Clara et moi avions été invités à une soirée chez une amie de Clara. On connaissait pas grand monde, mais on avait envie de s’éclater et on s’est dit pourquoi pas. On avait chacun descendu deux verres, alors on a pris un taxi pour y aller. À l’arrivée, Clara et moi nous sommes séparés ; elle est partie chercher son amie, et moi, préparer des verres et poser nos affaires.
Quand je l’ai retrouvée, Clara était avec son amie, qui la présentait à deux mecs, Lucas et Théo. Lucas était un gars maigrichon avec des cheveux courts en pics, un short cargo et un polo, tandis que Théo était un peu plus grand que moi, cheveux bruns ébouriffés, en jeans bleu et débardeur blanc. Elle leur serra la main, et Théo lança qu’elle était magnifique. Clara rougit légèrement, le remerciant. Quand je rejoignis le groupe, Clara me présenta à Lucas, Théo et son amie, que j’avais pas encore rencontrée.
Théo me regarda et dit : « J’espère que ça te dérange pas, mais t’as une sacrée femme, Romain, t’es un veinard. » On rigola tous, et je souris, le remerciant, disant qu’y avait pas de mal.
Après des bavardages et un peu de flirt subtil entre Clara et Théo, on a tous filé sur la piste de danse. Clara dansa un peu avec moi, bougeant sensuellement au rythme. Puis elle passa à Lucas, plaisantant, agitant les bras. Ensuite, elle dansa avec Théo, bien plus près que précédemment. La foule était dense, mais je vis qu’il passa un bras autour d’elle, caressant le bas de son dos, l’attirant légèrement. Clara posa une main sur son torse, caressant d’avant en arrière. Elle se tourna, collant son corps contre le sien, puis le guida vers moi.
Elle s’approcha, passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa passionnément. On continua, nos mains explorant frénétiquement. Clara plongea ses yeux dans les miens et murmura : « J’suis tellement excitée, Romain, j’ai besoin de toi… »
Je l’attirai, l’embrassant, disant que je la désirais à mort mais que je devais d’abord passer aux toilettes, promettant de l’emmener quelque part après. Clara fit la moue, me laissant partir à contrecœur.
Il me fallut quelques minutes pour trouver les toilettes et encore plus dans la file d’attente. Plus de dix minutes plus tard, de retour sur la piste, Clara avait disparu. Je finis par repérer son amie Élodie et lui demandai si elle l’avait vue, mais elle n’avait vu personne depuis un moment. Je partis fouiller la soirée.
J’écumai le rez-de-chaussée, croisant Lucas en cuisine. Il me dit qu’il avait vu Clara et Théo prendre un verre là-dedans dix minutes plus tôt, mais pas partir. Je continuai, repérant l’escalier vers le sous-sol. Inconnu de la maison, je descendis lentement dans le noir. Des rais de lumière filtraient sous certaines portes du couloir.
Je marchais doucement pour pas trébucher quand j’entendis une voix masculine rauque : « T’es sûre ? Et si ton mari l’apprend ? »
Je jetai un œil au coin de la porte et vis ma femme et Théo assis côte à côte sur un canapé dans ce qui semblait une chambre d’amis.
« T’inquiète, j’vais lui dire, et j’sais qu’il va kiffer entendre ça », répondit-elle.
Théo semblait choqué mais encaissa, disant : « Bon, si t’es sûre… »
Là, j’eus une vue claire. En baissant les yeux, je vis la bite de Théo dans la main de Clara, ses yeux écarquillés ; sa main couvrait à peine la moitié basse ! Je regardai ma femme sexy se pencher et lécher lentement le gland, tout autour, enroulant sa langue. Elle commença à sucer son manche, montant et descendant juste sur le gland, aspirant fort.
Clara s’arrêta, le regardant : « Si ça doit arriver, ce sera à ma manière. Lève-toi devant moi. »
Théo obéit, se levant et laissant tomber son pantalon.
Il approcha sa bite de ses lèvres, disant : « S’il te plaît, Clara, ta bouche est trop bonne. » Agrippant ses fesses, elle ouvrit grand et engloutit autant qu’elle put, peut-être un peu plus de la moitié.
En reculant pour respirer, ses yeux croisèrent les miens dans l’embrasure. Son regard s’attarda, même en reprenant sa bite. Elle lâcha une main et me fit signe d’entrer d’un doigt. Je fermai la porte et retirai mon pantalon, libérant ma bite douloureusement dure.
Elle arrêta de sucer assez longtemps pour dire : « Tu vois c’qui arrive quand tu m’laisses seule et en manque, Romain ? Ça a pas l’air de t’gêner », rigola-t-elle, remarquant mon érection. « Ça t’excite de me voir sucer cette grosse bite, chéri ? »
Clara continua à branler Théo en se penchant vers moi, avalant ma bite jusqu’au fond, sa langue glissant partout, me prenant dans sa gorge. Elle lâcha ma bite, tenant les deux, une dans chaque main. Théo devait faire 25 cm, rendant la main de ma femme minuscule. J’suis pas petit, mais ce truc était dément.
Clara nous regarda tour à tour : « Qui va m’baiser en premier ? » Je regardai Théo, lui disant d’y aller ; il était là avant.
« T’es sûr, chéri ? Regarde sa bite, ça va étirer ma petite chatte », dit-elle.
Je lui fis un clin d’œil, disant à Théo d’y aller, mais que je devais m’occuper d’un truc d’abord. Je l’allongeai, embrassant et léchant sa chatte trempée. Son jus coulait littéralement, et je le lapais.
« OK, si c’est c’que tu veux, dégage et laisse-le prendre ma chatte. »
Je m’écartai tandis que Clara écartait plus les jambes. Théo aligna sa bite et commença à entrer lentement dans la chatte étroite de ma femme. On aurait dit qu’il enfonçait sans fin. Il s’arrêta à mi-chemin, laissant son petit trou s’adapter à cette grosseur.
Il commença à reculer lentement, prenant une éternité à sortir, puis rentra un peu plus profond.
« Ooooh », gémit Clara, incapable de se retenir. « J’ai jamais rien senti comme ça ! » s’exclama-t-elle. « J’suis tellement remplie. »
Théo continua à la baiser lentement, prenant son temps pour enfoncer sa grosse bite dans sa chatte étroite. Il tendit la main, jouant avec son clito tout en la baisant. Je m’approchai, embrassant son cou, puis sa bouche. Je sentais son souffle haletant entre nos baisers, emportée par la passion.
Je la regardai dans les yeux alors qu’elle mordait sa lèvre : « C’est trop bon, chéri ; sa bite étire tellement ma chatte. »
Elle lui dit qu’elle avait besoin d’une pause et qu’il se mette à côté. Alors que Théo plaçait sa bite à hauteur de son visage, je descendis, léchant et suçant son clito et sa chatte. Elle était encore incroyablement trempée, plus qu’avant, dégoulinant sur mon menton. Clara trembla quand un orgasme intense secoua son corps, avec Théo toujours dans sa bouche.
Elle dit à Théo qu’elle voulait sentir sa bite en elle à nouveau, s’agenouillant sur le canapé, ses seins pendant par-dessus le dossier. Je m’installai devant ma femme, et elle prit ma bite dans sa bouche tandis que Théo la pénétrait par derrière. Je sentais la vibration de son gémissement quand il enfonça sa bite gonflée en elle.
Cette fois, il fut pas si lent, baisant ma femme plus vite et plus fort. Clara lui dit qu’elle voulait sentir son sperme en elle, et ça le fit basculer, lâchant une grosse giclée dans la chatte étroite de ma femme adorée. Sa bite sortit avec un « pop » audible, et du sperme coula immédiatement de son miel. Clara regarda Théo, le remerciant pour ce moment génial, mais lui faisant comprendre qu’il pouvait dégager.
« T’as aimé me trouver là et me regarder, chéri ? »
Je hochai la tête.
« Bien. Maintenant, viens, j’ai besoin d’te sentir en moi, mon amour », dit ma femme magnifique.
Je m’approchai derrière elle, toujours à genoux sur le canapé, et enfonçai ma bite dans la chatte étirée et gluante de Clara, savourant la sensation soyeuse de la chatte de ma femme pleine du sperme d’un autre. Ça me prit pas longtemps pour gicler ma propre dose en elle, avec toute l’excitation de la soirée.
On s’effondra sur le canapé après ça, moi serrant Clara par derrière.
Ajouter un commentaire