Du point de vue des femmes
Il fait nuit noire. Le clair de lune enveloppe l’île encore agréablement chaude d’une lumière froide. Mon corps nu brille d’un blanc immaculé dans l’obscurité de la nuit. Je m’allonge sur la couverture moelleuse, je m’étire vers la lune.
Ce que tu peux voir t’excite. Les contours de mon corps nu, nettement dessinés sur le fond sombre des buissons et de l’eau. Lumineux, éclairé par la lune dont la lumière semble maintenant plus douce, adoucissant tout, par le reflet dans les vagues.
Lentement, je m’allonge sur le dos, je te regarde… mes seins se soulèvent et s’abaissent à chacune de mes profondes respirations. Mes cuisses sont légèrement écartées et, humide et brillante, ma fente rose brille dans l’obscurité.
Tentant, exigeant, suppliant, pressant.
Il s’est redressé depuis longtemps. Se tient là, excité par les images que nous avons prises. J’étends mes bras. Mes mains le touchent, le caressent, l’attrapent, le tiennent fermement, elles le serrent très fort, te tirent par lui vers moi, plus près, jusqu’à ce que tu sois au-dessus de moi.
Également nue, et je m’assois. Il est là, dur, mes lèvres glissent doucement sur lui, ma langue caresse son bout rebondi, glisse autour de lui, plus bas, le long du petit sac, entre tes cuisses et remonte. Puis je le prends entre mes lèvres, l’aspire profondément dans ma bouche, tes mains tiennent ma tête, attrapent mes cheveux, jouent avec, tandis que ta respiration commence à s’accélérer, sommes-nous seuls?peu importe. Je te veux, je te veux maintenant.
Tu te déplaces prudemment dans ma bouche, mes lèvres se referment fermement sur la queue dure et raide, TA queue, qui a maintenant pénétré profondément dans ma bouche. Tu retiens ton souffle, tu ne bouges pas, c’est la première fois que c’est aussi profond. Tu le sens, jusqu’à la butée elle dépasse, dure et rigide, entre mes lèvres qui se pressent contre mon ventre, ma respiration est profonde, tu glisses lentement, tu me souris, tu réponds à mon regard interrogateur en caressant mes seins, en faisant glisser tes mains plus bas, tu t’agenouilles, tu me pousses en arrière, tu écartes mes jambes et pendant que tes mains remontent vers mes tétons, ta langue glisse dans ma fente humide et sur mon bouton de plaisir, elle y vibre . Tes lèvres se pressent contre la petite chatte bien rasée, sucent les lèvres et le bouton, tandis que tes mains massent mes seins. Elles jouent avec les bourgeons et je sens la fente s’élargir et ce bourgeon se durcir.
Tu entends ma respiration, de légers gémissements, de plus en plus profonds et forts, mes mains sur tes épaules, essayant de te tirer vers le haut, mais tu ne veux pas encore, tu savoures d’abord mon plaisir, ma soif de tes caresses, ta langue entre mes cuisses, les mains exigeantes et tendres sur mes seins. Tu te délectes de m’entendre gémir et de me voir bouger sous toi, presser mes genoux contre ton visage et me rebeller quand une nouvelle vague de plaisir me saisit et que j’en veux plus, plus …lui…
Je me mords les lèvres, je le sens, il se rapproche de plus en plus, mais maintenant c’est LUI que je veux. Je veux le sentir sur moi, en moi, je veux être remplie de sa dureté, de sa tendresse, de sa force.
« Viens enfin », crie-je dans la nuit. » prends-moi. BOIS-MOI ! !! »
Tu te redresses, tu l’approches de la fente maintenant dégoulinante, tu l’appliques et tu le frottes entre tes lèvres. Je me soulève vers lui.
Ne me rends pas folle « haletante » « donne-le moi ! » Tu me pénètres lentement, tu sépares cette fente, tu m’embroches, tu l’enfonces de plus en plus profondément en moi, jusqu’à ce que tu sois complètement en moi, palpitant et dur. Puis tu te retires à nouveau, tu ne laisses que la pointe coincée entre mes lèvres humides, tu restes ainsi, je jette la tête en arrière, » ggrrraaaa » sort de ma gorge. Puis tu pousses. Brièvement et violemment.
Une seule fois. Suivi d’un cri de ma part. Une fois de plus. Profondément.
Violemment. Et encore et encore, le seul cri s’est transformé en un long gémissement, un halètement, rapide et violent, au rythme de nos mouvements. Puis mes muscles le saisissent, je sens que je jouis, longuement et violemment ! Je suis en train de tressaillir sous toi, empalée par ta queue qui me pénètre, me sert, me satisfait, MON plaisir, tu es toute queue, seulement queue.
Je suis allongée en respirant profondément, toujours avec LUI en moi.
Tu es allongé entre mes cuisses grandes ouvertes. Lèche mes seins, suce mes tétons. Lentement, je fais glisser ta queue hors de moi, je glisse sous toi jusqu’à ce que mon visage soit juste en dessous, j’entoure tes fesses de mes mains et te presse lentement contre moi. Tu es allongé sur le ventre avec ta queue dure que je prends à nouveau dans ma bouche.
En léchant mon jus et en te guidant vers les mouvements que tu viens de faire, mais en baisant maintenant ma bouche, en la laissant gâter par ma langue. Tu baisses brièvement les yeux, me vois allongée là, mon visage sous Lui, mes jambes toujours ouvertes et dressées. Une main sur tes fesses, l’autre s’est égarée entre mes cuisses. Lentement, tu me pénètres par le haut, tu te laisses guider par moi jusqu’à ce que tu ne puisses plus le retenir.
Rapidement, tu t’agenouilles à côté de moi. Maintenant, tu vois aussi ce que ma main fait entre mes cuisses, sur ma fente chaude et humide, cela t’excite tellement que quelques mouvements de ma tête, de ma bouche suffisent à te faire exploser. Je t’entends gémir, je sens ton jus gicler de toi, je le sens dans ma gorge, puis tu t’effondres en haletant. Je me penche en avant, je le prends à nouveau dans ma bouche, je le suce, je le suce, je le sens grossir à nouveau, « Viens » te demande-je-« regarde-moi entre mes lèvres, le jus blanc sur mon visage, comme il dégouline, au coin de ma bouche ! » Je le lèche avec la langue, je l’étale sur mes seins, entre mes cuisses, je fais glisser mes doigts dans ma fente et je l’y étale aussi.
Je le sens à nouveau durcir dans ma bouche, je sens le désir monter et je vois aussi dans tes yeux l’envie d’en avoir plus. Je me lève, je me tiens maintenant devant toi. Ma fente lisse et rasée devant ton visage. J’ouvre les cuisses, je descends plus bas, je me presse contre toi, mes jambes t’enserrent et je me glisse plus bas, plus bas, pour enfin m’asseoir sur toi, sur LUI, qui dépasse en moi.
D’abord lentement, puis de plus en plus vite, je me déplace d’avant en arrière, je commence à le chevaucher, plus vite, je te mords l’épaule en jouissant, plus vite et plus fort que tout à l’heure, et tu jouis toi aussi. Tu jouis cette fois-ci profondément en moi, tu éjacules ton jus en moi, en tressautant et plus violemment que tout à l’heure. Je m’enfonce en arrière, toujours assise sur toi, sur LUI, je me penche en arrière, je m’étire, en soupirant profondément, mes jambes enroulées autour de toi.
Soudain, je sursaute. J’essaie de me retourner, ce que j’ai du mal à faire, LUI est toujours en moi, mes cuisses enroulées autour de toi.
« Qu’est-ce qu’il y a ? » « Je crois qu’il y a quelqu’un », dis-je. « Et alors ? Tu n’as pas dit que ça ne te dérangeait pas ? » » eh bien. …. » « Alors… tu vois quelque chose ? » « non, regarde au coin là-bas… » « rien ». « hum, j’ai l’impression qu’il y a quelqu’un » « alors.
offrons-lui quelque chose … ! ».
Je me tourne vers toi. « encore quelque chose ? » « Tu veux encore quelque chose ? » demandes-tu… » puisque tu le demandes… » je souris, ouvre mes cuisses et me penche vers lui… « ooch , est-il déjà fatigué ? » dis-je en me penchant profondément sur lui et en léchant son bout avec ma langue.
En même temps, tu me caresses le dos, tu te diriges vers les fesses que je tiens bien haut…. Tu le prends dans tes bras. Le masse. Je réponds aux petits coups violents par un léger couinement et une tendre morsure…
Puis je me redresse, ma main fermement refermée sur lui. « Tu vois, c’est comme ça que tu me plais ! » lui dis-je. Ce faisant, je me retourne et le guide avec précision là où je veux le sentir. Tu m’attrapes par les épaules et me serres contre toi.
Tu m’enserres, mes seins, par derrière, et cette fois nous prenons notre temps, chaque mouvement, chaque pénétration et chaque sortie est répétée, encore et encore. Pas une baise rapide, non, du sexe, pur, savouré à chaque mouvement. Je cligne des yeux vers le coin, effectivement, quelqu’un se tient là, un peu sur le côté, et nous regarde. Au clair de lune, il peut probablement tout voir, il peut voir comment ta verge me pénètre, voir comment tes mains jouent avec mes seins, mes tétons durs et dressés, et probablement aussi entendre mes gémissements… peu importe, le voisin de ton appartement peut aussi le faire, et ce qu’il voit…
eh bien, tant qu’il se tient tranquille… cela ne me dérange pas… je me concentre à nouveau sur toi et sur ton corps nu et excité, sur notre désir, sur mon dévouement, sur le fait de profiter du SEXE, du SEXE pur, du SEXE avec TOI, toujours excitant, excité et ahhhhh. Délivrant de la souffrance. Avec de derniers coups puissants, tu me baises maintenant, juste baiser, être tout baise, tout sexe, tout ahhhhh.
Oui, ORGASMUS, que nous vivons maintenant tous les deux. Toi, giclant les dernières gouttes sur mon dos, et moi, tremblant, frappé par de brèves décharges électriques, tressaillant et gémissant sous toi, allongée sur le ventre, vidée et épuisée, mais néanmoins heureuse.
Il fait maintenant frais, nous faisons rapidement nos bagages et nous dirigeons vers la voiture en nous tenant la main. Je monte les escaliers devant toi et tu vois ton jus couler le long de mes cuisses en fines traces humides. Je sens que tu le récupères, que tu le répartis avec tes doigts sur mon corps nu, puis que tu le portes à mes lèvres,…je les lèche en regardant profondément dans tes yeux, …. je sens l’excitation m’envelopper à nouveau,…mais je t’accorde la pause…pour le trajet jusqu’à la maison, mais ensuite,….
@lisa_lucie, cette photo me parle ! ne serait-ce pas ce que je pense être ???
Si ;)
hihihihi
j’ai l’oeil :)
Oui c’est vrai ! Mais en même temps, c’est marqué en haut des photos ^^
je t’avouerai que je n’avais meme pas remarqué ^^