Joelle retrouve son amour d’enfance 2
Au contraire, Adrien s’acharne sur Lise, qui gémit comme une agonisante. Soudain, elle se cabre en poussant un gémissement terrible, elle vient de jouir du cul. C’est si violent, qu’elle se place brusquement sur le flanc, plaque ses mains sur sa vulve, en repliant les jambes sur son ventre. Une grimace affreuse déforme son visage, son corps est secoué de frissons incontrôlables. Le cri qu’elle a poussé, a fait sursauter Marc et Joelle, qui viennent de redescendre sur terre, et, se rendent compte, qu’ils ne sont pas seuls. Très gênés, ils se séparent et regardent Lise qui ne cesse de trembler.
Adrien très gêné dit :
-Je vous demande pardon, je n’ai pu m’empêcher, c’était plus fort que moi !
Marc répond, en se raclant la gorge :
-Moi aussi j’étais sur le point de faire comme toi Adrien, d’ailleurs, nous en avons déjà parlé un peu, je crois qu’il faut laisser faire les choses, et de ne pas aller contre nos sentiments !
Joelle regarde son mari pas très rassuré, ne sait que répondre.
Marc l’enlace à nouveau et l’embrasse. Adrien laisse faire, il regarde Lise qui frissonne, il se penche sur elle, elle s’accroche à son cou et lui donne un baiser fougueux comme pour le remercier pour la jouissance qu’il vient de lui donné. Maintenant, les amoureux peuvent laisser libre cours à leurs sentiments.
Les corps roulent sur l’herbe, les vêtements jonchent le sol. C’est entièrement nus que les amoureux peuvent enfin s’ébattre sans retenue. Marc caresse la poitrine généreuse de Joelle qui geint faiblement. Il roule entre ses doigts les mamelons épais, qui rapidement prennent du volume. Il les maltraite, les presse, les étire pour les stimuler davantage. Les bouts deviennent sous les assauts ininterrompus, volumineux. Marc place sa bouche dessus et commence à les sucer, avec une telle violence que Joelle grimace. Mais la coquine aime ça, elle appuie sur la tête de son amant pour qu’il continue de lui dévorer les mamelons.
De son côté, Adrien, embrasse le ventre de Lise, ses baisers sont suivis de coups de langue, qui font geindre Lise de plaisir. lentement, sa tête s’approche dangereusement du temple de venus. le coquin hume avec force les effluves odorantes que la vulve en ébullition rejette. Quelques coups de langue bien ajustées sur la boule magique, font geindre Lise de bonheur. Elle se cabre lorsque Adrien lui gobe le clito et le suce comme un bonbon. Le bougre sait se servir de sa bouche, Lise pâme de bonheur, ne cesse de pousser de gros soupirs en agitant faiblement son bassin. la bouche vorace la fait délirer, elle marmonne :
-Adrien, Adrien, mon chéri, encore, encore, j’ai honte, mais c’est trop bon !
Adrien n’a pas besoin d’encouragement, pour combler de bonheur son amante, il lui enfonce sa langue profondément dans le vagin. Lise couine fortement, en se cambrant davantage. Adrien, fouille profondément la gaine débordante de cyprine, aspire tout ce que lui offre la vulve de son amour. Lise est au bord de l’explosion, elle geint comme une bête blessée, en appuyant sur a tête de son amant en geignant de plaisir. Une violente jouissance la fait hurler, sa chatte expulse avec force un jet de cyprine, qui n’épargne pas le visage de son amant. Adrien tente de tout avaler, il fouille le conduit avec plus de rage, aspire bruyamment le jus si généreusement offert par son amante. Lise tremble, son corps est secoué de spasmes violents, jamais elle n’avait ressenti ça avant, plusieurs orgasmes à la suite, la font geindre, sa vulve est devenue, un ruisseau intarissable. Adrien se régale du jus que lui offre son amante.
Marc, après avoir fait jouir Joelle plusieurs fois avec sa langue, se place entre ses cuisses de Joelle. Il frotte son gland contre les lèvres vaginales extrêmement gonflées, et appuie. Les lèvres s’écartent et laissent le passage au gland épais. Il s’engage dans le conduit détrempé, en faisant gémir Joelle. Elle s’accroche à lui en grognant.
-Oui mon chéri, défonce-moi bien, j’ai trop envie de toi, fais-moi mal mon chéri !
La verge puissante commence un va-et-vient de plus en plus brutal. Joelle se cramponne à son amant en geignant :
-Oui, oui, encore, encore, c’est trop bon !
La queue voyage dans le ventre de Joelle, en lui arrachant de monstrueux gémissements. Elle subit avec bonheur les assauts de son amour retrouvé. Les coups de reins féroces de Marc, font couiner Joelle :
-Oui, oui, plus fort, plus fort !
Le bougre ne la ménage pas, il sait qu’elle adore être violentée férocement, et le coquin ne s’en prive pas. Il la démonte comme un forcené. Ses coups de reins sont si violents, qu’on a l’impression qu’il veut la traverser avec sa verge puissante. Joelle est au bord du coma, ses yeux sont révulsés, à la commissure de ses lèvres, s’échappe un filet de salive. Elle donne des coups de reins aussi fort que son amant, en grognant comme une bête agonisante.
Une violente brûlure, lui traverse le ventre. Une jouissance fabuleuse la fait hurler. Marc continue de lui pilonner le ventre, jusqu’à ce qu’il enfin lui remplisse le ventre de son sperme épais.
Les doigts, d’Adrien, s’emparent du clito extrêmement gonflé de lise, et l’agite. Il le presse fortement pour faire gémir son amante. La réaction ne se fait pas attendre, Lise se cabre et en poussant un long râle explose de jouissance, elle retombe lourdement sur sa serviette en haletant.
Lise fébrilement se redresse et saisit le manche de chair d’Adrien, qui est raide comme un mat. Elle l’agite un moment en observant le gland qu’elle décalotte à chaque descente de son poignet. Elle cesse de branler l’engin gonflé au maximum. Puis avec des coups de langue bien ajustée, elle lèche la boule de chair, qui ne cesse de rejeter quelques gouttes d’un liquide visqueux.
Sa langue fait le tour du gland de nombreuses fois, s’attarde sur le frein avant que Lise ne le gobe. Elle suce et tète avec de plus en plus de voracité, sa bouche fait geindre Adrien :
-Oh que c’est bon, encore, encore ma chérie !
Le travail de Lise et vite récompensé, elle reçoit une puissante décharge de semence dans la bouche qui la fait sursauter. Elle recrache le gland en regardant son amant. A petites gorgées, elle avale le sperme. Le liquide onctueux glisse lentement dans sa gorge, s’un revers de la main, Lise s’essuie les lèvres, elle enjambe Adrien, et se poser de questions, s’empale sur sa verge gluante, jusqu’à la garde. Elle entreprend, une danse du ventre digne d’une danseuse orientale. Son bassin s’agite, en cherchant le maximum de plaisir. Enfin elle commence à faire de son corps un ascenseur.
Elle monte et descend sur le pal en geignant, la vitesse de pénétration augmente, ses gémissements aussi. Adrien se cramponne à elle en grinçant des dents. A chaque descente du corps, le gland épais racle le col de l’utérus de son amante, qui ne cesse de gémir de plaisir. Il tire fortement sur les hanches larges de Lise, et donne des coups de reins terribles. Il se raidit, se bloque en envoie dans le ventre de Lise un flot de semence brûlante.
Lise accélère, de sa bouche grande ouverte, sortent des gémissements terribles. Elle pousse un hurlement, une violente jouissance lui traverse le ventre. Elle se laisse tomber sur le torse de son amant en haletant comme un animal malade. Marc regarde sa femme, il ne l’à jamais vu dans un état d’excitation aussi élevé. Il s’approche, se place derrière elle et frotte sa verge contre son anus. Il lui saisit les hanches et pousse, lentement la verge s’enfonce dans la gaine qu’elle distend. Lise grimace, elle se cramponne à Adrien. Lentement, la queue épaisse prend possession des lieux. Lise dilatée comme jamais subit sa première double pénétration.
Elle a l’impression que les deux membres sont dans le même orifice. Elle serre les dents, la douleur est supportable. Enfin par palier, la vitesse de pénétration augmente. Les deux hommes se synchronisent parfaitement, Lise commence à, geindre de plaisir. Les deux verges coulissent dans ses entrailles en la faisant geindre, le va-et-vient et de plus en plus rapide.
La paroi qui sépare les deux orifices et si fine, que les deux mandrins, se frottent l’un contre l’autre. Pour Lise, c’est le summum du bonheur. Ses deux amants la défoncent sans la ménager. Joelle, regarde émerveillée les deux hommes défoncer Lise. Sa chatte se met à suinter énormément. Elle se caresse son perdre une image du spectacle. Elle agite son clito en grognant, elle le maltraite férocement, son visage est marqué par une grimace affreuse. Elle sursaute, le cri que pousse Lise est inhumain autant que sa jouissance. De sa bouche entre ouverte, s’échappe un filet de bave, ses yeux sont exorbités, elle halète fortement.
Les deux déversent en elle en même temps un flot important de sperme. Ils continuent de la démonter comme des sauvages. Joelle accélère son clito et devenu douloureux, elle s’acharne dessus en se faisant violence. Enfin, elle obtient ce qu’elle cherchait, une jouissance terrible, la fait gémir. Lise sous les assauts répétés de ses deux amants jouit une seconde fois.
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