J’ai 42 ans, et je vis seule à Chamonix, dans un petit chalet niché au pied des Alpes, où le vent porte l’odeur des pins et de la neige fondue. Nous sommes en juillet 2025, la vallée vibre sous une chaleur inhabituelle, le soleil frappant les sentiers rocailleux que j’arpente chaque week-end. Célibataire depuis des années, par choix autant que par habitude, j’ai appris à aimer ma solitude, mes randonnées en solo, le craquement des branches sous mes bottes. Mais ce jour-là, sur un chemin escarpé près de l’Aiguille du Midi, un inconnu a bouleversé mes certitudes et réveillé une faim que je croyais éteinte.
Il était là, au détour d’un virage, assis sur un rocher, une gourde à la main. Grand, la quarantaine peut-être, une barbe courte et des cheveux poivre et sel ébouriffés par le vent, il portait un short usé et un t-shirt trempé de sueur qui collait à son torse musclé. “Vous montez jusqu’au sommet ?” m’a-t-il demandé, sa voix grave coupant le silence des montagnes. J’ai hoché la tête, ajustant mon sac à dos, ma chemise légère ouverte sur ma poitrine luisante, mes cuisses nues sous mon short en toile. “Moi aussi,” a-t-il répondu, et nous avons repris la marche ensemble, un échange de regards qui s’étirait au-delà des mots.
Le sentier grimpait, les sapins s’espaçaient, et la chaleur pesait sur nos épaules, nos respirations se mêlant au chant des oiseaux. Il s’appelait Olivier, un ingénieur de passage dans la région, et sa présence, discrète mais assurée, me troublait. À un plateau dégagé, entouré de roches et d’herbes hautes, nous nous sommes arrêtés pour boire, l’air vibrant autour de nous. “C’est magnifique ici,” ai-je murmuré, et il m’a fixée, un éclat dans les yeux. “Vous l’êtes aussi,” a-t-il dit, et sa main a frôlé mon bras, un contact qui m’a électrisée.
Je ne sais pas qui a fait le premier pas, mais bientôt, ses lèvres étaient sur les miennes, chaudes, salées par la sueur, son souffle rapide contre ma peau. Nous avons laissé tomber nos sacs, et il m’a plaquée contre une paroi rocheuse, l’arête dure dans mon dos, la chaleur du soleil sur mon visage. Il a relevé ma chemise, mes seins libres sous le tissu, lourds et moites, et sa bouche s’est refermée sur un téton, le suçant avec une avidité qui m’a arraché un gémissement. Mes doigts se sont perdus dans ses cheveux, tirant légèrement, tandis qu’il descendait mon short, ma culotte avec, exposant ma chair nue à l’air libre.
Il s’est agenouillé, ses mains écartant mes cuisses, et sa langue a trouvé ma fente, déjà humide sous la touffe brune de mes poils. Il a léché, longuement, ses doigts s’enfonçant dans mes fesses pour me tenir ouverte, et j’ai senti le plaisir monter, brut, amplifié par le vent qui caressait ma peau. “Vous êtes trempée,” m’a-t-il soufflé, et j’ai gémi, mes hanches poussant contre sa bouche, mes seins dansant sous mes propres mains qui les pressaient. La nature nous enveloppait, le craquement des branches et le chant lointain d’un ruisseau mêlés à mes soupirs.
Il s’est relevé, a baissé son short, révélant une queue raide, épaisse, luisante au bout, et m’a retournée face à la roche, mes paumes contre la pierre chaude. “Je peux ?” m’a-t-il demandé, et j’ai murmuré, “oui, prenez-moi.” Il m’a pénétrée d’un coup, sa longueur m’emplissant, mes parois serrées s’adaptant à lui avec une légère douleur qui s’est muée en délice. Il bougeait, lent puis rapide, ses mains sur mes hanches, mes fesses claquant contre son bassin, la sueur coulant entre nous dans cette danse sauvage.
Le sol vibrait sous mes pieds, mes seins frottaient la roche à chaque poussée, laissant des traces rouges sur ma peau, et je sentais tout : son souffle dans mon cou, son sexe qui fouillait mes profondeurs, l’air tiède qui glissait sur mes cuisses nues. “C’est bon,” ai-je haleté, et il a grogné, accélérant, ses doigts trouvant mon clitoris pour le frotter, me faisant basculer. J’ai joui, un cri étouffé dans la montagne, mon corps secoué contre la pierre, et il m’a suivie, se retirant pour gicler sur mes fesses, un flot chaud qui coulait le long de mes jambes.
Nous sommes restés là, pantelants, nos corps luisants sous le soleil, l’odeur de nos plaisirs mêlée à celle de la terre sèche. “C’était… inattendu,” m’a-t-il dit avec un sourire, et j’ai ri, encore tremblante. Nous avons repris nos sacs, nos chemins se séparant au sommet, mais Chamonix garde ce secret : en pleine nature, j’ai découvert une passion que je veux revivre.
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