans ma gorge. Il s’est retiré rhabillé, a récupéré un torchon pour essuyer ma bave qui coulait et a dit “ben alors, qu’est-ce que tu attends pour ouvrir ?”. Il voulait vraiment que je le fasse ? Et je l’ai fait, ma poitrine tellement gonflée qu’elle était devenue ultra-sensible, de la cyprine me coulant à l’intérieur des cuisses.
J’ai juste vu un peu mon visage en passant devant le miroir de l’entrée, le maquillage avait coulé, j’avais un air trash, de salope, je me trouvais belle comme ça. Les caresses des poils sur mes jambes et mes fesses me rappelaient que j’avais toujours la queue enfoncée dans mon cul, sans oublier la petite clochette qui gigotait à chacun de mes mouvements.
J’ai ouvert la porte. La surprise du livreur était indescriptible. J’ai tendu les bras pour prendre le paquet, mes mains toujours menottées. Il n’arrivait pas à me fixer… Ses yeux partaient dans tous les sens. Je lui dis “Bonne soirée”, et il répondit “Mer… Merci” et partit sans se retourner.
Je me suis retournée, fermant la porte avec un pied. JC était là, avec son téléphone et me dit
- Je voulais garder un souvenir de ce moment.
- Que de ce moment ?
- … Ca te tente une sextape ?
- Elle sera méga chaude.
Chapitre 18
- Alors ? T’en penses quoi ?
- Je m’en fiche de la bouffe ?
- Vraiment ? Pourtant, il y a tout ce que tu aimes : sauce soja, wasabi. Tu veux goûter un maki cette fois ?
- Arrête de me chercher, putain, fais-moi jouir une bonne fois pour toute.
- T’es à bout ?
- Je vais me branler comme une malade et tu ne pourras pas m’arrêter.
Il s’est avancé, m’a attrapée à la gorge, m’étouffant, et s’est mis à me masturber le clitoris comme un fou. J’ai été prise de spasmes, il a lâché ma gorge, et j’ai crié, prise par un orgasme foudroyant. Il a remis sa main sur ma gorge, ma jouissance a continué. Et je me suis écroulée, recherchant mon air, recherchant un souffle. Je me suis mise sur le côté, il s’est remis sur sa chaise comme si de rien n’était, et prit un sashimi qu’il savoura. Je lui ai demandé alors
- Ca te dérange si j’enlève le plug ?
- Ca va mieux ? T’es calmée ?
- Oui. T’as appris à faire ça où ?
- Tu ne connais pas tout sur moi. Chacun a le droit à ses petits secrets. Oui, tu peux l’enlever, et mange, c’est super bon.
Je me suis redressée, son sperme que j’avais sur mon corps a commencé à couler le long de mon ventre, mais ça ne me gênait pas. Je me suis servie, il me regardait puis me demanda
- Tu es calmée ou j’ai toujours à faire à Deep Blue.
- Non, c’est bon là. J’ai eu ma dose.
- Du coup, tu vas me demander de supprimer ce que j’ai filmé ?
- … Juste par esprit de contradiction, je ne te le demanderai pas. Mais si tu pouvais éviter de montrer à tout le monde, ça me ferait plaisir.
- Ne t’inquiètes pas, ce n’est pas mon genre. Mais, tu le sais déjà, pas vrai ?
- … Oui, mais les gens peuvent changer… Mmmmmh, c’est vrai que c’est bon. Tu me passes un sushi pour goûter ?
- Tu me prends pour ton esclave maintenant ?
- Non, mais j’ai pas envie que du sperme tombe sur la bouffe si je me penche.
- Ben, t’as qu’à l’essuyer.
- Non, j’aime bien, ça me fait des guilis lorsque ça coule. Un sushi ? S’il te plait… Mmmmmh, délicieux… Merci esclave.
Il s’est levé, comme s’il était en colère. Il m’a poussée, et m’a donnée une fessée. Il n’y était pas allé de main morte, même si c’était pour jouer, mes fesses étaient en feu. “Ne recommence pas, sinon, le prochain, je te le balance”. Je ne pouvais que le provoquer, je ne pouvais que lui répondre : « un autre, esclave, et dépêche-toi ! ». Il m’en balança un qui se colla à ma joue, avant de tomber sur ma poitrine. Il me regarda en me défiant et me dit
- Vas-y, mange-le.
- Ce n’est pas de cette sauce dont j’ai envie.
- Tu n’aimes que le sperme chaud, coquine. Mais, non, ne le mange pas. Je me doutais que tu n’en étais pas capable.
Défi inutile, mais il me cherchait le salaud. J’ai pris le sushi avec les doigts, je l’ai mis dans la bouche… Ce n’était pas bon, mais je lui ai fait croire le contraire en lui disant « Mmmmmh, j’adore ». Et nous avons ri, et après manger, nous nous sommes douchés ensemble, sans sexe, juste des câlins. Il me dit alors, en m’embrassant dans le cou
- Tu vas me manquer.
- Toi aussi. T’es vraiment un super copain. Mais, on se verra presque tout le temps. J’ai envie que tu ais un double des clés, comme ça, si tu as besoin…
- Merci. Je te donne mon double en échange… Tu vas faire quoi maintenant.
- Ce que je t’ai dit, remercier ceux qui ont été gentils avec moi après la diffusion de la vidéo.
- Natasha s’est tapée presque la moitié des mecs de l’école. Tu veux battre son record ?
- Je ne cherche pas à battre le moindre record. Je tiens à être reconnaissante.
- Et pour ceux qui n’ont rien dit ?
- Suisse, je reste neutre.
- Et les autres ?
- … J’improviserai au fur et à mesure.
- Ne te lance pas dans une vendetta.
- Ce n’est pas dans mon intention.
- J’espère. C’est sûr ? Tu ne viens pas à notre petite soirée privée de samedi prochain ?
- Non. Mais la prochaine, après les vacances, ok ?
- Promis ?
- Promis.
Le Mercredi suivant, en fin de journée, je suis allée voir un gars de première année qui était assis en train de travailler sur son ordinateur. C’était un garçon très réservé, timide, sans vraiment d’amis et que je n’avais pas encore remarqué quelques semaines plus tôt. Je me suis assise à côté de lui
- Salut, je ne te dérange pas ?
- Pau… Pau… Pauline ? Tu… Heu…Non…
- Dis donc, t’es un stressé toi. Je suis venue te remercier.
- De quoi ?
- Pour avoir dit que c’était nul ce qu’Amandine a fait.
- Ha… Ben… C’est normal.
- Tu travailles sur une étude ? Je peux voir ?… Tu dois la rendre quand ?
- Ven… Vendredi.
- Trente-neuf pages avec que du texte… Arf, pas très digeste ça.
- Je sais… Je ne sais pas faire autrement.
- Tu veux que je te donne des conseils ?
- … Tu… Tu ferais ça pour moi ?
- Il y a un peu trop de bruit ici. J’ai une idée, on va chez moi, ça sera plus calme.
Je le savais timide, mais pas à ce point. Il vint donc avec moi, marchant en retrait, n’osa rien dire durant le trajet, si ce n’est répondre par oui ou par non à mes questions. Il fallut que je lui dise de rentrer dans mon appartement, de lui dire où s’assoir. Il refusa un verre d’eau, mais je me doutais que c’était par peur de déranger. Je trouvais ça amusant.
Stanriff
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