Edouard caresse les hanches de Karine, il passe ses mains dans les grandes ouvertures de la robe et les avance lentement vers le centre des plaisirs. Karine dans un état second, a un geste de recul, mais en voyant son mari geindre de plaisir pousse un gros soupir, et laisse les mains caresser son ventre et descendre vers son entrejambes. Les doigts noueux passent sur sa fente en feu, protégée que par un fin tissu trempée de cyprine.
Justine experte en fellation fait grogner Paul, le bougre agite son bassin en appuyant sur la tête de la suceuse. Une jouissance, lui fait pousser un long gémissement. Heureusement que les flonflons de la fête noie les gémissements bruyants des amants. La décharge abondante de sperme, remplit la bouche de Justine qui repousse vivement son amant. Elle avale difficilement la quantité impressionnante de sperme, que lui à offert généreusement Paul, en regardant Karine, puis, elle ouvre la bouche pour lui montrer qu’elle à tout avalée. Elle dit en souriant :
– Hum comme sa crème est de ton homme est bonne hum. Fait comme moi, suce Edouard, il te le rendra bien le cochon tu verras!
Les yeux d’Edouard s’illuminent, se libère de Karine et sort sa verge dure comme du bois, qu’il agite sous les yeux de Karine. Les yeux vitreux de Karine se posent sur le membre redoutable, qui est fortement veiné. Justine insiste :
-Libére-toi ma chérie, suce lui la queue, regarde comme elle est belle et bien grosse profites-en !
Timidement, elle tend la main et maladroitement saisit le manche de chair. Elle sent dans sa main le sang battre dans les grosses veines. C’est la première fois qu’elle tient en main la bite autre que celle de son mari. Elle ravale plusieurs fois sa salive, puis commence un très lent branlage. Paul jubile, enfin sa femme ose. la main fine agite de plus en plus rapidement la verge gorgée de sang.
Justine malgré son âge est insatiable, elle retire sa culotte et en remontant sa robe, enjambe Paul. D’une main elle retirent la robe de l’autre, elle dirige la bite encore gluante de Paul vers sa chatte en feu. Elle s’empale en se laissant tomber de tout son poids. Elle s’accroche à sa monture et s’agite férocement en gémissant. Karine regarde la corps de Justine monter et descendre sur la bite de son mari. Elle serre les dents et reprend le branlage de la queue d’Edouard avec plus de fermeté.
Edouard dit en grognant :
-Suce-moi, bordel j’en peut plus !
Pas très rassurée, Karine approche sa bouche vers le gland fortement décalotté, donne timidement quelques coups de langue, puis le gobe. Les succions sont féroces, Karine ne se retient plus, elle tète avidement le champignon couleur marbrée. Ses aspirations font geindre Edouard qui dit entre deux gémissements :
-Oh putain ce que t’es bonne, oui, oui, suce ma chérie, c’est trop bon !
Les danseurs semblent les ignorer, cela rassure Karine. Malgré le risque d’être surpris, le quatuor se donne comme des damnés. Justine elle, s’agite comme une forcenée sur la queue de Paul, qui défaille de plaisir. Il se cramponne aux hanches de sa cavalière en marmonnant :
-Ouah je vais décharger, continue, continue !
C’est Justine qui jouit la première, elles e tend comme un arc et explose, sa jouissance est exceptionnelle, Le risque d’être surprise semble l’exciter. Paul se bloque en tirant sur les hanches de Justine, il pousse un long râle, et lui le ventre de sa semence. Karine est sur une autre planète, elle suce en poussant des grognements de fauve sur sa proie. Edouard ne peut résister à la bouche vorace, et envoie dans la gorge de Karine, un flot important de sperme. Elle le repousse brutalement, elle manque d’étouffer. Un filet de semence s’échappe à la commissure de ses lèvres. Edouard la voit faire une moue affreuse, il lui dit :
-Avale, avale, salope ne gâche pas la marchandise !
Karine stimulée par le mot SALOPE avale en plusieurs gorgées la crème onctueuse, elle s’essuie d’un revers de la main les lèvres, et grisée par le champagne dit :
-Oui Edouard je suis une salope, traite-moi encore de salope !
Paul ne reconnait plus sa femme elle si prude, demande d’être traiter de salope, cela lui fait écarsquiller les yeux. Edouard en rajoute une couche :
-Je suis sûr, que tu es une bonne pute, avoue le salope, et que tu as envie que je te fourre la chatte avec ma bite !
Karine ravale sa salive, et en béguant répond :
-Oui, oui, je suis une pute, vas-y enfonce moi ta bite dans le ventre vieux salaud !
Elle reprend son verre et le vide d’un trait. Paul est émerveillé par les propos de sa femme, il aimerai la voir se faire défoncer par un autre mec. Justine réagit, elle dit en souriant :
-Allons chez nous continuer la fête mes chéris, nous habitons tout près, et il y a du champagne !
Paul regarde sa femme, qui étourdit par le champagne, devient plus audacieuse, elle en oublie même sa timidité. Elle dit en souriant :
-Oh s’il y a du champage, je suis partante, allez Paul, suivons nos amis, c’est la fête il faut en profiter mon chéri !
Les quatre terminent le restant de la bouteille et sortent de la salle. Justine récupère sa culotte et la fourre dans son sac à main. Ils font quelques pas, et arrivent dans le parc d’une grande propriété. Un valet vient ouvrir la porte, en saluant les invités. Justine et Edouard, les dirigent au salon. Le valet récupère les manteaux, et rapidement ouvre une bouteille de champagne. Les quatre trinquent plusieurs fois, Karine est euphorique. Elle se laisse tomber sur les genoux d’Edouard. Elle le prend par le cou et en une multitude de baisers sur le visage, lui demande :
-Dis moi encore que je suis une pute, vas-y, dis-le !
l’homme amusé par cette demande, réplique :
-Oui tu es une grosse pute, qui va devenir mon vide couilles, fous toi à poil salope, et branle toi devant nous, comme le font toutes bonnes putes !
Paul reste sans voix, il attend la réaction de sa femme. Lentement, Karine s’effeuille, sa robe tombe sur le sol, elle toise de haut les trois voyeurs, et d’un geste habile fait sauter son soutien gorge. Ses seins jaillissent comme deux obus, Justine sursaute et dit :
-Putain, qu’ils sont beaux !
Elle se précipite sur elle, et lui soupèse les lobes. Elle les presse comme pour en connaitre la texture. Elle prend entre ses doigts les mamelons, les roule entre ses doigts en les étirant. Karine grimace mais, ne repousse pas son agresseur, Justine sait faire gonfler les mamelons, elle les presse, les roule en les écrasant fortement entre ses doigts comme par miracle, ils deviennent larges et épais. Les deux hommes involontairement deviennent voyeurs. Justine fait tomber sa robe, sa toison bien fourni porte encore des traces de sperme séché. Elle ôte son soutien gorge, ses seins lourds tombent lourdement sur son torse. Les bouts énormes, sont plantés au centre d’aréoles fortement grenelées. En d’adressant à Karine, Edouard dit en haussant le ton :
-Bouffe-lui la chatte sale pute, fais la grimper aux rideaux !
Comme par enchantement il y à dans un coin un banc matelassé sans dossier. Edouard demande au valet de le mettre au centre de la pièce. Le bougre se rince l’œil en exécutant le travail, rapidement sa queue gonfle dans son pantalon. Edouard en souriant dit :
-Charles un peu de retenue, votre tour viendra !
Paul sursaute, il se dit que Charles doit souvent participer aux orgies qu’organisent le couple, cela le fait déglutir. Il s’imagine sa femme prise par les deux hommes en même temps et cela le fait vibrer. Edouard invite ses invités à boire, les verres se cognent, des rires éclatent, car les deux hommes comparent les corps des deux femmes. Justine s’allonge sur le banc et ouvre largement les cuisses, elle regarde Karine qui comprend rapidement ce qu’elle attend d’elle. Encore une rasade pour s’encourager, et elle s’agenouille devant Justine. Elle observe un long moment la chatte aux lèvres pendantes, puis avance sa main vers la puits d’amour.
Du bout des doigts, elle caresse les grandes lèvres, puis enfonce profondément trois doigts dans la chatte, encore remplit de sperme. Justine se cabre en geignant comme une bête malade. Pendant le ramonage, un bruit étrange se fait entendre. Cela excite Paul qui rapidement retire ses vêtements, Edouard l’imite et dit :
-Fais de ma femme ce que tu veux, oui c’est une vraie pute elle rechigne sur rien et en plus, elle est très, très, gourmande. Moi pendant que la tienne broute la mienne je vais la défoncer, putain ce qu’elle me plait ta femme, Paul regarde somme je bande !
Paul le regarde, et lui dit en souriant :
-J’en ai autant, pour le service de ta femme !
Justine gémit terriblement, le ramonage que produit Karine est très efficace, la chatte rejette le surplus de sperme mêlé avec de la cyprine. Edouard hurle :
-bouffe-lui la chatte, elle va jouir la salope vas-y, vas-y !
Karine retire ses doigts englués de la chatte brulante et plaque sa bouche dessus. Comme une affamée, elle aspire tout ce qu’elle peut. La coquine se gave de jus en gémissant de plaisir. Paul ne tient plus, il offre aux lèvres de la vieille femme, sa bite tendue. Elle la gobe rapidement et la suce, comme une vorace. Bien que les sons sont étouffés par la bite, Justine gémit. Karine inaugure, sa première relation lesbienne. La novice s’y prend bien, elle aspire le clito et le suce comme un bonbon. Justine défaille, elle se cabre et explose de jouissance, c’est au même moment que Paul lui remplit la bouche de son sperme.
Edouard, se place derrière Karine et sans faire de fioritures, lui plante sa bite dans la chatte. Elle se cabre en grognant comme un fauve, le bougre d’homme malgré son âge la défonce comme un forcené. Ses coups de reins sont si puissants, que Justine s’écroule sur le sol, en entrainant son amant. Edouard lui défonce la chatte comme une bête, les gémissements de Karine sont très bruyants. Inconsciemment, elle a une âme de libertine, elle se donne comme une chienne en rut. Elle agite sa croupe comme une furie. Paul n’en revient pas, il découvre une nouvelle facette de sa femme, et cela semble lui plaire. Justine reprend en bouche sa bite, et suce comme une diablesse. Edouard dit :
-Charles, occupez-vous de madame, elle est en manque !
Rapidement Charles retire ses vêtements, le spectacle ne le laisse pas indiffèrent, il bande comme un poney. Il prend place entre les cuisses ouvertes de sa patronne, et lui enfonce son pieu jusqu’aux couilles dans le ventre. Justine pousse un long râle, et se remet à sucer la bite de Paul. Charles démonte Justine comme un soudard, il sait comment elle aime être prise.
Karine pousse un hurlement, une violente jouissance la fait cabrer. Edouard se vide les couilles dans son corps en gémissant comme une bête.
Les coups de reins de Charles, sont dévastateurs, il remplit le ventre de sa patronne en soufflant comme un dragon. Justine est hors sol, elle pousse de cris terribles :
-Charles, Charles, besognez bien Oh c’est merveilleux, je vais jouir, plus fort Charles !
Elle se cambre fortement et explose de jouissance. Paul déverse dans la bouche de la vorace sa semence épaisse. Justine avale la semence dont elle raffole.
Edouard demande une pause pour récupérer, et vider une bouteille.
Linsee
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