Valériane et Isabelle vivent ensemble depuis leur rencontre. La passion qui les unit au fil des années n’a pas faibli. Isabelle, plus âgée, est plus posée, quant à Valériane, plus entreprenante, elle brûle la chandelle par les deux bouts. Elle profite qu’Isabelle soit dans la douche pour sortir d’un tiroir son jouet préféré, un gode-ceinture monstrueux. Elle enduit l’engin de lubrifiant et s’enfonce la partie qui lui est destinée dans le vagin. Elle ajuste les sangles et s’allonge sur le canapé en attendant sa proie.
Isabelle sort de la douche enroulée dans une serviette éponge. Elle entre dans le salon et, en voyant Valériane harnachée de l’engin, pousse un gros soupir et dit.
— Val, je n’ai pas le temps de jouer, je dois partir, tu le sais très bien !
Avec son sourire ravageur, Valériane a l’art de faire fondre son amour. Elle lui tend la main et l’invite à s’approcher. Isabelle en soupirant profondément s’exécute. D’un geste rapide, Valériane lui arrache la serviette, et regarde longuement le corps qu’elle vient de dénuder. Elle commence à caresser le bas-ventre, ses doigts glissent sur la fine toison soyeuse, s’insèrent entre les grandes lèvres et lentement deux visiteurs pénètrent la gaine qui ne tarde pas à réagir. La vulve sollicitée délicatement mouille de plus en plus. Isabelle, dit en haussant le ton :
— Ma chérie, je n’ai pas le temps, laisse-moi m’habiller, tu es incorrigible, mais ma parole tu ne penses qu’à ça !
En souriant, Valériane répond :
— C’est toi qui me rends comme ça, viens sur moi t’empaler !
Isabelle n’a pas le choix, elle enjambe le corps de Val, saisit le gode qu’elle dirige vers sa vulve ruisselante, et avec douceur s’embroche dessus. Elle commence à s’agiter sur l’engin avec la souplesse d’un félin. Les godes bien ancrés dans les corps commencent à produire leurs effets. Bien cramponnée à Isabelle, Valériane est la première à gémir. La tension monte dans les corps.
Isabelle fait de son corps un ascenseur, elle gémit lorsque Val lui donne des coups de reins pour bien l’empaler. Dans la pièce ce ne sont que gémissements, et râles. Les deux femmes jouissent quasiment en même temps. Rapidement Isabelle monte dans sa chambre s’habiller. Elle embrasse sa chérie et quitte la maison.
Seule, Valériane s’ennuie, elle prend sa douche et enfile des vêtements aérés car le soleil est au beau fixe et sort. Elle fait du lèche-vitrine, lorsque soudain une voix l’interpelle :
— Val, c’est toi !
Elle se retourne, son cœur se met à battre très fort, elle reconnait Thomas, son premier amour d’enfance. Les deux ont usé leurs culottes sur les bancs de l’école, se sont promis un amour éternel. Mais après l’obtention de leur diplôme, Thomas a quitté la région car le travail se faisait rare à l’époque. Valériane, elle aussi, avec ses parents ont choisi une terre plus accueillante pour travailler. Les deux amoureux se téléphonaient souvent, puis les contacts se sont raréfiés pour ne plus avoir lieu. Comme on dit, loin des yeux loin du cœur, et chacun a fait sa vie de son côté. Thomas s’est marié, Valériane s’est mise en couple avec Isabelle.
Les deux restent instantanément tétanisés avant de se jeter dans les bras l’un de l’autre, les embrassades sont interminables, Valérian pleure de bonheur. Soudain Thomas pense à présenter sa femme. En souriant, il dit :
— Je te présente ma femme Lisette, Lisette je te présente Valériane !
Les deux se saluent, s’embrassent même. Thomas déclare :
— Nous sommes ici pour passer quelques jours de vacances. Jamais je n’aurais pensé te rencontrer, il faut dire que cela fait une éternité, allons prendre un verre !
Les trois prennent place à la terrasse d’un café. Thomas et Valériane parlent du passé, se remémorent les meilleurs instants passés ensemble. Lisette, en souriant :
-Il me parlait si souvent de vous, qu’à un moment je vous jalousais, en vous voyant, je comprends pourquoi qu’il me parlait si souvent de vous, vous êtes très jolie !
Valériane est un peut gênée, mais rend le compliment à Lisette. le trio trinque, l’heure tourne. Valériane dit :
-Je vous emmène chez moi, il faut que je vous présente Isabelle ma chérie !
Thomas et Lisette se regardent en fronçant le sourcils, Thomas demande :
-Tu es en couple ave une femme ?
-Eh oui, je suis dingue d’elle, bien qu’elle est le double de mon âge, tu verras c’est une bombe !
En vous voyant, je comprends pourquoi qu’il me parlait si souvent de vous, vous êtes très jolie !
La valériane est un peu gênée, mais rend le compliment à Lisette. Le trio trinque, l’heure tourne. Valériane dit :
— Je vous emmène chez moi, il faut que je vous présente Isabelle, ma chérie !
Thomas et Lisette se regardent en fronçant les sourcils, Thomas demande :
— Tu es en couple avec une femme ?
— Eh oui, je suis dingue d’elle, bien qu’elle ait le double de mon âge, tu verras c’est une bombe !
Les trois arrivent, Isabelle est rentrée et se trouve devant sa cuisinière pour préparer le repas. Elle est surprise de voir du monde, mais comme elle est très sociable, elle les reçoit. À bras ouverts, Valériane présente Thomas et Lisette. Isabelle dit :
— C’est vous le fameux Thomas dont elle me parlait continuellement ?
En souriant, il dit :
— Eh oui, je suis ce fameux Thomas !
Ils éclatent de rire. Valériane les fait entrer au salon et sert une boisson. De sa cuisine, Isabelle déclare :
— Je vous retiens pour diner, cela va être vite prêt !
Les invités ne peuvent qu’accepter, ce qui rend Valériane folle de joie. Une fois à table, Lisette et Isabelle ne cessent de se dévisager en échangeant de larges sourires. Lisette est surprise par la beauté d’Isabelle et pense que Valériane avait raison de dire qu’elle est une bombe. L’écart d’âge ne choque pas Lisette. Elle pense sincèrement que bien qu’elle ne soit pas lesbienne, elle aurait succombé comme Valériane à son charme. Thomas et Val ne parlent que de souvenirs, Isabelle et Lisette ont beaucoup de mal à en placer une. Un peu agacées, les deux finissent par s’isoler au salon, pour prendre un digestif.
De temps en temps des éclats de rire s’entendent, Thomas et Val se libèrent.
Au salon, Lisette et Isabelle, plus calmes, papotent comme de vieilles amies. Lisette montre sur son portable les photos de son mariage. Isabelle la complimente sur la beauté de sa robe, et sur son physique, à chaque photo elle donne un avis élogieux. Lisette se sent planer, elle boit les paroles de sa nouvelle amie. Elle ne cesse de la dévorer des yeux, elle est fascinée par la beauté naturelle d’Isabelle. Elle lui parle de son physique, avoue qu’elle l’envie. Isabelle, un peu gênée, dit pour faire retomber la tension :
— Je suis loin d’être parfaite, j’ai de petits seins, pas comme les tiens qui semblent magnifiques, et j’ai de grosses fesses !
Les deux femmes comparent leurs formes, en se tortillant dans tous les sens, les moues sont nombreuses. Isabelle, un peu déçue, dit :
— Je n’ai même pas besoin de soutien-gorge tellement mes seins sont petits !
Et dans la foulée, elle relève son t-shirt. Les yeux de Lisette restent figés sur la poitrine de son amie. En effet les seins ne sont pas gros mais au centre des aréoles brunes sont plantés d’énormes mamelons. Lisette tend les mains vers les lobes, les caresse, les palpe, avant de rouler entre ses doigts les mats de chair. Isabelle, étrangement, se laisse faire, les doigts agiles de Lisette étirent les mamelons, les pressent doucement et elle finit par dire :
— Ils sont magnifiques !
Et sans savoir pourquoi, elle pose sa bouche sur un téton, et se met à le sucer, avant de faire subir à l’autre le même sort. Rapidement ils prennent du volume. Isabelle frémit et dit :
— Arrête, cela m’excite !
Mais Lisette ne cesse pas, au contraire, elle accentue les succions qui font soupirer Isabelle. Les bouts deviennent sensibles, de nombreux frissons parcourent le corps d’Isabelle. Elle soupire profondément, Lisette la bascule sur le canapé et continue son travail, de sape. Enfin Isabelle réagit, elle repousse doucement Lisette et recouvre ses seins. Elle se lève, avale d’un trait son verre, et entre dans la salle à manger. Ce qu’elle voit, la tétanise. Val et Thomas sont enlacés et s’embrassent fougueusement, les démons du passé resurgissent. Elle serre les poings puis fait demi-tour. Reprend place près de Lisette, et comme par vengeance, l’enlace, pose ses lèvres sur les siennes et l’embrasse. Surprise, Lisette entrouvre la bouche. La langue d’Isabelle pénètre la cavité buccale, les langues se cherchent, et se nouent. Le baiser est très long, un flot de salive est échangé.
La main de Lisette retrousse le t-shirt, sa bouche reprend un mamelon et le tète. Isabelle souffle en tenant la tête de son amante entre ses mains. Lisette s’avère vorace, elle arrache à Isabelle des gémissements de plaisir. La coquine devient plus audacieuse, sa main se pose sur la cuisse d’Isabelle et glisse doucement sous sa jupe. Instinctivement, Isabelle ouvre les cuisses. Mais lorsque la main avance vers son entrejambe, elle resserre fortement les cuisses. Elle entend des gémissements provenir de la salle à manger. Son sang ne fait qu’un tour. Elle reprend les lèvres de Lisette et lui fouille la bouche avec sa langue. Lisette a du mal à comprendre les désirs d’Isabelle et ses refus. Un peu irritée, elle plaque sa main sur la vulve et, à travers la culotte, la presse plusieurs fois.
Isabelle repousse Lisette, lui ouvre le corsage, et avec rage et lui dégrafe le soutien-gorge. Elle happe à tour de rôle les mamelons, les mordille en cherchant à faire du mal à sa proie. Lisette est surprise par la violence d’Isabelle, mais cela lui plait, elle lui dit faiblement :
— Encore, encore, c’est bon !
Isabelle redresse la tête, les sons qui proviennent de la salle à manger la rendent folle. Elle reprend en bouche ses mamelons et les martyrise. Lisette pâme de bonheur, cette relation lesbienne ne semble pas lui déplaire. Soudain, Isabelle arrache la culotte de Lisette et lui ouvre les cuisses brutalement. Elle plaque sa bouche sur la vulve détrempée de la Soumise et aspire tout le jus qu’elle rejette. Elle enfonce sa langue dans le puits d’amour et le fouille avec rage. Elle aspire le clito et le mordille, pour elle c’est de la vengeance. Lisette gémit comme une bête blessée, elle agite son bassin en marmonnant :
— Oui, oui, oh la vache, je vais jouir, vas-y, vas-y, ça vient, ça vient !
Isabelle gémit
Elle se cambre et, en poussant un long gémissement, explose de jouissance. Isabelle se redresse, elle retire sa culotte et monte sur le canapé, elle plaque sa chatte sur la bouche de Lisette et lui dit avec une voix rageuse :
— Bouffe-moi la chatte salope, je veux jouir, vas-y, vas-y !
Sans se le faire répéter, Lisette dévore pour la première fois de sa vie une chatte. Elle s’acharne, elle avale le jus que la vulve ne peut retenir, la coquine se gave de cyprine comme une assoiffée. Elle grogne en même temps qu’elle s’acharne sur la chatte en feu d’Isabelle. La coquine gémit, agite son bassin en appuyant sur la tête de Lisette, pour qu’elle fouille bien le temple de Vénus.
Lisette apprend vite, elle gobe le clito qui sous ses coups de langue est devenu énorme. Elle le suce, l’aspire si fort qu’Isabelle grimace en poussant un long gémissement rauque. La bouche vorace de Lisette soumet le clito d’Isabelle à de rudes épreuves. Les jérémiades de la soumise deviennent plus bruyantes, elle s’accroche aux cheveux de Lisette, et en se cabrant comme un cheval, libère sa jouissance. Elle se laisse tomber lourdement sur le canapé en haletant, comme une sprinteuse en fin de course. Soudain, elle fronce le sourcils, se pince les lèvres, des plaintes encore plus fortes émanent de la salle à manger. Elle se lève, omet de recouvrir ses seins, et avec détermination se dirige vers l’endroit d’où proviennent les sons.
Elle passe la porte, et bien qu’elle les a vu s’embrasser, elle reçoit dans le cœur un deuxième coup de poignard. Valériane allongée sur le bord de la table subit la verge de Thomas. A chacun de ses coups de reins elle pousse un râle, Thomas semble puissant, accroché aux hanches de Valériane, il la défonce en grognant comme un rapace sur sa proie. Isabelle voit parfaitement la verge coulissée dans la gaine de son amour, qui aujourd’hui est aussi infidèle qu’elle. Elle s’approche du couple en action, elle est rejoint pas Lisette, qui murmure :
-je était sûre que s’ils se revoyaient cela recommencerait !
Isabelle, en soupirant profondément, répond :
— Bien que cela me fasse mal, je les comprends, mais je suis certaine que ma Valériane me reviendra encore plus amoureuse !
Lisette enlace Isabelle, elle passe sa main sous sa jupe et en lui caressant la vulve lui dit avec tendresse :
— Je viens de connaitre d’autres plaisirs sexuels avec toi, laissons les pendre le leur, allons nous aimer encore, j’en ai trop envie, apprends-moi d’autres choses !
Isabelle ravale sa salive, elle pose un regard lourd sur Valériane, qui s’agite sous les coups de boutoir de son amant. Ses gémissements résonnent dans sa tête, elle se pince les lèvres pour ne pas intervenir. C’est les yeux plein de larmes et résolue qu’elle accompagne Lisette.
Une fois au salon, les deux femmes s’effeuillent. Elles se regardent longuement, leurs yeux brillent de mille feux. Lisette, plus audacieuse, prend Isabelle dans ses bras et l’embrasse fougueusement. Les langues s’agitent, se nouent, les salives se mêlent. Les respirations deviennent plus rapides et profondes, les poitrines se soulèvent en prenant un nouveau rythme. Une fois le baiser terminé, Isabelle lui susurre à l’oreille :
— Je reviens, j’ai une surprise pour toi !
Isabelle réapparait avec dans la main le gode ceinture, elle le donne à Lisette qui les triture dans tous les sens pour en connaitre la texture et la souplesse. Elle dit :
— Mon Dieu, il est énorme ce truc, vous, vous en servez souvent de ce machin !
En souriant, Isabelle répond :
— Le plus possible, c’est le jouet favori de Val, je t’assure qu’avec lui, nos jouissances sont quintuplées !
En regardant Isabelle s’harnacher et insérer dans son vagin une partie du gode, Lisette frissonne. C’est en suivant les conseils d’Isabelle, qu’elle s’allonge sur la petite table basse du salon et ouvre les cuisses. Isabelle enduit le gode et la vulve de son amante de lubrifiant. Puis présente la bite factice contre la fente qui suinte d’excitation. Elle pose ses mains sur les hanches de la soumise et pousse doucement. Les grandes s’écrasent sous la poussée, et s’ouvrent. Le gode lentement s’enfonce dans la gaine qu’elle dilate. Pendant la pénétration, Lisette pousse un long râle. L’engin de silicone petit à petit prend place dans son vagin. Isabelle lui demande :
— Ça va ma Lisette ?
Lisette, en s’agrippant à son amante, répond avec quelques trémolos dans la voix :
— Oh la vache, tu m’ouvres vraiment, vas à fond ma chérie, je souhaite ressentir les mêmes sensations que vous lorsque vous utilisez ce monstre !
Isabelle, enfonce entièrement le gode dans son étui de chair. Attends un instant avant d’entreprendre un va-et-vient. Isabelle augmente la vitesse de pénétration en se basant sur les gémissements de Lisette. Les coups de reins deviennent plus puissants, ils arrachent à la soumise des gémissements d’agonisantes. Lisette agite son bassin en marmonnant :
— Oh je le sens buter contre le col de mon utérus, c’est trop bon, vas-y, vas-y, ma chérie !
Encouragée, Isabelle donne des coups de boutoir plus violents, en poussant un hachoir de bûcheron à chaque enfoncement de l’engin dans le ventre de Lisette. Elle ne cesse de dire :
— Oh que c’est bon, je vais mourir de plaisir, Isabelle, Isabelle ; je vais jouir, oui, oui, ça vient, ça vient !
Elle se cabre en poussant un hurlement qu’elle tente d’étouffer en se mordant la main. Sa jouissance est plus forte que celles qu’elle a connues jusqu’à présent. Isabelle accélère, elle cherche à présent sa propre jouissance. C’est un grognant comme un fauve qu’elle la trouve enfin. Les deux amantes sursautent, un applaudissement se fait étendre derrière elles. Elles se retournent et voient plantés sur la pas de la porte Valériane et Thomas qui arborent un large sourire.
























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