Paul se rend avec sa femme Karine au diner dansant de fin d’année. Quoique très prude, Karine sous les conseils de son mari, s’habille sexy. Une longue robe bleue dos nu, avec de fines bretelles, et fendue jusqu’à mi-cuisses. Paul a revêtu un costume classe. En la voyant, lui dit en arborant un grand sourire :
-Ouah ma chérie, mais tu vas faire un malheur habillé comme ça !
Lorsqu’elle passe devant lui, il lui caresse la croupe et ajoute :
-Tu es magnifique ma chérie !
Elle lui sourit, il l’enlace et les deux échangent un long baiser. Après quelques kilomètres parcourus en voiture, ils arrivent à la salle. On leur indique leur table, elle se trouve dans un coin très mal éclairé, loin des autres tables, ils prennent place. En face d’eux, un couple d’un certain âge très chic, les quatre se saluent en se souriant. l’homme aux tempes grisonnantes, à beaucoup de charisme. La femme, tirée à quatre épingles, possède un charme fou. L’orchestre, entame le premier morceau. L’apéro est servi, les deux semblent très ouverts à la conversation, ce qui n’est pas le cas de Karine, trop timide.
Paul est beaucoup plus à l’aise que sa femme, il parle beaucoup avec les deux inconnus. Un lien semble se tisser entre les quatre personnes. Au fil des minutes, ils sympathisent. L’homme se prénomme Edouard, sa femme Justine. Pendant le repas le champagne coule à flot, rapidement les esprits s’échauffent. Edouard invite plusieurs fois Karine à danser, pendant que Paul, piètre danseur converse avec Justine. Il est heureux, car sa femme parait s’amuser, elle, si timide d’habitude. Edouard serre fortement Karine dans ses bras, la jeune femme semble lui plaire. Il ondule du bassin contre le bas-ventre de Karine. Elle sent son souffle chaud sur son cou et sur sa joue. Le coquin, de temps en temps, lui mordille le lobe de l’oreille. Karine trésaille, elle ravale sa salive. La pointe de la langue, avec douceur, joue avec le pavillon de son oreille.
Elle défaille lorsqu’elle pénètre l’entrée du conduit. Ses jambes deviennent molles, elles ont du mal à supporter son corps. Les yeux de Karine s’embuent. Edouard, mordille encore le lobe et il lui murmure :
-Tu es magnifique Karine, ta beauté me trouble !
Le coquin, la serre encore plus fort contre lui, Karine ne peut ignorer le début d’érection qui appuie sur son bas-ventre. Le bougre accélère son déhanchement. Sa verge devient dure comme du béton, Edouard sait la faire glisser sur le ventre de sa danseuse, qui semble tétanisée par l’engin qui tente de lui labourer le ventre. Il la regarde longuement, Karine tremble de tous ses membres, les souffles chauds se mêlent. Karine est rouge comme une pivoine. L’audacieux cavalier, d’une main, lui caresse le dos. Karine frissonne, leurs lèvres se frôlent. Enfin la danse se termine, Karine rejoint sa table, elle avale d’un trait son verre de champagne que Justine remplit immédiatement. Le prochain slow, Edouard a le devoir d’inviter sa femme. Karine est perturbée, elle pousse souvent des soupirs. Paul la regarde en fronçant les sourcils et demande :
-Oh ma chérie, il y a quelque chose qui ne va pas, tu es bizarre !
Karine déglutie plusieurs fois avant de répondre :
-Oh mon chéri, je crois qu’Edouard en dansant avec moi, s’excite, il bande comme un cerf, il me mordille l’oreille, me caresse le dos, je ne sais plus comment faire, j’en ai même mouillé ma culotte !
Paul écarquille les yeux et répond :
-Ouah, tu mouilles ma chérie, donc il te fait de l’effet, avoue !
Elle hausse les épaules et répond :
-Ne tourne pas le couteau dans la plaie Paul, c’est déjà assez compliqué comme ça, je ne suis une femme fidèle !
Paul se penche sur elle et lui dit :
-Ce que tu me m’avoues ma chérie, m’excite, laisse-toi chauffer, je veux voir ça !
Karine grisée par le champagne réplique :
– Tu sais, pendant les slows, la lumière, et tamisée. Et s’il me caresse les parties intimes, et m’embrasse, et que je succombe à ses avances hein, tu feras quoi !
Paul sursaute :
-Toi si prude, oh, j’aimerai voir ça, laisse-le faire ma chérie !
Karine boit encore un verre, c’est l’alcool qui répond :
-Eh bien tant pis pour toi, arrivera ce qu’il arrivera, ne vas pas te plaindre après, mais tu es cocu. Mais tu es un vrai cochon Paul, tu me livres au premier venu, cela t’excite d’être cocu alors !
Il dépose un petit baiser sur ses lèvres en disant :
-Profite ma chérie, profite de l’occasion !
Karine se verse encore un verre. Le couple revient, Justine regarde Karine intensément et dit :
-Vous plaisez à mon mari, il m’a tout raconté, je crois qu’il vous l’a prouvé, il en a encore les séquelles, regardez son pantalon !
Les yeux de Karine et de Paul se posent sur la bosse énorme qui déforme le tissu, Paul se pince les lèvres sans dire un mot. Karine ne quitte pas du regard le pantalon. Justine ajoute :
-Il est tellement excité, qu’il a éjaculé dans son slip le cochon !
Edouard fait une moue en regardant le trio. Il regarde Karine et l’invite, elle regarde son mari qui lui fait signe d’y aller. Dès qu’ils sont sur la piste, il l’enlace et la serre très fort. Il se frotte contre elle, sa queue gluante, est tendue dans son pantalon. Dans la faible lueur de l’éclairage, il glisse sa main dans la fente de la robe à hauteur de la cuisse. Karine se cabre, la main s’approche de son bas-ventre et passe plusieurs fois sue son entrejambe. Edouard souriant lui murmure :
-Ta culotte est mouillée, tu veux ma grosse bite dans ton ventre hein, je le sens !
Karine ne répond pas, habilement Edouard réussit à glisser deux doigts dans la culotte et à caresser la boule de chair qui trône au-dessus des grandes lèvres. Karine en soupirant fortement dit :
-Tu es un monstre, arrête, je vais jouir si tu continues !
À table, Justine regarde le couple, elle s’imagine bien ce qu’il fait. Elle regarde Paul et lui dit :
– Mais il n’y en a que pour eux, et nous alors !
Elle plaque brutalement sa main sur la braguette de Paul, elle presse plusieurs fois le membre mou et dit :
-Je sais comment réveiller la bête, laisse-moi faire mon chéri. !
Elle tire sur le zip, et plonge sa main dans la braguette, elle extirpe du slip le membre endormi. Elle le regarde un court instant et commence un branlage dont elle a le secret. Paul respire bruyamment, la main leste de Justine agite le manche avec énergie. Rapidement le membre prend du volume, Justine et fière de son travail. Elle continue d’agiter la verge qui est maintenant opérationnelle. Edouard et Karine, la terminée, rejoignent la table. En voyant sa femme en action, il dit en souriant :
-Tu es déjà au travail ma chérie !
Karine reste sans voix, elle regarde la main énergique de Justine branler la bite de son mari. Soudain, elle cesse de branler et décalotte le gland. Sans se poser de questions, elle donne quelques coups de langue dessus avant de la gober. À l’abri des regards, Justine pratique une fellation d’enfer à Paul. Edouard s’assoit, il prend Karine par la main et la fait mettre sur ses genoux. Elle ne quitte pas la bouche vorace de l’experte suceuse, qui fait geindre son mari.
Linsee
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