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Alice devient une grosse cochonne et découvre la dépravation sexuelle Partie 1

Alice devient une grosse cochonne et découvre la dépravation sexuelle Partie 1
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En fin d’après-midi Alice quitte la petite plage peu fréquentée où elle aime venir se baigner dans ce coin tranquille. Certes c’est un peu loin de son hôtel mais elle ci sent si bien.  Seule en vacances, son mari en voyage d’affaires à l’étranger, elle goûte ces journées sans emploi du temps précis et dont elle peux disposer à sa guise.

 

À bientôt cinquante ans, Alice exerce un travail lucratif dans une grande multinationale, épouse d’un mari attentionné, Alice mène une vie tranquille de bourgeoise qui profite des privilèges matériels liés à son statut de cadre supérieur.
Son seul vice est le fantasme qui la conduit régulièrement à se masturber et à jouir comme une folle : Elle s’imagine pour suivie par une bande de loubards, une fois dans une zone, une autre fois  dans un parking souterrain, ils la poursuivent et elle ce fait prendre l’un après l’autre.

La plage est maintenant déserte, sauf ces quatre jeunes du genre voyous de banlieue, ils sont là tous les jours. Et souvent, en rentrant de la plage, elle s’est masturbée en imaginant qu’ils la baisaient là, dans le sable chaud…
Lorsqu’elle arrive sur le parking, il ne reste plus que deux voitures, la sienne et une vieille Peugeot, appartenant sans doute à ces jeunes.

Elle fouille dans son sac à main à la recherche de ses clefs de voiture. D’abord inquiète, puis de plus en plus fébrile, elle finit par vider le contenu du sac à main sur le capot de la voiture.                            En vain : pas de clé, plus de portable.

– Ce n’est pas possible, je n’ai pas pu les perdre ?
– Y a un problème, madame??
Elle se retourne. Ils sont là tous les quatre loubards de banlieue.
– Non merci… Ou plutôt oui. Pouvez-vous m’appeler un taxi?? J’ai perdu mes clefs de voiture et mon portable.

Un des quatre genre maghrébin tapote un instant sur son clavier et finit par déclarer :
– Y marche plus… C’est con… Gégé, passe-moi le tien.
– Marche plus non plus… Momo essaie le tien?!
– Non rien à faire… Bob??
– J’en ai pas, on me l’a fauché hier.
Le plus grand des quatre lance avec un grand sourire :
– Pas de problème, Madame. On va vous reconduire vite fait. Je me présente, Moussa. Lui c’est Mohamed et voilà Gérard dit Gégé et Béguin dit Bob.
Elle n’a d’autre solution que d’accepter. Elle leur indique l’adresse et ils s’entassent dans la vielle 305, Alice est à l’arrière, coincée entre Moussa et Mohamed.

Ils roulent depuis cinq minutes lorsque Alice fait remarquer au conducteur qu’il s’est trompé et qu’il ne prend pas le chemin de son hôtel.
– Madame ! Lui déclare Moussa, on a changé d’avis. On va chez nous. On vous invite. Vous verrez, c’est bien, chez nous. On a tout ce qu’y faut : A boire, à manger, à fumer, on rigole bien.
Alice sent la cuisse de Moussa contre la sienne et une chaleur sournoise monter dans son ventre.
Lorsque la main de Moussa se glisse entre ses jambes, machinalement elle écarte les cuisses, ferme les yeux, elle se laisse doigter.

Son fantasme est en train de devenir réalité…
Sa grotte d’amour est en feu, elle a été sur le point de jouir sous les doigts de Moussa, lorsque la guimbarde s’arrête devant un triste immeuble, dans un quartier plus louche encore.
L’appartement est petit, il est dans un désordre épouvantable. Des bouteilles, des alcools, des douzaines de canettes, des cartons de pizza encombrent une grande table au centre de la pièce. Dans un coin, un vieux canapé. Dans la pièce d’à coté, elle aperçoit des matelas sur le sol.

Ils branchent de la musique RAÏ un peu fort. Gégé débarrasse la table et commence à rouler des joints. Momo fait chauffer des pizzas tandis que Bob décapsule des canettes, il les distribue à la ronde. Moussa entraîne Alice près de lui sur le canapé, lui met un verre dans la main.
– À ta santé, c’est du tout bon… Au fait, tu t’appelles comment??                                                               – Alice ?
Momo revient de la cuisine avec les pizzas, les distribue à la ronde. Moussa l’encourage.
– Allez, mange, Alice. Y faut prendre des forces pour la nuit ne fait que commencer ?!.

La tête lui tourne. Est-ce la gaieté ambiante, la musique assourdissante… Toujours est-il qu’elle finit par se laisser aller à la folie générale.
– Bon, c’est pas tout de rigoler, de jointer et de picoler. On passe aux choses sérieuses !
Moussa la prend par le bras, la met debout et se colle derrière elle. Momo et Bob s’approchent. Moussa l’entoure de ses bras, tandis que les deux autres lui font face ?
– Mes potes ont une question à te poser.

Momo lui lance.
– Tes beaux nichons. Tu veux nous les montrer??
Moussa déboutonne sa robe, l’ouvre, fait glisser le haut de son bikini sous ses seins. Ses mamelles apparaissent, blanches, superbes, gonflées, tentantes. Toujours derrière elle, il passe ses deux mains sous les globes pour les soulever et les mettre bien en évidence sous les regards des deux autres.
Ils s’approchent.
– Des nichons pareils, c’est une bénédiction…

Les deux sont maintenant contre elle. Leurs mains se posent sur ses seins offerts. Chacun s’empare de l’un d’eux, le caresse, le soulève. Des doigts agacent les mamelons, les titillent, les pincent, les tirent, les roulent. Contre ses fesses elle sent la queue dure de Momo.
Elle a chaud entre les cuisses, son slip de bain est trempée. Ils y vont de leurs commentaires.
– Tu as des nibars superbes.
– J’aime tes nichons, ils sont doux comme du velours.
– Avec des outres pareilles, tu fais durcir nos bites.
Momo l’arrache aux bras de Mous et la retourne face à celui-ci ?
– Montre ton zob à Alice Mous ! Pour qu’elle voit ce qu’elle va recevoir dans le cul. Elle va aimer.

Moussa ouvre son pantalon, fait glisser son caleçon. Alice est fascinée par ce qu’elle voit ? Elle ne pensait pas qu’on puisse avoir une queue aussi grande. Elle se sent partagée entre la crainte de se faire enfiler cette bitte, et l’envie de connaître les sensations qu’elle pourrait lui procurer.
Moussa l’entraîne sur le canapé et la débarrasse de son slip de bain, il lui écarte les cuisses, tandis que Momo s’approche, armé d’une brosse à cheveux ?
Quand les poils rêches lui caressent un mamelon, sa respiration se fait rapide. Il agace les tétons, il éprouve un plaisir vicieux à malmener les pointes en érection.

Poitrine offerte, elle se cambre au contact des poils rugueux qui frottent ses mamelons. Ceux-ci se dressent au centre des aréoles contractées, ils lui font mal tant ils sont durs. Entre ses cuisses, elle se sent devenir de plus en plus trempée lorsqu’il fait descendre lentement la brosse le long de son ventre, marque un arrêt sur le nombril qu’il se met à titiller.

Alice respire fort, la peau hérissée de chair de poule. Elle laisse échapper un gémissement en sentant les poils durs effleurer son clitoris dressé. Les yeux brillants, Momo joue avec la pointe de chair bandée, la grattant avec les filaments rugueux. Elle geint et sa chatte coule. Elle a sous les yeux la queue raide de Moussa, elle meurt d’envie de sentir ce braquemart en elle.

Elle se tortille, le pubis en avant, sa mouille lui dégouline à l’intérieur des cuisses. Si seulement il lui enfonçait le manche de la brosse dans sa grotte, elle veut accéder à une jouissance que maintenant elle réclame.
Momo prend soin d’éviter la fente écarquillée, luisante de mouille et quand il cesse tout mouvement, elle geint.
– OOH !! Non ! Encore !
Momo a un sourire.
– Pas tout suite, ma belle, regarde ce qu’on te prépare.

Gégé vide le contenu d’un sac sur la table. Ils n’ont pas fait dans la dentelle. Godes, menottes, chaîne à collier de chien, tout y est.
Moussa lui relève les cuisses jusqu’aux épaules, exposant de façon obscène ses deux puits d’amour. Les yeux brillants, Gégé s’approche avec un gros gode à la main. Alice gémit en sentant l’épais gland lui parcourir la raie culière, titiller son anus. Ses tétons et son clitoris dardent à lui faire mal.

Ils lui écartent les cuisses pour faciliter le passage du gode qui vient caresser sa fente trempée, puis taquiner son bouton dressé. Moussa prend son clitoris entre deux doigts, se met à le branler avec rudesse. Mais il ne la laisse pas atteindre la jouissance. Elle reçoit une claque sur le cul.
– A genoux?!

Frustrée, elle se laisse plier les bras derrière le dos par Bob qui enferme ses poignets dans des menottes. Sa posture fait ressortir ses mamelles et son ventre bombé. Elle doit garder les cuisses largement écartées, exposant ainsi sa moule baveuse, où pointe son clito dressé.
À genoux derrière elle, Momo commence à la lécher. Il prend toute sa moule en bouche et la mange, aspire les grandes lèvres, les relâche. Il suçote et lui mordille le clito, lape sa fente sur toute sa longueur.

Sa langue parcourt le sillon fessier, vient contre son petit puits et repart vers sa fente. Alice s’entend geindre. C’est si bon. Enfin, Momo retire les menottes et la relève.
Collé à elle par-derrière, les bras passés sous ses aisselles, il lui caresse les seins, puis il lui ouvre sa grotte et propose à Moussa de la prendre à deux, debout, en sandwich.

Momo, par-derrière, lui écarte les fesses et joue avec son anus. Sa grotte a produit tellement de mouille que son petit puits est couvert d’humidité. Momo n’a aucun mal à y introduire un doigt, et lorsque Moussa vient frotter son gland luisant contre son clito, Alice ne connaît plus aucune retenue.

Avec un râle elle s’empale sur la queue qui glisse et s’enfonce toute entière dans son puits d’amour. Elle n’a jamais connu de bitte aussi grosse. Chienne, elle tend son cul vers Momo. Sans trop de difficulté, il s’introduit dans son petit puits d’amour aussi.
Alice se fait baiser et enculer à la fois, elle est aux anges. Elle n’imagine plus, elle est dans la réalité.

Debout, coincée entre les deux mâles, pilonnée des deux côtés, elle se laisse faire, telle une poupée de chiffon. Sous la poussée conjuguée des deux queues, ses pieds quittent le sol.
Les deux baiseurs éjaculent presque ensemble, les deux bittes qui jutent dans ses deux puits d’amour lui arrachent un fulgurant orgasme.

Pantelants, les deux hommes se jettent sur le divan, laissant Alice s’écroulée sur le sol, dégoulinante de sperme.
Depuis le canapé, Momo lui lance :
– Alice, Gégé et Bob ont besoin d’une femelle ! Tu n’as rien contre, je suppose ?
Non, elle n’a rien contre, lorsque Gégé la relève et se colle dans son dos et empaume ses seins. Bob l’embrasse, glisse une main sur son ventre et l’insinue entre ses cuisses. Elle sent sa moule baver.

 

Bob en profite pour y insérer un doigt. Gégé, l’attrape par les cheveux, lui bascule la tête en arrière et l’embrasse à pleine bouche.
Son autre main descend dans son dos et se glisse entre ses fesses. Son excitation grimpe. Ils placent chacun leur sexe tendu dans chacune de ses mains :
– Branle, cochonne !
Elle prend plaisir à les masturber doucement, lentement, alors que sa grotte et son anus s’enflamment sous les doigts des deux hommes qui la fouillent. Ses jambes flageolent, elle s’accroche au cou de Bob pour ne pas tomber.

Toujours caressée et fouillée, elle est allongée sur le canapé. Moussa et Momo les regardent installés dans des fauteuils, la verge à nouveau tendue, ils se branlent. Bob s’agenouille, vient lui bouffer la chatte, alors que Gégé grimpe près d’elle et lui présente sa bite à sucer.
Sous la langue de Bob, son clitoris lui envoie des ondes de plaisir de plus en plus fortes. Sous ses doigts, son cul s’ouvre de plus en plus largement. Elle pompe Gégé comme une folle. N’y tenant plus, elle agrippe les cheveux de Bob et l’oblige à remonter sur elle.

Elle saisit sa verge bien raide et la guide elle-même, impatiente, elle la fait entrer jusqu’au fond de son puits d’amour. Elle en a le souffle coupé. Il est si large qu’il la dilate complètement. Bob entreprend de la baiser, entre et sort de plus en plus rapidement de sa grotte, fait grimper sa jouissance à chaque aller et retour.

Alice sent la bitte de Gégé, qu’elle continue à sucer goulûment se contracter, il lui saisit la tête entre les mains et éjacule au fond de sa gorge, il lui fait tout avaler.
Bob, voyant cela, se déchaîne, son corps répond à ses assauts, le plaisir monte du fond de son ventre, elle halète, gémit sous lui. La jouissance la prend violemment, entraînant des spasmes de son vagin sur la bite de Bob.
Elle jouit sous ses coups de bite, et lorsqu’il ce vide au fond de son ventre, elle ne peut se retenir elle avale la queue de Gégé. C’est les yeux fermés, son nez écrasé dans les poils de son pubis, qu’Alice jouit en avalant la queue de Gégé qui se vide dans sa gorge.

Alice a à peine le temps reprendre son souffle que Momo, allongé sur la moquette, la saisit par les hanches et l’attire à lui. Elle s’accroupit et s’empale sur sa pine dressée. Bob vient fourrer sa verge encore molle dans sa bouche. Elle se sent déjà bien remplie lorsqu’elle sent la queue de Moussa s’insinuer dans le puits de ses reins.

Le puits d’amour de ses reins est dilaté et lubrifié par la bite qui s’y est déjà vidée, mais cette bite est si grosse qu’elle ne peut pas s’empêcher de râler comme une femelle prise quand il se met à la sodomiser.
Non seulement elle est prise ainsi en sandwich, mais elle a une autre pine qui durcit dans sa bouche et étouffe ses plaintes. Gégé s’agenouille à côté d’elle. Dans un état second, elle saisit sa verge qu’elle masturbe fortement.

Alice ressent une extraordinaire jouissance, car les quatre mâles harmonisent leurs mouvements. Son corps est rapidement agité de violents soubresauts, tandis que ses trois orifices se crispent sur les sexes qui la travaillent.
Un orgasme la secoue quand le premier gicle dans son puits d’amour. Les deux autres suivent, remplissant sa bouche et son rectum de longues giclées. Gégé, qu’elle branle, se vide à son tour, dans sa gorge.

Dès cet instant, Alice s’abandonne aux désirs de ses mâles sans prendre la moindre initiative. Excités comme des boucs en rut, un de ses baiseurs est aussitôt remplacé par un autre.
Elle est possédée par un, deux, trois ou quatre hommes en même temps, à quatre pattes ou allongée. De temps en temps, l’un où l’autre essuie sa vulve et son cul dégoulinants.
Elle connaît une volupté extraordinaire. Depuis son premier orgasme, elle est portée par une jouissance qui semble être sans fin.

L’aube pointe lorsque Alice se réveille sur le canapé défoncé où ils ont fini par la laisser. Nue, endolorie de partout, ses deux puits d’amour sont à vif, poisseuse de sperme, et de tout ce qu’ils ont répandu sur son corps.
Dans la chambre sordide où règne une odeur de sperme, de sexe et de sueur, ils dorment tous, écroulés dans un fauteuil, répandus ça et là sur le sol.
Elle part à la recherche de ses vêtements éparpillés dans la chambre. Elle finit par retrouver uniquement sa robe.

Dans la rue, la fraîcheur de l’aube la fait frissonner et c’est en vain qu’elle cherche des yeux une station de bus ou de taxi. Espérer trouver un taxi en maraude à cette heure dans ce quartier est une illusion.
– Puis-je vous aider, madame??
Elle sursaute, se retourne.
Devant elle, un homme très grand, svelte, lui sourit.
– Vous semblez mal en point, madame. Permettez-moi de vous ramener, ma voiture est à deux pas.

Devant elle, un homme très grand, svelte, lui sourit. Plus proche de la soixantaine que de la cinquantaine, très élégant. Des cheveux poivre et sel, des yeux verts.
– Vous semblez mal en point, madame. Permettez-moi de vous ramener. Vous ne trouverez pas de taxi dans ce quartier.
– Je vous remercie, mais il ne faut pas…
– Ma voiture est au coin de la rue… A oui ? Je me présente : Marc M…..

Affaiblie par la nuit de débauche sexuelle qu’elle vient de vivre Alice suit le prénomé Marc.

Derrière le pâté de maisons, un espace est garé.
Installée sur la banquette arrière, Alicee a une désagréable sensation de déjà-vu lorsque la voiture, au lieu de se rendre vers le centre, quitte la ville. Mais elle n’a pas la force de protester, et elle se contente de murmurer :
– Où allons-nous ?
– Nous allons chez moi. Je crois que vous avez besoin d’un bon bain chaud et d’un lit. Et en cours de route, vous me raconterez votre nuit. Quoique ? Je n’ai aucune peine à deviner ce qui s’est passé dans cet immeuble sordide.

Alice lui narre sa nuit de débauche. Lorsqu’elle a terminé son récit, il demande, laconique.
– Vous avez aimé ?
Elle ne répond pas. N’ose pas lui avouer qu’elle ne sait plus combien de fois elle a joui, qu’elle a criée de plaisir. Qu’il lui semble même que deux où trois autres types sont venus profités de ses deux puits d’amour lors des ses inconciences orgasmiques.

Ils roulent une petite heure, bercée par la route Alice s’endort.
Elle se réveille qu’une fois la voiture stationnée et se rend compte qu’elle se trouve devant une magnifique demeure qui ressemble à un mas de la région, elle n’en n’avait jamais vu de si beau. Un majordome se précipite, ouvre la portière, elle descend, en le remerciant.
Ensemble ils montent les marches une belle femme, brune, un peu plus âgée qu’elle les accueille.
– Lisa, voici Alice. Elle a besoin d’un bon bain chaud et d’un lit. Abdou va vous préparer un copieux petit-déjeuner.

Alice a peine goûté aux mets servis par Abdou, que Lisa annonce :
– Le bain est prêt.
Alice pénètre dans l’eau très chaude. Elle se sent mollir, ferme les yeux, se laisse aller en poussant un profond soupir.
Munie d’une épaisse éponge de bain, Lisa lui lave les épaules, le cou, le visage, la gorge, descend jusqu’aux seins. Alice sent les battements de son cœur s’accélérer. Elle ferme les yeux quand la bouche de la femme effleure son cou, embrasse ses oreilles. Alice frémit.

 

Lisa se déshabille, et rejoint Alice dans le bain.
Ses seins se pressent contre sa poitrine. Alice a un frisson quand les tétons effleurent ses aréoles. Lisa prend ses seins dans sa bouche. Sa langue s’enroule autour de ses tétons, les dents de Lisa éprouvent la tendresse de la chair, ses lèvres glissent doucement contre la peau mouillée. Alice se tortille, gémit, se sent devenir humide.

Elles quittent le bain, rejoignent la chambre. Lisa couche Alice sur le grand lit, puis Lisa se met à quatre pattes et lèche Alice. Elle ouvre la moule d’Alice avec deux doigts, et y enfonce la langue. Alice se sent fondre, elle s’abandonne aux caresses, à cette langue qui la fouille.
Elle plonge ses mains dans la chevelure de Lisa, presse son visage contre sa moule. Sa langue lui fait du bien, elle finit par lui procurer une délicieuse jouissance. Alice reprend son souffle, alanguie, elle se sent maintenant épuisée. Lisa la couche, la borde.
– Dors, maintenant. Repose-toi, je viendrai te réveiller pour le dîner.

Alice ne sait pas combien de temps elle a dormi, lorsque un frôlement la réveille. Lisa est assise au bord du lit.
– Bien dormi, ma chérie ? Lève-toi, je vais te faire belle. Marc nous attend.
D’une commode, elle ouvre un tiroir rempli de lingerie fine en dentelle, nylon, satin, soie. Des petites culottes, des strings font partie de ces trésors, des porte-jarretelles en dentelle, une multitude de bas noirs, gris, chairs…
Lisa lui tend une paire de bas. Assise sur le bord du lit, Alice roule puis habille ses jambes de nylon noir. Lisa lui fixe les jarretelles, avant de la remettre debout face au miroir.
– Il te faut des chaussures.

Elle lui tend une paire d’escarpins noirs avec des talons de près de dix centimètres. Alice se chausse et revient devant le grand miroir, perchée sur ses talons.
L’image que lui renvoie celui-ci n’a plus rien à voir avec la sage bourgeoise qu’Alice croit être. Lisa lui ajuste les jarretelles, tire sur les bas pour les faire monter un peu plus haut. Lui tend une petite culotte assortie, en dentelle noire, presque transparente.
– Superbe ! Marc nous attend au salon, il a dû préparer le champagne. Viens te montrer.

Alice n’a pas vraiment le choix, c’est comme dans un rêve, Lisa la tient par la main elle se laisse guider.
– Regarde, la délicieuse coquine que je t’offre.
Lisa dépose des petits bisous dans le cou d’Alice, puis ses lèvres remontent, jouant avec ses oreilles,

 

Alice frissonne. La fièvre monte en même temps que le rouge aux joues, elle adore. Les lèvres de Lisa se posent sur les siennes, elle fixe Alice dans les yeux. Sa langue pointe à la rencontre de la sienne. Ses mains se posent sur ses hanches, Alice sent les doigts de Lisa jouer avec son porte-jarretelles et sa culotte. Puis l’un d’eux glisse sous la fine dentelle. Lisa murmure à son oreille.
– Tu plais à Marc… Regarde la bosse qui déforme son pantalon.

Ses doigts jouent avec ses fesses puis remontent sur ses hanches. Passe la barrière de la culotte et du porte-jarretelles, ils parcourent ses reins. Lisa met Alice face à Marc, se positionne dans son dos, Lisa pose en coupe ses mains sous les seins d’Alice, avant d’entamer une caresse qui fait poindre et se tendre ses tétons. Le souffle de Lisa au creux de son épaule et les yeux de Marc sur son corps la font frémir.

Alice se retourne face à Léa et cette fois, c’est elle qui lui force les lèvres, y glissant sa langue. Alice sent monter cette chaleur dans son ventre, qu’elle connaît si bien, et qui lui fait mouiller sa culotte. Lisa glisse ses doigts entre leurs deux corps, sous la culotte. Sa main passe à plat alors qu’elle ne peut détacher ses lèvres des siennes.

Son index passe sur la moule d’Alice qui s’entrouvre déjà, toute humide. Lisa lui arrache un petit cri lorsque le bout de son ongle touche son bouton d’amour déjà sorti de sa cachette.
Son souffle s’accélère au fur et à mesure que la caresse se fait plus précise. Lisa repositionne Alice face à Marc sans que sa main ne quitte son clitoris et sa moule de plus en plus humide. Le plaisir monte déjà, ainsi exhibée devant cet homme. Offerte à ces yeux, à cette main dans sa petite culotte, Alice se laisse aller à une première jouissance.

Lisa la tourne face à elle.
– Tu n’es qu’une égoïste, Alice ! Tu prends ton plaisir et tu ne penses qu’à toi. Tu mériterais une fessée.
– Laisse, Lisa, je vais m’en charger. Mais une fessée, cela se donne cul nu.
Lisa s’agenouille devant Alice et lentement, elle entreprend de faire glisser sa culotte sur le porte-jarretelles puis le long de ses jambes. Instinctivement, Alice soulève successivement chacun de ses pieds pour l’enjamber. Lisa jette la culotte à Marc, qui la porte à ses narines ?
– Ça sent la femelle en chaleur… Vous allez me montrer votre cul, Alice. À quatre pattes sur le canapé !

Alice obéit et pose ses genoux sur le canapé, jambes légèrement écartées. Elle prend appui de ses mains sur le dossier, elle attend, offerte.
– Lisa, très chère, je te laisse le soin de choisir la punition de cette insolente.
– J’ai peur que la cravache ne soit prématurée, que dirais-tu d’une séance de gode ?
– Parfait, je prendrai le relais lorsqu’elle sera bien préparée.

Lisa ouvre un tiroir et en sort un long gode en latex noir orné d’une queue-de-cheval en crin noir, qu’elle le caresse.
– Ma petite Alice, je te conseille de bien le sucer, car là où je vais le glisser, tu n’es pas encore préparée !
Lisa le lui tend, alors que ses lèvres s’entrouvrent et que déjà elle force sa bouche. Alice prend soin de bien saliver pour bien humecter l’objet. Alice a le feu aux joues, mais également au ventre.
– Allez, ma petite pute, cambre-toi bien, offre-toi.

Indécente, cambrée, offerte, jambes écartées, les mains en appui sur le dossier du canapé, Alice se positionne comme indiqué. La main de Lisa se pose sur sa fesse droite, immédiatement un frisson  parcourt Alice. Elle se mord les lèvres, sa bouche s’entrouvre, son souffle se fait saccadé.
Alors qu’Alice ferme les yeux, un contact froid sur le haut de sa raie culière lui arrache un murmure. Lisa positionne le gode sur son anus.
– Oh ! Doucement, je vous en prie.
– Ne t’inquiète pas, ma chérie, tu vas adorer. Une traînée comme toi ne peut qu’apprécier.

La pression se fait plus forte, Alice se cambre, le bout du gode semble la perforer. Soudain, il entre, passe la petite porte de ses reins en lui arrachant un petit cri.
– Tu vois, ma salope, te voilà une vraie femelle.
– Enlevez-le, je vous en prie.
– Mais non, Alice ! Laissez Lisa vous préparer, sinon je remplace le latex par ma queue et croyez-moi, vous me faites bien bander ainsi.

Lisa passe sa main libre sur la moule d’Alice, lui arrachant de nouveaux frissons de plaisir mêlés à la douleur dans ses reins.
– Tu es déjà très mouillée, je vais continuer à te masturber pendant que je le ferais rentrer encore plus loin.
– Non ? Oui ! Oh !
– Ton petit bouton est tout dur, tu aimes ça, n’est-ce pas ?

Lisa le fait rouler entre ses doigts, Alice adore, elle se sent couler encore davantage. La douleur s’apaise dans son cul, pourtant la pression qu’elle y exerce est de plus en plus soutenue. Lisa a maintenant entrepris des allers-retours tout en douceur qui lui arrachent mille feux de douleur et de plaisir mêlés.

Lisa fait monter le plaisir en lui branlant le clitoris comme une folle. Alice sent qu’elle va jouir alors que le gode est maintenu au plus profond de ses reins. Les crins de nylon qui finissent le gode frottent sur sa raie au rythme de ses mouvements de bassin.
– Allez, salope, laisse-toi aller, offre-nous ton premier orgasme du cul.
– Oui, Lisa, continue à la baiser, elle va jouir !

Lisa fait même mieux que cela. Elle fait glisser deux de ses doigts dans le puits d’amour trempé. Prise des deux côtés, Alice a un mouvement de recul qui ne fait qu’accentuer la pénétration anale. Lisa agite ses doigts joints de plus en plus vite dans la moule d’Alice, le plaisir monte encore, elle ne va pas pouvoir résister.
– OOOH ! Oui ! Oui ! Oui !

Un orgasme monstrueux la terrasse alors que les doigts de Lisa pressent son bouton, et que deux autres sont fichés le plus loin possible dans son puits d’amour, où ils jouent à caresser le gode à travers la fine paroi.
– Eh bien ma salope, on se laisse aller au plaisir, sans demander la permission ?
– Cette fois, elle mérite une fessée. Lisa, à toi !

Laissant Alice à genoux sur le bord du canapé, le gode fiché entre les fesses, la main de Lisa s’abat avec violence sur chacune de ses fesses, à tour de rôle. Alice essaie de se couvrir de ses mains, mais Marc, placé à ses côtés, lui tient les bras. Sous les claques que lui assène Lisa, ses fesses s’embrasent d’un feu qui la chauffe avec la douleur, la honte d’être ainsi offerte, c’est un étrange plaisir qui monte en elle.

Un nouveau tsunami la submerge, Alice jouit longtemps, gémissante, les fesses en l’air, en feu, la tête posée sur l’assise du canapé, aux côtés de Marc qui se branle lentement.
Alice retrouve peu à peu son calme, Lisa lui tend la main pour l’aider à se lever. Très lentement, avec le gode toujours planté entre ses fesses rougies, Lisa la positionne devant Marc. Lui tournant le dos elle devine le spectacle qu’elle lui offre. Perchée sur ses hauts talons, les jambes gainées de nylons noirs tendus par les jarretelles de dentelle noire, encadrant son cul perforé par le gode, dont seule l’extrémité ornée de ses crins noirs s’échappe.
– Oh ! Alice, délicieuse soumise, belle pouliche que vous êtes ainsi parée, je vais vous libérer ! Penchez-vous en avant.

Lisa se positionne devant Alice, place ses mains sur ses hanches. Elle approche son bassin plus près d’elle, Alice a devant les yeux sa chatte. Elle ne peut se retenir d’y déposer un nouveau baiser, les jambes de Lisa s’entrouvrent pour lui laisser un libre accès à sa fente.
Alice sent la pression inverse qu’exerce Marc sur l’intrus qui perfore son anus pour l’extraire lentement. Elle sent millimètre par millimètre son retrait, et soudain, c’est la libération totale, la laissant partiellement ouverte.

Alors que sa langue taquine le clitoris de Lisa, Marc parcourt de ses doigts la raie ainsi offerte. Son index inquisiteur remplace le gode qui y était logé. Très vite, il est rejoint par un second doigt, ensemble, ils se mettent en mouvement dans l’étroit conduit, lui arrachant de nouveau des râles de plaisir.
– Alice, j’ai très envie de votre délicieux cul !

Marc se lève, tout en gardant ses doigts dans le cul d’Alice, il présente à Lisa sa verge bandée à sucer. Elle ne se fait pas prier, elle semble aimer ça et le suce tout en l’enduisant de salive. En moins de trois minutes, il semble ne plus pouvoir se retenir. Lisa se relève et tenant d’une main sûre la queue de Marc.
– Alice ? Je vais le guider dans ton cul. Cambre-toi bien, prends appui sur tes jambes. Il va te prendre debout.

Lisa fait glisser un peu de salive sur son index pour s’enfoncer dans le puits d’Alice habituellement si fermé.
– Le gode et les doigts de Marc t’ont bien préparée, ma chérie. Cambre-toi bien.
Lisa positionne le gland sur la rondelle, Alice a un mouvement de recul, mais Marc la maintient par les hanches, les mains posées sur la dentelle de son porte-jarretelles. Il pousse, Alice ouvre la bouche, un râle, un cri ! Le gland se fraie un passage.
– Oh la chienne ! Elle s’ouvre ! Regarde, je la prends ! Je l’encule !

Lisa vient poser ses mains sur celles de Marc. Elle tire Alice sur lui, l’empalant lentement sur son pieu tendu. Les fesses d’Alice bute contre son bas-ventre. Il la prend en totalité. Elle reste ainsi, plaquée contre Marc, les fesses en feu, alors que Lisa vient se positionner de nouveau devant elle, l’invitant à lui dévorer sa moule. Marc donne de très lents et courts mouvements de bassin.

Alice commence à s’habituer à sa présence dans son fondement. Les mains posées sur les hanches de Lisa, elle lèche sur toute la longueur de sa moule, faisant monter en elle les prémisses du plaisir.
Marc accélère lentement, mais sûrement, Alice sent le plaisir monter à nouveau. Tout en continuant à donner du plaisir à Lisa avec sa langue dardée sur son clitoris, Alice glisse son index sur sa rondelle. Lisa se cambre, s’offrant à son doigt.

 

Marc se déchaîne dans ses entrailles, il lui pilonne en règle l’arrière-train.
– Lisa, elle est divine, cette petite bourgeoise, regarde comme je lui fais le cul !
– Oui Marc, elle me lèche le clitoris en me doigtant le cul, j’adore cette délurée, je vais jouir !
Lisa part dans un orgasme qui la tétanise, entraînant Alice avec elle dans son orgasme anal.

 

Marc, qui s’est immobilisé entre ses fesses, prévient Lisa qu’il va jouir lui aussi.
– Viens dans ma bouche, je veux te boire.
– Alice, branlez-moi dans la bouche de ma Lisa.
Alice se saisit de la queue sortant de ses fesses, et commence à le branler alors que Lisa se positionne à genoux à ses côtés. Bouche ouverte, langue sortie, elle fixe la main qui s’agite sur la longue bite épaisse de Marc, lequel se raidit sous la caresse.

Un râle, un premier jet strie le visage de Lisa. Puis un second qu’elle dirige directement dans sa bouche, suivi d’un troisième et enfin, Lisa s’approche pour le prendre dans sa bouche. Lisa continue de le sucer lentement, tirant de son pompage les dernières gouttes de plaisir de Marc.
Alice dépose un baiser sur le bord des lèvres de Lisa, sa langue parcourt ses joues pour aspirer le sperme que Marc a laissé lors de son premier jet. Elle s’en délecte.
– Ma chérie ? Déclare Lisa, Marc et moi avons décidé de t’adopter…
Marc renchérit.
– Oui, Alice, vous êtes notre invitée. D’ailleurs, j’ai déjà fait chercher vos affaires à votre hôtel et votre note est réglée. Nous avons encore beaucoup de belles choses à vous faire découvrir, Lisa et moi…

Sam Botte la suite Samedi Prochain

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