...
Histoire de Sexe

Pauline – Années étudiantes – Chapitre 9

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

J’ai passé une heure à lui donner des conseils d’organisation, de mise en valeur de son étude. Pour le contenu même, c’était pas mal. Mais parfois, un petit schéma remplace avantageusement deux ou trois pages de texte. Et pendant qu’il faisait ses retouches, je lui dis “Bouge pas de là, je vais me mettre un peu plus à l’aise”.

Je revins quelques minutes après, sortant de la salle de bain et attirant son attention en lui demandant “T’aimes bien mon maquillage ?”. J’ai cru qu’il allait exploser tellement il devint rouge. Je lui ai reposé la question :

  • T’aimes bien mon maquillage ?
  • Heu… Oui… Mais… T’es toute nue…
  • Et alors ? Tu ne me trouves pas jolie ?
  • Ho si, vachement en plus. Tous ceux que je connais fantasmes à fond sur toi.
  • Et il se passe quoi dans tes fantasmes ?
  • … Heu… On s’embrasse.

J’ai fermé son ordinateur portable et me suis assise à califourchon sur ses cuisses, je l’ai enlacé, bloquant ma poitrine contre son torse, je lui ai léché doucement et tendrement les lèvres. Il ne bougeait pas, tel une statue.

  • Ca se passe comme ça dans ton fantasme ?
  • Heu… Pas aussi bien… Mais pourquoi tu fais ça ?
  • T’as été gentil avec moi, je suis gentille avec toi. Mais, si tu ne veux pas, dis-le-moi.
  • … Je… n’ai… pas… beaucoup… d’expérience… avec les filles.
  • Je te propose d’en avoir une avec moi. Tu choisis.
  • J’aimerai bien… Mais, je ne l’ai jamais fait.
  • Il faut bien commencer un jour. Laisse-moi t’apprendre.

Le pauvre était tellement impressionné qu’il eut beaucoup de mal à bander. Mais une fois parti, c’était plutôt pas mal pour une première fois. Ce n’était pas aussi bien que certains bien plus expérimentés, mais mieux que d’autres dont parfois je me demandais s’ils m’avaient pénétrée avant d’éjaculer.

En tout cas, il repartit avec les yeux pleins d’étoiles. Il n’était pas le premier par qui j’ai commencé dans ma campagne de remerciement, déjà six étaient passés entre mes jambes. Il ne fut pas non plus le dernier avant les vacances.

paragraphe 4 rose

Des rumeurs commençaient à circuler sur ce que je faisais. On me prenait certainement pour une salope. Mais, personne ne savait que je n’y éprouvais pas de plaisir même si c’était souvent agréable, personne ne savais que je suivais juste la ligne directrice que je m’étais fixée.

En tout cas, ça a fait parler. Les personnes venaient me voir pour savoir si elles étaient dans ma liste blanche. D’autres, de la liste noire, venaient s’excuser, je les passais alors dans la liste “neutre” en rayant leur nom.

Mais, là, nous étions maintenant en vacances. Certains étaient partis au ski, moi, j’allais chez mon père. J’avais parcouru le train, sans vraiment d’espoir, pour revoir l’homme. Il n’y était pas. Mon père vint me chercher à la gare, comme à chaque fois. Dans la voiture, il me dit

  • Il y a quelqu’un à la maison.
  • Que je connais ?
  • Non. C’est une femme… Ca fait trois semaines qu’on sort ensemble.
  • C’est vrai ? Ben, c’est génial pour toi. Par contre, pourquoi tu ne m’en as pas parlée ?
  • Je ne savais pas si ça durerait.
  • Ok. Elle s’appelle comment ?
  • Charline. Et je ne te dirai rien d’autre, tu verras bien comment elle est.
  • Elle fait quoi dans la vie ?
  • Elle est serveuse dans un restaurant à côté de là où je travaille.
  • Ha ? C’est toi qui l’a draguée ou c’est elle ?
  • … Et ton petit copain qui t’hébergeait, comment va-t-il ?
  • Ne change pas le sujet de la conversation. T’es amoureux ?
  • Je l’aime bien. Mais, c’est plutôt sexuel entre nous. Et, ne sois pas étonnée si parfois, elle zozote un peu, elle a un piercing sur la langue.

Je ris, c’est à cause de la façon dont il le dit avec pleins de sous-entendus. Et je lui ai demandé

  • Et c’est vraiment mieux pour la fellation ?
  • Je ne vais pas te mentir, c’est plutôt sympa.
  • Et elle en a ailleurs aussi ?
  • Aux oreilles, évidemment… Sur le téton droit, et sur le clitoris… Là aussi, c’est bien sympa. Elle a aussi pas mal de tatouages, dont un de papillon juste au-dessus du minou qui donne l’impression de le butiner…
  • Mais, je ne te demandais pas autant de détails. Dis-moi juste si elle est assez cochonne pour toi.
  • Oui, elle l’est.

J’ai donc fait la connaissance de Charline, une femme assez grande, plutôt jolie, un peu plus jeune que mon père. Elle portait une jupe élégante s’arrêtant à mi-cuisses, un chemisier rose clair dont les boutons semblaient avoir bien du mal à rester en place à cause d’une poitrine très généreuse.

Elle vint me dire bonjour tout de suite, comme si elle était impressionnée de me rencontrer et certainement pour faire bonne impression.

  • Bonsoir, votre père m’a énormément parlée de vous.
  • J’aurai aimé dire la même chose… Dis donc papa, tu as bien avancé dans les travaux. C’est pas mal.

Il prit Charline par la taille et me répondit “Ha, tu as vu ? Il me reste encore pas mal de truc à faire dans le salon, j’ai quasiment fini ma chambre, en tout cas, on peut y dormir et se laver. Et il me restera le bureau. Mais, c’est grâce à Charline qui m’aide beaucoup”.

Apéritif, repas, digestif… Je me sentais en trop. De plus en plus de bisous, de caresses… J’étais de toute façon fatiguée, alors, je les ai laissés. Durant cette semaine, Charline venant toujours dormir à la maison même lorsqu’elle finissait tard, j’ai pu me rendre compte qu’ils avaient une activité sexuelle bien épanouie. Tous les jours, je les entendais faire l’amour. Pour m’a part, ça m’arrangeait. Je n’avais aucune envie sexuelle, elle occupait bien mon père.

Je suis allée faire un peu de shopping ce vendredi matin. J’avais besoin de réinvestir principalement dans des sous-vêtements, notamment des strings. J’en avais craqué ou perdu deux trois depuis le début de l’année et ça devenait compliqué d’en avoir régulièrement des propres.

Pauline - Années étudiantes - Chapitre 9
Nouveaux profils

Charline voulut m’accompagner, ne prenant du service qu’en fin d’après-midi. C’était aussi l’occasion de faire un peu plus connaissance, sans avoir mon père dans nos pattes. Elle m’entraina à l’intérieur d’un magasin de lingerie dans un grand centre commercial qui venait d’ouvrir. Elle m’en montra quelques-uns

  • Arf, 40 euros pour un bout de tissu ?
  • Ton père m’a dit que ça va mieux financièrement pour vous. Je pense que tu peux te le permettre. Tu ne les trouves pas jolis ?
  • Si, mais bon. J’ai réappris à ne plus être dépensière. T’en portes des comme ça ?
  • Je n’en porte pas. Je n’ai jamais rien sous mes jupes. Et si tu me vois en pantalon, c’est que j’ai mes règles.
  • J’imagine que ça doit bien plaire à mon père. Vous semblez assez actifs d’ailleurs à ce que j’ai pu entendre.
  • Oui, on est plutôt sur la même longueur d’onde sur le sujet.

Et elle hésita un instant, puis me demanda

  • Est-ce qu’il lui arrive d’avoir souvent des comportements un peu étranges ?
  • De quel genre ?
  • Ben… Je ne sais pas trop. C’est arrivé la semaine dernière, on préparait de quoi manger et il s’est arrêté d’un coup… C’était bizarre, comme s’il n’était plus là, le regard dans le vide. Et il a repris ce qu’il faisait plusieurs secondes après comme si de rien n’était.
  • Heu… Lorsqu’il est concentré sur un truc, il n’entend plus rien de ce qu’il se passe autour, ça arrive. Il devait penser à quelque chose.
  • … Peut-être. Dans la même soirée, il y a eu un autre moment étrange… On était en train de… Enfin, tu vois, et il s’est mis à me prendre… Pas comme s’il n’y avait que son plaisir qui comptait, mais… Un peu comme une bête sauvage… Ca a duré quelques secondes et tout est redevenu normal.
  • Heu… Là, je ne peux rien dire.

Sauf que mon père ne m’a jamais fait ça. Alors, je me suis demandée à quoi elle jouait, car je sais très bien comment il est. Non, je ne croyais pas un seul mot de ce que me sortait Charline. J’ai commencé à croire qu’elle voulait se l’approprier pour elle toute seule en me faisant peur.

Chapitre 19

A peine revenue à mon appartement, mon sac défait, je me suis préparée pour la soirée privée organisée par Sandra et Baptiste. Je n’étais pas vraiment motivée, mais j’avais fait une promesse à JC d’y venir. Je n’avais aucune intention de faire quoi que ce soit. Je me suis habillée normalement, rien de particulièrement sexy, en legging et débardeur avec des sous-vêtements dessous.

Comme la fois d’avant, des filles à moitié à poil, des mecs quasiment nus. Ca se tripotait, ça s’embrassait. Sandra et Baptiste allaient commencer leur show. Je regardais un peu, JC n’était pas loin et je me suis rapproché de lui

  • Tien, ils se filment maintenant ?
  • Première sextape tournée en public. Ils sont de plus en plus exhibitionnistes.
  • De toute façon, ça ne sortira pas d’ici.
  • Ha… T’es pas au courant… Ils publient leurs vidéos sur un site porno. Faut un code d’accès pour les voir, mais c’est un premier pas déjà.
  • Tu me fais marcher.
  • Tu peux leur demander.
  • Je vais me chercher un truc à boire. Tu veux quelque chose ?
  • Non, c’est bon, mon verre est encore plein.

Je me suis servi, quelqu’un posa sa main sur mon épaule et me dit “Holà, du coca pur, t’es folle, c’est trop fort pour les gamines”. J’ai ri et ai tourné la tête vers Mat

  • Je te sers quelque chose ?
  • Non, je voulais juste te demander un truc, je suis bien sur ta liste blanche ?
  • … Oui, évidemment, comme tout le monde ici.
  • Ok, je vais te demander un autre truc alors, c’est quand mon tour ? Pour être franc, ça fait un bon moment que j’aimerai qu’on couche ensemble.
  • Ha… Heu, ben je ne tiens pas d’agenda en fait. Mais, je te préviendrai.
  • Ou, j’ai une autre proposition, on le fait là ici et comme ça tu auras un nom de moins sur ta liste. Et l’avantage est que ça ne choquera personne.

Je n’en avais pas envie, mais en fait, pas moins que les autres fois non plus. Un autre avantage auquel il ne pouvait pas penser c’est qu’exhibée devant tout le monde, je serais certainement bien plus excitée que pour les autres. J’ai donc accepté cette proposition.

On s’embrassa, on se chauffa… Enfin, il me chauffait car lui était déjà bien tendu dans son boxer, le seul vêtement qu’il portait alors. Il le retira vite, alors que j’étais encore toute habillée. Il me demanda “Tu peux me le faire à la Deep Blue ?”. J’ai compris, je me suis agenouillée devant lui, et je l’ai un peu sucé avant de l’enfoncer doucement de plus en plus profondément. C’était bien plus facile qu’avec JC.

Je lui ai fait de petits mouvements de tête pour le branler avec ma gorge, puis je l’ai retirée, commençant tout de même à manquer d’air. Je remarquais alors qu’on nous regardait, le spectacle d’à côté était terminé. On motiva Deep Blue pour continuer, je l’ai sucé à nouveau, je lui ai refait des gorges profondes jusqu’à ce qu’il se mette à éjaculer alors qu’il était totalement enfoncé dans ma bouche. J’ai tenté de maintenir, mais je me suis mise à tousser. Ca a fait comme lorsqu’on boit et qu’on nous fait rire, c’est ressortit en partie par le nez. Le sperme a coulé dans mon décolleté, sur mon débardeur, s’égouttant sur mon legging.

Le temps que je m’en remette un peu, le temps que je me sois essuyée avec du sopalin, un autre me demanda

  • Pourquoi tu lui as fait à lui ?
  • Parce qu’il me l’a demandée.

Je n’avais pas d’autre réponse à fournir. Il me fit alors “j’aimerai la même chose”, et à nouveau Deep Blue reçut les motivations des autres. Je me suis ainsi remise à genoux, et j’ai recommencé, tel un robot programmé pour ça.

Durant le reste de la soirée, j’ai offert des gorges profondes à qui voulait. Des douze mecs présents, seuls JC et Baptiste n’en ont pas voulu. J’étais restée habillée tout le long. Mais, mon débardeur était devenu transparent tellement il avait été mouillé par tout le sperme reçu et ma bave qui avait coulé.

Il commençait à être tard, du monde était déjà parti, Sandra et Baptiste allaient bientôt se coucher. JC était encore là, et il me demanda

  • Pas trop mal à la mâchoire ?
  • Franchement, si. Mais au moins, j’ai pas mal épuré ma liste blanche. Tu fais jamais rien à ces soirées ?
  • Si, je bois, je parle, je m’amuse…
  • Je veux dire des trucs cochons.
  • Non. Je ne suis pas exhibitionniste. Bon, sur ce, je vais rentrer me pieuter.
  • Si t’es en voiture, ça te dérange de me ramener ?
  • Evidemment que ça me dérange, je n’ai pas envie d’avoir mes sièges qui puent le sperme.
  • … T’es sérieux ?
  • Complètement.
  • Mais, j’aurai mon manteau sur moi.
  • Je ne veux pas prendre de risque.

Il me regarda en attendant que je lui offre une solution, ce n’était pas un non définitif. Je savais ce qu’il voulait

  • Et si je me déshabille complètement… Toute nue sous mon manteau…
  • Passe te nettoyer avant, je t’attends en bas.

Sandra me passa un sac plastique pour y mettre mes habits, j’ai pris une douche d’environ 30 secondes, me suite vite essuyée et j’ai rejoint JC après avoir enfilé mon manteau. Il m’attendait assis sur le capot de sa voiture.

  • Alors ?
  • Je suis prête.
  • Je peux vérifier ?
  • Sympa la confiance.

J’ai ouvert mon manteau, il sourit, et me dit “mets tes trucs dégueulasses dans le coffre et monte”. Il a démarré, un petite sirène raisonna dans l’habitacle et il me dit

  • Merde, j’avais oublié qu’il faut je fasse l’essence. On fait un petit détour à la station.
  • Ok. Tu voulais que je vienne ce soir, je suis venue. J’espère que t’es content.
  • Déçu.
  • … Me dis pas que t’es jaloux que Deep Blue se soit amusée avec d’autres.
  • Pourquoi je serais jaloux ? Et je n’ai pas vu Deep Blue ce soir. Je t’ai juste vue sucer des bites sans aucune envie. Tu y as pris au moins un peu de plaisir ?
  • Oui… Un peu. Eux en ont eu en tout cas.
  • Et c’est ça l’important ?
  • Oui.
  • Tout comme lorsque tu as couché avec moi durant tout le mois de Janvier ?
  • Oui… Je ne savais pas que tu t’en étais rendu compte.
  • J’ai compris ce soir en voyant comment tu agissais par rapport à notre soirée chat-sushi. Alors oui, je suis déçu, déçu que tu ne me le dises pas. J’espérais être un peu plus qu’un mec avec qui tu baises de temps en temps.
  • Je t’assure que tu es bien plus. Tu es mon meilleur ami. Excuse-moi pour mon manque de franchise. Je t’assure que je ferais attention.

Il posa alors sa main sur ma cuisse, tendrement, la remonta pour me caresser la joue et me dit

  • Je te pardonne à une condition.
  • Accepté… c’est quoi la condition ?
  • C’est toi qui mets l’essence, je n’ai pas envie de sortir de la voiture.
  • … Heu… Ok… On fait ça comment ?
  • Tu rigoles ? Tu n’as jamais mis d’essence dans une voiture ?
  • Ben non. Je n’ai même pas le permis.

Nous sommes arrivés à la station service. Je suis sortie avec lui pour qu’il me montre. Il m’a donné sa carte bancaire que j’ai inséré dans la fente de la machine et me suis poussée pour qu’il tape le code, mais il me dit “4 8 9 0”. Je l’ai regardé en me disant que c’était une blague, j’ai tout de même composé les chiffres qu’il m’avait donné

  • Tu m’as vraiment donné ton code ? Je pourrai en profiter en te piquant ta carte sans que tu le vois.
  • Je te fais confiance. De toute façon, j’ai des trucs super compromettant sur toi, je ne risque rien.
  • Ca, c’est du chantage de bas niveau… Je choisis quoi maintenant ?
  • Essence.
  • … Heu… C’est lequel ? C’est pas marqué essence.
  • T’as de la chance de ne pas avoir les cheveux blonds… Mais c’est amusant de voir que tu pompes les bites à la chaine mais que tu ne sais pas utiliser une pompe à essence.

Je lui fis un joli doigt d’honneur, et il me dit “SP98”. Là, c’était écrit. Il m’a donnée une sorte de gant en plastique pour que je tienne le truc qui ressemblait à un pistolet. Il s’est mis sur le côté à vérifier que je le faisais bien. Et je lui dis

  • J’ai pas l’impression que ça coule.
  • Il faut appuyer sur la gâchette.
  • C’est-ce que j’ai fait.
  • Il faut rester appuyé…
  • Ha… C’est pas pratique.
  • Il se passe quoi si je retire la ceinture de ton manteau.
  • Gros malin… Ben, il va s’ouvrir.
  • C’est con, je crois que je suis trop crevé pour avoir envie de faire quoi que ce soit, mais j’ai vraiment envie de voir Deep Blue.

Était-il sérieux ? Juste à l’idée de ce qu’il comptait faire, ma respiration s’accéléra. Il prit le bout de la ceinture, la tira doucement. La pression montait en moi. Nous étions peut-être seul dans la station, mais il y avait des caméras de surveillance. Et il s’arrêta, sans lâcher ce qu’il tenait, et me demanda

  • Tu veux que je continue ?
  • Si tu veux voir Deep Blue, il va falloir… Je sens qu’elle arrive.
  • Et Pauline a envie de quoi ?
  • … Que quelqu’un l’aide à se laisser aller sans se poser de question.

Il donna un petit coup sec, le nœud se détacha, le manteau s’ouvrit. Je l’ai laissé le faire glisser le long de mes épaules, puis le ranger sur le siège arrière de la voiture. J’étais Deep Blue.

Chapitre 20

Allongée dans mon lit, j’ai le buste entièrement collé au dos de JC qui est sur le côté. Ma main caresse son ventre, je lui embrasse la nuque. Je sais qu’il est réveillé depuis quelques minutes déjà. Il me demande

  • Tu as bien dormi ?
  • Pas beaucoup.
  • Tu n’es pas calmée ?
  • Pas entièrement, même si je suis bien moins excitée que tout à l’heure. J’aimerai que tu me prennes, je crois qu’il n’y a que ça qui pourrait me calmer complètement.
  • Tu as fait quoi alors si tu ne dormais pas.
  • Je me suis caressée doucement, agréablement.
  • Tu t’es faite jouir ?
  • Non. J’avais envie que tu me regardes encore… Ton téléphone a dû finir de charger.
  • Ok, je te montre alors.

Nous nous sommes installés l’un contre l’autre. Il lança une vidéo, nous me regardions en pleine masturbation dans la voiture, garée sur le parking en bas de chez moi. L’image ne montrait que mon visage vivre au rythme du plaisir que je m’offrais, et aucune autre partie de mon corps n’était visible.

  • Alors ? Tu te trouves comment ?
  • Pas mal… Avec du maquillage, ça aurait été…
  • Non, t’es bien mieux au naturel, ou un maquillage discret à la limite… Voilà le moment… Regarde tes yeux qui scintillent, ta bouche entrouverte et humide… C’est super sensuel.
  • Je pensais que tu m’avais filmée toute entière… J’aime bien cette vidéo.
  • Non, toute entière c’est lorsque tu t’es masturbée sur le lit avant que je n’aie plus de batterie. Tu veux voir celle où nous montions jusque chez toi en prenant les escaliers ? T’aurais aimé qu’on nous voit ?
  • Je crois que je n’avais pas besoin de ça, j’étais déjà bien excitée. Mais sinon, non, je n’ai pas envie de la voir, j’ai envie que tu me prennes, s’il te plait.

Il posa son téléphone, s’allongea dans le lit. Je l’ai chevauchée, puis je l’ai embrassé dans le cou, frottant en même temps mon vagin contre sa cuisse. Et de ses deux mains, il me bloqua et me repoussa sur le côté.

  • Pauline, pas maintenant.
  • … S’il te plait, j’en ai envie. Tu peux même le faire rapidement si tu veux, trois petits coups, et hop, tu éjacules.
  • J’ai envie de passer la journée avec toi et que tu restes dans cet état, excitée et consciente de ce que tu fais.
  • Non, ne me frustre pas plus, s’il te plait… Please… Bon, si c’est ça, je te préviens : si je n’ai plus envie, ça sera tant pis pour toi. Et hors de question de te branler en ma présence. C’est bien compris ?
  • Je vais aller prendre une douche, sans toi.
  • JC… Merde, t’es chiant là.

Il avait même fermé la porte à clé pour être certain que je ne vienne pas le rejoindre. Bien sûr, ça peut s’ouvrir avec un tournevis, mais je n’en avais pas. Et je n’ai pas réussi à le faire avec une cuillère ou un couteau.

Puis, il est sorti. Je l’attendais cuisses écartées. Il fit comme si de rien n’était et a enfilé son pantalon. Je lui ai fait remarquer, espérant qu’il se redéshabille à nouveau

  • T’as oublié ton boxer.
  • Je ne porte jamais deux fois de suite mes sous-vêtements.
  • … Mais, ça t’amuse de me laisser dans cet état ?
  • Franchement ? Oui.
  • … P’tite bite ! Je vais prendre ma douche.

La douche froide ne me calma pas. En attendant, JC avait remis en place le lit en mode canapé et avait même sorti les vêtements qu’il désirait que je porte : un jean’s, un string, un débardeur. Je lui ai fais

  • T’as oublié le soutien-gorge.
  • Je préfère sans.
  • Et je suis assez grande pour m’habiller comme je veux !

J’ai rangé mes affaires, j’en ai pris d’autres, tout dans l’esprit de contradiction : un chemisier, une jupe courte et un soutien-gorge. Il me dit alors

  • T’as oublié le string.
  • Je préfère ne pas en mettre.

J’ai commencé par le soutien-gorge, j’ai eu du mal à l’accrocher, et déjà il me gênait. Je l’ai retiré en disant “t’as de la chance, j’ai les seins trop gonflés”. Et une fois habillée, il me fit mettre mon manteau, et nous sommes partis en voiture. Je n’ai rien demandé, je ne lui ai pas parlé, je boudais.

Le sourire m’est revenu lorsqu’il s’est arrêté sur un grand parking désert d’un centre commercial fermé. Je l’ai regardé et demandé

  • Tu me fais le coup de la panne ?
  • Descends, tu verras.

Je suis donc sortie de la voiture. J’étais déjà prête à me faire prendre sur le capot. Mais, il me demanda de m’assoir sur le siège conducteur, et lui s’installa sur le siège passager. J’attendais un peu, puis lui ai demandé

  • Et on fait quoi maintenant ?
  • Tu vois, ça c’est une voiture.
  • … Oui, je connais, merci.
  • Attache ta ceinture.
  • … C’est quoi ton délire ? Tu veux que je conduise ? Mais t’es fou ?

Après avoir entendu plein de fois “Putain, appuie sur l’embrayage” alors que ça faisait un drôle de bruit en manipulant le levier de vitesse, après avoir calé 100 fois, après m’être trompée autant de fois de pédales, je me suis arrêtée.

  • Bon, ben je crois que c’est pas mon truc.
  • Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi nul.
  • Il n’y a pas de mauvais élèves, seulement de mauvais professeurs.
  • T’es l’exception qui confirme la règle.

Pas vexée du tout, j’ai ri, et je me suis détachée, et je me suis jetée sur sa bouche pour l’embrasser. Il ouvrit d’un coup mon manteau, pelota fermement ma poitrine. J’ai passé une jambe par-dessus le truc central, jouant des mains pour ouvrir son pantalon. Il m’arrêta alors que je commençais tout juste à m’occuper de sa ceinture.

  • Pas ici, Pauline.
  • Où ça alors ?
  • J’ai de plus en plus de mal à te dire non, mais je veux continuer à te voir dans cet état.

J’ai reculée, déçue. L’intérieur de ma cuisse a frotté contre le levier de vitesse, et j’ai fixé JC dans les yeux en lui disant

  • Et ben moi, j’en ai marre d’attendre.
  • … Ce n’est pas trop gros ?
  • Il n’y a qu’un moyen de savoir.

J’ai retiré mon manteau et lui ai ordonné “Filme ! Je n’ai jamais vu l’autre vidéo et je veux voir celle-là”. J’ai attendu qu’il sorte son téléphone et j’ai relevé ma jupe, et j’ai commencé à m’accroupir. Plusieurs minutes après, me branlant sur le levier, jouant avec mon clitoris en même temps, JC me sortit paniqué « Arrête maintenant ! Il y a la police ».

Une voiture arrivait vers nous. Je me suis retirée, j’ai réajusté ma jupe, et heureusement que je n’avais pas ouvert mon chemisier. Deux policiers se sont approchés, l’un allant à ma portière et l’autre à celle de JC. Après avoir compris qu’il fallait tourner la clé dans le contact pour ouvrir la fenêtre, le policier prêt de moi dit

  • Vous savez que vous êtes sur un parking privé ?
  • Heu… Oui…

JC répondit alors

  • C’était pour apprendre à ma copine à conduire.
  • Il y a des auto-écoles pour ça. Vos papiers, s’il vous plait.

JC donna les siens, je n’avais rien pris avec moi et j’ai donné ma carte étudiante que j’avais dans la poche de mon manteau. Le policier fit

  • Vous n’avez rien d’autre ?
  • Heu… Non.
  • Vous n’aviez pas les cheveux bleus sur la photo.
  • Ben, non… C’était avant…

Il alla voir son collègue, j’entendis demander « tu crois que c’est elle ? ». Ils parlèrent un peu sans qu’on comprenne quoi que ce soit, et il revint vers moi pour me demander mon nom et prénom, vérifiant que c’est ce qui était marqué sur la carte.

  • Et le numéro marqué ?
  • … Heu, je ne le connais pas par coeur. Je sais juste qu’il y a un 7 en premier.
  • Bon… Ok. Ca va pour cette fois. Mais ce n’est pas un lieu pour apprendre à conduire ou pour toute autre activité. Suis-je bien clair ?
  • Oui, monsieur l’agent, très clair.
  • On vous laisse partir devant.

JC et moi sommes sortis de la voiture pour échanger nos places, et nous sommes partis, la voiture de police nous suivant. Je dis alors à JC

  • J’ai eu l’impression qu’il me prenait pour une pute.
  • C’était mon impression aussi. Et puis, avec tes tétons qui pointaient…
  • Ben oui, ils pointent lorsque je suis stressée.
  • Lorsque t’es excitée aussi.
  • Ben, dès que j’ai des émotions en fait.
  • C’est bon à savoir. Et ça confirme des choses.
  • Tu fais référence à Janvier ?
  • … Pardon, c’était petit. Ben moi, le stress, ça me donne faim. On se trouve un endroit pour bouffer, et ensuite, je m’occupe de toi comme il faut.
  • Parfait, un truc où on sert très rapidement alors.

La voiture de police nous suivit jusqu’à l’entrée du centre-ville. JC s’arrêta devant un restaurant, je lui ai dit, déçue

  • On aurait pu se prendre un truc à un drive.
  • Non, j’ai déjà bouffé du hamburger hier, ça m’est resté sur l’estomac. Là, j’ai envie d’un bon steak tartare.
  • Tu sais que tu me fais souffrir ?
  • T’inquiètes pas ma puce, tu auras ce que tu veux.
  • Ma puce ?

Il sourit, nous sommes allés dans le restaurant. On nous installa. Moi aussi, j’avais faim. Mais entre manger et baiser, mon choix était vite fait. Sauf que JC avait l’intention de prendre son temps, alors, pour l’accompagner, j’ai pris une entrecôte avec des frites. En attendant que les plats arrivent, j’ai bu un verre de jus de pomme, lui une bière. Il me regardait avec envie, et me dit

  • Tu sais que le serveur n’arrête pas de te mater ?
  • Je m’en fiche du serveur, c’est toi que je veux. J’ai encore les tétons qui pointent ?
  • Evidemment. Ouvre quelques boutons de ton chemisier.
  • Pourquoi te ferais-je plaisir ? Tu me frustres depuis ce matin.
  • Tu as raison, je ne le mérite pas.
  • … Je ne le fais pas pour toi, mais juste parce qu’il fait chaud ici.

J’ai enlevé un bouton, puis un autre, le fixant, observant ses réactions. J’en ai retiré encore un, le décolleté semblait lui suffire, alors j’ai continué pour un dernier, juste pour le narguer.

Après avoir mangé, après avoir été reluquée un nombre incalculable de fois par le serveur, après s’être fait du pied durant tout le repas, nous sommes allés chez JC.

Stanriff

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. paragraphe 4 rose post

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Marre de la pub ?

Marre de la pub? tu as un gmail? Contacte nous

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou