a journée que j’aime tant était à nouveau au rendez-vous. J’ai pu aller faire des courses avec ma copine. L’envie se lisait sur mon visage et c’est avec la même absence d’envie que j’ai traversé le grand centre commercial à deux mètres de distance derrière elle.
Un magasin après l’autre et encore des essayages sans se décider.
Mais au bout d’une heure et demie de marche, quelque chose a changé en moi, je n’observais plus les vitrines ennuyeuses mais mon amie, qui portait une robe d’été jaune et légère, des talons hauts qui rendaient ses belles jambes encore plus belles,
marchait devant moi de manière totalement sexy. Tout à coup, il n’y avait plus rien d’ennuyeux, je regardais ses hanches, ses fesses qui se dessinaient à travers la robe.
J’attendais un moment propice, un moment où je pourrais lui montrer avec mes yeux de quoi j’avais envie maintenant ( c’était d’ailleurs le terme exact, car une énorme bosse se dessinait déjà dans mon pantalon, et mon désir ne cessait de croître. Une cabine d’essayage serait-elle la bonne solution ?
J’ai continué à marcher avec elle, mais je n’ai pas trouvé d’occasion, peut-être que je n’avais pas le courage.
Après deux heures et demie, nous sommes allées à la voiture avec vos achats et sommes rentrées chez nous.
Mon excitation n’avait en aucun cas diminué et alors qu’elle était assise à côté de moi, les jambes nues, la robe un peu glissante, j’ai remarqué que la sueur coulait le long de mon corps. Je n’en pouvais plus, mes fantasmes devenaient fous.
Ma main s’est approchée d’elle, s’est posée sur sa jambe gauche, a lentement caressé sa cuisse au-dessus du genou.
Que ferait-elle ?
Ses jambes s’ouvrirent, pas beaucoup, mais suffisamment pour que je sente son approbation.
J’ai laissé ma main remonter jusqu’à sa culotte, mes deux doigts ont joué avec l’ourlet du velours, avec délicatesse et sensibilité.
Je pouvais sentir mon désir dans le pantalon, j’étais prête à exploser.
Les doigts ont glissé sous la culotte, ont senti les poils pubiens et se sont posés sur sa grotte de plaisir, plus audacieux et plus exigeants, ils ont tourné autour de son entrée, qui était visiblement humide.
Elle se glissa plus profondément dans le siège, vers les doigts, gémit doucement avant de commencer à me retourner le pantalon.
Elle a sorti mon membre, qui n’avait de toute façon plus beaucoup de place dans le pantalon, et l’a branlé légèrement et délicatement, comme si elle savait à quel point il était chargé d’explosifs.
Le trajet jusqu’à la maison n’était pas très long, je roulais lentement car je voulais profiter de ce moment, mais cela ne me suffisait pas. Soudain, j’ai vu ce que je cherchais depuis un moment, une sortie et un panneau indiquant une aire de barbecue.
Je l’ai regardée, j’ai mis mon clignotant et je suis entré, j’ai dépassé le parking et j’ai pris un petit chemin forestier.
Nous sommes sortis, elle dans sa robe sexy, moi avec mon pantalon ouvert.
Elle s’est placée devant le capot, moi devant elle, mes deux mains ont entouré ses fesses fermes et les ont massées.
J’ai repoussé le string sur le côté et mon doigt a glissé dans l’entrée arrière et a continué à masser.
Soudain, elle s’est agenouillée et a pris mon pénis dans sa bouche, pas avec précaution ni avec la langue, mais profondément, fermement, presque complètement, et l’a sucé sauvagement comme je ne l’avais encore jamais vu.
Je me suis laissé aller à ce sentiment de plaisir fou, j’ai caressé sa tête et je l’ai laissée faire.
Au bout de quelques minutes, je crois que j’ai perdu la notion du temps, je l’ai relevée, j’ai défait les boutons de sa robe, non, je les ai déchirés tellement j’étais impatient, j’ai caressé ses mamelons avec deux doigts, d’abord doucement puis plus fermement, un peu douloureusement, comme elle aime.
Je n’en pouvais plus, j’ai relevé sa robe d’un coup sec, j’ai baissé son string, c’était presque un mouvement, mon pénis était dur et gros, je l’ai tiré devant ma hanche, la pointe de mon pénis a touché sa grotte de plaisir, normalement je prenais mon temps, mais cette fois-ci ce n’était pas possible, je l’ai poussé impatiemment dans son ouverture, elle a passé une jambe autour de moi, j’ai poussé encore et encore, comme un taureau sauvage, mon plaisir, mon excitation était comme jamais.
Je suçais alternativement ses tétons avec mes lèvres tout en la baisant à un rythme que je n’avais jamais connu jusqu’alors. Au bout d’un moment, je l’ai retirée, je l’ai retournée et je l’ai penchée en avant sur le capot de la voiture.
je la soulevai et la posai sur son dos,
J’ai écarté le devant pour pouvoir masser fermement ses deux seins aux tétons raides.
Je voyais la vue de ses fesses rebondies.
devant moi, elle attendait que je la pénètre.
Je savais qu’elle en avait envie et j’ai joué un peu, juste de brèves caresses mais pas profondément, jusqu’à ce que je n’en puisse plus, et je savais que je n’allais pas tarder à jouir, l’excitation était trop grande, j’ai poussé, toujours 15-20 coups fermes et sauvages comme avant, elle a crié de plaisir, peu importe si quelqu’un pouvait nous entendre.
Puis je n’ai plus pu me retenir.
J’ai joui comme jamais auparavant, dans une explosion de plaisir, mon sperme s’est répandu sur ses fesses, en sueur.
Elle s’est retournée, a souri, a pris mon pénis dans sa main, s’est agenouillée à nouveau et a léché les restes. Nous étions tous les deux brisés mais heureux.
C’était mon plus bel achat.
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