La pause prend fin, tous sont nus. Paul regarde sa femme qui semble excitée à l’extrême, ses sens sont en feu. La coquine regarde avec insistance les attributs de Charles. Encouragée par le champagne, elle avance vers lui. Elle lui demande de s’allonger sur m*le banc, Justine vient à la rescousse, elle attrape la verge qui somnole et la branle efficacement. Karine a les yeux rivés sur le manche qui rapidement prend du volume. Elle s’assoit sur le bord d’une chaise, et ouvre largement les cuisses. Elle se caresse la chatte sans quitter des yeux le duo. Elle commence à frotter son clito rageusement en serrant les dents. Edouard en souriant dit :
-Je crois que la pute est au top, vas-y arrache-toi le clito, salope éclate-toi !
Encouragée par les mots crus, Karine accélère, son clito est gonflé comme jamais, elle le branle en geignant comme une agonisante. Charles subit la main experte de sa patronne, qui lui dit :
-Charles, vous allez bien vous occuper de notre invitée, je veux l’entendre hurler, surtout, ne la ménagez pas !
Justine lui décalotte le gland, et le suce comme une affamée. Charles geint, sa bite est dressée au maximum. Karine est au bord de la jouissance, elle maltraite son bouton d’amour comme un tortionnaire. Elle grimace, Edouard hurle :
-Jouis sale pute !
Elle se cabre fortement et explose, c’est si intense, qu’elle serre fortement les cuisses, en geignant comme une bête malade, son corps se met à trembler. Justine délaisse le gland de Charles, et invite Karine à s’empaler sur sa queue. En tremblant, elle enjambe sa monture. Justine dirige la bite dressée vers la chatte de son amie, qui lentement descend son corps. le gland large et épais, écrase les grandes lèvres, qui s’ouvrent, et s’engage dans le conduit brulant. Karine dilatée par le mandrin monstrueux, souffle en se cramponnant à son amant. Justine pèse de tout son poids sur les épaules frêles de Karine, qui s’empale jusqu’aux couilles sur le pieu de chair, en poussant un long râle rauque. En serrant les dents, elle commence à faire l’ascenseur. À chaque descente sa chatte frappe les couilles pleines de son amant, qui tire sur ses hanches pour bien l’empaler.
Justine monte sur le banc en offrant sa chatte dégoulinante à la bouche de son valet, qui connait bien se conduit. Il dévore la chatte, en faisant geindre sa patronne de plaisir, qui dit :
-Oh Charles comme vous savez bien me bouffer, c’est bon, tirez plus fort sur les hanches de Karine, faites là gueuler, qu’elle sente bien votre gland lui labourer le col de l’utérus. Charles en bon domestique donne des coups de reins violents, tout en dévorant la chatte de Justine. La coquine agite sa chatte qui ne peut retenir son jus, sur la bouche de son amant. La tension mante de plus en plus les deux femmes gémissent comme des agonisantes. Justine explose et remplit la bouche de son suceur avec sa cyprine abondante. Elle descend du banc et observe le corps de Karine monter et descendre sur la queue puissante de Charles, qui grimace.
Paul bande comme un cheval en rut, jamais il n’a vu sa femme dans un tel état d’excitation. Et se branle en couinant de plaisir. Edouard dit en regardant la croupe de Karine s’agiter :
-Comme elle est là, il lui en faut plus à cette pute, une bonne double pénétration lui serait favorable, j’y vais !
Paul écarquille mes yeux, Edouard passe deux doigts dans la raie de Karine et lui titille l’anus. Il lui enfonce un doigt, Karine cesse de s’agiter, et se plaque contre le torse de Charles. Edouard lui fouille le cul profondément, avant de lui enfoncer le deuxième. Karine ignorait ce genre d’attouchement, pour l’instant, cela ne semble pas lui déplaire. Edouard, tente d’assouplir le conduit anal du mieux qu’il peut.
Il crache sur l’anus de sa proie, et s’enduit le gland de salive. Justine, maintient la verge de son mari appuyée contre le muscle rectal. Il s’accroche aux hanches et pousse. Karine grimace, elle serre les dents. Son anneau cède et avale lentement le mandrin. Il avance dans sa gaine étroite, la bite lui distend le conduit qui n’a jamais été visité par un membre. La douleur est atroce, des larmes coulent sur les joues de la suppliciée. Karine a la bouche grande ouverte mais aucun son n’en sort. Elle subit la sodomie en grimaçant. Justine lui saisit le clito et le branle. Karine a l’impression que les deux bites sont dans le même orifice, tellement la paroi qui les sépare et fine.
Une fois bien plantée dans son rectum, Edouard commence à faire un va-et-vient très lent au début, il sait que c’est une première pour Karine. Les deux hommes à se synchroniser parfaitement. Les deux bites agissent comme deux pistons dans leurs cylindres. Prise comme jamais, Karine gémit. Au fil de minute la douleur s’estampe, elle commence agiter sa croupe, en gémissant. Justine lui malmène le clito, elle le presse plusieurs fois pour augmenter la tension. Les deux amants lui pilonnent les entrailles en la faisant geindre comme une bête blessée. Paul est en extase, sa femme se déchaine, elle s’agite en poussant des grognements terribles. Une première jouissance la secoue, si fort qu’elle défaille. Les bites voyagent en elle avec de plus en plus de violence.
Karine se cambre en poussant des cris terribles, une nouvelle jouissance la rend hystérique. Justine lui écrase le clito, l’effet est immédiat, une nouvelle jouissance la fait hurler.
Les deux hommes à tour de rôle lui remplissent la chatte et le cul de semence poisseuse. Mais ils continuent de la défoncer, ils cherchent plus de jouissance. Karine n’est libérée, que lorsque son corps n’en peut plus, sa chatte et son anus laissent échapper le surplus de semence. Paul rayonne, car Justine se place tête bêche sur Karine. Les deux se dévorent les orifices en geignant terriblement. Les langues agiles, glissent sur les fentes et les anus, pour obtenir un maximum de plaisir. les jouissances sont foudroyantes, et épuisantes. Les femmes restent étendues sur le banc, l’une sur l’autre.
Edouard regarde Charles. Le bougre sait ce que veut son maitre, il s’assied sur le bord d’une chaise. Edouard l’enjambe, saisit la bite du valet et s’empale dessus en poussant un grand râle. Edouard s’agite en soufflant comme un taureau. Paul comprend que son nouvel ami bi. Il le regarde en écarquillant les yeux. La bite de bon diamètre de Charles, lui distend la gaine anale. Edouard gémit de plus en plus fort soudain, il dit :
-Viens aussi me prendre le cul Paul il y a assez de place pour deux !
Paul hésite un instant, puis s’avance, il place sa bite le long de celle de Charles et pousse. Les deux verges prennent place dans le conduit fortement dilaté. Paul commence à donner des coups de reins, il est suivi par le valet, qui tire sur les hanches de son maitre pour l’empaler totalement. Edouard commence à grogner comme une bête, les coups sont féroces. Une jouissance anale le fait hurler. Les deux enculeurs déversent à leur tour leur semence. Karine n’en croit pas ses yeux, son mari défonce le cul d’un autre homme, et cela l’excite tellement qu’elle se masturbe jusqu’à l’orgasme.
Linsee
Ajouter un commentaire